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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
30 mai 2010, 07:53
URGENT
A TRANSFERER A TOUS VOS AMIS FRANCOPHONES VIVANT EN ISRAEL

Chers amis,

Cela fait maintenant près de 10 ans que France 2 a diffusé le reportage mensonger de Charles Enderlin sur la fausse mort du petit Mohamed al Doura.

Malgré leur défaite judiciaire et les preuves accumulées contre les mensonges de France 2, l’Etat français et sa diplomatie continuent à couvrir cette imposture médiatique.

Pour sa part, Bernard Kouchner a fait remettre la Légion d’Honneur à Charles Enderlin à l’été 2009.

Engagée dans une campagne contre l’Etat d’Israël, la diplomatie française continue son sabotage.



Ainsi, en début de semaine prochaine (les 30 et 31 mai et le 1er juin), le service culturel de l’ambassade de France à Tel-Aviv, en collaboration avec le quotidien Haaretz, organisera une conférence intitulée : « Démocratie : les nouveau défis ».

En lieu et place de forum démocratique, l’ambassade de France en Israël organise une réunion où de nombreux orateurs israéliens sont liés à l’extrême gauche israélienne, avec quelques rares individus pour faire illusion. Pour mémoire, cette tendance extrémiste ne représente quasiment rien en Israël tandis que le gouvernement actuel couvre plus de 70% de l’électorat.

Des intellectuels israéliens francophones renommés tels qu’Emmanuel Navon ou Michael Bar-Zvi ne sont pas conviés à ce forum ; tout comme certains milieux religieux qui représentent une partie importante de l’environnement intellectuel francophone israélien.

Du côté français, aucun intellectuel favorable aux positions majoritaires israéliennes n’est invité. Où sont les Trigano, Taguieff, Tarnero, Gurfinkiel ?



Pour observer l’orientation politique et l’ingérence française dans la politique israélienne, il suffit de s’attarder sur certains noms qui auront l’occasion de s’exprimer lors de ce colloque.

- Il y aura bien sûr - à tout seigneur tout honneur - Charles Enderlin à qui on demandera de s’exprimer sur « la liberté et l’autocensure dans la presse ». Vraiment ?

- Christophe Bigot, ambassadeur de France en Israël, qui a vu les preuves de la mise en scène al Doura mais qui a écrit la lettre attachée à ce message lorsque j’avais révélé ce qu’il avait vu (on notera que, dans sa lettre, il ne nie nullement le caractère mensonger du reportage de Charles Enderlin).

- Pierre Assouline, qui affirme à qui veut l’entendre que « Charles Enderlin est un grand journaliste », est un des esprits « éclairés » conviés à ce forum.

- Valérie Hoffenberg est la représentante spéciale du Président de la République au Proche-Orient. Pour mémoire, pendant plusieurs années, Valérie Hoffenberg a représenté l’American Jewish Committee en France . Durant cette période, elle a défendu Charles Enderlin et France 2 dans l’Affaire al Doura.

- Raphy Walden est le gendre de Shimon Peres. Il est aussi son médecin personnel. Mais il s’est surtout récemment fait connaitre par son témoignage inconsistant pour soutenir Charles Enderlin et son faux reportage. Est-ce aussi pour cela que Bernard Kouchner lui a remis personnellement la Légion d’Honneur ? Décidément, diffamer Israël et soutenir ses diffamateurs est bien rétribué par la diplomatie française…

- Last but not least, il y aura aussi l’incontournable BHL (Bernard-Henri Lévy pour les non-initiés) qui s’est récemment illustré en voulant dicter ses choix au peuple israélien par son « appel à la raison » JCall, appel proprement ridicule de juifs de cour qui cherchent à maintenir leurs accès dans les médias français de plus en plus antisionistes, en sacrifiant à la vulgate en cours sur les bords de Seine. Mais BHL doit être rassuré, son « appel à la raison » a reçu le soutien de Leila Shahid, Pascal Boniface, Esther B enbassa (entre autres). Pour info, BHL a de nombreuses fois été sollicité pour prendre position sur l’Affaire al Doura. Il n’a jamais daigné s’y intéresser. On aurait pu espérer autre chose d’un auteur qui a eu beaucoup de succès en écrivant un livre romancé sur la mort de Daniel Pearl, journaliste juif américain qui avait été égorgé pour venger la fausse « mort » de Mohamed al Doura.



Restent quelques esprits sains, égarés et peut-être attirés par la lumière, ou dans le meilleur des cas désireux d’en découdre avec cette fange intellectuelle et affairiste, française et israélienne.



Mais pour une fois, vous pouvez changer le cours de choses car les débats se dérouleront devant un public qui pourra ensuite poser des questions.



Lors de toutes les présentations que j’ai eu l’occasion de donner en Israël et ailleurs, j’ai souvent eu à répondre à la même question : « Que pouvons-nous faire pour faire bouger les choses ? »

Eh bien voilà venu le moment d’agir, d’assister à ce forum et de vous faire entendre, poliment mais fermement sans vous laisser impressionner par la suffisance de ceux qui voudraient vous dicter vos choix, confortablement installés au Café de Flore à Saint Germain.

Inscrivez-vous à ce colloque, allez-y, interpelez les orateurs, pendant et entre les sessions.

- Allez-y accompagné, ne vous-laissez pas intimider. La plupart de ces gens-là ne savent rien de plus que vous, leurs esprits sont juste plus malléables que le vôtre, et c’est pour cela qu’ils sont invités à s’exprimer par l’ambassade de France à Tel-Aviv.

- Alors, à vos marques, prêts… inscrivez-vous : inscription @#$%& mais obligatoire (ou par téléphone : 03 796 80 31)



N’hésitez pas à me faire des comptes rendus de ce qui sera passé.

Je diffuserai vos récits (en gardant votre anonymat si vous le souhaitez).



Merci de diffuser largement ce message pour lui donner tout l’impact nécessaire.

Des occasions comme celles-ci ne se représentent pas si souvent.



A


Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
30 mai 2010, 08:59
Avant de se plaindre de la France pour une conférence eminemment criticable, ne faudrait il pas mesurer le mal que fait quotidiennement un journal comme Haretz à Israel?
Il suffit d'aller sur les forums divers, là haretz est hyper cité toujours pour faire une odieuse critique d'Israel.

Pourquoi occulter les noms d'autres orateurs: "Beaucoup dérange fortement dans l’organisation de ce Forum même si des ministres israéliens en poste actuellement font partie des orateurs, même si on trouve dans la liste des participants d’indéniables amis d’Israël tel que Claude Goasguen ou Pascal Bruckner."


"De source proche de l’Ambassade à Tel-Aviv, on rapporte que l’Ambassadeur, son Excellence M. Christophe Bigot est profondément embarrassé par ce dérapage incontrôlé de ses services culturels. On ajoute que M. Bigot est inquiet par ce qui risquerait de se développer en une rupture avec les Israéliens francophones. Notre source confie qu’en la circonstance, l’Ambassadeur ne verrait pas d’un mauvais œil le rapatriement en France de l’attachée culturelle, Mme Annette Lévy-Willard."

Oui, madame Levy-Willard doit quitter ses fonctions si elle ruine les efforts de l'Ambassade de France en Israel et si toute la France doit être tenue pour responsable de cette faute.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
03 juin 2010, 14:06
La rue Dizengoff : grandeur et renaissance

01/06/2010

Joanna Paraszczuk

La rue Dizengoff : une bande de trois kilomètres qui traverse le cœur de Tel-Aviv. Cette artère, truffée de cafés, bars, cinémas, clubs, boutiques, librairies, restaurants de style occidental et marchands de falafel, salons de tatouage et magasins de Judaica, s'est vue affublée de nombreux surnoms depuis son inauguration en 1934. Baptisée "Centre de la vie" dans les années quarante et cinquante, avant de devenir "La rue glamour", "La 5e Avenue de Tel-Aviv", "La rue qui ne dort jamais" ou encore "la start-up des années cinquante, soixante et soixante-dix", Dizengoff a toujours été un baromètre de l'ambiance de la Ville blanche.

Aujourd'hui, après de nombreux changements et un programme de rénovation d'une dizaine d'années, la principale avenue de la métropole côtière est en passe de retrouver sa flamme d'origine.
Dès son ouverture officielle en 1934, la rue Dizengoff incarne la jeune ville israélienne - une métropole alambiquée qui allie modernité européenne au nouvel esprit juif indépendant. Baptisée en hommage au premier maire de Tel-Aviv, Meïr Dizengoff, elle est inaugurée dans le sillage des célébrations du 25e anniversaire de la ville.

Dans son discours sur la rue qui porte son nom, le maire Dizengoff appelle alors les jeunes à "poursuivre dans la voie tracée par les anciens, à continuer à construire cette ville qui fait la fierté du peuple d'Israël". L'artère symbolise l'avenir : un espace où les citoyens de Tel-Aviv pourraient se mêler, se promener, consommer, un lieu ouvert où la vie publique se déroulerait au grand jour et où la culture foisonnerait. En son centre, une immense place, Kikar Zina Dizengoff, en hommage à l'épouse du maire.

C'est une jeune architecte Bauhaus, Genia Averbuch, qui s'était vu confier le design. Sa conception : des bâtiments Bauhaus élégants aux balcons ronds, entourés d'un jardin verdoyant circulaire. Une structure qui rappelait les emblèmes de l'architecture Bauhaus de Tel-Aviv, à l'image du cinéma Esther de l'architecte Yehouda Magidovitch - transformé depuis en hôtel - ou du cinéma Hen d'Arieh Sharon, toujours en activité.
Pour Tzachi Ostrovsky, photographe professionnel spécialisé dans l'architecture, Sharon, Magidovitch et Averbuch sont "trois des plus grands noms de l'architecture de Tel-Aviv".
Ostrovsky a une bonne raison de porter sur le Kikar Dizengoff un regard empli d'émotion et d'intérêt : c'est là qu'il est né et a grandi dans les années 1950-60. Cette place qu'Averbuch, Magidovitch et Sharon ont contribué à façonner formait déjà le cœur de la Ville blanche et de l'Eretz Israël des années 1930. "Avant 1967, Tel-Aviv était le véritable centre du pays, Jérusalem n'était qu'un village sans importance", estime-t-il.

Une affirmation qui ne fera sans doute pas l'unanimité, mais tout le monde s'accorde pour reconnaître que très rapidement, la rue Dizengoff est devenue le centre culturel incontesté de Tel-Aviv. Dans les années 1940, elle est animée de cafés de style européen, fréquentés par des poètes, écrivains, acteurs, peintres, dramaturges, attirés vers elle comme des papillons vers la lumière.

"Si je n'étais pas un être humain, j'aurais aimé être une rue"

En 1944, Yehezkiel Weinstein, résident d'origine polonaise, ouvre le Café Cassit au numéro 117. L'établissement devient alors le lieu de rencontre des penseurs de la ville. On y retrouve les poètes Avraham Shlonsky, Nathan Zach ou Nathan Alterman, qui y passent souvent des nuits entières à boire et à débattre de l'actualité.
"Si je n'étais pas un être humain, j'aurais aimé être une rue", avait déclaré Alterman. Dizengoff, avec sa combinaison de culture et de vie trépidante, aurait fait un bon choix.

Quatre ans plus tard, un autre café fait son apparition quelques mètres plus loin, au numéro 111. Contrairement à son voisin bohème, le Cafe Rowal était "une maison luxueuse" fière de ses pâtisseries viennoises et de son café glacé. Le Rowal devint le lieu de rendez-vous de la haute société tel-avivienne, qui le surnommera même le "Temple de la médisance".

"Mais il y avait aussi", se souvient Ostrovsky, "le Pizza, la Pinati, le Prague, le California et Lev Aviv." Chaque café avait sa propre clientèle et sa spécialité : le Pinati était le favori des artistes et des clowns ; quant aux non-conformistes de gauche, ils fréquentaient le California. Tout au long des années 1960-70, la rue Dizengoff était animée, un lieu branché, un vrai carnaval de sons et d'images avec ses enseignes promotionnelles pour des produits occidentaux, ou des spécialités culinaires rares, sinon introuvables, ailleurs dans le pays.

Autre natif du quartier : Israël Weisbrot. Comme Tzachi Ostrovsky, il se rappelle clairement de la rue Dizengoff de son enfance, un lieu magique, aux couleurs vives et aux images exotiques. C'est là qu'il a découvert les publicités lumineuses : "Je me souviens d'un immense néon aux couleurs de la Compagnie d'électricité et d'un autre pour une pizzeria, les premiers que j'aie jamais vus." Cet adolescent du début des années 1970 parle de la rue comme d'un paradis du divertissement, avec ses cinémas qui diffusaient les derniers films, ses cafés remplis de célébrités locales, où l'on pouvait trouver toutes les spécialités étrangères.

"La rue Dizengoff s'était transformée en temple de plaisir et de nourriture", raconte Weisbrot. "Nous avions l'habitude de déambuler d'un bout à l'autre, de visionner le dernier film en vogue à l'un des cinémas de la place et de nous arrêter chez le premier glacier qui venait d'ouvrir un salon sur la rue." Aucune soirée réussie n'aurait été complète sans un coup d'œil dans les cafés légendaires de la rue, note Weisbrot. "Au retour, on faisait un détour par le Cafe Cassit ou Rowal", se souvient-il, "histoire de voir des stars."

Quand Dizengoff se conjugue à tous les temps

Dans les années 1970, la rue Dizengoff est ancrée dans la conscience publique. Elle est devenue une métaphore de la culture de Tel-Aviv - tant et si bien qu'elle fait son entrée dans l'hébreu moderne. On peut alors conjuguer à tous les temps le verbe "lehizdangef", qui se traduit librement par "se promener dans la rue Dizengoff". Il reflète cette activité populaire devenue le passe-temps préféré des Tel-Aviviens : la promenade, le lèche-vitrine ou simplement s'installer dans un café.

Le phénomène est même remarqué par la presse étrangère. "Tel-Aviv a les plus jolies filles d'Israël", s'enthousiasmait le magazine Life dans un numéro spécial de 1973 : L'esprit d'Israël. "Et elles se retrouvent toutes dans la rue Dizengoff." Ces "dizengoffiot" - filles de la rue Dizengoff - sont alors à la pointe de la mode occidentale. A ne surtout pas confondre avec leurs cousines de seconde zone de la rue voisine, bien moins branchées : les "naarot Reiness" - filles de la rue Reiness - ne sont pas à la hauteur du pavé de Dizengoff et doivent se contenter de la rue parallèle.

Si la rue connaît son apogée dans les années 1970, certains parlent déjà d'un déclin culturel de la décennie. Et incontestablement, la période est marquée par des changements rapides.
Le poète Nathan Alterman, qui présidait des rencontres littéraires (souvent bien arrosées) au café Cassit, décède en 1970. Avec sa mort, l'ère du Cassit et de la rue Dizengoff comme centre de la vie bohème s'éteint. Israël Weisbrot se rappelle : "Nous avons laissé derrière nous une
rue complètement différente. Elle avait vieilli."

Naissance d'un centre de vie et de commerce

"Nous te vêtirons d'une robe de ciment et de béton", avait promis Alterman dans son poème Ode à la patrie. Deux ans après sa mort, le souhait du poète est exaucé, en un sens du moins : en 1972, les travaux de construction du Dizengoff Center débutent, qui donneront lieu au premier centre commercial de béton, de verre et de ciment d'Israël. Toujours dans l'esprit de la rue, le centre se voulait "une ville dans la ville", inspiré du modèle européen, plus que moyen-oriental.

Les clichés d'Ostrovsky sur la construction du Dizengoff Center sont devenus emblématiques. Le centre, explique le photographe, a été construit sur l'ancien quartier Nordia, un bidonville délabré de cabanes de plain-pied à l'extrémité sud de la rue. "La majorité, sinon la totalité, de la population de Nordia était ashkénaze", note Ostrovsky. "Le quartier lui-même a été construit sur un terrain appartenant à un Arabe de Jaffa nommé Hinawi." En novembre 1939, Adib Mahmad Hinawi a été découvert, poignardé à mort. Le motif de cet assassinat macabre est demeuré inconnu. "Hinawi aurait été éliminé pour avoir trop sympathisé avec les Juifs", émet Ostrovsky.

Dans les années 1970, Nordia était resté un bidonville et avait développé une réputation douteuse. "Certaines personnes avaient peur d'entrer dans le quartier", pointe le photographe. Pourtant, le projet de raser la zone pour y construire un centre commercial - avec l'implication de relocaliser tous ses habitants - suscitera une vive controverse auprès du public.
Le Dizengoff Center ouvrira néanmoins ses portes en 1977. Mais dans l'indignation générale : son nom, dépourvu de toute consonance hébraïque, irrite. Très vite, pourtant, le centre commercial devient populaire, et les magasins commencent à ouvrir leurs portes les uns après les autres. Avec une expérience nouvelle pour les Israéliens : le shopping ne se pratique plus en plein air mais en intérieur.

Un an tout juste après l'ouverture du centre, le maire, Shlomo Lahat, suscite une polémique de plus, en apportant des modifications radicales au Dizengoff Center, cette oasis verte cernée d'élégants bâtiments Bauhaus. Dans une tentative de réduire les terribles embouteillages, le jardin a été bétonné et élevé au-dessus du niveau de la rue pour faire place à une voie routière. Le nouveau carré à deux niveaux n'a pas séduit les habitants, et continue de faire l'objet d'une controverse.

Le nouveau temple de la mode

Si le Dizengoff Center a marqué les débuts d'une histoire d'amour longue et passionnée entre shopping en intérieur à la mode occidentale et les Israéliens, il a bien failli mettre un terme au vieux passe-temps du lèche-vitrine en plein air. De nouveaux centres commerciaux vont commencer à pousser comme des champignons géants à travers le pays, et un nouveau mot hébreu pour les qualifier est né : canyon.

Puis, dans les années 1990, alors que la rue Dizengoff est déjà en chute libre, la catastrophe arrive : deux attentats-suicides. Le premier en 1994 dans le bus n°5 et le second devant le Dizengoff Center en mars 1996, tuent et blessent des centaines de civils, y compris des enfants lors de la célébration de la fête de Pourim. Au lendemain de ces tragiques événements, l'enthousiasme du public et la confiance dans la rue Dizengoff diminue. Les boutiques se vident, et même le week-end, la rue reste atone. Mais pour ses adeptes de toujours, il est inconcevable que son esprit d'antan s'estompe pour de bon.

Il y a une décennie, le designer de mode Yossef Perez ouvre son magasin phare sur Dizengoff, au pic de la dépression post-attaque. Perez, dont la boutique propose de magnifiques robes de mariée et de soirée, raconte que la rue a considérablement changé depuis l'ouverture de son magasin. "Lorsque je suis arrivé ici, après les attentats terroristes, la rue était calme, totalement vide", se souvient-il. "Il y avait tant de magasins déserts. Il était facile de trouver une boutique. Aujourd'hui, c'est terminé. Tous les emplacements sont pris d'assaut."

Perez fait partie des nombreux créateurs de mode israéliens qui ont ouvert un commerce dans la rue Dizengoff dans le cadre d'un programme de conversion de la partie nord de la ville en quartier de mode. "La rue Dizengoff est la rue de la mode d'Israël", affirme le créateur. "Ses magasins connaissent une renommée mondiale."
Aujourd'hui, les designers établis comme Perez se partagent l'artère avec des griffes de prestige, comme les chaussures ultra-branchées Couple Of. "C'est un endroit passionnant", poursuit-il. "Dizengoff est une rue mythique."

La journaliste de mode Simona Kogan convient que le nord de la rue retrouve peu à peu son statut de pôle de la mode israélienne, avec des marques comme celles des designers Yossef et Shani Bar. La rue Dizengoff se caractérise par ses boutiques haut de gamme et ses vêtements de luxe, contrairement au centre commercial, qui, lui, abrite des marques internationales plus populaires, telles que Zara et Mango, mais prisées par les jeunes Israéliens qui désirent porter les mêmes vêtements que leurs homologues américains et européens. Si d'autres quartiers comme Gan Hahashmal et Shenkin sont les endroits à connaître pour faire de bonnes affaires, la rue Dizengoff reste l'adresse de référence pour les touristes et nouveaux immigrants, affirme Kogan : "Les visiteurs de l'étranger sont persuadés que c'est à Dizengoff qu'ils vont trouver ce qui incarne le style tel-avivien."

Floraison des projets de luxe

L'image de marque haut-de-gamme de la rue Dizengoff se manifeste aussi au travers de ses projets immobiliers. En cours de construction : deux complexes résidentiels d'envergure. Le premier : au 46 de la Frishman, une tour de luxe de 28 étages et le second, place Dizengoff, un projet de rénovation d'un bâtiment Bauhaus par Bar Oryan. Des projets en harmonie avec l'esprit et le style du quartier, estime Rachel Feller. Cette architecte en charge de la tour Frishman explique : "Même si ce sera un bâtiment moderne doté des dernières technologies, l'architecture se tourne vers le passé. Inspirée du Bauhaus, elle comprendra de nombreux éléments similaires, comme des balcons circulaires."

Maintenant que la rue Dizengoff est devenue le lieu de prédilection des grands architectes et créateurs, le Dizengoff Center peut-il retrouver son lustre d'antan ? Pas facile. L'élégant jardin d'origine a fait place à un square de béton, sale et populaire, le nouveau repaire nocturne des punks de la rue. "Tel-Aviv appartient aux punks hooligans de la rue", énonce un graffiti tagué sur un banc du Kikar, près de la sculpture Feu et Eau de Yaacov Agam. Selon le maire adjoint Assaf Zamir, la municipalité projette de rénover la place et ses alentours.

"Nous étudions un certain nombre de possibilités pour rajeunir Dizengoff Center", assure Zamir. Parmi les options retenues, redescendre la place au niveau du sol." Si ce projet est retenu, ajoute Zamir, il aura de réelles implications sur la circulation et les transports publics.
"Vingt-huit lignes de bus empruntent actuellement le passage souterrain sous Kikar Dizengoff."
La construction d'un parking en sous-sol, près de la place, est également envisagée, pour soulager les embouteillages et autres problèmes de stationnement. "Une autre possibilité serait de faire un ravalement esthétique, placer des pelouses et reverdir l'endroit", note Zamir, "mais le coût est un facteur important", insiste-t-il.

Bien qu'il reste encore du chemin à parcourir, il semble que le programme de rénovation entrepris il y a une décennie est en train de porter ses fruits. Malgré la concurrence des autres canyons de Tel-Aviv, la rue Dizengoff est à nouveau peuplée de magasins, bars et cafés, et ne dort jamais, en particulier le week-end, lorsque les trottoirs sont juchés d'Israéliens et de touristes venus faire du shopping, manger, boire, voir et être vus. "La rue Dizengoff fait son come-back dans l'histoire", observe Zamir. "Elle attire les chalands, de nouveaux aménagements ont déjà des conséquences positives, d'autres projets sont en cours de construction, comme un cinéma, et de plus en plus de bars et de cafés ouvrent leurs portes."

Un peu de l'esprit de la "promenade glamour de Tel-Aviv" serait-il de retour sur la rue Dizengoff du 21e siècle ?

[fr.jpost.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 juin 2010, 01:31
La sculpture feu, eau et musique de Yacob Agam du kikar Dizengoff,a ete fabrique par la societe Ormat Industrie de Yavne, la synchronisation entre les trois elements etait commandee par un system electronique dont j'avais fabrique le circuit imprime.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 juin 2010, 02:13
Fabrique une nouvelle charte Henri dont un chapitre dira que les gauchistes conspirateurs, encourent des peines de prison s'ils conspirent contre le pays.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 juin 2010, 03:51
Deux pilotes s'envolent de Cannes-Mandelieu pour un record à la cléPublié le dimanche 06 juin 2010 à 12H10
Les deux pilotes, Jacques Calliès et Gilles Khaïat.

Serge Haouzi

Quatre-vingt-dix-sept ans après la première traversée de la Méditerranée, Gilles Khaïat et Jacques Callies, deux pilotes chevronnés, devaient tenter ce dimanche un nouveau record entre Cannes et Tel Aviv.
Ils se prendraient un peu pour les héritiers de Roland-Garros. Du reste, ils s’apprêtent à marcher dans les pas du célèbre aviateur passé à la postérité pour ses nombreux records. Quatre-vingt-dix-sept ans après la première traversée de la Méditerranée, Gilles Khaïat et Jacques Callies, deux pilotes chevronnés, vont tenter un nouveau record de traversée de la grande bleue.

Pas entre Fréjus et Bizerte (Tunisie), évidemment, car le challenge serait désuet. Voire inutile. Non, cette fois, le survol se fera d’Est en Ouest, pour rallier la plateforme de Cannes-Mandelieu à celle de Tel Aviv (Israël). Une idée qui pourrait paraître saugrenue, mais qui correspond avant tout à deux événements dans le monde de l’aviation. Le salon Eur-Avia à Cannes*, point de départ ce dimanche matin, pour atterrir à l’occasion de l’assemblée mondiale de l’association des pilotes d’aéronefs (AOPA) dans la capitale économique de l’État hébreu ce soir. Le lien est fait par cette tentative.

Aux limites de l’autonomie

Un record qui sera établi aux commandes monomoteur type Mooney M20 J. Pour les profanes, il s’agit d’un quadriplace choisi pour ses performances « exceptionnelles », capable de parcourir une longue distance avec une quantité de carburant restreinte. Ce dimanche, les deux pilotes devaient donc s'envoler pour une distance de 2 800 km et une durée estimée à dix heures environ.

« Il y a un côté symbolique évident dans ce challenge et c’est surtout l’occasion de démontrer la faisabilité d’un tel type de vol rarement, voire jamais effectué. Il s’agit d’une distance inhabituelle pour ce type d’appareil et nous serons là dans les limites extrêmes d’autonomie », estimait Gilles Khaïat, quelques jours avant de prendre son envol.

L’enjeu paraît risqué, mais les pilotes avec pas moins de 5 000 heures de vols au compteur à eux deux, ont mesuré le danger. « Il n’y a pas de risque zéro, mais tout est préparé pour que ça se passe dans les meilleures conditions, avec évidemment des plans de repli tout au long du parcours », insistait le pilote.

Ouf ! Voilà les passionnés d’aéronautique rassurés et prêts à attendre l’homologation par la fédération aéronautique internationale.


Le salon Eur-avia à Cannes

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 juin 2010, 04:27
Girelle chalom,
2800 km, en dix heures, mais il me semble que la distance est bien plus grande que ca, non?
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 juin 2010, 12:02
Gysen info.


Si l’on en croit les derniers mots du traité talmudique Sota, lors des temps messianiques, le monde connaîtra un accès d’effronterie. Il semble qu’en la matière, la Turquie vienne de faire sauter la banque. Le fait est qu’après l’arraisonnement par Israël des mariniers de la haute justice, on était en droit d’attendre les péroraisons de bon nombre de chancelleries et, de ce point de vue, D-ieu bénisse, l’offre a excédé la demande. Mais que, pour le coup, la Turquie soit – c’est le cas de le dire – la figure de proue, relève d’un tragi-comique de farce boulevardière.

Son Premier ministre Recep Erdogan ne craint pas davantage les superlatifs que l’affligeant ridicule que leur usage lui renvoie. Voyez ça : "massacre sanglant", "attaque insolente et irresponsable qui piétine toute vertu humaine et qui doit absolument être punie".

La « vertu humaine »… Tiens, convoquons-là justement. L’Histoire atteste qu’il ne faut pas la moitié d’un ticket de métro pour draper la vertu humaine d’un pays qui a commis ce qu’un historien appelle « un génocide exemplaire » qui a fait 1 500 000 victimes par déportations, tortures, exécutions massives des convois de déportés, marches forcées jusqu’à l’épuisement et le menu n’est pas exhaustif.

Un pays dont le refus obstiné de reconnaître l’épouvante qu’il a causé a fait dire à Pierre Vidal Naquet, compétent s’il en fut en la matière, que « l’État turc est négationniste ». Car pour le pays de ce fier-à-bras de la vertu humaine, le déluge d’horreurs qui a englouti presque tout un peuple en 1915 (et fut entrepris encore bien avant) est très officiellement appelé « le prétendu génocide arménien ». Et l’article 305 du code pénal de ce pays, dénoncé par Amnesty International et Journalistes sans frontières, dispose que la plume téméraire qui publierait une opinion « contraire à l’intérêt fondamental de la nation » se verrait gratifier d’un aller (probablement simple) pour les geôles turques.

Parlons-en tiens de ces culs de basse fosse turcs aussi salubres et affriolants que les WC qui sont identifiés au pays de « La Sublime Porte ».

L’auteur de ces lignes n’a pas vu le film Midnight Express, – basé sur un fait véridique – mais ce qu’il en a entendu le porte à conjecturer que ceux qui sont détenus dans ces paradis carcéraux pour avoir eu quelques grammes de shit dans les poches, échangeraient volontiers leur place contre celles des assassins palestiniens détenus dans le pays qui « piétine toute valeur humaine ». Le fait est d’ailleurs que c’est sa projection à des journalistes en marge du festival de Cannes qui a poussé les États-Unis à négocier la libération de ses ressortissants incarcérés dans la patrie de la vertu humaine.

Il faut cependant rendre hommage à ce pays auquel sont associés certains lieux d’aisance : l’histoire dit que c’est en étant accroupi sur l’un d’eux, que Mozart fut inspiré de son Rondo alla turca qui conclut sa 11ème sonate pour piano (la – trop – fameuse Marche turque). On dit la même chose à propos du célèbre Blue Rondo à la Turc de Dave Brubeck… Faut-il qu’à quelque chose malheur soit bon…

Mais ne laissons pas pour autant pour compte nos caboteurs humanistes rondement arrêtés dans leur élan évangélique vers une terre où règne un ordre démocratique du 3è type. Fastoche le coup de la croisade fraternelle vers un lieu qui leur vaudra toute l’audience des bien-pensants de ce monde et où ils ne risquent pas autant que si leur ardeur salvatrice se déployait sous d’autres latitudes.


Je ne sache pas qu’ils aient volé sur les ailes de l’aigle au secours de la Tchétchénie lorsque, si l’on en croit le journal « Le Monde », les Russes faisaient sauter leurs prisonniers par fagots humains. Il est vrai que le concept de « vertu humaine » se revêt chez les soudards de la sainte Russie d’une tout autre acception. Voici du reste un exemple de respect de la vertu humaine que, et M. Erdogan et nos galériens du salut, se sont gardés de commenter. (Non recommandé aux moins de 12 ans)

[www.dailymotion.com]


Faut-il que, comme le chantait le regretté Jean Ferrat, « le sang sèche vite en entrant dans l’Histoire »…

Et où étaient-ils nos corsaires rédempteurs lorsqu’en Sierra Leone, Charles Taylor et ses enfants soldats coupaient des dizaines de milliers de mains et de bras après avoir demandé à leurs victimes « short sleeves or long sleeves ? »

Et qui les empêche à présent d’aller faire œuvre pie dans l’Afrique des Grands lacs où la guerre à déjà fait 3 000 000 de morts depuis dix ans, où des femmes et des petites filles sont chaque jour victimes de sévices sexuels, où des centaines de milliers de réfugiés croupissent dans des camps, affamés, décimés par des virus bien connus, et où les populations sont harcelées par des bandes de barbares à la solde d’états voyous qui désirent s’approprier les richesses minières ?

Du reste point n’est besoin d’enjamber les mers ou de chausser des bottes de sept lieues pour sauver le monde. Il suffit juste de faire un peu de tourisme dans certaines enclaves du XVIIIè arrondissement de Paris où la désolation du continent africain a poussé des jeunes mineures à subir quotidiennement des horreurs dont la seule mention ruinerait l’honorabilité de ce site.


Et c’est à ce moment précis que se profile à l’horizon la grande tarte à la crème servie pour toutes les bonnes causes : « Comparaison n’est pas raison ! ». Eh bien si justement ! Le jour où les belles âmes prétendument éprises de droit et de justice, cesseront de déconstruire l’Histoire chaque fois qu’Israël fait valoir son droit à vivre… eh bien…les Turcs se feront chypriotes-grecs

Comme l’écrit une comédienne humoriste à ses heures : « Un humaniste, c'est quelqu'un qui ne sait pas où se range le riz dans sa cuisine, mais qui va trouver des tonnes de sacs pour les petits affamés du monde. »


NDLR/ MOI. Bon voyage Monsieur Erdogan pour votre prochain voyage aller simple sur le prochain rafiot. Votre armée peut vous ravir votre place, qui sait...!!!!
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06 juin 2010, 21:36

La tragédie du Struma ou quand la Turquie a laisse sombrer 769 juifs en mer

Par Myriam Esther pour Aschkel.info et Lessakele

jeudi 3 juin 2010



Je me demande quelle aurait été la réaction internationale suite a cette tragédie ?

Rappel des faits :
Le port roumain de Constanza, sur la Mer Noire, était un lieu d’embarquement important pour les Juifs qui tentaient de quitter l’Europe pour la Palestine. Des milliers de Juifs, cherchant désespérément à échapper aux Allemands, se rendirent en bateau de Constanza en Palestine en passant par la Turquie, malgré les restrictions britanniques à l’immigration.



Le 12 décembre 1941, le Struma quitte le port roumain de Constanta pour Istanbul. Le moteur tombe plusieurs fois en panne, le navire doit retourner à Constanta, repartir, et le voyage de 176 milles marins, qui normalement dure 14 heures, dura 4 jours. Le 16 décembre, le Struma arrive dans le port turc de Büyükdere, au nord du Bosphore, mais les autorités turques interdisent tout débarquement, à l’exception de 8 passagers qui avaient déjà des visas britanniques pour la Palestine, obtenus à Bucarest, et d’une femme sur le point d’accoucher. Puis le Struma est mise en quarantaine. En dehors des soldats turcs devant garder le bateau, seules trois personnes seront autorisées à monter à bord : Simon Brod et Rifat Karako, personnalités de la communauté juive d’Istanbul, et N.G. "Dan" Malioğlu, représentant du Service ma ritime roumain à Istanbul (e membre de l’"Étoile du Danube"). Mais même ces personnes durent attendre dix jours pour être autorisés à distribuer aux passagers la nourriture chaude, achetée par elles grâce aux 10 000 dollars envoyés par le Comité juif américain au grand rabbinat d’Istanbul.

Avec l’aide de la Croix-Rouge, Brod, Karako et Malioğlu ravitaillent les passagers et tentent d’obtenir une solution, démarchant les pays neutres, les Soviétiques et les Britanniques, mais les conditions de vie à bord se détériorent. Il y avait parmi les passagers des médecins, et Malioğlu a pu leur fournir certains médicaments. Le 10 janvier, le capitaine Garabetenko envoie une lettre alarmée aux autorités turques et à l’ambassade britannique, et le 19 janvier, l’Agence juive demande aux autorités mandataires britanniques d’accepter les réfugiés. Après soixante-trois jours d’une terrible attente, le 13 février, Moshe Shertok obtient des Britanniques l’octroi de 28 titres de voyage pour les enfants âgés de 11 à 16 ans. Mais les autorités turques refusèrent de lever la quarantaine. Mais les autorités turques refusèrent de lever la quarantaine.



Mis au courant de ce refus, les passagers du Struma pendirent des deux côtés du bateau de grands draps où étaient écrits (en grandes lettres et en français) “Immigrants juifs”. Ils hissèrent également un drapeau blanc sur lequel était écrit : “Sauvez-nous”. Le 23 février, environ 200 policiers maritimes turcs encadrèrent le Struma, menaçant de tirer sur quiconque tenterait de se jeter à l’eau, et arrachèrent les draps. Les autorités portuaires ordonnent au navire d’appareiller, mais après que les mécaniciens eurent saboté la machine de manière à rendre ses pannes irréparables, la marine turque remorqua le Struma en Mer Noire .

Le 24 février 1942, à 2 heures du matin, il fut coulé par un sous-marin soviétique. Lorsque des canots de sauvetage arrivèrent sur le lieu du naufrage, il ne restait plus des passagers que quatre corps qui flottaient. David Stoliar, un jeune homme âgé alors de 19 ans, fut le seul survivant de cette tragédie. Après avoir reçu des soins dans un hôpital militaire turc, Stoliar fut emprisonné dans une cellule de la direction de la police turque à Istanbul et interrogé pendant deux semaines. Lorsqu’il demanda ce qu’on lui reprochait, on lui répondit qu’il était “entré en Turquie sans visa”. Il fut finalement remis en liberté et Simon Brod, qui l’avait accueilli, lui expliqua que c’était un miracle d’avoir survécu à ce naufrage, mais qu’en réalité le véritable miracle, c’était qu’il soit ressorti vivant des griffes des autorités officielles turques alors qu’il était l’unique témoin de ce drame..

Le gouvernement turc ne s’exprima qu’une seule fois sur la tragédie du Struma et ce fut pour dire que la Turquie n’avait “aucune responsabilité dans cette catastrophe” et que la seule chose qu’elle avait faite avait été d’“empêcher des individus de pénétrer illégalement sur son territoire”
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
07 juin 2010, 13:56
07 juin 2010
Le vélo-chargeur de portable

Toutes les idées sont bonnes pour économiser de l’énergie et la dernière innovation de Nokia est plutôt maline. Il s’agit d’une dynamo à fixer sur la roue de votre vélo. Celle-ci ne sert pas à l’éclairage dudit vélo, mais à stocker l’énergie produite par vos coups de pédale dans une batterie accrochée au guidon.

Le cordon qui sort de ce petit boitier se termine par une prise jack 2mm, que l’on peut relier à une multitude de gadgets portables type téléphone portable ou lecteur mp3. Le constructeur vante des performances étonnantes : en pédalant 10 minutes à une vitesse moyenne, vous gagneriez de quoi téléphoner une demie-heure… ou 37h de veille !

Le marché visé par Nokia est celui des pays en développement, où les portables se vendent bien mais où l’électricité est souvent une denrée rare. Ainsi, ce chargeur-dynamo est lancé au Kenya (pour 15€) avant d’âtre disponible partout ailleurs d’ici la fin de l’année.

[bonnenouvelle.blog.lemonde.fr]

Pièces jointes:
bicycle-charger-nokia.1275900723.jpg
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