PORTRAIT DE BELLEVILLE, PAR CLAUDE SITBON !

PORTRAIT DE BELLEVILLE, PAR CLAUDE SITBON !

 

il etait une fois Belleville cela m a ete raconte par les freres Journo,un dimanche de Mai 2019 a Pierre Amanou,Allali Bernard,Sami Taieb,

Belleville a ete colonise par les tunes a la fin des annees 50 des mains des ashkenases ils batirent des synagogues et des talmude thora,des mikvaot et des salles d etude; mais aussi des restaurants et des boucheries,des epiceries et des patisseries, bref un territoire juif on se souvient qu en 1961 Le General de Gaulle avait dit a Bourguiba "rendez moi belleville je vous rendrais bizerte" est ce qu il y a plus belle illustration ce belleville juif; des exemples

On n oublie pas que Gaston Sayada,celui de l agence de voyages de la rue ramponneau ,a ete le premier gabesien ,maire adjoint de Paris, le relais ,ce restaurant ou Raoul Journo avait l habitude de m inviter etait ,sur le boulevard de Belleville, il jouxtait celui de freres Krief qui regnait sur le marche de la viande ,Haddad etait l epicier de belleville,il etait avant au bahri rebbi Braitou Smadja etait le rabbin de belleville On pourra a la maniere de Prevert egrener nos souvenirs mais je n oublierais pas ,que le dimanche le boulevard de belleville,etait le rendez vous de tous les exiles,venir manger un banboloni, un casse croute tunisien,un ftair,ou alors faire ses achats,rencontrer des amis retrouver un air de jasmin ils s enrichirent ,ces tunes et s envolerent vers sarcelles,puis le 17 Eme,nouveau ghetto decrit si bien par Alain Chouffan et puis pour levallois a cause de madame Balkany,nee Smadja ou Neuilly a cause du maire Bismuth dit Sarkosy j oubliais de vous dire que les freres Journo etaient les gardiens du temple de B elleville ,l un est dentiste et roi du poker ,l autre pharmacien et maire adjoint du 19eme arrondissement, mais leur vrai titre c est qu ils sont les enfants d Azar,l ancetre des restaurants juifs de Paris,celui dont la devise a conquis Philippe Seguin et Charles Haddad,Albert Simon et le signataire de ces lignes "chez Azar rien n est au hasard" a la rue geoffroy marie il etait ,une fois BELLLEVILLE  oui mais cela est fini malgre Max Journo et Hubert Journo

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