Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
09 juin 2010, 01:24
Le fondateur de HRW se désolidarise du r. Goldstone

Date: lundi 07 juin 2010

Article traduit du Nytimes :

[www.nytimes.com]

"En ma qualité de fondateur de Human Rights Watch, qui en a assuré la Présidence active pendant 20 ans et étant actuellement son Président fondateur honoraire, je me vois contraint d’agir d’une manière que je n’avais jamais anticipée : me joindre publiquement aux critiques portées envers ce groupe."


Pour lire tout l'article:

[www.israelmagazine.co.il]

Voici quelques paragraphes:

"....Plus que partout ailleurs au monde, cela est vrai pour le Moyen-Orient. Cette région est peuplée de régimes autoritaires qui scandalisent par leurs prouesses en matière de déni des droits de l’homme. Mais ces dernières années, HRW a prononcé plus de condamnations de violations israéliennes du droit international que dans n’importe quelle autre région du monde.
Israël, pour une population de 7.4 millions d’habitants compte plus de 80 associations de défense des droits de l’homme ; une presse libre vivante, un gouvernement démocratiquement élu, une système judiciaire qui sait ériger des lois anti-gouvernementales, une académie universitaire politiquement active, de multiples partis politiques et à en juger par le volume de couverture de presse, probablement davantage de journalistes par tête que n’importe quel autre pays au monde – la plupart étant détachés sur place pour couvrir le conflit israélo-palestinien.
Pendant ce temps, les régimes arabes et iranien gouvernent près de 350 millions de personnes et se distinguent par la brutalité, la fermeture et l’autocratie, n’autorisant quasiment aucune opposition. La complexité et la malchance pour leurs citoyens qui seraient les premiers à tirer tout le bénéfice d’une vaste campagne à l’initiative d’organisations internationales de défense des droits de l’homme –puissantes et dotées de moyens conséquents- attirant l’attention sur leur situation, revient au département Moyen-Orient de HRW qui les ignore pour mieux peaufiner rapport après rapport l’attention qu’ils souhaitent focaliser sur Israël.
HRW a perdu tout sens critique sur un conflit où Israël n’a cessé d’être attaqué par le Hamas et le Hezbollah, des organisations qui poursuivent les citoyens israéliens et utilisent leur propre population comme boucliers humains. Ces groupes sont soutenus par l’Iran, qui ne s’est pas contenté d’affirmer ouvertement son intention de détruire Israël mais menace aussi d’assassiner des Juifs n’importe où dans le monde. Cette incitation au génocide est une violation de la Convention de prévention et de sanction pour Crime contre l’humanité....."
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
09 juin 2010, 12:22
JUSTES DES NATIONS ?




Thierry COULOM, Adjoint au Maire de Nancy - UMP a dit :


Bravo au Hamas qui a réussi à faire en sorte que toutes les Démocraties du Monde
condamnent la seule démocratie du proche orient : Israël.

je n'entends pas les protestataires sur le blocus de Gaza par l'Egypte!

comme d'habitude c'est au nom du respect des peuples opprimés qu'on condamne
Israël mais si on ne condamne pas l'Egypte pour le même blocus, n'y aurais t il
pas le commencement d'une preuve qu'il y a dans tout ceci un brin
d'antisémitisme?

je pense que nous sommes de grands hypocrites et que nous ferions exactement la
même chose que les israéliens si demain à Monaco des terroristes
prenaient le
pouvoir, nous envoyaient des roquettes et que des bateaux approchaient du port
pour les réapprovisionner sans montrer qu'il ne s'agit que de marchandises de
type humanitaire.

sommes nous devenus des pleutres au point de soutenir des terroristes de peur
qu'ils ne nous visent et d'abandonner un peuple ami entouré d'ennemis qui disent
officiellement qu'ils veulent sa destruction (Iran, hesbollah, Hamas).

facile à ceux qui regardent à la télé de vilipender Israël mais moins facile si
c'était eux qui se trouvait sous la menace de ces extrémistes.

tout ces commentaires d'indignation m'écœurent profondément, je ne suis pas juif
mais tous les démocrates seront toujours mes amis et tous les terroristes mes
ennemis.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
09 juin 2010, 12:59
Double Emploi Mamili, tu ne suis pas comme d'habitude.
Mais bon parce que c'est toi.


3 09 /06 /2010 17:55
LE NOUVEAU VISAGE DE LA TURQUIE

Voir aussi www.nuitdorient.com/n27.htm


LE NOUVEAU VISAGE DE LA TURQUIE


Par Antoine AJOURY | Orient le Jour 09/06/2010

Comme si les Turcs avaient une « indigestion » d'Occidentaux. Depuis la création de la Turquie moderne sous l'impulsion de Mustapha Kemal, en 1923, et sur les ruines de l'Empire ottoman, elle n'a eu de cesse de se rapprocher de l'Occident en joignant ou en essayant de joindre différentes institutions régionales ou organisations de coopération occidentales, à l'instar de l'OTAN, de l'OSCE, de l'OCDE et de l'UE. Les Turcs semblent avoir toutefois l'impression qu'ils ne sont pas toujours les bienvenus. Ainsi, la position de l'UE est majoritairement sans ambiguïté envers la Turquie : il n'y a pas de place pour ce pays musulman d'Asie en Europe.

Les États-Unis, eux, ont tenté - délibérément ou indirectement - de déstabiliser le régime d'Ankara, allié stratégique de l'Alliance atlantique et de Washington au Proche-Orient, suite à l'invasion de l'Irak en soutenant, notamment, les Kurdes irakiens. Et ce au grand dam des pays voisins qui appréhendent les séparatistes kurdes, qu'ils soient en Turquie, en Syrie et en Iran.

Or plusieurs événements ont marqué dernièrement la politique extérieure de la Turquie, illustrant le revirement politique du gouvernement islamo-conservateur du Parti islamiste de la justice et du développement (AKP), qui semble bien décidé à tourner le dos aux Occidentaux. À commencer par la visite du président russe Dmitri Medvedev à Ankara et la signature d'accords stratégiques russo-turcs. Ou encore la visite du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan en Grèce.

Sans oublier l'opération de charme menée par ce dernier au début de l'année en Arabie saoudite et son appui vigoureux à Téhéran sur le dossier du nucléaire iranien, plus récemment. Par ailleurs, des pas importants ont été accomplis par Ankara vis-à-vis d'Erevan : passant outre presque cent ans de haine, la Turquie et l'Arménie ont ainsi établi des relations diplomatiques.
On relève dans ce contexte que la diplomatie turque s'active depuis un certain temps à consolider sa présence et son influence au Proche-Orient en normalisant ses relations avec les pays voisins comme la Syrie et l'Iran, alors qu'Ankara semble s'éloigner peu à peu de Washington et de Tel-Aviv pour s'affirmer comme puissance régionale indépendante, profitant de sa position géopolitique stratégique, afin de marquer des points sans se faire sermonner par les Européens et les Américains.

Toutefois, si la Turquie ménage jusqu'à présent les États-Unis, le ton n'a cessé de monter contre Israël depuis la violente altercation opposant le Premier ministre turc au président de l'État hébreu, Shimon Peres, lors du Forum de Davos l'année dernière, suite à l'offensive israélienne « Plomb durci » contre Gaza. Alors que la Turquie est le seul allié musulman d'Israël, les relations bilatérales se sont rapidement dégradées après l'offensive israélienne violemment critiquée par Ankara puis avec le raid meurtrier contre la « flottille de la liberté » qui visait à briser le blocus israélien contre ce territoire palestinien.

Dans ce contexte, les attaques virulentes des dirigeants turcs contre le gouvernement israélien en ont surpris plus d'un. Le vocabulaire violent utilisé par le président turc, le Premier ministre et le ministre des Affaires étrangères rappelle, malgré les nuances diplomatiques, la rhétorique usitée par les islamistes radicaux, qu'ils soient libanais, palestiniens ou égyptiens.

Ainsi, toutes les actions du gouvernement islamiste d'Erdogan semblent converger vers le rétablissement du prestige de la Turquie qui reprend son rôle historique de leadership régional, hérité du califat ottoman, redonnant à ce pays son statut de porte-étendard du monde islamique sunnite, de ses problèmes et surtout de ses frustrations face à l'échec du nationalisme arabe. Toutefois, au lieu d'être le symbole d'un islam laïc modéré, le pays devient le porte-parole de l'islamisme radical.

Malgré les réfutations d'un grand nombre d'analystes et d'intellectuels européens et turcs qui voient dans ces positions extrémistes une politique à usage interne destinée à ragaillardir le parti au pouvoir en vue des prochaines élections législatives, on ne peut que constater que, depuis 2003, avec l'avènement au pouvoir de l'AKP, la Turquie se dirige immanquablement vers un régime de plus en plus islamiste.

Ce qui a été accompli depuis les sept dernières années en est la preuve directe. Le dernier événement en date allant dans ce sens concerne le projet de réforme de la Constitution turque qui, selon les kémalistes, sape les fondements de la laïcité. Ce paquet de réformes constitutionnelles ne semble pas issu du désir du gouvernement d'adhérer à l'UE, comme le prétend Erdogan, pour qui cette adhésion ne paraît plus une nécessité, mais d'un plan minutieux visant à prendre le chemin de la renaissance du califat ottoman, comme le soulignent désormais maints observateurs. Pour bien préparer le terrain, le gouvernement issu de la mouvance islamiste a sérieusement décapité l'armée, suite à l'affaire « Ergenakon » dans laquelle une trentaine d'officiers de haut rang ont été inculpés et près de 70 militaires arrêtés suite à des révélations les accusant d'avoir voulu comploter contre le gouvernement. Là aussi, pour l'opposition, ces arrestations relèvent du « coup d'État civil » et d'un acharnement judiciaire visant à affaiblir les défenseurs de la laïcité, alors que pour de nombreux intellectuels, elles représentent un progrès pour la démocratisation du pays.

Or c'est bien la démocratisation de la Turquie qui a placé au pouvoir l'AKP. Avec le déclenchement des réformes démocratiques, le rôle de l'armée, gardienne de la laïcité, et l'influence de l'élite bourgeoise laïque des grandes villes ont cédé la place à l'émergence d'un nouveau pouvoir issu d'une population majoritairement conservatrice et religieuse.

Reste à savoir quel rôle jouera la Turquie à la lumière de tout ce remodelage au sein même du pays et sur le plan régional. Serait-elle tentée par une nouvelle alliance, celle du triangle Téhéran-Damas-Ankara, pour former un axe radical antioccidental ? Ou bien prendra-elle le leadership de l'islam sunnite, face à l'Iran, détachant ainsi le Hamas du giron du chiisme persan ? En tout état de cause, le pays verra sûrement sa légitimité régionale renforcée pour pouvoir, enfin, être un partenaire respectable face aux Occidentaux.

Merci à Alfred Soued et www.nuitdorient.com/n27.htm


L'article a pru aussi dans le quotidien libanais en langue française :


[lorientlejour.com]

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
09 juin 2010, 14:24
Double Emploi Mamili, tu ne suis pas comme d'habitude.



Mais bon parce que c'est toi



???????????????????????????????????????????????????????????????????????


<JE N AI PAS VU LE DISCOURS DE CE COURAGEUX MAIRE SUR ADRA? JE ME TROMPE PEUT ËTRE, OU TU TE MELANGES LES PINCEAUX ET TU L AS LU AU CLUB ----tu sais bien que j'écris sans distinction dans les rubriques qui m'interpellent.

"
Y A t I K chrainai and "houspille"
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
13 juin 2010, 13:21
[horizons.over-blog.net]


Quand l’Onu remettait en question les statistiques des « réfugiés palestiniens »…


ARTICLE

PAR Michel Gurfinkiel.

Proclamé le 14 mai 1948 en fin d’après-midi, l’Etat d’Israël a accédé à l’indépendance et à la souveraineté le 15 mai à zéro heure. Mais par la suite, ce pays a préféré célébrer l’événement à sa date juive, le 5 du mois d’iyyar. Laissée pour ainsi dire vacante, la date grégorienne a été récupérée et détournée par les Etats et organisations arabes ou islamiques, qui en ont fait un jour de deuil : Yôm al-Naqba, l’anniversaire de la Naqba ou Catastrophe, c’est à dire de l’exil ou de l’expulsion des Arabes palestiniens.



Dans son discours du Caire, en 2009, le président américain Barack Obama a esquissé une équivalence historique entre la Shoah et la Naqba. Il n’est pas inutile de ramener l’événement à ses véritables proportions.



770 000 à 800 000 Arabes vivaient, au 1er janvier 1947, dans le territoire dont Israël devait prendre le contrôle pendant la guerre de 1947-1948. 170 000 d’entre eux vivaient toujours sur le même territoire en 1949. Le reste - 600 000 à 630 000 âmes selon les estimations - avait donc abandonné ses foyers dans l’intervalle.



Ces départs ont commencé dès l’été 1947, quelque neuf mois avant l’indépendance d’Israël. Ils ont d’abord touché les élites arabes, plus de 100 000 âmes, qui ont préféré se mettre à l’abri dans les pays arabes voisins – Liban, Syrie, Egypte – où elles avaient des liens familiaux ou même des propriétés. Puis des populations plus humbles, que les chefs militaires arabes appelaient à se « replier » pendant la durée des opérations : 300 000 âmes supplémentaires, parmi lesquelles de nombreux Syriens ou Libanais immigrés en Palestine dans les années 1920, 1930 et 1940. On compte enfin 150 000 expulsés au sens propre, contraints au départ par les Israéliens en vertu de considérations stratégiques.



Pour tragiques que ces événements aient été, ils n’ont rien eu d’exceptionnel. On a compté plus de 20 millions de personnes déplacées et de réfugiés en Europe au lendemain de la Seconde Guerre mondiale (dont près de 10 millions d’Allemands), 20 millions de réfugiés dans l’ancien Empire des Indes après la partition de 1947. Au Moyen-Orient, 900 000 Juifs ont été expulsés des pays arabes et islamiques à partir de 1945, sans espoir de retour, et les deux tiers d’entre eux se sont réfugiés en Israël. Dix millions de chrétiens ont également été exilés ou expulsés de ces mêmes pays tout au long du XXe siècle. Le cas le plus récent est celui des Palestiniens chrétiens de Cisjordanie : voici une vingtaine d’années, ils formaient 15 % de la population locale ; depuis la mise en place d’un pouvoir palestinien autonome, en 1994, ils ne sont plus que 2 à 3 %.



Sur le plan humanitaire, les réfugiés arabes palestiniens de 1948 ont bénéficié d’une aide internationale plus importante que tous les autres réfugiés du XXe siècle et du début du XXIe siècle, y compris les Juifs et chrétiens du Moyen-Orient. Une agence spéciale des Nations Unies, l’UNRWA, a été créée à leur intention, alors que les autres ont été soit ignorés, soit pris en charge par une agence unique, l’ UNHCR. Ils ont pu transmettre la qualité de réfugiés à leurs enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants, avantage dénié aux autres groupes de réfugiés. Enfin, ils ont bénéficié d’une aide matérielle, médicale et éducative supérieure, par tête, à tous les autres réfugiés.



Cette aide représentait en 1950 l’équivalent de 10 % du PNB libanais à la même époque, un sixième du PNB syrien, 100 % du PNB transjordanien.



En 2008, l’UNRWA apportait son assistance à 4,6 millions de « réfugiés » ou de personnes réputées telles, nés en grande majorité après les évènements de 1948. A cette fin, elle disposait de 24 000 professionnels à plein temps, d’origine palestinienne à 99 %. Son budget, établi sur une base biannuelle, était de 1,09 milliard de dollars. Soit approximativement 500 millions de dollars par an.



La même année, l’UNHCR disposait, pour les autres « réfugiés, personnes déplacées et apatrides » du monde – 32,9 millions de personnes, réparties sur cent seize pays et cinq continents - de 6260 professionnels seulement, recrutés dans de nombreux pays. Son budget annuel était de 1,09 milliard de dollars en 2008 et 1,1 milliard en 2009.



En d’autres termes, le tiers de l’ensemble des budgets de l’Onu destinés aux réfugiés et 79,3 % des personnels chargés de porter assistance à des réfugiés et autres personnes déplacées étaient attribués en 2008 à 13,9 % seulement des populations concernées : les Palestiniens.



Il faut évoquer un dernier point. Selon les premières enquêtes de l’Onu, fin 1948 et début 1949, 130 000 des réfugiés arabes de Palestine subvenaient eux-mêmes à leurs besoins : il s’agissait en gros, des réfugiés d’origine bourgeoise, que nous avons mentionnés plus haut. Les réfugiés en situation de détresse n’étaient donc alors que 500 000, au maximum. Mais on a bientôt fait état de plus d’un million de réfugiés assistés. Qui étaeint donc, dans ces conditions, les bénéficiaires « supplémentaires » ? Trois cas seulement peuvent être envisagés : des enfants nés après le déplacement ; des morts maintenus sur les listes ; ou des non-réfugiés, palestiniens ou non-palestiniens, se faisant passer pour des réfugiés.



La première hypothèse va à l’encontre de la physiologie humaine : une population de 600 000 âmes ne saurait mettre au monde 500 000 à 600 000 enfants en deux ans. Reste les deux autres hypothèses : les morts non déclarées et les inscriptions frauduleuses.



Les responsables de l’UNRWA notent dans leur rapport intérimaire du 19 octobre 1949 « que les naissances sont toujours enregistrées dans la mesure où elles entraînent l’attribution d’une ration alimentaire, mais que les décès sont souvent ou même systématiquement ‘oubliés’, de manière à ce que la famille puisse continuer à obtenir la ration dont jouissait le défunt… »



Quant à la fraude, elle irait de soi, selon les mêmes responsables : « En théorie, un réfugié n’a pas le droit de quitter le camp où il s’est inscrit pour un autre… En réalité, il le fait souvent… Si l’on tient compte en outre de l’habitude, solidement ancrée dans cette région du monde, de se soustraire à tout recensement, on comprend qu’il est très difficile, voire pratiquement impossible, de dresser des statistiques fiables en ce qui concerne les réfugiés ». Une étude publiée sous les auspices de l’UNRWA en 1962, The Problem of the Rectification of the UNRWA Relief Rolls (Le problème de la rectification des listes des bénéficiaires des secours de l’UNRWA), avancera le chiffre minimum de 317 000 « non-réfugiés » initiaux reconnus pour tels.



L’UNRWA décida finalement de procéder à un recensement des réfugiés et « autres demandeurs ». L’opération commença en mai 1950. Elle tourna rapidement au fiasco : la plupart des quatre cents enquêteurs se laissaient corrompre, ou faisaient l’objet de menaces ; il fallait les remplacer, ou leur procurer des gardes du corps. Au printemps 1951, l’UNRWA licencia l’ensemble de l’équipe, et lui substitua un nouveau personnel, mieux préparé à sa tâche. En outre, elle suspendit les nouvelles inscriptions jusqu’à la fin du recensement : une mesure qui, pensait-on, allait inciter les demandeurs à plus de discipline. En fait, des émeutes éclatèrentt. Cette fois, l’agence internationale joua le tout pour le tout, en suspendant la distribution des secours. Nouvelles émeutes, plus violentes encore que les précédentes. La presse arabe accusa l’UNRWA de vouloir « assassiner » les réfugiés, en commençant par « les enfants privés de lait ».



L’UNRWA cèda sous ces pressions. En juin 1951, elle renonça au recensement et reprit ses distributions. En contrepartie, les gouvernements arabes acceptèrent de « plafonner » les populations de « réfugiés et autres victimes de 1948 » à près d’un million de personnes, étant entendu que les enfants à venir seraient agrégés à ce premier total. Cela pouvait passer pour un compromis. Mais en fait, c’était le début de la pérennisation, par l’hérédité, de la question des réfugiés arabes de Palestine. Une bombe à retardement qui n’a pas fini d’éclater, une soixantaine d’années plus tard.



© Michel Gurfinkiel, 2010
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
15 juin 2010, 09:28



Annonce RADIO J MERCI DE FAIRE CIRCULER UN MAXIMUM

Merci aux spécialistes de FACE BOOK ou TWITTER et autres sites de s’activer pour faire connaître cette annonce

Suzy Hajdenberg



Le réseau de cinéma d'art et d'essai Utopia a déprogrammé le film israélien

« A 5 heures de Paris »…

Des journaux, des organisations professionnelles du cinéma se sont insurgées contre ce boycott inacceptable !!!


Jeudi 17 juin à 20H30. Radio J , présente en avant première le film

« A 5 heures de Paris » de Léon Prudovsky au cinema

GAUMONT OPERA PREMIER


-32 Rue Louis LEGRAND – PARIS 9ème (Métro opéra) :

La projection sera suivie d’un débat avec le réalisateur !




Les places seront en vente aux caisses du cinéma à partir du mercredi 16 Juin.

Les réservations seront également possibles à partir de cette date sur le site www.cinemasgaumontpathe.com/

Flash-back sur l'affaire.

Le film "À cinq heures de Paris", de l'Israélien Leon Prudovsky, est boycotté par le réseau Utopia. Une déprogrammation de dernière minute en réaction à l'affaire de la flottille de Gaza. Comment une comédie sentimentale qui ne revêt aucun caractère politique a t-elle crée une polémique d'ampleur nationale ?

Le film : "A 5 heure de Paris" a fait un beau tapage médiatique. Mais pas celui qu'aurait souhaité son réalisateur Leon Prudovsky. Et pour cause : son film est boycotté par le réseau de cinéma d'art et d'essai Utopia.

Prévu à l'affiche, le réseau Utopia a finalement déprogrammé le long-métrage. La raison ? Suite à l'affaire de la flottille de Gaza survenue le 31 mai, Utopia entend ainsi protester contre les agissements du gouvernement israélien et le blocus imposé à Gaza.

Selon sa directrice, Anne-Marie Faucon, cette décision vise également à inciter les réalisateurs israéliens à réfléchir à la situation dans leur pays. "Notre geste est symbolique et ponctuel" déclare Anne-Marie Faucon.

" Depuis tant d'années qu'Israël s'assied avec la plus parfaite arrogance sur les résolutions successives de l'ONU, quelle arme reste-t-il à des citoyens lambda comme nous ? Pour nous, la culture, ce n'est pas fait pour s'endormir !".

Pour l'instant, cette même culture est surtout prise en otage. L'affaire s'est répandue comme une trainée de poudre dans la presse française. Médias, organisations et associations s'indignent de la décision d'Utopia.

Et la condamnation est unanime.

"Cette logique du soupçon condamne l'Israélien par avance ". Dans les colonnes du Figaro, Sébastien LeFol titre son article : "Imbéciles".

Le journaliste s'emporte :" Léon Prudovsky va découvrir un curieux pays où un réseau de cinémas art et essai, censé représenter le bon goût et la tolérance, a décidé de le boycotter parce qu'il est israélien. Sans que cela provoque l'indignation de nos plus hautes autorités morales et politiques. Seraient-elles devenues aphones les voix officielles, ministre de la Culture en tête ? Où sont passées nos vigies antiracistes ? Et nos thuriféraires des droits de l'homme ? ".


Et il ne s'arrête pas là : " En faisant l'amalgame entre le gouvernement et les citoyens d'un pays, ces censeurs se trompent de cible. Ils érigent l'obscurantisme et la bêtise en impératifs catégoriques, comme les inquisiteurs médiévaux brûlaient les sorcières, les roux et les chats ".

Le journal en ligne Rue89, condamne fermement cette décision jugée "absurde". "Ce boycott qui assimile des citoyens à leur gouvernement est d'abord stigmatisant" alerte Amos Schupak dans sa tribune, avant d'expliquer : " Il dénie à tout citoyen israélien le droit à l'expression artistique en raison de sa nationalité. Dans cette perspective, les Israéliens n'auraient le droit de produire que des œuvres ayant pour objectif la critique de leur Etat, sans quoi ils seraient automatiquement considérés comme des soutiens silencieux et
inconditionnels de sa politique. Cette logique du soupçon condamne l'Israélien par avance ".

"Le cinéma israélien est un espace propice au débat"


Une logique du soupçon qui a indigné la Ligue contre le Racisme et l'Antisémitisme (Licra). L'association estime que la direction d'Utopia " alimente une dangereuse confusion des genres ". "Un tel boycott constitue une négation de l’indépendance des auteurs et de la liberté de la création artistique.

Le cinéma, notamment israélien, a constamment oeuvré à la critique et est un espace propice au débat", affirme l'organisation.

Le milieu du cinéma prend également la défense du réalisateur israélien. Sept organisations professionnelles du cinéma se sont insurgées contre la déprogrammation dans un communiqué.
>" Cet acte est une atteinte à la liberté de création, alors que le cinéma demeure un art porteur de valeurs universelles et que de nombreux cinéastes du monde entier se battent pour la liberté, sous toutes ses formes, souvent en en payant le prix fort ", estiment-ils.
>
> "Est-il besoin de rappeler que les réalisateurs israéliens sont souvent les plus critiques face à la politique menée par l'Etat hébreu", poursuivent ces organisations.
>

En solidarité, le réalisateur et producteur Ludi Bocken a annoncé aux dirigeants d’Utopia qu’il retirait de leur réseau son propre film Marga.


Un film qui retrace l’histoire de paysans allemands, membres du parti nazi qui ont caché une famille juive pendant presque trois ans

u péril de leurs propres vies. " Dans le courrier adressé à Utopia, nous leur faisions savoir que nous considérons comme eux les événements de Gaza intolérables mais que la prise en otages des artistes israéliens étaient une erreur et une injustice " a déclaré Ludi Bocken.

" Les cinéastes israéliens n'ont pas vraiment besoin de leçons françaises"


Le cinéma en Israël est énergique. Avec une quinzaine d'écoles dans le pays, c'est plus d'une vingtaine de films qui sont produit chaque année. Le 7ème art israélien a dépassé les frontières de l'Etat hébreu et jouit d'une renommée internationale avec quelques beaux succès, comme La Visite de la fanfare, d'Eran Kolirin, Les Citronniers, d'Eran Riklin, Valse avec Bachir, film d'animation d'Ari Folman.

Comme le décrit la journaliste du Figaro Marie-Noëlle Tranchant, ce sont "Autant d'œuvres porteuses d'interrogations politiques sur le conflit israélo-arabe et de réflexions existentielles sur la possibilité de garder ou de retrouver l'humanité, dans l'hostilité permanente et la violence des situations. Les cinéastes israéliens n'ont pas vraiment besoin de leçons françaises pour exercer leur sens critique". A bon entendeur.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
15 juin 2010, 10:38
J'ai déjà réservé deux places pour cette projection spéciale.

On peut réserver et payer par Internet sur le site de Gaumont

[www.cinemasgaumontpathe.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
23 juin 2010, 00:16

Mardi 22 juin 2010 2 22 /06 /2010 13:51
Il est Temps de Réévaluer les Relations avec les Etats-Unis


Réévaluer les Relations avec les Etats-Unis


Par le député de la Knesset Dr Aryeh Eldad

Jerusalem Post – 11 juin 2010


Traduction www.nuitdorient.com


La 1ère fois qu'on a utilisé l'expression "réévaluer les relations" dans le discours diplomatique américano-israélien, c'était en 1975. Le Secrétaire d'Etat Henry Kissinger cherchait à cette époque à faire pression sur Yitshaq Rabin pour qu'il signe un "accord intérimaire" avec l'Egypte, dans lequel Tsahal se retirerait des lignes d'armistice de la Guerre du Kipour aux défilés de Mitla et Gidi dans le Sinaï. Kissinger gela les envois d'armes américaines et insinua que d'autres mesures plus sévères suivraient. Rabin resta imperturbable et porta la question au Sénat américain. Le président Ford et H Kissinger se calmèrent.

Même au milieu de la crise, les Etats-Unis n'ont pas osé mettre en péril l'essentiel de l'accord stratégique qui les liaient à Israël, la politique d'ambiguïté nucléaire.


Le président Lyndon Johnson et le 1er ministre Golda Méir ont fixé en 1969 cette politique qui a été appliquée depuis par les dirigeants des 2 pays. Cette politique a été souvent définie par des accords écrits, et, à l'occasion, par de simples ententes mutuelles. "Israël ne sera pas le 1er pays à introduire des armes nucléaires au Moyen Orient" disaient les 1er ministres Lévi Eshkol, Shimon Peres, Golda Meir et Yitzhaq Rabin et tous ceux qui les suivirent. Les présidents américains se succédèrent, parfois soulevant une question, parfois demandant un éclaircissement, mais tous acceptèrent la formule d'entente et s'en tinrent à elle. Sauf B H Obama…!


Après son élection, Obama promit au 1er ministre B Netanyahou de garder cette politique d'ambiguïté nucléaire d'Israël.



Mais il y a 2 semaines il l'a trahie !



Le 28 mai, la Conférence du Traité de non prolifération nucléaire (NPT) qui se réunit tous les 5 ans, demanda à l'unanimité à Israël de signer le traité et d'ouvrir ses installations pour un contrôle extérieur, avec l'appui des Etats-Unis.


Israël n'est pas signataire du Traité. L'Iran l'a signé, et l'Iran s'est précipité vers la production d'armes nucléaires. La Syrie et la Libye sont signataires, mais leur signature ne les a pas empêchés de construire des usines d'enrichissement du plutonium à des fins militaires. La Corée du Nord a construit une bombe et elle teste des armes nucléaires, se moquant du monde entier, supposé s'y opposer. Les experts pakistanais, menés par "le père de la bombe du Pakistan", Abed Kadir Khan, ont vendu des secrets nucléaires et la technologie nécessaire pour fabriquer des armes à l'Iran, à la Syrie, à la Libye et sans doute à la Corée du Nord. Face à cette floraison industrielle, les Etats-Unis ont cédé devant une initiative égyptienne et accepté que seul Israël devait être désigné du doigt comme pays menaçant. Et c'est Israël seul qui est mentionné dans le rapport du Comité du NPT. Apparemment, seules ses installations doivent être contrôlées…!



We-love-Israel.jpg

Il est Temps de Réévaluer les Relations avec les Etats-Unis


Israël a peut-être besoin des milliards $ qu'il reçoit en aide militaire des Etats-Unis ou des munitions nécessaires dans l'éventualité d'une longue guerre ou de l'approvisionnement en armes de Tsahal; puis le marché américain est d'une importance capitale pour l'économie israélienne; enfin l'intervention américaine limite souvent l'isolement international du pays. Mais en fait il faut savoir qu'Israël ne peut plus compter sur le soutien américain. Et il doit réévaluer les promesses américaines, celles faites par écrit, celles annoncées cérémonieusement en public ou celles soufflées en privé à la Maison Blanche. Celui qui sans sourciller a trahi Israël sur la question capitale du nucléaire, où l'existence même de la nation est en jeu, du fait des menaces iraniennes, n'hésitera pas à dénoncer les autres engagements. Aujourd'hui B H Obama presse Israël d'accepter des dictats qui mèneront vers une entité palestinienne -- pas forcément amicale -- au cœur de ce pays. Il offre en retour des garanties de sécurité telles que la démilitarisation de cet état, l'avantage technologique… Quel Israélien voudra mettre en péril l'existence de sa patrie en prenant pour argent comptant des promesses faites par un président américain qui n'a pas hésité à trahir et à renier les engagements de ses prédécesseurs, oubliant même les siens ?


On pourrait penser que si la situation politico-militaire du pays se détériorait, nos possibilités de maneouvre vis-à-vis des Etats-Unis diminueraient. Quand on a le dos au mur et personne sur qui compter, alors on se doit d'être résolu et fort et la détermination doit remplacer les doutes. Savoir déjà que les promesses américaines sont fallacieuses est un atout majeur. Même un indigent ne donne pas le peu qu'il a contre des promesses qui ne valent rien.



Obama n'est pas plus effrayant que Ford et Clinton ne nous déteste pas plus que Kissinger. Et la mer qu'on nous promet comme sépulture depuis fort longtemps est toujours la même. Les Arabes sont identiques à eux-mêmes. Mais le mur contre lequel nous sommes acculés est de plus en plus proche.

Aujourd'hui la profondeur de la trahison de B H Obama doit être rendue publique et connue des Américains. Alors que les élections de novembre approchent, Binyamin Netanyahou a l'occasion d'accomplir ce qu'a fait Rabin en 1975.



A paru dans : [www.jpost.com]


Horizon 2000.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
23 juin 2010, 11:33
NEWS: ISRAËL CINEMA -
INTERVIEW D’YVAN ATTAL :
« J’AIME ISRAËL, D’AUTANT PLUS QUE CE PAYS EST MAL AIMÉ »
Par Maxime Perez, à Tel Aviv
Rubrique: Cinéma
Publié le 21 juin 2010

L’acteur et réalisateur se trouvait en Israël à l’occasion du festival du film français. Dimanche soir, à Haïfa, il a présenté « Rapt », dernier film réalisé par Lucas Belvaux et inspiré de l’affaire Empain qui s’est déroulée à la fin des années 70. Yvan Attal y interprète le rôle d’un puissant homme d’affaires kidnappé par des malfaiteurs. Pendant les deux mois que durera sa séquestration, l’enquête va révéler des aspects de sa vie privée inconnus de ses proches: grosses pertes aux jeux, parties de chasse, nombreuses maîtresses. La presse à scandale en fait ses choux gras, provoquant le déchirement de sa famille et sa décrédibilisation au sein de son entreprise.

Yvan Attal, vous avez la réputation de ne pas vous précipiter sur n’importe quel rôle. Qu’est ce qui vous a séduit dans ce film qui retrace avant tout un fait divers ?

Le rôle que j’interprète est très intense et l’affaire dont il est question m’a beaucoup intrigué. J’ai également beaucoup aimé la trajectoire du film et la façon dont les deux parties s’articulent. Lucas Belvaux, avec qui je souhaitais travailler depuis longtemps, m’a tout de suite précisé qu’il ne comptait pas faire un biopic mais davantage se concentrer sur un événement très précis. Il n’avait pas envie de coller totalement à une réalité et c’est pour cette raison que j’ai été choisi. En réalité, Belvaux adapte un fait divers et parvient à extraire sa vérité.

Laquelle ?

La logique de l’argent prime sur l’être humain. Finalement, même dans les classes aisées, on oublie la valeur de l’homme. Ce qui compte, c’est que le système puisse continuer à marcher. En ce sens, le film fait écho à certains maux de la société actuelle.

Le tournage a été difficile…

La préparation physique a été délicate, il a fallu que je perde 20 kilos. J’ai été isolé du reste de l’équipe, notamment pendant les repas pour ne pas être tenté. Sur le moment, j’ai compris que cet isolement était la meilleure façon de s’imprégner du rôle. Le retour à la réalité n’a pas été évident.

Venir présenter ce film ici, en Israël, cela a-t-il pour vous une signification particulière ?

D’abord, jouer la condition d’un homme en captivité me fait penser au soldat Gilad Shalit et à tous les enjeux qui tournent autour de sa libération. Ensuite, faire la promotion de « Rapt » en Israël, c’est particulier pour moi. Je suis né ici et j’aime ce pays, d’autant plus qu’il est mal aimé.

Comment définiriez-vous votre rapport avec Israël ?

Je suis né en Israël mais je suis un juif vivant en France qui se sent agressé à cause du conflit au Proche-Orient. Sa complexité échappe à beaucoup de gens et une partie de l’opinion est manipulée émotionnellement par une sorte de matraquage médiatique. Aujourd’hui, l’antisionisme a relayé l’antisémitisme. L’acharnement contre Israël remplace celui qui existait avant contre les Juifs. L’existence d’Israël et sa légitimité sont toujours remises en cause.

Vous ne craignez pas que ce positionnement porte atteinte à votre carrière ?

Non, absolument pas. Ça ne m’empêche pas de penser qu’Israël commet parfois des erreurs et d’être favorable à la création d’un Etat palestinien. Mais la condamnation systématique d’Israël me pose problème et même sur un plateau de télévision, je n’hésite pas à dire ce que je pense. Tout cela n’a rien à voir avec ma carrière et mes aspirations.

Le cinéma israélien a énormément progressé au cours de la dernière décennie. Il est beaucoup plus visible au niveau international. Est-ce que cela vous donne des idées ?

J’aimerais réaliser un film franco-israélien pour toutes les raisons que j’ai précédemment évoquées. Il y a aussi beaucoup d’acteurs israéliens que j’apprécie. Mais pour l’heure, mes projets sont en France, au cinéma comme au théâtre.

Yvan Attal, peut-on vous considérer comme un artiste engagé ?

Je ne me sens pas particulièrement engagé mais ce questionnement existe. L’artiste a certainement un rôle à jouer s’il estime qu’une cause est juste.

Propos recueillis par Maxime Perez.

[www.israelvalley.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
24 juin 2010, 05:29
La Newsletter Israël Actualités

des avions israéliens se seraient poses en Arabie saoudite La marine des Pasdarans a été mise en état d'alerte dans le golfe Persique



Selon le site islamique 'Islam Times' des avions de l'armée de l'air israélienne se seraient posés cette semaine sur une base militaire saoudienne pour y déposer du matériel militaire.

Désolé,vous ne pouvez pas répondre à cette discussion, elle est fermée.





HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved