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Ghanouchi

juillet 16, 2015
Chroniques tunisiennes, par Gérard Hadad

Je reviens au pays après trois mois d’absence. Le ciel bleu immaculé de l’été, miroir d’une immense espérance, a cédé la place à de gros nuages gris entre lesquels des coins de ciel bleu tentent de se faire une place. Le sommet du Bou Kornine lui-même, disparait dans une légère brume. Ce flou général me donne d’emblée la tonalité de la situation.

Chroniques tunisiennes, par Gérard Hadad 

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