Tout petit rectificatif

Excusez l'erreur, c'est Maccota.

Cet évènement a existé.

Shalom

bien sûr, Il fallait lire: Les Maccota ont étés....

Albert, j'ai une très bonne mémoire, mais je n'ai pas ton art de raconter des histoires peut être vécus, avac tant de virtuosités.

Shalom

Hammamet le 6/08/2008.

LE GRAND RATE.




Lorsque son papa Gilbert, lui annonça, après ces deux échecs au bac, qu’il l’allait l’inscrire à l’ORT, Jean-Jean s’est cru mourir. Il savait ce que cela voulait dire l’ORT.
Un ramassis de voyous, toute la racaille de Tunis, les ratés de la Capitale, tous ceux ce que l’école publique a rejeté. Bref que de la lie.

Telle était son opinion.

Son papa un homme à poigne en avait donc décidé ainsi. Son avant dernier fils apprendra un métier. Jean-Jean n’avait pas le choix, c’était soit obéir soit commencer à chercher un travail.
Le père Boccara avait un caractère qui n’autorisait aucune contestation.

La rentrée arrive, et notre Jean-Jean triste à mourir fait son entrée chez les ‘ratés’.
Ni la forge, ni l’électricité encore moins la mécanique, il choisit le dessin industriel.
Une matière qui n’encrasse pas les doigts.
Il réussit avec brio sa première année. Idem pour la seconde.
La troisième le voit encore premier de sa classe partout.

On lui propose le concours de Genève. Ce dernier est connu pour être pire qu’un combat de gladiateurs. Six élèves seulement sur 1000 élèves sont pris en charge pour le grand départ pour la Suisse, là où réside Monsieur Trucs et Astuces. Cet ancien grand Ami à la langue pendue.

Jean-Jean réussit avec brio ce concours.
Il fera parti du fourgon.
6 ans plus tard, il sort ingénieur de l’ORT.
8 ans plus tard, il devient citoyen suisse.
Il se marrie avec une suisse.
Bref, un très bel exemple de réussite qui fait de lui le frère, sur les cinq que compte la famille, celui qui a le mieux réussi de tous ses frères et sœurs.

Tous grands diplômés des grandes écoles françaises en Tunisie.

L' histoire est belle, mais avec un peu d'exagération.
A la belle époque de l'ORT, il y avait tout juste 400 à 500 élèves maximum toutes classes confondus. Seuls les élèves des 3ème et 4ème années , étaient éligibles pour aller à Geneve.

Je ne me souviens pas de concours. 3 ou 4 élèves par section étaient désignés par leur prof principal. A moins que cela a changé après.

Shalom

Shallom tu es dans le vrai mais tu sais,les goulettois sont des gens qui éxagérent alors j'exagère un peu pour remplir l'ambiance. )

Mais l'anecdote est réèlle.

Tu vois comme avec un peu de hlou on peut remuer un barmil.
Comme le dit Henri.

Breitou

Si ton Jean-Jean a rate 2 fois le bac, il devait avoir au moins 19 ans.

A cette epoque, l'ORT recevait-elle en 1ere annee des eleves aussi ages avec des gosses, 6 ans plus jeunes ?

Les goulettois cousins germains des Marseillais!!.

Je te crois pour l'histoire,car ce cas là n'est pas isolé du tout.

Il y avait des élèves qui venaient de 3ème. de l'alliance et étaient affectés directement en 3ème. année et ensuite envoyés à Aniere-Geneve.

Shalom

Braham ta question est juste.

Peut être la seconde tient. Le bac nous l'avions tous, il suffisait de le traverser pour aller à Rades, où s'est produit ce fameux cri.

Zid nakiouli rassi béliqchi qen âândou el cerficat..!'
Cherchez moI encore des poux, il se pourrait qu'il avait le cerTif ou alors, il n'avait Rien que sa couche dans ses mains.
Mene jmaya.

Chnoué Braham tamili lahsseb...?
Enti ou Shallom narefkom shab. Idide fi idide.
Toi et Shallom êtes amis, main dans la main.

Il y a eu de la part du dirlo une faveur. Il a jugé que c'était un cas humain. Celà fait plus de 50 ans déja mais je me rapelle de certains faits. Bien précis.Ses parents étaient prêts à tout pour qu'il suive ses cours.

-SHALLOM juste une petite rectif, ce sont les marseillais qui ont tout copiè de chez nous ahahaah...!

Henri tu n as aucune question à me poser toi???
Chouf ou kolli.

Braham notre vétéran, n'a pas connu le "Système Shaïn' qui voulait des résultats immédiats et à touts prix..

C'est à dire accepter des élèves du niveau bac ou brevet pour les injecter dans des classes de trois années directement et ensuite envoyer quand même ceux qui on leur CAP à Geneve.

le cas de l'histoire est peut être un de cela.

Shalom