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Israël et la loi internationale en question, par Victor Perez

Un livre pour pousser à l’éradication de l’Etat d’Israël

Israël et la loi internationale en question

 

Victor PEREZ ©

Que vaut la parole d’Eric Hazan, écrivain et éditeur mais surtout membre du comité de parrainage du «Tribunal Russell sur la Palestine » ? Une assemblée d’anti-israéliens cherchant à mobiliser les opinions publiques pour que les instances internationales prennent les mesures pour mettre fin à ‘’l’impunité de l’État d’Israël’’, mais aussi pour aboutir à un règlement ‘’juste et durable de ce conflit’’.

 

Chacun imaginera aisément la ‘’Paix’’ recherchée par ces ‘’champions de la Justice’’ ayant en commun un seul objectif à atteindre ! Et cela, quelque soit le moyen employé !

 

Pour preuve de cette finalité, sa tribune publiée dans Libération, éternel complice de ce fétide combat, intitulée « Le boycott d’Israël n’est pas de l’antisémitisme » (1). Dans le corps du texte on y trouve l’affirmation que « critiquer un gouvernement ne signifie nullement que l’on accuse la population du pays. Non, condamner la politique coloniale d’Israël n’a rien à voir avec l’antisémitisme ».

 

Mais lorsque c’est la population qui nomme, élection après élection, ce gouvernement ‘’critiquable’’, n’est-ce pas celle-ci la seule ‘’condamnable’’ ? A moins que dans l’esprit de cet ‘’humaniste’’ l’Etat d’Israël est une dictature telles l’Iranl’Arabie Saoudite ou encore l’Autorité palestinienne qui a un président, semble t-il, à vie ?

 

‘’Préserver’’ la population israélienne, juive de confession, est donc pour lui un moyen de se garder de toutes critiques et, ainsi, poursuivre son œuvre de délégitimation qu’il souhaite à ce pays. Et par la bande à sa population ‘’préservée’’.

 

L’essentiel de son pamphlet justifiant l’injustifiable n’est cependant pas là mais dans le fait d’assurer le fait « colonial » de la présence israélienne à Jérusalem, en Judée et en Samarie !

 

Remontons le cours de l’histoire jusqu’à l’année 1946, celle de la création de la (Trans) Jordanie destinée aux Arabes vivant alors en Palestine sous mandat britannique. Nul à cette époque n’affirmait la présence de trois peuples sur ce territoire, à savoir deux arabes et un de religion juive !

 

La logique, le bon sens aurait dû imposer que le territoire restant à l’ouest du jourdain revienne, en totalité, au second peuple, au peuple juif, sans que cela ne nuise aux différentes minorités s’y trouvant ! C’est oublier alors la pression musulmane refusant tout état pour le peuple juif mais aussi l’intérêt grandissant du pétrole pour les puissances mondiales.

 

La Grande Bretagne en tête !

 

D’où cette résolution 181 de 1947 délestant d’une part la conscience européenne au sujet de laShoa et, d’autre part, satisfaisant quelque peu le désir musulman en partageant ce petit territoire entre le peuple juif et le peuple arabe ayant déjà reçu près de quatre-vingt pour-cent du mandat anglais en 1946. 

 

Ainsi est née la « loi internationale » permettant les accusations, les procès et les condamnations perpétuelles de la « politique coloniale d’Israël » par tout un chacun.

 

Une ‘’légalité internationale’’ autorisant, depuis, la désignation de l’Etat d’Israël comme un état paria méritant tous les châtiments possibles. Comprenant le boycott économique, mais aussi culturel, sportif, universitaire, politique et autre !

 

C’est ainsi que l’on abat son animal sain que l’on dit enragé !

 

Boycotter l’Etat d’Israël est par conséquent on ne peut plus antisémite. Qualité que refuse cependant Eric Hazan qui se place résolument du côté de ceux « pour lesquels les quelque 11 millions d’êtres humains habitant entre le Jourdain et la mer ont tous le droit de vivre en égaux dans un Etat commun. Pour ceux, Juifs ou Arabes, qui soutiennent la création d’un tel Etat, la présence juive en Palestine ne se discute plus depuis longtemps, c’est la souveraineté juive qui est le cœur du litige. Le boycott d’Israël est pour euxun moyen d’en finir avec cette souveraineté ».

 

C’est ce qu’espère le monde musulman depuis 1948 !

 

Eric Hazan, malgré lui, ne peut donc être plus clair !

 

 

Victor PEREZ ©

 

Liens :

 

(1) : http://www.liberation.fr/debats/2016/05/04/le-boycott-d-israel-n-est-pas-de-l-antisemitisme_1450552Israël et la loi internationale en question

 

 

Victor PEREZ ©

Que vaut la parole d’Eric Hazan, écrivain et éditeur mais surtout membre du comité de parrainage du « Tribunal Russell sur la Palestine » ? Une assemblée d’anti-israéliens cherchant à mobiliser les opinions publiques pour que les instances internationales prennent les mesures pour mettre fin à ‘’l’impunité de l’État d’Israël’’, mais aussi pour aboutir à un règlement ‘’juste et durable de ce conflit’’.

 

Chacun imaginera aisément la ‘’Paix’’ recherchée par ces ‘’champions de la Justice’’ ayant en commun un seul objectif à atteindre ! Et cela, quelque soit le moyen employé !

 

Pour preuve de cette finalité, sa tribune publiée dans Libération, éternel complice de ce fétide combat, intitulée « Le boycott d’Israël n’est pas de l’antisémitisme » (1). Dans le corps du texte on y trouve l’affirmation que « critiquer un gouvernement ne signifie nullement que l’on accuse la population du pays. Non, condamner la politique coloniale d’Israël n’a rien à voir avec l’antisémitisme ».

 

Mais lorsque c’est la population qui nomme, élection après élection, ce gouvernement ‘’critiquable’’, n’est-ce pas celle-ci la seule ‘’condamnable’’ ? A moins que dans l’esprit de cet ‘’humaniste’’ l’Etat d’Israël est une dictature telles l’Iranl’Arabie Saoudite ou encore l’Autorité palestinienne qui a un président, semble t-il, à vie ?

 

‘’Préserver’’ la population israélienne, juive de confession, est donc pour lui un moyen de se garder de toutes critiques et, ainsi, poursuivre son œuvre de délégitimation qu’il souhaite à ce pays. Et par la bande à sa population ‘’préservée’’.

 

L’essentiel de son pamphlet justifiant l’injustifiable n’est cependant pas là mais dans le fait d’assurer le fait « colonial » de la présence israélienne à Jérusalem, en Judée et en Samarie !

 

Remontons le cours de l’histoire jusqu’à l’année 1946, celle de la création de la (Trans) Jordanie destinée aux Arabes vivant alors en Palestine sous mandat britannique. Nul à cette époque n’affirmait la présence de trois peuples sur ce territoire, à savoir deux arabes et un de religion juive !

 

La logique, le bon sens aurait dû imposer que le territoire restant à l’ouest du jourdain revienne, en totalité, au second peuple, au peuple juif, sans que cela ne nuise aux différentes minorités s’y trouvant ! C’est oublier alors la pression musulmane refusant tout état pour le peuple juif mais aussi l’intérêt grandissant du pétrole pour les puissances mondiales.

 

La Grande Bretagne en tête !

 

D’où cette résolution 181 de 1947 délestant d’une part la conscience européenne au sujet de la Shoa et, d’autre part, satisfaisant quelque peu le désir musulman en partageant ce petit territoire entre le peuple juif et le peuple arabe ayant déjà reçu près de quatre-vingt pour-cent du mandat anglais en 1946. 

 

Ainsi est née la « loi internationale » permettant les accusations, les procès et les condamnations perpétuelles de la « politique coloniale d’Israël » par tout un chacun.

 

Une ‘’légalité internationale’’ autorisant, depuis, la désignation de l’Etat d’Israël comme un état paria méritant tous les châtiments possibles. Comprenant le boycott économique, mais aussi culturel, sportif, universitaire, politique et autre !

 

C’est ainsi que l’on abat son animal sain que l’on dit enragé !

 

Boycotter l’Etat d’Israël est par conséquent on ne peut plus antisémite. Qualité que refuse cependant Eric Hazan qui se place résolument du côté de ceux « pour lesquels les quelque 11 millions d’êtres humains habitant entre le Jourdain et la mer ont tous le droit de vivre en égaux dans un Etat commun. Pour ceux, Juifs ou Arabes, qui soutiennent la création d’un tel Etat, la présence juive en Palestine ne se discute plus depuis longtemps, c’est la souveraineté juive qui est le cœur du litige. Le boycott d’Israël est pour euxun moyen d’en finir avec cette souveraineté ».

 

C’est ce qu’espère le monde musulman depuis 1948 !

 

Eric Hazan, malgré lui, ne peut donc être plus clair !

 

 

Victor PEREZ ©

 

Liens :

 

(1) : http://www.liberation.fr/debats/2016/05/04/le-boycott-d-israel-n-est-pas-de-l-antisemitisme_1450552

Israël et la loi internationale en question

 

Victor PEREZ ©

Que vaut la parole d’Eric Hazan, écrivain et éditeur mais surtout membre du comité de parrainage du « Tribunal Russell sur la Palestine » ? Une assemblée d’anti-israéliens cherchant à mobiliser les opinions publiques pour que les instances internationales prennent les mesures pour mettre fin à ‘’l’impunité de l’État d’Israël’’, mais aussi pour aboutir à un règlement ‘’juste et durable de ce conflit’’.

 

Chacun imaginera aisément la ‘’Paix’’ recherchée par ces ‘’champions de la Justice’’ ayant en commun un seul objectif à atteindre ! Et cela, quelque soit le moyen employé !

 

Pour preuve de cette finalité, sa tribune publiée dans Libération, éternel complice de ce fétide combat, intitulée « Le boycott d’Israël n’est pas de l’antisémitisme » (1). Dans le corps du texte on y trouve l’affirmation que « critiquer un gouvernement ne signifie nullement que l’on accuse la population du pays. Non, condamner la politique coloniale d’Israël n’a rien à voir avec l’antisémitisme ».

 

Mais lorsque c’est la population qui nomme, élection après élection, ce gouvernement ‘’critiquable’’, n’est-ce pas celle-ci la seule ‘’condamnable’’ ? A moins que dans l’esprit de cet ‘’humaniste’’ l’Etat d’Israël est une dictature telles l’Iranl’Arabie Saoudite ou encore l’Autorité palestinienne qui a un président, semble t-il, à vie ?

 

‘’Préserver’’ la population israélienne, juive de confession, est donc pour lui un moyen de se garder de toutes critiques et, ainsi, poursuivre son œuvre de délégitimation qu’il souhaite à ce pays. Et par la bande à sa population ‘’préservée’’.

 

L’essentiel de son pamphlet justifiant l’injustifiable n’est cependant pas là mais dans le fait d’assurer le fait « colonial » de la présence israélienne à Jérusalem, en Judée et en Samarie !

 

Remontons le cours de l’histoire jusqu’à l’année 1946, celle de la création de la (Trans) Jordanie destinée aux Arabes vivant alors en Palestine sous mandat britannique. Nul à cette époque n’affirmait la présence de trois peuples sur ce territoire, à savoir deux arabes et un de religion juive !

 

La logique, le bon sens aurait dû imposer que le territoire restant à l’ouest du jourdain revienne, en totalité, au second peuple, au peuple juif, sans que cela ne nuise aux différentes minorités s’y trouvant ! C’est oublier alors la pression musulmane refusant tout état pour le peuple juif mais aussi l’intérêt grandissant du pétrole pour les puissances mondiales.

 

La Grande Bretagne en tête !

 

D’où cette résolution 181 de 1947 délestant d’une part la conscience européenne au sujet de la Shoa et, d’autre part, satisfaisant quelque peu le désir musulman en partageant ce petit territoire entre le peuple juif et le peuple arabe ayant déjà reçu près de quatre-vingt pour-cent du mandat anglais en 1946. 

 

Ainsi est née la « loi internationale » permettant les accusations, les procès et les condamnations perpétuelles de la « politique coloniale d’Israël » par tout un chacun.

 

Une ‘’légalité internationale’’ autorisant, depuis, la désignation de l’Etat d’Israël comme un état paria méritant tous les châtiments possibles. Comprenant le boycott économique, mais aussi culturel, sportif, universitaire, politique et autre !

 

C’est ainsi que l’on abat son animal sain que l’on dit enragé !

 

Boycotter l’Etat d’Israël est par conséquent on ne peut plus antisémite. Qualité que refuse cependant Eric Hazan qui se place résolument du côté de ceux « pour lesquels les quelque 11 millions d’êtres humains habitant entre le Jourdain et la mer ont tous le droit de vivre en égaux dans un Etat commun. Pour ceux, Juifs ou Arabes, qui soutiennent la création d’un tel Etat, la présence juive en Palestine ne se discute plus depuis longtemps, c’est la souveraineté juive qui est le cœur du litige. Le boycott d’Israël est pour euxun moyen d’en finir avec cette souveraineté ».

 

C’est ce qu’espère le monde musulman depuis 1948 !

 

Eric Hazan, malgré lui, ne peut donc être plus clair !

 

 

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(1) : http://www.liberation.fr/debats/2016/05/04/le-boycott-d-israel-n-est-pas-de-l-antisemitisme_1450552

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