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Articles

Tahar Ben Jelloun : La France est malade de cet antisémitisme qui ne veut pas s’arrêter

Et il prend plusieurs formes et c’est malheureux de voir des tombes profanées, de voir l’image de Simone Veil avec une croix gammée dessus… Pourquoi réveiller les morts pour les insulter? C’est dégueulasse. C’est horrible », a déclaré l’écrivain.

CLAUDE SITBON A PARIS, par Alain Chouffan

Pour Claude Sitbon à PARIS, toutes les portes lui sont ouvertes. On se déplace pour le rencontrer, on l invite au restaurant, tous ses amis se pressent pour le voir. Et il en compte beaucoup. Installé en Israël depuis des années, il a côtoyé tout ce qu ‘Israel compte de personnalités . Bras droit de Teddy Kollek, ancien maire de Jerusalem, il passait pour être l’un des journalistes les plus informés. Il connaît tout sur tout.

Le Code d'Esther

Quelque chose se passe... Quelque chose qui a commencé il y a 66 ans à Nuremberg, avec un homme nommé Julius Streicher. Le 16 octobre 1946, ce dignitaire nazi monte à la potence et lance des mots qui résonnent encore aujourd'hui : "C'est Pourim 1946". Bernard Benyamin et Yohan Perez ont enquêté sur ces mots et découvert ce qui est sans doute la prophétie la plus troublante du XXème siècle.

La haine "antisioniste" est une haine antisémite

Il y a en Europe des Juifs antisémites qui écrivent. Certains d’entre eux ont publié voici peu une pétition dans le journal de gauche Libération. La pétition ne se définit pas comme antisémite, cela va de soi (plus personne ne se dit antisémite en France, car cela tombe sous le coup de la loi). Elle se définit comme “antisioniste”, et ses auteurs sont donc “antisionistes”, comme Dieudonné M’bala M’bala ou Alain Soral.