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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
21 juillet 2009, 01:30
Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ?


Source : Point de BASCULE.
samedi 18 juillet 2009

Bon Midi Honorable chalom cher Ami Camus,

Des Amies d'Israël-Québec nous ont demandé de faire circuler cette Terrible Référence :

[www.pointdebasculecanada.ca]

Épouvantable soutien du Monde Syndical québécois aux Intérêts Pro-Hamastoïdes et Pro-Palestiniens :

Ça Commence à chauffer au Québec !

Amitiés Solidarités,

Marcel (Fafouin)
20 juillet 2009 / 28 tamouz 5769


La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a décidé d’appuyer une campagne internationale de boycottage contre Israël pour exprimer la solidarité du « Québec » avec les Palestiniens.

À son Congrès annuel de la fin juin, la CSQ a répondu favorablement à la demande de « 172 organisations palestiniennes » qui appellent au boycottage d’Israël, au retrait des investissements dans ce pays et à l’imposition de sanctions contre l’état israélien.

Cette nouvelle « qui n’est pas publiée sur le site » de la CSQ trouve un écho sur plusieurs sites et organisations dédiés à la cause palestinienne « mais » qui supportent aussi des mouvements terroristes à tendance islamistes comme le Hamas et le Hezbollah. On y félicite la CSQ pour sa prise de position contre Israël. Pourquoi la CSQ ne s’empresse-t-elle pas à informer ses 170 000 « membres » sur le sujet ?

Pourquoi cet empressement à soutenir l’opposition à Israël alors que les délégués de la CSQ auraient pu discuter d’un soutien aux travailleurs iraniens sauvagement réprimés par les diverses factions paramilitaires des Ayatollahs. Non, c’est Israël, seul État du Moyen-Orient doté d’un « mouvement syndical libre et indépendant », que la CSQ a choisi de boycotter.

Et puisque la CSQ semble à la recherche de victimes pour manifester sa solidarité, pourquoi ne pas choisir les Soudanais victimes du génocide orchestré par la junte arabo-islamiste au pouvoir ou encore les Ouighours, ces « musulmans » chinois que le pouvoir de Pékin écrase depuis des années.

Que dire, d’ailleurs, de « l’étrange » silence du monde musulman Québécois et Canadien sur les exactions du gouvernement chinois envers les Ouighours. Tout un contraste avec la cohérence des membres des communautés tibétaines et taïwanaises qui ont manifestés leur « solidarité » envers ce peuple majoritairement « musulman » à Toronto aujourd’hui. Pourtant, là-bas, aux confins de la Chine, des femmes et des enfants meurent aussi à cause de « l’oppression » du gouvernement chinois. Mais dès qu’il est question d’Israël, c’est aussitôt la levée des boucliers ! Haro sur le baudet, ce pelé, ce galeux !

Comme bien d’autres organisations occidentales, la CSQ garde le silence sur une foule de conflits plus meurtriers que le conflit israélo-arabe. Encore une fois, une organisation occidentale s’acharne contre Israël au mépris des réalités. La politique des bons sentiments l’emporte sur une appréciation lucide et équitable des faits.

Pourquoi cet acharnement ? Accuser Israël d’apartheid alors que les Arabes vivant en Israël jouissent de droits qui leur sont refusés dans les territoires palestiniens par leur propre dirigeant qu’ils soient du Hamas ou du Fatah, révèle le caractère idéologique du soutien des Occidentaux aux Palestiniens.

Soutenir le mouvement de boycottage d’Israël ne coûte rien à la CSQ et n’apporte rien aux Palestiniens. Belle preuve de solidarité que celle-là ! En fait, la CSQ fait le jeu des extrémistes et des islamistes du Québec qui utilisent le conflit israélo-palestinien comme moyen de pénétrer la société québécoise et de contester ses valeurs.

De quel bois se chauffe la CSQ ? Une photo vaut mille mots !

Cette photo est présentée sur le site web même de la CSQ dans la section diaporama présentant « la marche de solidarité avec le peuple palestinien » qui s’est déroulé à Montréal le 10 janvier dernier. Elle était toujours en ligne aujourd’hui le 18 juillet 2009.

Les idéaux de la CSQ sont fortement mis à l’épreuve.

Cette photo n’est pas anodine. Les 170 000 « membres » de la CSQ approuvent-ils réellement d’être associés à de tels symboles ?

La pancarte que pavane fièrement ce manifestant démontre trois personnages « symboliques » : Yaser Arafat, Ahmed Yassin et Abdel Aziz Rantisi. Trois personnages défunt ayant ouvertement supportés le djihad, le terrorisme, la haine de l’Occident, le rejet des droits de l’Homme ainsi que la démocratie, une valeur que les 170 000 « membres » de la CSQ ont probablement à coeur.

Yassin est aussi le fondateur du Hamas et Rantisi était son successeur. Le Hamas est une organisation « islamiste » qui affiche ouvertement, en plus de supporter le terrorisme, de vouloir instaurer une « théocratie » islamique fondée sur la charia selon les principes véhiculés par l’idéologie des Frères Musulmans.

Anina, ingénieure palestinienne critique d’Israël et réfugiée en France nous parle du Hamas sur France Info : Sur France Info : Anina, palestinienne réfugiée en France, témoigne

Profil de la CSQ

« La CSQ représente près de 170 000 membres, dont près de 100 000 font partie du personnel de l’éducation. Elle est l’organisation syndicale la plus importante en éducation au Québec. La CSQ est également présente dans les secteurs de la santé et des services sociaux, des services de garde, du municipal, des loisirs, de la culture, du communautaire et des communications. » - Source : CSQ


Quelques extraits de la charte du Hamas :

La charte du Hamas a été adoptée par le Hamas le 18 août 1988 et comprend le programme et les objectifs originels du Hamas qui sont la constitution d’un État islamique sur l’ensemble de la Palestine et l’établissement de la loi islamique (ou loi coranique) dans ce futur État, qui sera supposé reprendre le territoire d’Israël, lorsque celui-ci sera vaincu.

Quelques extraits :

Article 8 : « Allah est son but, l’Apôtre son modèle, le Coran sa constitution, le djihad son chemin et la mort sur le chemin de Allah la plus éminente de ses espérances. » (...)

Article 11 : « Telle est la loi régissant les terres de la Palestine selon la charia (loi islamique), et il en va de même pour toutes les terres conquises de force par les Musulmans car à l’époque des conquêtes (islamiques), les musulmans ont constitué ces terres en biens aux futurs générations musulmanes jusqu’au Jour du Jugement. (...) »

Article 13 : « Les initiatives, les prétendues solutions de paix et les conférences internationales préconisées pour régler la question palestinienne vont à l’encontre de la profession de foi du Mouvement de la Résistance Islamique. » (...) « Quant aux initiatives, propositions et autres confé­rences internationales, ce ne sont que pertes de temps et des activités futiles. Le peuple palestinien a trop d’honneur pour dilapider son avenir, son droit et son destin en activités futiles. . »

Article 15 : « Il faut que les ulémas (chefs religieux), les éducateurs et les ensei­gnants, les hommes de médias et de communication, les masses d’intellectuels et tout particulièrement les jeunes des mouvements islamiques et leurs aînés s’associent à cette opération de conscientisation. Il faut introduire des changements essentiels dans les programmes d’enseignement, les épurer de toute trace de l’invasion intellectuelle qui les ont livrés aux mains des orientalistes et des missionnaires chrétiens. Cette invasion de la ré­gion est menée depuis la défaite des ar­mées croisées par Salâh al-Dîn al-Ayyûbî (Saladin) ... »

« Il est nécessaire d’inculquer dans l’esprit de toutes les générations musulmanes que le problème palestinien est un problème religieux, et il doit être traité sur cette base.. »

Article 17 : « (...) organisations aux différents noms et formes, comme les Francs-Maçons, les Clubs Rotary, de groupes d’espionnage et d’autres groupes, qui ne sont rien de plus que des cellules de saboteurs et de subversion. Ces organisations disposent de suffisamment de ressources leur permettant de jouer leur rôle dans les sociétés aux afin de la réalisation des objectifs sionistes (...) »

Article 23 : « Le Mouvement de résistance islamique reconnaît et traite les autres mouvement islamique avec respect et considération. (...) »

Article 24 : « Le Mouvement de la résistance islamique ne permet pas de parler en mal ou de dire des faussetés ni de personnes ou de groupes, car le croyant n’indulge pas dans ce type d’agissements. Il est nécessaire de faire la différence entre ce comportement et les prises de positions de certains individus et certains groupes. Chaque fois que les points de vue sont erronés, le Mouvement de la résistance islamique se garde le droit d’exposer les erreurs et à mettre en garde contre elle. Il s’efforcera de montrer le droit chemin et à juger l’affaire avec objectivité. La bonne conduite est l’objectif du croyant. Il applique cette conduite partout avec lui. »

Article 25 : « La laïcité est en totale contradiction avec l’idéologie religieuse. Ce sont sur les idées, les attitudes et les points de vue qui découlent de l’ideologie.

C’est pourquoi, avec tous notre appréciation pour l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP)- et de ce qu’il peut devenir - et sans nier son rôle dans le conflit israélo-arabe, ((nous sommes dans l’impossibilité de troquer l’islamité de la palestine actuelle ou future avec l’adoption d’un état laïque .)) La nature islamique de la Palestine fait partie de notre religion, quiconque néglige une part de sa religion est un perdant.. »

Article 30 : « Le djihad ne se limite pas qu’à porter des armes et confronter l’ennemi. (...) »

Article 31 : « Sous la tutelle de l’islam, il est possible pour les adeptes des trois religions - l’islam, le christianisme et le judaïsme - de coexister dans la paix et la tranquillité avec les autres. La paix et le calme est impossible, sauf sous la tutelle de l’islam.. (...) »

Ci-bas, Source : Yale Law School
Répondre à cette brève
3 Messages de forum

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Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ? 18 juillet 23:34, par patte de velours

C’est bizarre. Alors que la CSQ a régulièrement et ce, avec vigueur, exprimé son soutien à la cause palestinienne, il n’y avait pas l’ombre d’un chef syndical de cette centrale lors des manifestations soutenant le peuple iranien dans sa lutte contre le régime des Ayatollahs et qui se sont tenues à Montréal le 9 juillet dernier. Ainsi, on pouvait compter qu’une dizaine de québécois de souche à la Place Dorchester ce soir-là. Mais où étaient donc passés nos syndicalistes avec leurs bannières, marionnettes et mégaphones ?

Le droit à la liberté des Iraniens vaudrait-il moins cher que celle des Palestiniens ?

Les positions de la CSQ sont décidément bizarres. Très bizarres.

Répondre à ce message
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Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ? 19 juillet 10:41, par Kasteli

Une action simple à l’endroit de la CSQ : inonder la boîte vocale de son président : M.Réjean Parent :514-356-8888 vous faites le 1 puis composer le 727 pour les 3 premières lettres de PARent et exprimer votre opinion. Ou écrivez une belle lettre : Réjean Parent (président) Siège social - Montréal : 9405, rue Sherbrooke Est Montréal (Québec) H1L 6P3 Téléphone : 514 356-8888

Répondre à ce message
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Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ? 19 juillet 22:18

Quel sont les prochaines solutions de nos braves syndicalistes ? Espérons qu’ils n’ont pas l’idée d’une solution finale





Randa

Répondre à ce message
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
22 juillet 2009, 04:48
Radio/TV
Exodus
22/07/09

Ils étaient une douzaine, réalisateur, productrice, scénariste, acteurs de « Revivre », lors de l’avant-première, face aux spectateurs réunis au sous-sol d'Arte, à Issy-les-Moulineaux. Après trois heures de projection sur grand écran, alors que la lumière venait de se rallumer, l'émotion était prégnante, insoluble. Et c'est bien l’une des forces de cette série franco-israélienne. Celle d’arriver à condenser, en six épisodes passion, bouillonnement, fièvre, révolte, transe et bien d'autres ingrédients qui font que le Proche-Orient est aujourd'hui ce qu'il est. « Revivre » est sans conteste la série télévisuelle la plus ambitieuse de l'été.

Ce nouvel « Exodus » est fondé sur une histoire vraie. Le père du réalisateur Haïm Bouzaglo l'a vécue : embarquement de fortune depuis le Maroc en 1947, traversée aventureuse, premiers conflits à bord entre Séfarades (Juifs d'Afrique du Nord) et Ashkénazes (Juifs d'Europe centrale), capture par les Anglais, internement en camp à Chypre, etc. Et pour ceux qui touchaient la terre promise, les difficultés n'étaient pas moindres tant la vie y était difficile, avec les Anglais aux aguets et les Palestiniens révoltés de la mainmise sur leurs terres… Une distribution extraordinaire (Bernard Campan, Sarah Forestier, Marie-France Pisier, entre autres nombreux grands talents) et une réalisation magistrale dont la lettre d’information vous avait déjà parlé lors de ses premières diffusions sur Internet. A ne pas manquer.

« Revivre », de Haim Bouzaglo, sur Arte, jeudi 23 et vendredi 24 juillet 2009, à 20 h 45.

[www.crif.org]


Pièces jointes:
Exodus-Bouzaglo.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
22 juillet 2009, 05:12
REVIVRE
Interview de Haïm Bouzaglo - Réalisateur
« Le tournage, une vraie Tour de Babel »


Comment est née l'idée de "Revivre" ?

À Jérusalem, lors d’une conversation avec Nelly Kafsky. J’avais en projet un film sur le parcours de mon père – Ashriel dans le film, interprété par Marc Ruchmannqui avait quitté le Maroc en bateau pour la Palestine. Elle souhaitait évoquer aussi celui des survivants de l’Holocauste. C’était l’occasion de raconter la rencontre entre Séfarades et Ashkénazes au cours de cette épopée. Avec ma compagne Lisa Mamou et Daniel Saint-Hamont, nous avons alors co-écrit cette toile de destins croisés, inspirée d’histoires vraies. Je ne voulais pas de figurants : dans l’école de comédiens que j’anime en Israël, j’ai demandé à tous mes élèves de se plonger dans le passé de leurs parents, et d’incarner un personnage lié à leurs origines. C’est ainsi que les 250 passagers du bateau du film ont chacun apporté une émotion extrêmement forte, partagée par le public lors de la diffusion en Israël.

Étrangement, il existe encore peu de films sur cette migration…

Si l’Holocauste ou la création d’Israël en 1948 sont connues, cette période charnière –1947– l’est beaucoup moins, alors qu’elle porte en elle tous les ferments de l’histoire récente du Proche- Orient, non seulement les tensions entre Juifs et Arabes, mais aussi le clivage entre Séfarades et Ashkénazes, Juifs laïcs et religieux, modérés et radicaux de part et d’autre. Tensions qui demeurent soixante ans plus tard. Cela m’intéressait d’inscrire cette page d’Histoire sur pellicule, d’éclairer les fondements du conflit proche-oriental comme les motivations de ces gens dans leur volonté de rejoindre Israël. Tous convergent naturellement vers ce pays biblique avec l’espoir d’y trouver « leur maison ». Certains quittent une vie confortable pour des raisons messianiques ou traditionnelles ; les survivants de la Shoah, eux, n’ont pas le choix. Et tous se retrouvent dans un camp de prisonniers ou un désert, loin de la Terre du lait et du miel dont ils rêvaient.

Quelles ont été les difficultés rencontrées sur le tournage ?

Nous avons beaucoup tourné en extérieur. Il a fallu rendre le bateau crédible, reconstituer le Maroc en Israël, le kibboutz, le village arabe, et surtout le camp à Chypre. Nous devions aussi coordonner près de 250 acteurs qui parlaient des langues différentes –hébreu, arabe, yiddish, marocain, français, anglais, le tout avec des équipes françaises et israéliennes. Une vraie Tour de Babel. Mais l’ambiance de tournage a été extraordinaire. Nous avons immédiatement formé une grande famille, grâce aussi aux acteurs, très touchés par cette histoire. Les conditions, dures physiquement, nous ont soudés. Et les Français non
juifs dont Bernard Campan ont vécu le film comme une belle aventure.

Quel regard portez-vous sur l'avenir de la région ?

Si la dernière décennie nous a encore éloignés de la Paix, après l’espoir de la période Rabin-Arafat, nous avons la responsabilité de rester optimistes pour nos enfants. Peut-être que Barack Obama trouvera une approche originale pour traiter de la question israélopalestinienne. Je crois qu’il en a les capacités. En témoigne sa tentative de communiquer avec les Iraniens.

Actu / Haïm Bouzaglo
Réalisateur, scénariste et producteur, Haïm Bouzaglo a remporté un grand nombre de prix et connaît un véritable succès en Israël. Dernièrement, il aécrit et réalisé pour le cinéma la Trilogie, coproduite par Mazel
Productions et Nelly Kafsky : Distorsion (2005), Janem Janem (2006) et Côte à Côte avec Meital Berda, sortie prévue en France en 2009.

© © Bernard Barbereau

[www.arte.tv]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
26 juillet 2009, 12:41
Un point de vue japonais sur les palestiniens -Par Yashiko Sagamori
mardi 21 juillet 2009

Un point de vue japonais sur les palestiniens

On ne pourrait pas le dire mieux Un dessin vaut mieux que mille mots La fin de l’injuste occupation juive du territoire arabe

Le monde est-il totalement stupide

Un questionnaire intéressant pour les avocats palestiniens Par Yashiko Sagamori

Si vous êtes si sûrs que la « Palestine, le pays, a toujours été reconnue historiquement », j’espère que vous êtes capables de répondre à quelques questions de base sur ce pays de Palestine :

1. Quand le pays a-t-il été fondé et par qui ?

2. Quelles étaient ses frontières ?

3. Quelle était sa capitale ?

4. Quelles étaient ses villes les plus importantes ?

5. Quelles étaient les bases de son économie ?

6. Quelle était sa forme de gouvernement ?

7. Pouvez-vous nommer au moins un leader palestinien avant Arafat ?

8. La Palestine a-t-elle été jamais reconnue comme un pays dont l’existence, alors ou maintenant, ne laisse aucune place à interprétation ?

9. Quelle était la langue de la Palestine ?

10. Quelle était la religion prédominante de la Palestine ?

11. Quel était le nom de sa monnaie ? Choisissez une date quelconque dans l’histoire et dites quel était le taux de change approximatif de l’unité monétaire palestinienne par rapport au dollar US, au mark allemand, à la livre anglaise, au yen japonais ou au yuan chinois à la dite date.

12. Et enfin, étant donné que ce pays n’existe pas actuellement, qu’est-ce qui a cause sa disparition et quand est-elle survenue ?
Vous vous lamentez sur le « naufrage » d’une nation « qui fut fière ». Alors dites-moi, quand exactement cette « nation » a été fière et de quoi elle était fière ?
Et voici la question la moins sarcastique de toutes :
Si les peuples que vous appelez par erreur « palestiniens » ne sont que des arabes génériques arrivés de tout –ou qui ont été chassés de tout – le monde arabe, s’ils ont réellement une véritable identité ethnique qui leur donne le droit à l’autodétermination, pourquoi n’ont-ils jamais essayé de devenir indépendants avant que les arabes ne subissent leur défaite dévastatrice lors de la guerre des Six Jours ?

J’espère que vous éviterez la tentation de faire descendre les « palestiniens » actuels des philistins de la Bible en utilisant l’étymologie étant donné que sur le plan historique, cela ne marche pas.

La vérité devrait évidente pour tous ceux qui veulent la connaître. Les pays arabes n’ont jamais abandonné le rêve de détruire Israël ; ils le caressent encore aujourd’hui. La réalisation de leur objectif diabolique par les armes, ayant encore et encore échoué, ils ont décidé de combattre Israël par procuration. A cet effet, ils ont crée une organisation terroriste, appeléecyniquement « le peuple palestinien » et l’ont installée à Gaza, en Judée et en Samarie.

Comment peut-on expliquer autrement le refus de la Jordanie et de l’Egypte respectivement, de reprendre la Cisjordanie et Gaza ? Le fait est, que les arabes qui peuplent Gaza, la Judée et la Samarie réclament beaucoup moins d’exister en tant que nation qu’une tribu indienne qui a émergé avec succès dans le Connecticut dans le but de lancer un casino exonéré de taxes ; cette tribu, au moins, était motivée par un but constructif. Les soi-disant « palestiniens » ont une seule motivation : la destruction d’Israël et, à mon avis, ce n’est pas suffisant pour les considérer comme une nation » - ou quelque chose d’autre que ce qu’ils sont réellement : une organisation terroriste qui sera démantelée un jour.

En fait, il n’y a qu’une seule façon d’obtenir la paix au Moyen Orient. Les pays arabes doivent reconnaître et accepter leur défaite dans leur guerre contre Israël. En tant que vaincus ils doivent payer des réparations à Israël pour les plus de 50 ans de dévastation qu’ils lui ont causé. La forme la plus appropriée de réparation serait l’évacuation de leur organisation terroriste de la terre d’Israël et l’acceptation de l’ancienne souveraineté d’Israël sur Gaza, la Judée et la Samarie. Cela marquerait la fin du peuple palestinien.

Comment a-t-il commencé, dites-vous ?
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
26 juillet 2009, 16:05
Géopolitique: Un été en Orient [Israël et la menace nucléaire iranienne], François d'Orcival

Les Égyptiens, les Saoudiens, et les Arabes du Golfe disent aux Américains : “Si vous n’agissez pas pour nous préserver de la bombe iranienne, nous laisserons les Israéliens le faire à votre place.” (JJRI).

26/07/09

Sur le site de l'Institut Jean-Jacques Rousseau (JJRI), 23 juillet.

L’été réserve toujours des surprises. Sans parler de la déflagration des deux derniers conflits mondiaux, les étés les plus récents ont été marqués par des événements imprévus : l’éclatement de la crise financière, la semaine de guerre entre la Russie et la Géorgie. Celui-ci va-t-il nous rappeler que l’Orient peut, à tout moment, nous entraîner dans une nouvelle convulsion dont il a le secret ?

Le 16 juillet, le Times de Londres révélait l’information selon laquelle deux corvettes israéliennes venaient de traverser le canal de Suez pour entrer en mer Rouge, où elles devaient prendre part à des exercices navals combinés. Deux semaines plus tôt, un sous-marin également israélien, avait, lui aussi, emprunté le canal de Suez, dans la même direction. Ces informations ont été confirmées tant par les autorités israéliennes, que par le ministère égyptien des Affaires étrangères. Les deux pays ont donc tenu à faire savoir que le gouvernement du Caire avait délibérément autorisé ce passage.

Or, les corvettes et le sous-marin sont les bâtiments les plus modernes de la marine israélienne. Construites par des chantiers américains, les corvettes de classe Saar sont équipées de systèmes d’armes lance-missiles et antimissiles, mais aussi de puissants appareils d’écoute. Le sous-marin de type Dolphin, de 1900 tonnes en plongée, commandé à l’Allemagne et financé par elle, dans une série de trois, est présenté par la marine israélienne comme une arme de dissuasion stratégique et de recueil de renseignements : il est notamment équipé de tubes lance-torpilles, adaptés au tir de missiles de croisière Popeye Turbo – dont certains n’hésitent pas à prétendre qu’ils sont à capacité nucléaire.

Ces deux corvettes et ce sous-marin ont donc franchi le canal, au vu et au su de tout le monde. Dans le même temps, le gouvernement israélien a laissé filtrer une autre information : Israël avait testé avec succès, à partir d’un centre de tir américain du Pacifique, un missile de portée intermédiaire.

Si l’on se reporte à la carte de la région, les deux plus importants pays riverains de la mer Rouge où se déroulent les exercices israéliens sont l’Égypte et l’Arabie Saoudite. La Mer Rouge débouche sur le golfe d’Aden et la mer d’Oman. À qui s’adressent donc ces signaux multiples, si ce n’est à l’Iran ? Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, l’a affirmé avec force, le 14 juin, dans son premier discours de politique étrangère : « Le plus grand danger auquel Israël, le Proche-Orient et le monde entier doivent faire face est le lien entre l’islam radical et les armes nucléaires.»

Il l’a dit à Barack Obama, à Washington, comme aux dirigeants européens qu’il a rencontrés : « Depuis des années, je travaille inlassablement à forger une alliance internationale pour empêcher l’Iran d’avoir des armes nucléaires. »

Le danger, tout le monde en est conscient. Mais l’élection, l’installation, puis les premiers pas du nouveau président des États-Unis, le réflexe qui est le sien de faire sinon l’inverse, du moins autrement que son prédécesseur, George Bush, ont fait perdre beaucoup de temps à la dissuasion internationale à l’égard de Téhéran. C’est seulement la semaine dernière que Hillary Clinton, chef de la diplomatie américaine, a dit, pour la première fois, que si elle était toujours prête à parler avec l’Iran, « le temps de l’action était venu » – date limite : cet automne… Depuis la campagne présidentielle américaine, l’Iran aura donc gagné dix-huit mois au moins pour faire tourner ses centrifugeuses atomiques et accélérer ses recherches.

Or, les convulsions violentes qui sont survenues au lendemain de l’élection présidentielle du 12 juin, et ont évidemment affaibli le pouvoir de Mahmoud Ahmadinejad, ne sont pas sans effet sur le dossier nucléaire. La bombe, c’est le nationalisme iranien. Et le parti islamiste au pouvoir peut, à tout moment, être tenté d’en jouer pour retrouver son autorité perdue. Cela caractérise une situation dangereuse.

C’est là qu’intervient Israël, avec ses “armes de dissuasion”. Et, derrière l’État hébreu, les Égyptiens, les Saoudiens, les Arabes du Golfe. Aux Américains, ceux-ci disent : “Si vous n’agissez pas pour nous préserver de la bombe iranienne, nous laisserons les Israéliens le faire à votre place.” Ce n’est pas un hasard si Benyamin Nétanyahou a prononcé son discours du 14 juin, sur la création d’un État palestinien démilitarisé, au Centre d’études stratégiques Begin-Sadate de l’université Bar-Ilan – référence à l’alliance entre les deux hommes qui changèrent la donne. En gelant explicitement les implantations juives dans les territoires, le nouveau Premier ministre offrait une chance de plus à sa nouvelle alliance.

Face à l’Iran, une course contre la montre est engagée.


© François d’Orcival & Valeurs Actuelles, 2009

Mis en ligne le 26 juillet 2009, par M. Macina, sur le site upjf.org
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 juillet 2009, 11:11
Robert Assaraf - le leader auto proclamé des juifs encore vivant au Maroc - a déclaré dans une interview publié dans la revue Emarrakech
"Grâce à Hassan II, l'acceptation de l'idée d'Israël fut possible. J'ai pu accompagner le grand rabbin d'Israël, chef du monde Sépharade qui a fait la demande dès son élection pour aller bénir le roi du Maroc et ce vœu fut exaucé. Le roi Mohamed VI l'a reçu dans son palais de Tanger pour le bénir lui, le prince Moulay Rachid et le prince Moulay Hassan. Quand Hassan II est mort, on a fait des sondages qui ont montré qu'il était le chef d'état dans le monde qui a eu la meilleure note de l'opinion Israélienne avant même le président des États Unis!"





Fin de semaine spéciale Maroc 31 juillet et 1 Août 2009


Pour la première fois en Israel, la chaîne 31 sur les câbles YES, et la chaîne 41 sur les câbles HOT, dédient une fin de semaine entière au Maroc, avec la participation du palais royal marocain. Avec la participation de la fédération mondiale des juifs du Maroc a l'occasion des 10 ans, que notre roi S.M. Hassan II nous ait quitte, et a l'occasion des 10 ans de règne de S.M. Mohamed VI.
Pendant la retransmission du programme vous verrez un film, hommage a la mémoire du roi S.M Hassan II, le film a été tourne a l'Université de Tel-Aviv, avec la particip ation de la fédération mondiale des juifs du Maroc et d'autres mouvements des juifs du Maroc, dans le film on voit des célébrités israélienne comme le président de l'état d'Israël monsieur Shimon Peres, le rabbin de Jérusalem Rabbi Shalom Messas ZAL d'origine marocaine, le consul de France en Israël, le représentant du roi du Maroc Toulal Roufreni et 2000 personnes qui sont venues pour honorer la mémoire de notre regrette S.M. Hassan II.





De ma correspondante spéciale NANOUCHE DU KFE.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
02 août 2009, 14:10
Israël sous le choc après l'attaque mortelle d'un centre d'aide aux homosexuels



Deux Israéliennes pendant une manifestation le 2 août 2009 à Tel Aviv, au lendemain d'une attaque homophobe

Israël était sous le choc dimanche après l'attaque sans précédent d'un centre d'aide à des adolescents homosexuels à Tel-Aviv, qui a tué deux personnes et blessé 15.

Les plus hauts responsables du pays ont dénoncé cette attaque aveugle alors que les membres de la communauté homosexuelle et des défenseurs des droits de l'Homme exprimaient leur indignation.

Samedi soir, un inconnu au visage masqué et vêtu de noir a ouvert le feu à l'arme automatique sur un groupe de jeunes de la communauté des gays et lesbiennes à l'intérieur du centre, situé en plein centre de Tel-Aviv, avant de s'enfuir.

Nir Katz, un jeune homme de 26 ans, et Liz Tarbishi, une jeune fille de 17 ans, ont été tués et quinze personnes blessées dont trois grièvement, selon les médecins.

Des drapeaux aux couleurs de l'arc-en-ciel de la communauté gay ont été placardés près du lieu du drame et des bouquets de fleurs y ont été déposés. Des slogans comme "la mort des droits de l'Homme", "A bas l'homophobie", ou "nous n'avons pas peur" ont été affichés sur les lieux.

Un millier de personnes ont défilé dans l'après-midi près du centre d'aide aux homosexuels pour protester contre l'attaque, dénonçant un "crime odieux" et exprimant leur solidarité avec la communauté homosexuelle.

"Tout indique qu'il s'agit d'un acte criminel dirigé contre la communauté des gays et lesbiennes et pas d'une attaque terroriste" palestinienne, a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld.

La police n'a pas écarté cependant à ce stade de l'enquête la possibilité d'une vengeance personnelle.

Le chef du gouvernement Benjamin Netanyahu a ordonné à la police, qui a imposé le black-out total sur ce drame, de faire tout son possible "pour retrouver l'assassin et le traduire en justice".

"Nous sommes un Etat de droit, démocratique, nous sommes un pays de tolérance", a-t-il déclaré.

Le président de l'Etat Shimon Peres a déclaré pour sa part que "ce meurtre choquant" était "intolérable pour toute société éclairée".

La dirigeante de l'opposition, Tzipi Livni, est venue quant à elle exprimer sa solidarité lors de la manifestation à Tel-Aviv. "Même si nous ne savons pas à ce stade les motifs du meurtrier et son identité, une chose est certaine, c'est qu'il a agi par haine", a dit la numéro un du parti centriste Kadima.

"Notre communauté (homosexuelle) ne se laissera pas effrayer, elle affrontera la tête haute et avec fierté tous ceux qui la menacent, à la guerre nous répliquerons par la guerre", a réagi Nitzan Horowitz, député du parti Meretz d'opposition de gauche.

Des représentants de la communauté homosexuelle ont rappelé que dans le passé des croix gammées avaient été peintes à l'entrée du centre.

"Pas étonnant qu'un crime pareil puisse être commis, vu l'incitation à la haine contre la communauté homosexuelle", a déclaré le président de la communauté des gays et lesbiennes à Tel-Aviv, Maï Pelem.

Il a fait référence aux virulentes agressions verbales des milieux religieux et plus particulièrement d'extrême droite contre l'homosexualité.

En 2005, un Juif orthodoxe avait blessé trois participants de la Gay Pride à Jérusalem en les poignardant.

La ville côtière de Tel-Aviv est connue depuis des années comme étant le bastion de la communauté homosexuelle d'Israël.

Malgré l'hostilité que l'homosexualité, surtout masculine, suscite dans les cercles religieux juifs en Israël -qui parlent d'"abomination"-, elle n'est plus passible de sanctions pénales depuis 1988 et certains droits des couples de gays ou de lesbiennes sont depuis lors reconnus par les tribunaux.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
05 août 2009, 09:56
DOUBAÏ, FIN D'UN ELDORADO ARABE


Par Ftouh Souhail, journaliste et écrivain à Tunis
le 11 Juin 2009 - Rencontre Judaïque FM

Le petit émirat de Doubaï, à la réussite économique si insolente ces dernières années, est en train de vivre le pire. La chute brutale des prix du pétrole a paralysé l'économie de l'émirat et la réalité de la crise financière internationale l'a rattrapée de plein fouet, au point que le rêve de Doubaï s'effondre comme un château de carte.

L'insolente prospérité de Doubaï et la notoriété qu'il s'est construite au fils des années et qui en font une destination de plus en plus prisées des Arabes, notamment des Nord-Africains qui rêvent de ses pétrodollars, est désormais sur le point de prendre fin. Plombé par des investissements immobiliers hasardeux, Doubaï s'enfonce dans le marasme. Fin février 2009, malgré l'émission de bons du Trésor de 20 milliards de dollars pour refinancer sa dette, l'ombre d'une faillite généralisé se rapproche dans ce petit émirat arabe qui a forgé son image sur le luxe exorbitant et les grattes ciels exotiques. Selon une étude en date du 5 février 2009, 55 % des projets de construction, d'un montant de 582 milliards de dollars, ont été gelés. Et des menaces pèsent aujourd'hui sur les actifs de la plupart des banques. Selon Raed Safadi, chef économiste du gouvernement de Doubaï, la progression du PIB s'établira sous les 2,5% (prés de 9 % estimé en 2008), ce qui signifie que l'émirat sera incapable de stimuler les dépenses publiques. Les agences de notation ont estimé récemment que la dette de Doubaï atteignait 47 milliards de dollars, soit 103 % de son PIB, précise Mary Nicola, économiste en charge du Moyen Orient à la Standard Chartered Bank. A quoi s'ajouteraient 70 milliards de dollars de dettes dans les comptes des sociétés contrôlées par l'émirat de Doubaï.

Sous la direction du Cheikh Mohammed bin Rashid Al-Maktoum, Doubaï (un des 7 états des Emirats arabes unis) a invité les gens du monde entier à venir « faire de l'argent » et ils l'ont fait. Environ 83% de sa population de 1,4 millions d'habitants, sont étrangers. L'émirat a exploité le boom de l'énergie. Doubaï est devenu célèbre pour la seule piste de ski dans le désert tropical, le seul hôtel 7 étoiles, et la tour la plus haute du monde. La publicité pour les gratte-ciel, par exemple, les présente comme "un exemple sans précédent de coopération internationale et un phare de progrès pour le monde entier".

Mais si Doubaï a semblé être une exception à la trajectoire musulmane générale, cela n'était qu'éphémère. Depuis six mois, la crise mondiale a ouvert quelques voies d'eau dans ce symbole démesuré de l'économie arabe. L'immobilier, qui devait être la locomotive de l'après-pétrole, est la première victime de la vague de la récession dans les pays du Golfe persique. Et les 800 000 travailleurs immigrés, qui représentent plus des deux tiers de la population de Doubaï, voient le rêve du plein-emploi s'évanouir. Pakistanais, Indiens, Philippin, sont directement exposés au chômage. Tandis que le gel de plusieurs chantiers, comme celui de la tour Bourdj Doubaï, tour qui devait dépasser le seuil vertigineux des 1000 m, vient d'être décidé. Quand ce n'est pas le chômage technique, c'est le retour au pays d'origine. Car les autorités n'ont pas d'états d'âme. Les chômeurs étrangers ont un mois pour quitter le territoire. Aucune donnée précise n'est officiellement disponible sur l'ampleur de cet exode économique, mais la presse arabe avance le chiffre de 50 000 à 70 000 départs depuis le début de l'année. Des rapatriements que les chômeurs espèrent provisoires, pour ne pas perdre le bénéfice de leur précieuse carte de séjour, valable seulement six mois après leur départ.

Les énormes recettes pétrolières qui ont été versées n'ont nulle part où aller, sinon de plus en plus dans la spéculation immobilière. C'est un grand commerce pour les promoteurs et leurs fournisseurs occidentaux et asiatiques. La formule, de leur point de vue, est très simple : vendre les terres désertiques à des investisseurs "at premium". Ensuite doubler les profits par le financement de la construction d'îles artificielles, de lacs, de centres commerciaux. Avec une récession dans le monde entier et le prix du pétrole chutant de plus des deux tiers, nul n'a été touché plus durement que la machine à rêve de Doubaï. Tout comme elle s'était élevée avec panache, elle coule maintenant. Un exemple, comme l'a indiqué Robert F.Worth dans le New Yok Times : "Avec l'économie de Doubaï en chute libre, les journaux ont rapporté que plus de 3000 voitures se trouvaient abandonnées partout dans le parc de stationnement, à l'aéroport de Doubaï, laissées par la fuite des étrangers surendettés et qui peuvent en fait être emprisonnés s'ils ne payent pas leurs factures! Certains ont dit avoir crevé le plafond de leur carte de crédit, et des notes d'excuses ont été fixées avec du ruban adhésif sur le pare-brise".

Ce syndrome de la voiture abandonnée et des chômeurs qui perdent leur visa de travail, tout cela a pour effet de réduire les dépenses, de créer des logements vacants et de faire baisser le prix de l'immobilier, dans une spirale descendante qui a laissé des parties de Doubaï - saluée comme la superpuissance économique du Moyen-Orient - ressemblant à une ville fantôme. Les routes de Doubaï, généralement surchargées de trafic à cette époque de l'année, sont maintenant pour la plupart dégagées. Les expatriés sont maintenant en baisse dans le pays. Certains voient cela comme si c'était une arnaque depuis le début. Une spécialiste des Emirats Arabes Unis à l'université de Durham, note que "Quand Doubaï était riche et prospère, tout le monde souhaitait être son ami. Maintenant qu'il n'a plus d'argent en poche, personne ne désire plus être copain avec lui."

Les prix de l'immobilier, qui ont augmenté de manière dramatique pendant les six années du boom de Doubaï, ont chuté de 30 % ou plus sur les 2 ou 3 derniers mois. Des dizaines de milliers de personnes sont parties, une multitude de grands projets de construction de Doubaï ont été suspendus ou annulés. Le mois dernier les journaux locaux ont rapporté que Doubaï annulait 1000 visas de travail tous les jours. Certains disent que le véritable chiffre est bien supérieur. Personne ne connaît l'étendue du mal. Au lieu de s'orienter vers une plus grande transparence, les Emirats semblent se diriger dans une autre direction. Un nouveau projet de loi sur la presse considèrerait comme un crime d'endommager la réputation du pays ou de l'économie, passible d'amende jusqu'à un million de dirhams (272 000 dollars). Certains disent que ça a déjà un effet frigorifiant sur les analystes de la crise. La panique est à son maximum à Doubaï. Comme le gouvernement refuse de donner des chiffres, les rumeurs vont bon train, endommageant la confiance et sapant l'économie un peu plus. Les méchantes rumeurs se répandent vite : le Palm Jumeirah, l'île artificielle qui est un des développements phare de la ville serait en train de couler. La vulnérabilité de Doubaï était prévisible. L'establishment avait espéré que de grosses constructions se substitueraient aux hydrocarbures et que la ville sera, du jour au lendemain, un centre financier. Surgis de terre en l'espace en vingt ans, des centaines de gratte-ciel donnent à Doubaï de faux airs de Frankfort ou Manhattan.

Il faut voir ici le résultat d'un aveuglement politique des cheikhs, rois, émirs et leurs amis qui n'ont aucune perception de la vraie richesse qui réside essentiellement, n'on pas dans le béton armé ou le luxe vulgaire mais dans l'investissement dans l'intelligence humaine. L'état juif par exemple n'a pas de pétrole, mais il a des femmes et des hommes créatifs. Faute de ressources naturelles, les Israéliens misent sur la matière grise. Seulement, voilà les riches émirats, à l'instar de la plupart des pétro-monarques de la région, n'ont pas le même attachement pour le savoir et la connaissance que les pionniers juifs en Israël.

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
05 août 2009, 10:27
La maison de Roi Klein z.l. est notre maison ! Signez la pétition contre sa destruction !

Source : [vudejerusalem.20minutes-blogs.fr]

Pour tous les Israéliens, le nom de Roi Klein est devenu le synonyme de l’héroïsme, du sacrifice de soi, et de toutes les valeurs du sionisme d’antan, qui se perpétuent jusqu’à nos jours.

Ce jeune officier, tombé pendant la Deuxième Guerre du Liban en se jetant sur une grenade pour sauver ses soldats, a rejoint dans l’histoire de notre jeune Etat les héros les plus mythiques, depuis Joseph Trumpeldor jusqu’à Yoni Netanyahou… Il n’est pas anodin que les circonstances de sa mort soient identiques à celles de la mort d’un autre jeune soldat, Nathan Elbaz, tombé pendant la guerre d’Indépendance, et immortalisé par un poème de Nathan Alterman.

Roi Klein z.l. et sa famille

Pour tous les Israéliens ? Non, hélas. Car il existe au sein de notre peuple une infime minorité, qui voit en Roi Klein non pas un héros national, mort pour la Sanctification du Nom, mais un ennemi, voire un délinquant, comme l’écrit justement Nadav Ha’etsni dans les colonnes de Ma’ariv ce matin. Un délinquant, dont il faudrait détruire la maison, où vivent encore sa veuve et ses orphelins, au nom d’une conception de la justice qui est pire que celle de Sodome !

Or, c’est précisément cette conception dévoyée de la justice que défendent aujourd’hui la Cour suprême de l’Etat d’Israël et le groupuscule pro-palestinien financé par l’Union européenne, Chalom Archav (La Paix Maintenant), qui a demandé et obtenu des juges siégeant à Jérusalem qu’ils ordonnent la destruction de la maison de la famille Klein, en Samarie.

Pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette affaire surréaliste, il faut analyser l’idéologie de ces “humanistes” qui siègent à la Cour suprême et occupent des postes clés au sein des élites de notre pays, dans les médias, dans la sphère politique et dans l’université. J’ai décrit, dans un article consacré au journal Ha’aretz, l’état d’esprit de ces élites post-sionistes, qui déploient des efforts incessants pour transformer l’Etat juif en un “Etat de tous ces citoyens” (c’est-à-dire un Etat binational) et qui combattent sans relâche contre tout ce qui est juif dans notre pays. Au-delà des explications psychologiques, ces élites constituent aujourd’hui un danger politique crucial, dont l’évidence est devenue encore plus criante après l’élection de Barack Obama, auquel ils inspirent sa politique anti-israélienne.

Car aux yeux des militants de Chalom Archav – qui se rendent quotidiennement dans les localités juives en Judée et Samarie, pour compter les maisons en construction et vont ensuite dénoncer à l’Union européenne et à l’administration Obama ces atteintes israéliennes au “processus de paix” – Roi Klein est un Juif dangereux, même après sa mort. Pour obtenir la paix, c-à-d. pour édifier un nouveau “Hamastan” au cœur d’Israël, ils sont prêts à déloger tous les Juifs de Judée-Samarie, à expulser la veuve et les orphelins de Roi Klein manu militari, avec violence s’il le faut (comme à Amona) et même s’ils doivent ensuite habiter dans une caravane (comme les habitants du Goush Katif, toujours sans abri, quatre ans après leur expulsion par Tsahal sur les ordres d’Ariel Sharon).

Il est grand temps que tous les Israéliens sionistes – de gauche comme de droite – qui ont gardé la tête sur les épaules et que tous les Juifs du monde qui ont un cœur et une âme juive, et qui s’identifient plus à Roi Klein qu’aux assassins du Hamas, se lèvent comme un seul homme et s’insurgent contre les juges de Sodome qui prétendent faire la loi à Jérusalem, et contre les ennemis de l’intérieur, à Chalom Archav et ailleurs, qui voudraient détruire la maison de Roi Klein, et détruire tout ce qu’il y a de grand, de beau et de juif dans notre pays. Ne les laissons pas détruire la maison de Roi Klein. Ne les laissons pas détruire notre maison !

Itshak Lurçat
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
06 août 2009, 06:12
Les pires ce ne sont pas nos ennemis qui veulent nous aneantir, les pires ce sont ses juifs gauchistes de merde de chalom achaf.
Je n'ai pas l'habitude de m'exprimer ainsi, mais comme disait ma grand-mere, "trop c'est trop".
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