C’est vraiment un crève-cœur ! Arriver de loin jusqu’à la porte du lycée et ne pas pouvoir y entrer à cause de cerbères pointilleux…
Voici pour nos lecteurs une promenade nostalgique au lycée en quinze photos. Elle devrait raviver bien des souvenirs !
J’ai pris ces photos (et beaucoup d’autres) il y a quelques mois et vous invite, à travers elles, à vous retremper dans l’ambiance du lycée.
Si le Bureau 3 ramène le souvenir de M. Hugues, le tableau noir
était souvent annonciateur de vacances. «Les élèves vaqueront»…
Au fond de la cour, les toilettes et le souvenir
des premières cigarettes, grillées en cachette
L’entrée des profs se cache derrière les fleurs
Le Bureau 11 était tenu d’une main de fer par la Surveillance générale du Lycée
Couloir des matheux. Ya Hasra : M. Josse, Colas et autres Melle Chivot
Salle de classe. Elles se ressemblaient toutes.
Les lucarnes dans les portes sont dans toutes les mémoires
Le monument aux morts de la guerre est toujours là
Commentaires
QUE DES MAUVAIS SOUVENIRS DE CET ETABLISSEMENT DANS LE.QUEL J'ETAIS INTERNE...!
Bonjour j'ai été en pension palais baccouche de 1947 à 1952 bons souvenirs mon nom Nicole Attali
Ma grand-mère née en 1909 fut orpheline de 14-18. Dans une de ses lettres elle nous avait écrit que le nom du directeur, à son époque, était Monsieur Arthaud.
C'est le lycée où a étudié Bourguiba!
Bonjour à tous
j'aimerais que quelqu'un publie sur le site de Harissa des photos du Palais Baccouche de El-Ariana dans la banlieue de Tunis parce que j'ai été élève en primaire dans ce Palais qui était une école française dans les années 1950; j'ai la nostalgie de ce lieu qui était magique, avec des allées bordées de palmiers et des orangers et des jardins avec des fontaines ; et l'intérieur du bâtiment principal, il y avait un grand patio et des chambres immenses dont l'une avait été baptisée "la galerie des glaces"; on empruntait une allée pour se rendre dans les classes en passant par un bâtiment dans lequel il y avait les douches; la nuit on ramassait par terre des vers luisants pour s éclairer et on soulevait les plaques d'égoûts pour capturer les minuscules grenouillles reinettes pour s'amuser ; c'était la belle époque pour nous qui étions encore des enfants insouciants pendant que les adultes étaient en train de commettre l'irréparable en créant les conditions pour que les Français soient expulsés vers la métrople.
cordialement.
moi aussi j'ai été élève , j'étais pensionnaire avec mon frère, car c'était un internat mixte; 80 pensionnaires en tout. je me disais à l'époque "quand je serai grande j'achèterai le palais Baccouche" son directeur s'appelait Mr Many ou Magny, sa fille Mme Claude.Je vous conseille de ne pas y retourner vous seriez déçu.
Enfin je trouve des personnes qui ont été pensionnaires dans cette école ! J'y étais pensionnaire, avec mon frère, de septembre 1953 à juin 1955. Je reconnais tout ce que vous dites, le patio en marbre où on nous faisait des projections le jeudi, l'allée de palmiers, Mme Claude Magny qui préférait dormir chez ses parents en nous laissant seules au dortoir, les douches, etc. J'aurais bien des choses à ajouter, mon instit Melle Clanet, Salem le cuisinier, la cour d'honneur bruissante d'oiseaux, les "promenades" au stade d'en face les dimanches qui n'étaient pas "de sortie", les "gradouches" qu'on cueillait en cachette, etc. etc. Est-ce qu'on peut correspondre ?
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