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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
18 février 2008, 03:34
Richard Prasquier a prononcé un admirable discours, merci à Cacouboulou de l'avoir publié.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
20 février 2008, 15:18
Des parlementaires européens bouleversés après une visite au Proche-Orient

LE MONDE | 20.02.08

AMMAN, JÉRUSALEM, RAMALLAH ENVOYÉE SPÉCIALE


Quand elle a reçu au Parlement de Riga l'invitation de Medbridge à participer à une virée express au Proche-Orient, la députée lettone Vaira Paegle a été stupéfaite. En un marathon de quatre jours, l'association proposait à une soixantaine de parlementaires issus de vingt et un pays européens de rencontrer à Amman le roi de Jordanie, à Jérusalem le président et le premier ministre d'Israël, et à Ramallah les responsables de l'Autorité palestinienne. Vaira Paegle s'est embarquée dans l'aventure. Au Reichstag, le député Karl Lamers, vice-président de l'assemblée parlementaire de l'OTAN, n'a pas non plus hésité : "C'est dans cette région que se joue la sécurité du monde." Quant au député portugais Joao Soares, il s'impatientait : "Il n'est que temps d'avoir une voix européenne qui porte ! Et ce n'est pas en Tony Blair, chargé de représenter le Quartet, que l'on peut faire confiance ! Un type qui a été complice de la guerre en Irak ne peut agir en notre nom !"


Ils sont arrivés à Amman, le 3 février, et le roi Abdallah II les a d'emblée surpris par sa fermeté. "Les élections américaines font de l'année 2008 un tournant crucial, a-t-il dit. Or d'excellentes conditions sont réunies pour faire aboutir le processus de paix. Le courant passe entre les négociateurs israéliens et palestiniens ; à la communauté internationale de les soutenir !" Quel crédit donner à l'Autorité palestinienne installée à Ramallah et totalement coupée du Hamas ?, demande le Portugais Soares. "On sait que le Hamas prend ses directives en Iran. C'est là le drame !, répond le roi. On n'a pas le choix de l'interlocuteur." Qu'attendez-vous de l'Europe ?, interroge le Français Jean Bardet. "Qu'elle pèse de tout son poids pour que les derniers 10 % du chemin vers la paix aboutissent. Qu'elle comprenne que l'enjeu dépasse le problème palestinien et porte sur le Liban, la Syrie et l'Iran. Qu'elle sache convaincre Israël que ce qui est sur la table, c'est la paix offerte avec cinquante-sept nations. Le conflit est entre modérés et extrémistes. Si l'on échoue, c'est terrible !"

Dans le bus qui file à Jérusalem, les parlementaires affûtent leurs questions pour le président Shimon Pérès qui les reçoit à dîner. Celui-ci insiste sur la "respectabilité" des leaders de l'Autorité palestinienne. Mais Gaza ?, insiste François-Xavier de Donnea, ex-ministre belge de la défense. "Nous nous sommes retirés ; quel plus grand geste pouvions-nous faire ?, dit M. Pérès. Notre position à cet égard est la même que celle du président palestinien. Les organisations politiques savent qu'il faut faire des compromis, les organisations religieuses le refusent, obsédées par notre destruction. Attendons les élections de 2009 en espérant que le peuple comprenne et se détourne des fanatiques."

Il faut aller à Ramallah. La délégation y arrive, dès le petit matin, découvrant la barrière de sécurité électronique entourant la Cisjordanie. Salam Fayad, premier ministre de l'Autorité palestinienne passé par la Banque mondiale et le FMI, ne connaît pas la langue de bois. "Nous avons échoué lamentablement, dit-il. Notre propre Parlement ne fonctionne pas et notre gouvernement n'a aucun contrôle de ce qui se passe à Gaza." Il semble écrasé par la difficulté de sa tâche : "Il faut développer l'économie, créer des emplois, attirer les investissements internationaux, pas facile avec tous ces check-points !" Quant au processus de paix, oui, il croit possible de l'achever au cours de 2008 puisque, dit-il, "nos vues sont proches de celles des Israéliens". Annapolis étant une initiative américaine, à l'Europe, insiste-t-il, de s'impliquer davantage.


LES QUESTIONS FUSENT


Le Portugais Soares se dit encouragé : "Voilà un homme qui ne rejette pas la responsabilité sur les autres et qui donne de l'espoir !" Le baron Kilclooney, de la Chambre des Lords, renchérit : "Il est totalement opposé au terrorisme et veut à tout prix un accord avec Israël. Mais quel est son pouvoir face au Hamas qui semble gagner en influence, même en Cisjordanie ?" Retour à Jérusalem où la ministre des affaires étrangères, Tzipi Livni, affiche son obsession pour la sécurité, et où la présidente de la Knesset, Dalia Itzik, se demande ce que feraient les pays européens s'ils étaient confrontés, comme la ville de Sderot l'an passé, à plus de 1 000 roquettes en provenance de Gaza. Tonique, le premier ministre, Ehoud Olmert, affirme, lui, que les relations entre Israël et l'Europe sont meilleures qu'elles n'ont été depuis quarante ans. "Peut-on alors influencer le processus de paix ?", demande la Lettone. "La paix se négocie à deux ! Et surtout pas avec la Ligue arabe dont les pays sont souvent plus extrémistes que les Palestiniens", répond M. Olmert.

Les questions fusent. Quid de nouvelles implantations ? "Il n'y en a pas !" Et le démantèlement des autres ? "Impossible de déménager des gens installés depuis plus de trente ans avec des enfants !" Comme le groupe s'apprête à rencontrer le président de l'Autorité palestienne : "Saluez-le ! On est en contact permanent !" Mahmoud Abbas confirme et tient à un accord en 2008. Gaza ? "En cas d'accord avec Israël, on y organisera un référendum." Mais les installations juives doivent être démantelées, le droit au retour des réfugiés reste inscrit dans la feuille de route... Il est des compromis inimaginables.

Les parlementaires sont bouleversés, troublés par la concordance des discours sur le processus de paix et la menace iranienne, mais effarés par certains blocages. "Sur le conflit palestinien se sont superposé le djihad et l'arme des attentats-suicides et des martyres. Tout est faussé !", résume la députée espagnole Beatriz Rodriguez-Salmones. La plupart restent persuadés qu'il n'y aura jamais de moment plus favorable à la paix, déterminés à s'impliquer, dans leurs Parlements respectifs, et dans Medbridge qui devrait les réunir à nouveau.

Annick Cojean

Article paru dans l'édition du 21.02.08

[www.lemonde.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
21 février 2008, 11:52
Le wahhabisme, négation de l’islam

Mezri Haddad philosophe, membre du Daedalos Institute of Geopolitics (Chypre).

QUOTIDIEN : jeudi 21 février 2008

D’un point de vue politique, le discours présidentiel à Riyad est justifiable. D’un point de vue éthique, la foi de Sarkozy dans le changement au sein de ce royaume est louable. Mais croire à une contribution saoudienne dans l’élaboration d’une «politique de civilisation» à même de provoquer une sécularisation au cœur de l’islam est une pure et funeste chimère. Et pour cause : on ne peut pas être et avoir été. L’Arabie Saoudite a été le principal financier des mouvements intégristes dans le monde. Il est vrai qu’elle était en parfaite osmose avec les intérêts géopolitiques américains. C’est le traumatisme du 11 septembre 2001 qui a infirmé ces choix stratégiques que les Etats-Unis ont faits bien avant l’invasion de l’Afghanistan par l’URSS. Sous l’influence pernicieuse de la monarchie saoudienne, les dirigeants américains ont, en effet, longtemps soutenu l’islamisme comme alternative aux régimes arabes postcoloniaux. La prise de pouvoir par les talibans en Afghanistan était une victoire de l’idéologie saoudienne, un succès de la logistique pakistanaise et la consécration de la stratégie américaine. L’attaque du 11 Septembre a changé toute la donne. Mais, par on ne sait quelle ruse de l’Histoire, plutôt que d’amorcer le déclin de cette monarchie qui incarne ce qu’il y a de plus rétrograde dans l’islam, ces événements ont donné une nouvelle vie au régime saoudien. Les wahhabites doivent au fond remercier leur compatriote et disciple Ben Laden. Pour la simple raison que, comparé à la barbarie et au nihilisme d’Al-Qaeda, la théocratie wahhabite fait maintenant figure de régime modéré. Or toutes les tendances de l’islamisme ont les mêmes maîtres à penser, les mêmes dogmes (l’islam est religion et politique, le jihad et le martyr sont un devoir religieux…) et les mêmes objectifs : éradiquer les apostats (musulmans), combattre les mécréants (juifs et chrétiens), établir une théocratie coranique. «La politique de civilisation, c’est ce que font tous ceux qui œuvrent pour un islam ouvert, un islam qui se souvient des siècles où il était le symbole de l’ouverture et de la tolérance… C’est ce que fait l’Arabie Saoudite», disait Nicolas Sarkozy dans son discours de Riyad.

Bien au contraire, dès sa naissance en 1932, la monarchie saoudienne a effacé quatorze siècles de civilisation, a cultivé et propagé partout dans le monde un islam sectaire, sclérosé, intolérant et des plus fanatiques. C’est une erreur de prendre les dernières réformettes de cette monarchie pour des réformes stratégiques et structurelles. Ces mesures cosmétiques ont été entreprises sous la panique à l’idée d’être le maillon faible du «Grand Moyen-Orient démocratique» décrété par Bush. C’était un analgésique pour calmer le Léviathan très en colère après les attentats du 11 Septembre - dont le cerveau était Ben Laden, un proche de l’oligarchie régnante, et la majorité des terroristes, des sujets saoudiens. Cette oligarchie n’est d’ailleurs pas dupe. A la moindre réforme profonde - comme celle, primordiale, des manuels scolaires -, c’est tout l’édifice saoudien qui menacera de s’écrouler à moyen terme. Il est par conséquent évident que la France, qui souhaite moderniser l’islam, ne peut pas établir une alliance «civilisationnelle» avec une Arabie wahhabite qui n’a jamais abandonné le rêve insensé d’islamiser la modernité. C’est une illusion de considérer ce pays comme représentatif des musulmans dans le monde, encore moins comme figure emblématique de l’islam sunnite. Certes, le pays abrite les lieux saints de l’islam, mais il n’incarne pas pour autant l’islam quiétiste et spirituel pratiqué par la majorité des musulmans. La religion de l’Arabie Saoudite n’est guère l’islam mais le wahhabisme, une secte hérétique déguisée en orthodoxie islamique, dont Ben Laden est le pur produit. Né d’une rencontre, en 1745, entre un prédicateur inculte et illuminé - Muhammad ibn Abd al-Wahhab (1703-1792) - et un chef de guerre impitoyable et ambitieux - Muhammad ibn Saoud (1705-1765) -, le wahhabisme a été d’emblée combattu par les plus grandes autorités islamiques du Caire, d’Istanbul, de Damas, de Bagdad, de Tunis et de Fès.

La réforme (religieuse) du wahhabisme est impossible et même absurde. Penser le contraire, c’est admettre implicitement que le wahhabisme puisse être l’une des expressions de l’islam. Or le wahhabisme, c’est la négation même de l’islam, c’est la nécrose de la civilisation islamique. Ce n’est pas de l’Orient arabe, encore moins de l’Arabie Saoudite, que sortira un islam des Lumières, mais de l’Occident arabe, de ce Maghreb qui a enfanté Ibn Khaldun et Averroès, le dernier philosophe né en terre d’islam.

Il est noble de croire, comme Nicolas Sarkozy, à une possible évolution de l’Arabie Saoudite vers la modernité. Le problème, c’est que l’un des dogmes constitutifs du wahhabisme est précisément le rejet du changement, considéré comme une injonction coranique. Il faut donc abolir le wahhabisme. Sans lui, l’Arabie Saoudite pourrait évoluer et se réformer. Mais sans le wahhabisme, y aurait-il encore une Arabie Saoudite ?

[www.liberation.fr]
© Libération
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
21 février 2008, 23:49
Mercredi 20 février 2008

18:09 Lors du débat sur les préparatifs d'Israël en vue d'un séisme de grande ampleur, le député Shlomo Benizri (Shass), a estimé que les tremblements de terre survenaient parce que le gouvernement donnait une légitimité aux homosexuels... (Guysen.International.News)

« Nous sommes très flattés que le député Benizri nous accorde des forces magiques », a déclaré Mike Hammel, le président de l'Association israélienne des homosexuels et des lesbiennes.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
24 février 2008, 03:55
Nicolas Sarkozy vexé par un homme au Salon de l'AgricultureLe 23/02/2008 à 20h14 GMT


PARIS (Reuters) - Repoussé par un homme qui ne voulait pas lui serrer la main, Nicolas Sarkozy a laissé fuser les insultes samedi matin lors de sa visite du Salon de l'agriculture, une scène diffusée par journal Le Parisien sur son site internet.

Dans la cohue, le président progresse en serrant des mains, entouré de gardes du corps. Arrivé au niveau d'un homme en veste beige, il s'énerve quand ce dernier se retourne brusquement.

"Ah non, me touche pas, tu me salis", lui lance le visiteur en colère. "Casse-toi, casse-toi alors! Pauvre con va...", répond le président français sans se départir de son sourire avant de poursuivre sa route dans les allées du Salon.

Ce face-à-face tendu rappelle celui qui avait opposé Nicolas Sarkozy aux pêcheurs du Guilvinec début novembre, quelques jours après l'annonce de l'augmentation de son traitement de chef d'État.
Il avait été pris à partie par des marins d'une plate-forme et avait sommé l'un d'entre eux qui venait le traiter de "pauvre con" de descendre s'expliquer.

"Descends un peu le dire! Si tu crois que c'est en insultant que tu vas régler le problème des pêcheurs", avait-il lancé devant les caméras.
Pendant la suite de sa visite, il avait expliqué qu'il refusait les insultes à l'égard des pêcheurs et à son encontre et qu'il n'acceptait le dialogue qu'entre "gens corrects".

Laure Bretton


C'est Marocvoice qui a sorti le scoop (la preuve ?), via Le Parisien (journal de Lagardère, d'ailleurs). Salon de l'Agriculture, Sarkozy est un peu chahuté. Il serre les mains un peu partout, et veut serrer celle d'un homme que la postérité retiendra comme l'homme-insulté-par-le-président :

L'homme : "Ah non! Touche moi pas..."

Sarkozy : "Casse-toi alors..."

L'homme : "Tu me salis."

Sarkozy : "Casse-toi alors pauvre con!"

Voilà, tout est dit.

Réactions d'internautes :

Quand je dis : qui plus est à un français, je veux dire qu'il me semble que cela dénote une perte du contrôle du président : il aurait fait ça en Iran ou dans un pays lointain, l'opinion n'aurait pas dit grand chose... mais à l'archétype du vieux qui vote Sarkozy, cela dénote tout de même d'un problème mental... Alors ne montez pas sur vos grands chevaux, je ne suis ni xénophobe ni raciste ni quoi que ce soit. Merci!

Comment un Président peut-il, sous le feu de mille caméras, alors qu'il est en représentation officielle au Salon de l'Agriculture (son électorat, quoi), prononcer de telles paroles, qui plus est à un français ?

Ce me semble complètement irréel et carrément dingue qu'on puisse observer de telles scènes en 2008, alors que la France reste une des 6 grandes puissances mondiales!

À quel point en est-on arrivé ?

C'est... étonnant, et on se demande si Lagardère n'avait pas raison de censurer les titres du Courrier International de cette semaine-ci...

Sarkozy, ce grand malade...

Sarkozy, ce fou!

Le lien de la vidéo : Premiers pas au Salon :

[www.kewego.fr]
Pièces jointes:
cassetoi.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
24 février 2008, 07:07
L'historien Ariel Toaff, de l'Université Bar Ilan, se rétracte à propos de sa théorie de meurtre rituel d'enfant chrétien, soi-disant commis en 1475 dans la ville italienne de Trente.

La première édition de son livre en 2007 avait entraîné une violente controverse qui l'avait conduit à quitter Israël pour l'Italie.

"Les Juifs n'ont pas été impliqués dans le meurtre rituel, qui était un stéréotype entièrement chrétien.", écrit-il dans la seconde édition de son livre dont il a accepté de changer l'illustration de couverture , mais pas le titre provocateur : “Pasque di Sangue” ("Pâque de Sang").

Bar-Ilan scholar recants controversial blood libel theory

By Adi Schwartz

A Jewish historian over the weekend published an edited version of his book on the killing of a Christian child in the Italian city of Trento in 1475, denying that the Jews implicated in the murder were in any way involved. In the new edition, Bar-Ilan University Professor Ariel Toaff writes: “Jews were not involved in ritual murder, which was an entirely Christian stereotype.”
“There was no relationship whatsoever between the so called ‘ritual of blood’ and ritual infanticide,” Toaff stated. Toaff caused controversy when he wrote in his 2007 book that he did not rule out the possibility that the murder was carried out by Jews who intended to use the youth’s blood in a Passover ritual.
The remark sparked a huge backlash from Israeli and foreign historians who said his claims were unsubstantiated and demanded its immediate removal. In response, Toaff agreed to pull the book from stores and write a new introduction that clarified his opinion that the Jews of Trento were not involved in the murder.
In his new introduction, the scholar wrote that some on the fringe of Jewish Ashkenazi society often used dried blood in religious ceremonies. “In the rural reality of medieval Germany, Jewish households, like Christian ones, often had a vial of blood, recommended for use in diverse eventualities,” Toaff wrote. According to Toaff, blood was often donated by living people, sometimes children, who were paid for their services. It was then dried
and used in ointments and powders.
In the wake of the uproar surrounding the book’s publication, Toaff left Israel and is currently residing in Italy. His father, a revered and well-known Italian rabbi, presided over Rome’s Jewish community after World War I. Before he published his second edition, Toaff rejected a request to change the book’s provocative title “Pasque di Sangue” (Passover of Blood ), but agreed to change the illustration on the cover.

[www.haaretz.com]
Last update - 13:57 24/02/2008
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
24 février 2008, 07:30
Un néo-nazi polonais se transforme en ultra-orthodoxe après avoir pris connaissance de ses racines juives.

Pinchas Zlotosvsky, 32 ans, était un skinhead plein de mépris pour les Juifs avant que sa mère lui apprenne que ses parents, d'origine juive, l'avaient envoyée, toute jeune, dans un monastère pour qu'elle survive à la Shoah, durant laquelle toute sa famille a été massacrée.

Neo-Nazi turns ultra-Orthodox after discovering Jewish roots

By Anshel Pfeffer


Before learning about his Jewish roots, Pinchads Zlotosvsky from Poland was a skinhead with uncompromising contempt for Jews, the 32-year-old ultra-Orthodox Jew told Haaretz last weekend during Shavei Israel's annual conference for hidden Jews in Lodz.

The transition in Zlotosvsky's life occurred after his mother told him she comes from a Jewish family. Her parents, she said, sent her to a monastery when she was a small child so that she would survive the Holocaust.

All her relatives were murdered, as far as Pinchas Zlotosvsky knows.

"I realized I was Jewish according to Judaism. I couldn't look myself in the mirror for a whole week after I found out," he recalls. After he recovered from the shock, he spent the past few years rediscovering his Jewish roots. He has also become very active with the Jewish community.

Zlotosvsky's return to Judaism is something he has in common with many of the participants in the conference, which saw the restoration of the Rabbinic Association of Poland for the first time since the 1930s. Attending the ceremony was Israel's chief rabbi, Yona Metzger, and, of course, Poland's chief rabbi, Michael Schudrich.

Official data mentions some 3 million Jews living in Poland prior to World War II. Today, official figures list only 4,000 Jews as residing in Poland, but the actual figures at least in terms of Halakha, or Jewish law are probably higher. The discrepancy stems from the fact that thousands of Jews who survived the war preferred not to reveal their Jewish identity for fear of anti-Semitic persecution by the local population.

Indeed, there were pogroms against Jews after the war, with the authorities turning a blind eye to lynching and murders, and even, at times, taking part in the killing of people who had managed to survive the Nazi purge.

Another significant portion of the hidden Jewish population consists of people like Pinchas Zlotosvsky's mother, whose parents sent them to monasteries to be raised as Christians. Despite efforts by international Jewish organizations to locate these people, not all have been found, and many are assumed to have remained Christian.

One reason for this is that many adoptive families were believed to have been reluctant to tell the children the truth about their origins.

Anti-Semitism is still prevalent in Poland, according to the rabbis who came to the conference from Lodz, Warsaw, Krakow, Wroclaw and other parts of the country. But in parallel, they spoke of a newfound acceptance of Jews especially in major cities. This atmosphere of openness, the rabbis said, encourages some hidden Jews to retrace their roots.

Freund's organization is better known for its controversial efforts to locate the people who might have come from the 10 tribes of Israel in remote corners of the world. The conference, which was also attended by 150 Polish men and women aged 18-40, is part of the organization's efforts to locate hidden Jews in Poland.

Michael Freund, Chairman of Shavei Israel, said, "Jewish life in Poland has been growing stronger in recent years, as many young Poles have begun to discover their family's Jewish ancestry, which was often hidden out of fear of persecution by the Nazis and the Communists."

[www.haaretz.com]
Last update - 08:42 24/02/2008
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
25 février 2008, 14:14
La Fracture identitaire

Par Yvan Rioufol (*)

25/02/08 - - : France

L’auteur du « Bloc-notes » du Figaro, dont les chroniques se caractérisent par un refus constant du conformisme ambiant et par une liberté de ton qui est tout en son honneur, nous offre un livre lucide, courageux, certains dirons téméraire, et que d’aucuns n’hésiteront pas à qualifier de provocant voire scandaleux.

Parce qu’il met carrément les pieds dans le plat, Ivan Rioufol, il faut le reconnaître, appuie le doigt là où cela fait mal : oui, notre pays est menacé d’implosion. Ce qu’il appelle fort justement la « fracture identitaire » est à nos portes. Notre pays, à l’histoire millénaire, héritée de Jérusalem, d’Athènes et de Rome et qui a bâti une civilisation et un art de vivre au cours de son histoire, risque, s’y on n’y prend garde, de se transformer en quelques années en une insipide et invivable addition de communautés autarciques repliées sur elles mêmes et claquemurées dans des isolats. Avec, en toile de fond un séparatisme ethnique dont l’islam politique, qui n’a rien à voir avec l’islam républicain, est le parangon. Les Français de souche sont devenus désormais, dans la vision de certains, des Souchiens, jeu de mots douteux et révélateur. Où va la France, dans ces conditions ? Seule une adhésion sans faille de l’ensemble des habitants de ce pays, à l’esprit des Lumières, nous dit l’auteur, permettra à la France de rester ouverte et solidaire, fidèle à la devise qui orne le fronton de nos bâtiments publics : « Liberté, Egalité, Fraternité ».

En 1882, Renan écrivait : « Avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple ». Qu’en est-il de nos jours ? Rioufol avoue son inquiétude : « Tout est déjà en place pour que cette future nation-macédoine se disloque, demain, sous l’effet d’un possible choc des cultures ». Et le métissage, tant porté aux nues, quand il pousse à la surenchère des identités et à la victimisation des minorités, peut conduire, affirme-t-il, à un véritable détissage.

« Les Français, comme tous les peuples du monde, sont attachés à la préservation de leur mode de vie, de leurs valeurs, de leur patrie. Ils sont liés à leur pays plus que ne le sont nombre de leurs mandataires qui laissent filer son histoire, sa langue, sa culture, ses traditions, sa fierté… » En quelques lignes tout est dit.

Prenez l’école, par exemple. C’est ahurissant ce qu’il s’y passe ! Le niveau éducatif atteint un étiage si bas que 300 000 enfants sortent chaque année du primaire en échec lourd ou en grande difficulté. Dans le cadre des journées d’appel pour la préparation à la Défense, on a pu constater en 2006 que 20% des jeunes de 17 ans ne maîtrisaient pas la lecture. Comment s’étonner dès lors qu’un interrogateur au CAPES de lettres déclare : « Il y a désormais parmi les enseignants des gens qui ne savent rien ! ». Et, pour couronner le tout, tous les prétextes sont bons, pour de nombreux manuels, pour fustiger l’Amérique. « Ainsi, dit Rioufol, s’installent en douce le honte de soi et la haine de l’Occident. Quant au rapport Obin, il n’a jamais été publié par l’Education nationale tandis que les médias se sont montrés plutôt discrets sur son contenu.

Au travers de tous les procès en déshonneur intentés ici et là à la France, un nouveau racisme antifrançais fait son apparition. Au chanteur Monsieur R qui proclame : « La France est une garce, n’oublie pas de la baiser jusqu’à l’épuiser comme une salope il faut la traiter, mec, moi je pisse sur Napoléon et le général de Gaulle », répond comme en écho le groupe Tribu K : « La France, on ne l’aime pas…L’homme blanc est un détail pour nous ».

A propos du dialogue Euro-Méditerranée, Ivan Rioufol est rien moins que sceptique et il fustige le rapport commandé en 2003 par Romano Prodi et cosigné, notamment, par Jean Daniel, Malek Chebel et…Tariq Ramadan. Pour lui, et il rejoint sur ce point l’historienne Bat Ye’or, l’Eurabia, à petits pas, pointe le bout de son nez.

Autre sujet préoccupant : l’immigration. « A cause de l’idéologie antiraciste qui interdit tout jugement autre que positif sur les minorités, l’immigration est restée durant des lustres ce tabou suprême sur lequel le Front national s’est engraissé au fil des ans en n’en comptabilisant que les ratés ». Le démographe Jacques Dupâquier, membre de l’Institut de France tire la sonnette d’alarme : « Le grand scandale, c’est que les chiffres réels de l’immigration ont toujours été masqués à l’opinion publique ».

Une question brûlante, également : le droit du sol, le jus soli, avec l’octroi quasi automatique de la nationalité. Sang régressé en revenant au droit du sang, le jus sanguini, Rioufol propose d’instaurer un jus voluntatis, droit de la volonté.

« La France connaîtra-t-elle un jour le sort d’Israël qui a édifié une barrière pour se protéger de l’islam extrémiste ? » se demande l’auteur.

Si l’islam politique, avec sa dérive djihadiste et terroriste, est souvent montré du doigt dans cet essai, l’auteur prend soin de préciser que la majorité des Français musulmans sont des citoyens indifférenciés des autres. Il faut d’ailleurs, ajoute-t-il soutenir les Musulmans modérés dont les voix sont aujourd’hui inaudibles et notamment les initiateurs du « Nouvel islam » comme Mohamed Pascal Hilout ou Abdennour Bidar.

Alors, face à la tentation de la capitulation et du séparatisme, que faire ? Comment éviter qu’une société post-nationale s’édifie sur un trou de mémoire ? Ivan Rioufol, qui s’élève contre les repentances à répétition, appelle le Victor Hugo des Châtiments à la rescousse : « Réveillez-vous, assez de honte…Redevenez la grande France ! ».

Et ce sursaut, dit-il, existe dans toutes les couches de la population y compris chez les nouveaux arrivants qui viennent dans notre pays non pas pour y être absorbés par des groupuscules communautaristes, mais bien pour y devenir, eux et leurs enfants, des Français à part entière et participer à l’édification de la France de demain dans la continuation de celle d’hier. Pour étayer ses propos, Rioufol n’hésite pas à appeler à la barre ces témoins essentiels que sont l’iranienne Chahdott Djavann, la syro-américaine Wafa Sultan, la germano-turque Necla Kelek, l’hollando-somalienne Ayaan Hirsi Ali et la sulfureuse Oriana Falacci.

Un livre explosif et passionnant.

Jean-Pierre Allali

[www.crif.org]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
26 février 2008, 06:43
Les Chrétiens pourchassés en Algérie


Arezki Aït-Larbi, Alger
25/02/2008 | Mise à jour : 23:26 |


Les évêques d'Algérie ont été reçus par le ministre des Affaires religieuses pour exprimer leur inquiétude face aux expulsions, radiations et condamnations qui ciblent l'Église depuis l'adoption, en février 2006, de la loi réglementant les cultes non musulmans.

Les difficultés ont débuté il y a deux ans, avec l'expulsion d'une vingtaine d'étudiants africains qui avaient participé à une rencontre biblique à Tizi-Ouzou, en Kabylie. Au même moment, les autorités invitaient les religieux chrétiens à quitter le pays «pour raison de sécurité». En novembre 2007, des volontaires brésiliens sollicités par Mgr Teissier, l'archevêque d'Alger, pour s'occuper des étudiants lusophones ont été expulsés à leur tour. Un mois plus tard, un directeur d'école et un instituteur, Algériens de confession chrétienne, ont été radiés de l'Éducation nationale pour «prosélytisme». L'association des parents d'élèves qui soutient les deux enseignants rappelle que l'école a eu 100 % de réussite à l'examen d'entrée en sixième pour les deux dernières années.

Depuis quatre mois, les visas sollicités par l'archevêché sont délivrés au compte-gouttes, souvent en retard. «Ceci compromet gravement notre avenir, car sans la visite des responsables religieux des congrégations, nous n'obtiendrons aucun soutien pour les religieux travaillant en Algérie et aucun renouvellement», déplore Mgr Teissier.

Un nouveau pas est franchi le 30 janvier 2008 lorsque le père Pierre Wallez, du diocèse d'Oran, est condamné à un an de prison avec sursis par le tribunal de Maghnia (près la frontière marocaine). On lui reproche d'avoir prié, un mois plus tôt, avec des migrants clandestins camerounais «hors d'un lieu de culte», un «délit» puni par la loi fixant les «conditions et règles d'exercice des cultes autres que musulmans». Le médecin qui accompagnait le prêtre, accusé de les avoir soignés avec des médicaments d'un centre de santé publique, a été condamné à deux ans de prison ferme. «Les médicaments ont toujours été payés par l'Église catholique à titre d'aide humanitaire», atteste pourtant l'évêque d'Oran.

Officiellement, cette loi adoptée en février 2006 visait à garantir «la tolérance et le respect entre les différentes religions». Dans les faits, elle prévoit une peine de 5 ans de prison et une amende de 1 million de dinars (10 000 euros), contre toute personne qui «incite ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion». Révélateur d'une volonté répressive, les représentants des ministères de la Défense et de l'Intérieur, et ceux de la police et de la gendarmerie, sont majoritaires dans la commission chargée de «veiller au respect du libre exercice des cultes».

«Âmes vendues à Jésus»

Pour les autorités, ce «bouclier spirituel» vise à protéger la société contre «les menées subversives d'évangélistes américains, prélude à une intervention militaire». Des Rambo du goupillon dont la présence est montée en épingle par la presse national-islamiste, mais que personne n'a jamais rencontrés. En deux mois, une trentaine d'«enquêtes» et autres dossiers ont été consacrés aux «agressions contre l'islam dans sa propre maison». Ce «prosélytisme», dit-on, aurait déjà converti des dizaines de milliers de jeunes désœuvrés, qui auraient «vendu leur âme à Jésus» pour 5 000 euros ou un visa pour l'étranger ! Même si le nombre total de chrétiens reste symbolique et limité à quelques milliers de fidèles. Le père Gilles Nicolas, du diocèse d'Alger, ne cache pas son inquiétude : «Cette levée de boucliers n'a rien à voir avec le prosélytisme. C'est une lutte idéologique de ceux qui veulent épurer le pays de toute présence non musulmane.»

Sur fond de luttes d'influence dans le sérail, cette «croisade» tend à faire diversion, alors que les partisans du président Bouteflika s'agitent pour imposer une révision à la hussarde de la Constitution, et permettre au chef de l'État de briguer un troisième mandat. Dans la propagande officielle, on stigmatise la Kabylie, de tout temps hostile au régime, comme un «maillon faible en voie d'évangélisation». Depuis quelques mois, des imams salafistes sont injectés dans la région par le ministère des Affaires religieuses ; leur mission : lutter contre la «menace chrétienne», les «traditions païennes» du cru, et secouer l'islam ancestral des montagnards jugé trop tiède.

Hier, les évêques d'Algérie ont été reçus par le ministre des Affaires religieuses. Ils lui ont remis une lettre exprimant leur inquiétude face aux tracasseries qui ciblent l'Église. Ils ont aussi réaffirmé leur solidarité avec le pasteur protestant Hugh Johnson, menacé d'expulsion. «Après avoir reçu toutes les questions que nous avons exposées, le ministre nous a assuré que l'État n'avait pas la volonté de gêner l'Église catholique», affirme Mgr Teissier.


L'église Notre Dame d'Afrique à Alger. Crédits photo : LUDOVIC/REA

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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
27 février 2008, 12:37
Le classement des meilleures universités mondiales

Le dernier classement réalisé par l'université Jiao Tong de Shanghaï, vient d'être publié.

Dans le domaine des sciences de la nature et des mathématiques, parmi les 107 premières universités, les Etats-Unis en placent 59.

La France en place 5 :

25ème : Université Paris 11
31ème : Université Paris 06
39ème : Ecole Normale Superieure
52ème à 76ème : Université Strasbourg 1 et Université Paris 07

Israël en place 3 :

52ème à 76ème : Hebrew University of Jerusalem et Technion Institute of Technology
77ème à 107ème : Weizmann Institute of Sciences

Tout les classements : [ed.sjtu.edu.cn]

Les établissements français à la traîne dans le classement des meilleures universités mondiales

LEMONDE.FR | 27.02.08

Souvent critiqué, mais abondamment commenté, le palmarès annuel des 500 meilleures universités mondiales, réalisé par l'université Jiao Tong de Shanghaï, vient d'être publié. Comme en 2007, l'établissement propose un classement par grandes disciplines (médecine, mathématiques, informatique, sciences sociales et sciences de la terre), établi à partir des performances de chaque université en matière de recherche.

Pour les universités françaises, le résultat est décevant. A l'exception de l'Ecole normale supérieure, les grandes écoles, considérées comme le fleuron de l'enseignement supérieur français, sont absentes du classement, leur enseignement étant essentiellement tourné vers la formation professionnelle et non vers la recherche. En sciences médicales, Paris-V-Descartes se classe 76e, ex aequo avec une trentaine d'autres. Pour les sciences de la vie, Paris-VI figure au même rang. Plus inquiétant, dans la catégorie des sciences sociales, aucune université française n'est représentée dans le palmarès.

Les établissements français s'en sortent mieux dans le domaine des mathématiques et des sciences naturelles, où cinq d'entre eux se classent dans le Top 100. L'université Paris-XI se classe 25e, suivie par Paris-VI (Pierre-et-Marie-Curie, 31e), l'Ecole normale supérieure (39e), Strasbourg-I (Louis-Pasteur) et Paris-VII (Paris-Diderot) (52e, ex aequo avec une trentaine d'universités).

AVANTAGE AUX GROSSES UNIVERSITÉS

L'édition 2008 du palmarès de Shanghaï confirme la suprématie des universités nord-américaines, notamment Harvard, Berkeley, le MIT, ou encore Stanford, qui monopolisent les premières places dans les cinq classements, toutes disciplines confondues. Au total, les universités américaines sont nommées 308 fois au palmarès, contre seulement neuf occurrences pour les universités françaises. Si l'Europe se trouve globalement à la traîne, quelques établissements se détachent, en particulier Oxford et Cambridge, qui figurent dans le Top 10 de plusieurs disciplines. Quant aux disciplines technologiques et informatiques, elles sont dominées par les universités asiatiques.

Les critères utilisés pour établir ce palmarès sont régulièrement critiqués. Ainsi, l'université Jiao Tong retient le nombre d'anciens élèves ou d'enseignants ayant reçu des prix Nobel et des médailles Fields, mais pas l'insertion professionnelle des étudiants sortants. De même, l'équipe de l'université de Shanghaï recense le nombre de travaux de recherche publiés dans des revues scientifiques – en langue anglaise –, favorisant, à travers ce critère quantitatif, les gros établissements, au détriment d'instituts plus petits et plus spécialisés.

Dans une interview au Figaro, parue mercredi 27 février, la ministre de l'enseignement supérieur français, Valérie Pécresse, plaide en faveur d'un classement européen des universités, qui sera "l'un des chantiers de la présidence française" à l'UE qui débute en juillet. Le "problème" du classement de Shanghaï est justement "son existence", estime la ministre. "On ne peut pas l'ignorer, les étudiants du monde entier s'y réfèrent." Jugeant "le système dual grandes écoles-universités" comme une "faiblesse" de l'enseignement supérieur français, Mme Pécresse estime cependant nécessaire de "préserver certaines spécificités du système français, notamment ses faibles frais d'inscription".

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