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DSK et Joseph fils de Jacob, deux économistes juifs injustement accusés de viol

 

DSK et Joseph fils de Jacob, deux économistes juifs injustement accusés de viol

 Je me suis déjà livré à un parallèle entre Dominique Strauss-Khan et Joseph fils de Jacob ; vous savez celui là même qui a été vendu à une caravane d’Ismaélites, parce que, adulé par son père et éminemment talentueux, il était jalousé au-delà de toute mesure par ses frangins à qui il faisait de l’ombre.

Les deux débarquent au pays de cocagne de leur époque, l’Egypte pour Joseph et les Etats-Unis d’Amérique pour Dominique. Tous deux se distinguent par leurs talents d’économistes. Leur boulot consiste à prêter de l’argent aux incapables qui n’ont pas su gérer leurs biens et leur existence. Les débiteurs souvent en peine de rembourser leurs dettes, vont jusqu’à hypothéquer leurs biens et leurs terres, quand ce n’est pas leurs personnes. Les deux argentiers dirigent un fonds monétaire aux capitaux considérables ; d’un côté l’Egypte qui a su capitaliser lors des sept années de vaches grasses, s’appropriant toutes les richesses du Moyen-Orient d’alors, de l’autre côté l’Occident financièrement éclairé.

Il va sans dire que tous deux sont des IVRIM, des Hébreux, et ne s’en cachent guère. Ivri Anokhi répond Joseph lorsque l’on interroge sur ses origines. On se prendra à ma judéité a affirmé Strauss Khan.

Des personnages aussi puissants sont, par définition, jalousés voir haïs ; il en va ainsi en tous lieux et à toutes les époques.

Il est écrit dans la Torah que Joseph, non content d’être un surdoué était également fort beau; il plaisait aux femmes, quoi ! Avant d’atteindre la gloire à la cour de Pharaon, il occupait les fonctions de surintendant de la maisonnée d’un dénommé Potiphar, qui lui confia à gérer, les yeux fermés, toutes ses richesses. Parmi ces richesses il y avait également sa femme qui en pinçait fort pour Joseph. Un beau jour Madame Potiphar, n’y tenant plus, tenta de violer Joseph qui ne se laissa pas faire ; expliquant à sa maîtresse qu’il ne pouvait se permettre de commettre un adultère avec la femme de son patron, car il trahirait ainsi la confiance que ce dernier avait placée en lui. Sous entendu- il s’agit de ma propre interprétation – s’il l’avait rencontrée dans une boite de nuit, par exemple, il n’aurait pas dit non à une partie de jambes en l’air. Quoiqu’il en soit, la mère Potiphar agresse Joseph qui s’enfuit, lui abandonnant son manteau. Munie de la pièce à conviction, la dame alerte le ban et l’arrière ban, accusant Joseph d’avoir voulu la violer. La police pharaonienne, le FBI arrête Joseph et, bien entendu, le fourre en prison. Et une erreur judiciaire, une !

Trois mille cinq cent ans plus tard, une aventure similaire – je n’ai pas dit identique – se produit pour un autre économiste Ivri-Hébreu. Comme Joseph, son ancêtre, il a perdu sa robe … de chambre. Il est donc nu, donc vulnérable, donc présumé coupable de tentative de viol sur Ophelia du Bronx. Ophelia – c’est son nom de code – est crue sur parole. Pour la police américaine, les média, les charognards de la classe politique française qui se frottent les mains, le violeur, le coupable, le scélérat est nécessairement le mâle dominant, d’autant plus qu’il s’agit précisément de l’homme à abattre, tant au FMI qu’en France.

On sait peu sur Ophelia si ce n’est qu’elle est originaire de l’Afrique de l’ouest et qu’elle mesure plus d’un mètre quatre vingt, qu’elle parlerait français et serait une musulmane pratiquante, portant le voile. Quant à son potentiel de séduction, les avis divergent: selon un voiturier du Sofitel , elle serait dotée de gros seins et de belles fesses », selon les avocats de DSK, elle serait « très peu séduisante ». Qui faut-il croire ? La question est d’importance, car, chacun le sait, le destin du monde (et cette fois le destin de DSK et aussi celui de la France) a reposé en son temps sur le nez de Cléopatre; droit ou aquilin, belle ou vilaine?

Il est peu probable que Dominique ait atteint le degré de Tsaddik que les commentateurs attribuent à Joseph, qui avait la réputation de savoir contrôler ses pulsions. Peut être, mais question intelligence et ambition, Dominique n’a rien à envier à Joseph. De là à ruiner ses chances de devenir Président de la République française et risquer 70 ans de prison pour une galipette vite fait au Sofitel de New-York, je n’y crois pas un instant. il s’agit donc d’une machination et bien entendu d’une injustice comme dans le cas de Joseph Hatsadik.

En attendant, les vrais perdants sont les citoyens français, qui manifestement ne méritent pas un Président de son envergure. Il a été décidé quelque part Là Haut que la médiocrité serait leur lot, qu’elle soit de droite ou de gauche. Il a été aussi décidé, et je m’en réjouis quelque part, comme je l’ai indiqué dans mon article, qu’un Juif ne sera pas, cette fois du moins, Président de la République française. Tout a un sens!

http://www.geopolitiquebiblique.com/

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