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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
29 novembre 2009, 05:51
Les secrets d'une réunion peuvent être trahis par un téléphone portable éteint, mais il y a une parade.

Par Ray Archeld - Samedi 28 novembre 2009 à 19:25

Un téléphone mobile éteint, posé sur la table d'une réunion, peut être actionné à distance pour écouter ce qui se dit. Pour rendre "sourds" ces appareils communicants, une parade a été trouvée, selon Alain Hurst, de la Direction des applications militaires du CEA.

"Les téléphones portables actuels disposent quasiment tous d'un mode d'écoute discrète activable par un code informatique que les opérateurs de téléphonie peuvent envoyer sans que le possesseur du portable s'en rende compte", explique ce responsable de la sécurité informatique pour le pôle Défense du CEA.

La plupart des téléphones modernes "sont activables à distance", notamment "pour qu'on puisse mettre les portables sur écoute" sur demande d'un juge, une fonctionnalité qui peut aussi servir à des "utilisateurs malveillants", ajoute-t-il.

Donc, "il y a un risque qu'un téléphone portable soit utilisé comme micro-espion, un peu n'importe où", précise cet expert.

Même éteint, un téléphone mobile "continue à être actif", la connexion n'est pas interrompue. Pour l'éteindre vraiment, il faut enlever la batterie, lors des "réunions sensibles", dit-il.

Pour protéger la confidentialité de réunions, dans le domaine militaire, mais aussi des secrets industriels, il est actuellement recommandé d'enlever les batteries ou de laisser le téléphone à l'extérieur de la salles. Des petits coffres pour ranger les mobiles sont mis à la disposition des participants.

Mais ces mesures de sécurité posent un problème, car un responsable en réunion peut avoir besoin d'être joignable. De plus, enlever sa batterie oblige à refaire ensuite des réglages d'horloge et autres paramètres.

D'où la nécessité de trouver une autre parade au risque d'écoutes. L'objectif est, selon M. Hurst, de faire "quelque chose de facilement utilisable pour que les gens acceptent mieux une contrainte de sécurité".

"Comme on ne peut pas couper le micro et couper l'alimentation d'un téléphone portable facilement, l'idée c'est d'empêcher les ondes sonores d'arriver au micro, en l'enfermant dans une boîte atténuant le son", poursuit-il.

On peut aussi brouiller le son ou le remplacer par autre chose, une musique par exemple, ajoute-t-il, précisant que le CEA a déjà déposé un brevet protégeant son concept qui s'inspire des casques anti-bruits.

Des contacts ont été pris avec un industriel pour développer un prototype.

L'idée est d'associer mousse ou autre matériau d'isolation acoustique, en enfermant le téléphone dans une "pochette pratique", un étui compact muni d'une lampe qui pourrait s'allumer pour signer l'arrivée d'un appel.

Le propriétaire du mobile pourrait alors sortir de la salle de réunions pour prendre son appel.

"Au début on avait imaginé de faire des pochettes empêchant les ondes électromagnétique de passer, donc le téléphone portable d'émettre", mais certains mobiles seraient capables d'enregistrer le message et le réemettre plus tard. "Donc, il vaut mieux couper le son que couper la communication", résume M. Hurst.

Le prix du boîtier assourdissant "ne devrait pas être trop onéreux", proche de celui des "petits coffres" actuels, soit autour de cent euros, selon M. Hurst qui espère que le projet aboutira "le plus rapidement possible".

(G.I.N avec agence)

[www.guysen.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
29 novembre 2009, 11:08
des insu-portables.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
29 novembre 2009, 13:01
Trop tard pour le CEA, le brevet pour le micro du portable bouché à l'harissa en tube, a déjà été déposé par Harissa.com, comme quoi sur harissa.com, on est de naissance, docteurs en physique, et les Einstein de tous poils n'ont qu'à bien se tenir.



Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
30 novembre 2009, 04:14
Le boucher de Ma’aloth « modérisé » toujours en cavale
[Dimanche 22/11/2009 23:08]



En principe, un criminel, et surtout de ceux qui tuent des innocents par haine ou en raison de tout autre déséquilibre mental, est emprisonné à vie ; s’il ne l’est pas, un mandat de recherche est délivré ; s’il peut se trouver dans un autre pays, Interpol s’en mêle; s’il s’enfuit, on le traque et on aggrave sa peine ou ses conditions de détention. On ne se dit certainement pas que, puisqu’il a déjà été en prison, alors peu importe qu’il se soit enfui.

La presse française vient de titrer, pendant près de trois mois, qu’un certain Treiber était toujours en cavale, et elle ne n’a été rassurée et/ou rassurante qu’après sa capture. Cet individu s’était en effet enfuit de prison où l’avait conduit le meurtre de deux femmes à la chloropicrine. En novembre 04, il avait été arrêté alors qu’il n’était que soupçonné de ce crime. Comme il n’a cessé de défendre son innocence, d’autres pistes ont été suivies par les enquêteurs qui ont fini par douter, bien que de fortes présomptions frisant l’évidence pèsent sur lui, après la découverte des corps dans sa propriété et l’utilisation par lui de la carte de retrait de l’une des deux victimes. Evadé depuis le 8 septembre 09 dans un carton d’un atelier alors que son procès était toujours prévu pour avril 2010, il vient seulement d’être repris, le 21 novembre.

Cet exemple n’est cité qu’à titre d’illustration, et il devrait en principe montrer qu’on peut continuer à dormir sur ses deux oreilles. La justice veille. Donc, a fortiori, on peut supposer que si un criminel commanditait un méga-crime, dix fois plus dévastateur que le meurtre précité, et qu’il planifiait le massacre des élèves d’une école en recrutant des tueurs, les entraînant et leur remettant des armes et des explosifs, les autorités ne s’accorderaient aucun répit avant de l’avoir incarcéré et placé sous haute surveillance. Et surtout, la pensée qu’un tel monstre sanguinaire non seulement ne soit pas inquiété, que les médias n’ameutent pas les populations, mais qu’il reçoive les honneurs de toute la politique mondiale, y compris de la classe du pays où le massacre serait commis, ne nous effleurerait certainement pas. Qu’il soit honoré comme un chef d’Etat mais qui, ne l’étant pas, voie converger vers ses poches des sommes fabuleuses ? Impossible, cette supposition est grotesque, révoltante… et pourtant, la réalité dépasse cette élucubration apparente, car c’est le cas du boucher de Ma’aloth.

Ma’aloth, vous vous rappelez? L’affaire aurait-elle été ignorée ou étouffée pour que personne ne s’en souvienne? Le 15 mai 1974, des terroristes armés du Front démocratique pour la libération de la Palestine, l’une des branches de l’Olp, s’étant infiltrés en Israël depuis le Liban, ont fait irruption dans l’appartement d’une jeune famille à Ma’aloth, assassinant le père, la mère et leur enfant de quatre ans. Poursuivant leur course meurtrière, ils ont ensuite pris en otage, dans l’école Nétiv Meir de la ville, cent cinq adolescents et dix enseignants de la ville de Safed, de passage dans la région pour une excursion et des activités éducatives. Ils ont froidement assassiné vingt-deux enfants et trois adultes. Sans leur élimination par la Sayereth Matcal, commando de Tsahal, ils auraient anéanti l’ensemble des Juifs qu’ils séquestraient. Soixante-huit personnes ont été blessées.

Le responsable de ce carnage n’est autre que le « modéré » Mahmoud Abbas, soutenu aujourd’hui hypocritement par le monde libre qui fait des pieds et des mains pour le maintenir « au pouvoir » dans cette autonomie attribuée à son criminel prédécesseur par la corruption et l’iniquité. Un ministre des Affaires étrangères européen se couche à ses pieds pour lui supplier de rester quand il recourt à la ruse orientale bien connue du « retenez-moi sinon… » et ses nerfs le lâchent à l’idée que les yeux d’Israël se dessillent enfin et qu’il refuse une bonne foi pour toutes de « traiter » avec des criminels dont la traduction en justice pourrait changer la face du monde avant qu’il ne la perde. Où sont les mandats d’arrêts et les poursuites lancées contre le boucher de Ma’aloth?

Le seul politicien, ou l’un des rares peut-être, à refuser la supercherie de la fanfaronnade et de la fausse modération, reste le maire de Safed, Ychaï Maïmon, rescapé du massacre de Ma’aloth, alors qu’il était élève en classe de première. L’excursion extrascolaire qui a tourné au cauchemar il y a 35 ans restera définitivement gravée dans sa mémoire. Quand la terrifiante nouvelle annonçant qu’un groupe de terroristes armés écumait la région, il a été décidé qu’ils dormiraient à l’intérieur de l’école. « Il n’est venu à l’idée de personne qu’ils s’en prendraient à une école et qu’ils abattraient froidement vingt-deux élèves », a rapporté en 05 le maire de Safed. Les coups de feu et les cris déchirants de ses camarades résonnent encore dans sa mémoire.

Quand le boucher de Ma’aloth en 2005, a voulu se rendre à Safed, Ychaï a protesté contre cette injustice et déclaré qu’il lui faudrait d’abord lui passer sur le corps. « Le sang de mes amis hurle depuis la terre ». Dix ans plus tôt, déjà, le meurtrier avait tenté d’y entrer, mais il s’était heurté à une manifestation de protestation des habitants.

Heureusement, il reste cinquante justes pour sauver la ville. Mais que dire du monde politique qui a perdu la tête et s’affole ? Les « analystes » sont aux aboies et prévoient comme apocalyptique et catastrophique le retrait que fait miroiter le boucher de Ma’aloth, ce « modéré » – ce que les règles du jeu du « retenez-moi » ne permettrait pas, bien entendu - cela pourrait bien signifier la fin de ce que l’on s’évertue à nommer « l’autorité palestinienne ». Mais quand bien même il ne partirait pas, est-ce définitif? Jusqu’à quel âge va-t-il encore persister, même en ayant la peau dure?

Au contraire, une telle prévision ne pourrait que mettre les dirigeants d’Israël au pied du mur et les forcer à prendre le taureau par les cornes et à affronter leurs responsabilités, à reconnaître sans effroi le but de leur retour et de leur réinstallation sur leur terre de toujours, à ne pas faire dépendre leur sécurité de facteurs étrangers, ce qui, l’histoire l’a démontré, n’a jamais fonctionné, pas plus qu’essayer de faire comprendre aux nations que nous ne sommes pas les agresseurs, comme la double fuite du Sud-Liban et de Gaza qui n’ont fait qu’intensifier la haine anti sioniste et sémite l’a une fois de plus démontré.

Le mensonge et les courbettes ne peuvent résoudre les problèmes, mais au contraire les aggraver en essayant de les camoufler, ce qui revient à la tactique de l’autruche. Nous n’avons pas attendu près de 1942 ans avant de rentrer chez nous pour abandonner le cœur de notre patrie biblique à de vulgaires criminels. C’est au prix de cette compréhension et de cette reconnaissance de la justice qui ne doit pas se contenter de poursuivre les « petits » assassins u et iniquement que tout pourra aller enfin non seulement un peu mieux mais réellement bien. Et, de la même façon qu’on ne peut parvenir à anesthésier le sens critique des Juifs en essayant de leur faire avaler du cochon cacher, qu’on cesse de les forcer à avaler du bourreau d’enfants modéré, ça n’existe pas.

par Yéochoua Sultan, invité par la rédaction
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
30 novembre 2009, 05:11
Demjanjuk jugé dans l'un des derniers procès de la Shoah

J.J. (lefigaro.fr) 30/11/2009 |


John Demjanjuk, lundi matin, lors de la première journée de son procès devant la cour d'assises de Munich. Crédits photo : AFP
John Demjanjuk, 89 ans, est accusé d'être un des rares grands criminels nazis encore en vie. Jugé à partir de ce lundi à Munich pour complicité dans le meurtre de 27.900 juifs, il encourt la perpétuité.

C'est le dernier chapitre d'une histoire judiciaire de plus de 30 ans qui s'est ouvert ce lundi en Allemagne. Agé de 89 ans, John Demjanjuk doit répondre devant la cour d'assises de Munich de complicité dans la mort de 27.900 personnes. Cet apatride d'origine ukrainienne est soupçonné d'avoir occupé la fonction de garde au camp d'extermination nazi de Sobibor, en Pologne en 1943.

Numéro un sur la liste des criminels de guerre nazis du Centre Simon Wiesenthal, il a été expulsé en mai des Etats-Unis où il s'était établi en 1952. Ses avocats avaient pourtant tout essayé pour empêcher son extradition : des documents médicaux attestant qu'il était mourant et vissé à son fauteuil roulant avaient notamment été fournis. Mais des caméras de vidéosurveillance l'avaient filmé en train de marcher et de conduire sa voiture… Considéré comme apte au jugement, John Demjanjuk est depuis incarcéré dans une prison munichoise.

Mais l'état de santé de l'accusé reste préoccupant, ce qui explique la limitation de la durée des audiences à 90 minutes par jour. Lundi matin, il est entré dans la salle d'audience en fauteuil roulant et gardait les yeux fermés derrière ses lunettes épaisses. Il était escorté de deux gardes en uniforme vert et de deux infirmiers en blouse blanche.


Déjà condamné à mort en 1988

D'ici à mercredi soir, la cour prévoit d'entendre l'accusé et dix-neuf de la trentaine de parties civiles, survivants ou descendants de disparus de Sobibor. Objectif : s'assurer que Demjanjuk a bel et bien occupé le poste de garde durant six mois en 1943, période pendant laquelle 27.900 juifs ont été gazés à Sobibor.

Selon le ministère public allemand, il se serait engagé comme volontaire dans les rangs des SS. L'accusation assure être en possession de déclarations écrites de témoins aujourd'hui décédés qui attestent de la présence de Demjanjuk au camp d'extermination. Elle dispose aussi d'une carte d'identité établie par les SS certifiant que l'octogénaire a reçu une formation de garde et de décisions de tribunaux israélien et américain selon lesquelles il est bien allé à Sobibor.

Ce n'est pas la première fois que Demjanjuk se retrouve face à de telles accusations. En 1988, il avait été condamné à mort en Israël pour avoir été «Ivan le Terrible», gardien au camp de Treblinka. Mais il a été acquitté par la Cour suprême en raison de doutes sur son identité. L'accusé a toujours assuré qu'il était dans l'Armée rouge et qu'il a été fait prisonnier par les Allemands en 1942. Une défense que Demjanjuk va tenter d'adopter dans ce nouveau procès, qui s'annonce long. Le tribunal de Munich, compétent pour le juger car il a vécu dans la région après la guerre, a programmé trois jours d'audience par semaine,au moins jusqu'à juin 2010.

Pièces jointes:
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
30 novembre 2009, 15:36
Quelques amis d'Israel:



Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
01 décembre 2009, 01:28
Ca commence bien!!!!!.
Un A380 d'Air France fait demi-tour après une panne informatique Le premier A380 d'Air France a dû faire demi tour, victime d'une panne qualifiée de "mineure" par la compagnie. Il partait de New York en direction de Paris et transportait 394 passagers.
Par Dépêche (texte)
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
01 décembre 2009, 04:18
Henri a écrit:
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> Ca commence bien!!!!!.
> Un A380 d'Air France fait demi-tour après une
> panne informatique Le premier A380 d'Air France a
> dû faire demi tour, victime d'une panne qualifiée
> de "mineure" par la compagnie. Il partait de New
> York en direction de Paris et transportait 394
> passagers.
> Par Dépêche (texte)

C'est là que tu vas voir que ton excellent copain Ladouda n'a pas toujours tort:

Dimanche nous déjeunions avec un ami qui attendait le A380 pour son prochain voyage à New York -

Le dit Ladouda a expliqué la méfiance qu'il avait de trop de sophistification informatique.

Il prétend même qu'il y a une trentaine d'ordinateurs pour gérer les toilettes...

Et ajoute qu'il n'est pas du genre à "essuyer" les platres!

Mais la description du petit avion que Ladouda affectionne particulièrement, n'a pas eu l'air d'enthousiasmer le copain...
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
02 décembre 2009, 04:24
14% des Juifs au Canada, des Israéliens "Yordime"
Date: mercredi 02 décembre 2009
Selon une étude réalisée à l’Université British Columbia (UBC) de Vancouver, 14% des membres de la communauté juive du Canada sont des Israéliens « Yordime », qui ont quitté Israël.

45000 vivent au Canada mais selon diverses estimations, le vrai chiffre atteindrait 60000. Toujours selon cette étude, dans les établissements de Vancouver on trouve environ 5000 Yoredim et ce chiffre augmente constamment. Au total, vivent dans la ville et sa périphérie 26000 Juifs. L’étude réalisée sur 31 Israéliens âgés entre 19 et 57ans démontre également que la plupart ont fait des études supérieures et sont partis vivre au Canada entre 1990-2007. La plupart déclarent s’être bien intégrés dans le marché du travail mais pas sur le plan social. Beaucoup avouent être constamment en contact avec Israël et visitent souvent les sites Internet israéliens, continuant de lire des livres en hébreu. Pour eux, vivre au Canada est provisoire. Ils n’ont aucun remord, prétextant qu’après avoir servi Tsahal, ils ne doivent plus rien au pays.

[[size=medium]color=#3366FF
663300]]cela appele des commentaires aussi bien negatifs que positifs !!
ne pensez vous pas?

c'est ce que je pense !!![/size][/color][/size]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
02 décembre 2009, 05:01
Tout le monde sait que Moshe Rabenou begayait, et il commenca a dire :
Ca.... ca.... et qqun pour l'aider dit a sa place Canaan, mais lui naturelement il voulait dire Canada, c'est pour ca qu'il y a des yordims au Canada.
Et pour conclure 86% des juifs au Canada ne sont pas des yordims
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