Tout petit rectificatif

Alors emméne nous ....!

Merci pour Hugues Aufray - Santiano et aussi Aznavour. Deux belles chansons qui font rêver.

On s’égare du sujet initial.

Cette aventure a été pour moi, un défit que je ne soupçonnais pas au depart, car je ne connaissais rien en construction navale.je suis comme on dit un bon bricoleur qui aime travailler le bois .Avec documentations et persévérance j'y suis arrivé au bout du rêve de mon fils.

Shalom

Shalom, je repete ici encore mon admiration pour le courage que tu as eu d'entreprendre et de russir un si grand travail.

Je reprends ici la suite des anecdotes de la petite histoire de l'ORT.
.
C’était au milieu du printemps 1951, à l’ORT de Bab Saadoun, quand elle était encore l’école des garçons.

Un de nos amis était tombé malade et s’était absenté pendant une semaine. Il avait écrit un billet d’excuse, ses parents étaient analphabètes, et le présenta à son retour à Mlle Gozlan, la Secrétaire.
Quand elle le lut, un fou rire remplaça son incompréhension. Le billet disait ceci :

« Mlle, je vous prie d’excuser notre fils, qu'il n’est pas venu en classe une semaine complète, parce qu’il a attrapé un Vent dans sa poitrine et il lui est arrivé une Bandada »

Bien sur que les autres membres de la direction n’avaient rien compris non plus.

Alors on appela un autre garçon de la Hara pour leur traduire ce charabia, pris directement du Judéo-arabe, disant

« Oueldi Khda Reih’ fi Sadrou , oujatlou Bandada. », c a d qu’il s’était refroidi (de la poitrine) et qu’il a eu une pneumonie. »

Depuis ce garçon était connu, pour celui qui avait « attrapé un vent » ou simplement « Bandada »

Il se peut même que cette anecdote ait survécu chez les générations futures.

Shalom, cette aventure est incroyable!

C'est magnifique!! le bateau est superbe!!

Un bon bricoleur tu dis? un sacrément bon!

Regarde ce que tu dois à l'ORT (en dehors du bateau) tous ces dimanches passés avec ton fils, entre hommes, à lui montrer, à lui apprendre...et la fierté de la réussite...et le plaisir de la navigation pour ta famille et pour toi...et la joie du "mousse"

Là, Shalom, franchement tu m'as épatée...et en plus j'aime tes aquarelles.

Merci pour tes compliments, Girelle!

Il faut rendre à Simone, ce qui appartient à Simone (ma femme). Les aquarelles sont d'elle. Merci encore pour elle.

Shalom

Merci encore Braham, toi le sais déjà depuis bien longtemps maintenant.

J’ai une histoire un peu semblable qui m’a été raconté par mon fils.

Lorsque que Frank, mon fils allait à la Sorbonne, Faculté de Droit. Un jour pendant un cours de droit à l’amphithéâtre, un étudiant à éternuer brouillement. Apres cet éternuement un « T’yïche » retentit par la majorité des étudiants et un rire du Prof. Me Uzan. Les "baraniuns" n'ont rien compris à toute cette agitation et ces rires.

La majorité des étudiants cette année là étaient de Feujs.

Shalom

Shallom, ils ont tous une FEUJ'YA ce qui ne comprennent pas notre langue.

Bien sur qu'il est magnifique ce bateau.
Et félicitations.

L’école de l’ORT était à quelques centaines de mètres de la route de l’Ariana où se trouvait la station du tram, distance qu’on marchait à pieds.
Dans le temps, il y avait des terrains vagues des 2 cotés de ce chemin.

On pouvait voir, à une certaine période de l’année, une tribu de bédouins qui occupaient ce terrain.
Un jour en allant vers la station, nous vîmes un attroupement aux abords du camp. C’est ainsi que nous avons pu assister à l’accouchement d’un petit chameau.
Ce dont je me rappelle le plus, c’est qu’un des bédouins s’est approché de nous en suppliant ceux qui avaient un parfum quelconque, de s’éloigner. Il disait que c’était très dangereux pour le nouveau né.

Braham a écrit:
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> Ayant été congédié discrètement de la Chorale de
> l’Institut, j’ai tenté ma chance comme Dramaturge
> (pas aussi talentueux que notre ami Breytou).
> J’ai écrit alors une petite pièce sur 2
> personnages de la Méguila de Pourim. Les 2
> cuisiniers qui avaient sauvé le roi Assuérus de
> l’empoisonnent.
>
> La pièce fut dirigée par un vrai metteur en scène
> et jouée (j’y avais un rôle) dans la fameuse Aula,
> à Pourim 55.
>
> Je fréquentais souvent, en dehors du Grillon, un
> cabaret de chansonniers à Genève, ce qui
> m’encouragea à répondre positivement à la demande
> d’écrire quelques parodies sur les profs pour la
> fête de la fin d’année , 55.
> Au retour des vacances, je fus convoqué par le
> directeur technique, M. Dupraz, que je n’ai jamais
> sympathisé. A ses cotés se trouvait la fille du
> Dr. Syngalovsky (chef suprême de l’ORT), qui nous
> enseignait le français.
> Il faut dire que j’avais un peu secoué ces deux
> personnages. Je reçus une bonne leçon sur la
> liberté d’expression en Helvétie, et je vous
> assure que je l’ai payé un peu cher durant les 2
> années qui suivirent.
>
> A propos, ce Dupraz a perdu son poste après avoir
> été jugé coupable d’avoir décuplé les dépenses
> pour achat de timbres, je crois.
>
> Il était la terreur des autres profs, surtout ceux
> qu’il a lui même engagés.
>
> Plus tard il fut nommé, je crois, conseiller
> pédagogique auprès du gouvernement tunisien
>
> Dans la photo, on voit à droite, Dupraz
> (qu’on appelait Dudu et deux de ses marionnettes).
>
>
> Juste au milieu de la rangée des élèves accroupis,
> vous reconnaîtrez Frati Nathan (Shalom était un de
> ses élèves à Tunis) et à sa droite, en lunette de
> soleil, votre serviteur .
> .


bonjour,

je fais une recherche sur la famille de mon pére

FRATI a Sousse

avec le livret de famille je n'ai pas nathan frati si vous pouvez me donner des infos merci.

je peux si vous voulez par MP vous donnez des informations noms et date de naissance de ma grand mere etc...

si vous avez la moindre information n'hesitez pas

merci.

Le Frati qui vient de poster, c'est David ?
L'ancien Boss du Garage des Grottes à Genève ?