HAD GADYA en araméen (transliterre), en Francais et en Judeo-Tunisien
HAD GADYA en araméen
H’ad Gadia ("un chevreau" en araméen) est une comptine qu’on chante le soir de Pessah’. Voici la version en Arameen trans-litterre et la traduction en Francais
Chad gad-yo, chad gad-yo,
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so shun-ro
Ve'o-chal le-gad-yo,
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so chal-bo,
Ve'no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so chut-ro,
Ve-hi-koh le-chal-bo,
De-no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so nu-ro,
Ve-so-raf le-chut-ro,
De-hi-koh le-chal-bo,
De-no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so ma-yo,
Ve-cho-voh le-nu-ro,
De-so-raf le-chut-ro,
De-hi-koh le-chal-bo,
De-no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so to-ro,
Ve sho-so le-ma-yo,
De-cho-voh le-nu-ro,
De-so-raf le-chut-ro,
De-hi-koh le-chal-bo,
De-no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so ha-sho-cheyt,
Ve-sho-chat le-to-ro,
De sho-so le-ma-yo,
De-cho-voh le-nu-ro,
De-so-raf le-chut-ro,
De-hi-koh le-chal-bo,
De-no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so mal'ach ha-mo-ves,
Ve-sho-chat le-sho-cheyt,
De-sho-chat le-to-ro,
De sho-so le-ma-yo,
De-cho-voh le-nu-ro,
De-so-raf le-chut-ro,
De-hi-koh le-chal-bo,
De-no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey,
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Ve'o-so ha-Ko-dosh, ba-ruch Hu,
Ve-sho-chat le-mal'ach ha-mo-ves,
De-sho-chat le-sho-cheyt,
De-sho-chat le-to-ro,
De sho-so le-ma-yo,
De-cho-voh le-nu-ro,
De-so-raf le-chut-ro,
De-hi-koh le-chal-bo,
De-no-shach le-shun-ro,
De'o-chal le-gad-yo.
De-za-bin ab-ba bis-rey zu-zey.
Chad gad-yo, chad gad-yo.
Notre père a acheté un chevreau pour deux zouzim, ainsi le raconte la Haggadah [2].
Arrive le chat
Qui dévore le chevreau
Le petit chevreau tout blanc que notre père avait apporté.
Et arrive le chien
Qui mord le chat
Qui a dévoré le chevreau
Que notre père avait apporté, qu’il avait acheté pour deux zouzim
Un chevreau...
Et voici qu’arrive un gros bâton
Qui bat le chien
Qui a mordu le chat
Qui avait dévoré le chevreau
Que notre père avait apporté, qu’il avait acheté pour deux zouzim
Un chevreau...
Alors arrive le feu
Qui brûle le bâton
Qui a battu le chien
Qui avait mordu le chat
Qui avait dévoré le chevreau
Que notre père avait apporté, qu’il avait acheté pour deux zouzim
Un chevreau...
Alors arrive l’eau
Qui éteint le feu
Qui a brûlé le bâton
Qui a battu le chien
Qui a mordu le chat
Qui avait dévoré le chevreau
Que notre père avait apporté, qu’il avait acheté pour deux zouzim
Arrive le bœuf
Qui boit l’eau
Qui a éteint le feu
Qui a brûlé le bâton
Qui a battu le chien
Qui a mordu le chat
Qui avait dévoré le chevreau
Que notre père avait apporté, qu’il avait acheté pour deux zouzim
Arrive le boucher
Qui égorge le bœuf
Qui a bu l’eau
Qui a éteint le feu
Qui a brûlé le bâton
Qui a battu le chien
Qui a mordu le chat
Qui avait dévoré le chevreau
Que notre père avait apporté, qu’il avait acheté pour deux zouzim
Arrive l’ange de la mort
Qui tué le boucher
Qui a égorgé le bœuf
Qui a bu l’eau
Qui a éteint le feu
Qui a brûlé le bâton
Qui a battu le chien
Qui a mordu le chat
Qui avait dévoré le chevreau
Que notre père avait apporté, qu’il avait acheté pour deux zouzim
'HAD GADYA en arabe judéo-tunisien, fac similé extrait de la haggada intitulée Or Israel éditée en 1935 par Maklouf Nadjar, en vente à la Synagogue tunisienne, rue Makhnes à Netanya. Publicité gratuite!).
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