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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
05 avril 2009, 11:36


Susceptibilité antichrétienne : les pharmacies parisiennes bientôt obligées de décrocher leur enseigne cruciforme ?

Wednesday 1 April 2009 | Politique and Société multiraciale and Religion | Email | Print

Susceptibilité antichrétienne : les pharmacies parisiennes bientôt obligées de décrocher leur enseigne cruciforme ?


01/04/2009 – 08h00
PARIS (NOVOpress) – Une association maghrébine parisienne, Paris-Beurs-Cités, a adressé il y a une dizaine de jours une lettre à la mairie de Paris afin de demander que soient « progressivement supprimées des devantures des pharmacies les enseignes en forme de croix ». La conseillère technique du Cabinet de Bertrand Delanoë en charge des cultes, Ilda Vrospinos, lui a officiellement répondu que sa demande allait être « examinée avec la plus extrême attention ».

L’association, qui se présente pourtant comme « non confessionnelle » et entend « regrouper les jeunes Français issus de l’immigration maghrébine afin de les aider à trouver leur place dans une société encore largement discriminatoire » explique sa démarche par le fait que « ce symbole religieux ostentatoire, vestige d’une époque révolue où la religion catholique était omniprésente dans notre pays » est susceptible de « heurter la susceptibilité des croyants non chrétiens mais aussi des personnes non ou antireligieuses » et « contrevient gravement au principe républicain de laïcité ». « Alors que la crise économique accroît les risques d’affrontements intercommunautaires, ces enseignes à forte connotation religieuse pourraient être ressenties par certains comme une forme de discrimination, voire comme une provocation », poursuit Paris-Beurs-Cités.

La demande pourrait bien aboutir si l’on en croit la réponse officielle de Mme Vrospinos, qui affirme dans la lettre qu’elle a adressée à l’association « comprendre pleinement [ses] préoccupations ». La conseillère technique indique qu’elle va « soumettre [la] demande à Bertrand Delanoë qui, n’en doutez pas, va l’examiner avec la plus extrême attention ». Elle précise également que le maire de Paris « qui a fait du “vivre ensemble” l’un des fondements de son engagement », « est très attentif à la bonne entente entre communautés » et qu’il est « pleinement conscient du caractère néfaste de certains anachronismes ». Une dernière phrase lourde de menaces…

Pièces jointes:
croixpharmacie.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
19 avril 2009, 10:20
Fraises espagnoles/ scandale écologique


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Très instructif !

D'ici à la mi‐juin, la France aura importé
d'Espagne plus de 83 000 tonnes de fraises.
Enfin, si on peut appeler «fraises» ces gros
trucs rouges, encore verts près de la queue
car cueillis avant d'être mûrs, et ressemblant
à des tomates. Avec d'ailleurs à peu près le goût des tomates...

Si le seul problème posé par ces fruits était leur fadeur, après tout, seuls les consommateurs piégés pourraient se plaindre d'avoir acheté un produit qui se brade actuellement entre deux et trois euros le kilo sur les marchés et dans les grandes surfaces,
après avoir parcouru 1 500 km en camion. À dix tonnes en moyenne par véhicule, ils sont 16 000 par an à faire un parcours valant son pesant de fraises en CO2 et autres gaz d'échappement. Car la quasi‐totalité de ces fruits poussent dans le sud de l'Andalousie, sur
les limites du parc national de Doñana, près du delta du Guadalquivir, l'une des plus fabuleuses réserves d'oiseaux migrateurs et nicheurs d'Europe.

Il aura fallu qu'une équipe d'enquêteurs du WWF‐France s'intéresse à la marée montante de cette fraise hors saison pour que soit révélée l'aberration écologique de cette production qui étouffe la fraise française (dont une partie, d'ailleurs, ne pousse pas dans
de meilleures conditions écologiques). Ce qu'ont découvert les envoyés spéciaux du WWF, et que confirment les écologistes espagnols, illustre la mondialisation bon marché.

Cette agriculture couvre près de six mille hectares, dont une bonne centaine empiète déjà en toute illégalité (tolérée) sur le parc national. Officiellement, 60% de ces cultures seulement sont autorisées; les autres sont des extensions «sauvages» sur lesquelles le pouvoir régional ferme les yeux en dépit des protestations des écologistes.




Les fraisiers destinés à cette production, bien qu'il s'agisse d'une plante vivace productive plusieurs années, sont détruits chaque année. Pour donner des fraises hors saison, les plants produits in vitro sont placés en plein été dans des frigos qui simulent
l'hiver, pour avancer leur production. À l'automne, la terre sableuse est nettoyée et stérilisée, et la microfaune détruite avec du bromure de méthyl et de la chloropicrine.
Le premier est un poison violent interdit par le protocole de Montréal sur les gaz attaquant la couche d'ozone, signé en 1987 (dernier délai en 2005); le second, composé de chlore et d'ammoniaque, est aussi un poison dangereux: il bloque les alvéoles pulmonaires.

Qui s'en soucie? La plupart des producteurs de fraises andalouses emploient une main‐d'oeuvre marocaine, des saisonniers ou des sans‐papiers sous‐payés et logés dans des conditions précaires, qui se réchauffent le soir en brûlant les résidus des serres en
plastique recouvrant les fraisiers au coeur de l'hiver.
... Un écologiste de la région raconte l'explosion de maladies pulmonaires et d'affections de la peau.



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Les plants poussent sur un plastique noir et reçoivent une
irrigation qui transporte des engrais, des pesticides et des
fongicides. Les cultures sont alimentées en eau par des forages
dont la moitié ont été installés de façon illégale. Ce qui transforme
en savane sèche une partie de cette région d'Andalousie, entraîne
l'exode des oiseaux migrateurs et la disparition des derniers lynx
pardel, petits carnivores dont il ne reste plus qu'une trentaine dans
la région, leur seule nourriture, les lapins, étant en voie de
disparition. Comme la forêt, dont 2 000 hectares ont été rasés pour faire place aux fraisiers.

La saison est terminée au début du mois de juin. Les cinq mille tonnes de plastique sont soit emportées par le vent, soit enfouies n'importe où, soit brulées sur place.

> > ... Et les ouvriers agricoles sont priés de retourner chez eux ou de s'exiler ailleurs en Espagne. Remarquez: ils ont le droit de se faire soigner à leurs frais au cas ou les produits nocifs qu'ils ont respiré ...

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La production et l'exportation de la fraise espagnole,
l'essentiel étant vendu dès avant la fin de l'hiver et jusqu'en
avril, représente ce qu'il y a de moins durable comme
agriculture, et bouleverse ce qui demeure dans l'esprit du
public comme notion de saison. Quand la région sera ravagée et
la production trop onéreuse, elle sera transférée au Maroc, où les industriels espagnols de la fraise commencent à s'installer. Avant de venir de Chine, d'où sont déjà importées des pommes encore plus traitées que les pommes françaises...

PAR Claude‐Marie Vadrot
> > Politis jeudi 12 avril 2007

> > NB N'hésitez pas à faire connaitre ceci à vos amies et amis...
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
09 mai 2009, 14:21
Le débat sur les dangers de l'aspartame divise la communauté des médecins

LE MONDE | 08.05.09

L'aspartame est-il bon ou mauvais pour la santé ? "Un enfant qui n'est ni diabétique ni obèse, de même qu'une femme enceinte, devrait s'abstenir de consommer de l'aspartame", le docteur Valérie Magnin, cancérologue, a relancé le débat à la tribune du congrès "Cancer et environnement", organisé à Aix-en-Provence en avril. Pour d'autres médecins, en revanche, un usage raisonnable ne pose aucun problème.

Découvert en 1965, l'aspartame est présent partout : sucrettes, boissons, desserts, bonbons, chewing-gums, yaourts, produits amaigrissants, etc. Les doses journalières autorisées (DJA) sont de 40 mg/kg/jour. L'aspartame est un édulcorant puissant dit "intense", faible en calories, avec un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose (sucre de table).

DES TROUBLES DIVERS

Le docteur Laurent Chevallier, spécialiste de la nutrition, auteur de plusieurs ouvrages de référence, dont Les 100 Meilleurs Aliments pour votre santé et la planète (Fayard, 333 p., 19 euros), regarde, lui aussi, cette substance avec méfiance : "Je déconseille absolument à mes patients la consommation de l'aspartame lorsqu'il s'agit d'enfants, même après 3 ans (il est interdit dans l'alimentation pour bébé et jeunes enfants jusqu'à 3 ans) et de femmes enceintes et allaitantes. Ce principe ne devrait-il pas se généraliser ?"

Il mentionne "des témoignages alarmistes de personnes ayant consommé ces produits et décrivant des troubles très divers : maux de ventre, mal-être, dépression, vertiges, troubles de la mémoire, ces effets s'estompant à l'arrêt des prises". Certes, "ce ne sont que des affirmations, mais cela devrait alerter les pouvoirs publics", poursuit-il. Mais "l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) devrait prendre les devants face à des études qui alertent et à une trop grande incertitude sur l'innocuité des édulcorants".

Les études menées sur des rats par le centre de recherche sur le cancer de la Fondation Ramazzini (Bologne, Italie), en 2005, puis en 2007, avaient semé le trouble, en montrant un lien entre l'aspartame et l'augmentation des cancers. Mais l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), notamment, avait conclu qu'il "n'y avait pas de base scientifique pour reconsidérer son utilisation dans les aliments".

Marie-Christine Favrot, responsable de la direction des risques nutritionnels et sanitaires à l'AFSSA, assure que "les éléments scientifiques accumulés sur ce sujet depuis des années ne permettent pas de conclure que l'aspartame présente un risque pour la santé humaine". Philippe Reiser, directeur scientifique au Centre d'études et de documentation du sucre (Cedus), est sur la même ligne : "Ma position est celle des autorités sanitaires, qui ont réaffirmé l'innocuité de l'aspartame." "Qui croire ?, interroge Mme Magnin. Ces études sont-elles indépendantes ?"

Autre question controversée : l'aspartame fait-il maigrir ? "Il n'y a pas de preuve formelle de son intérêt sur le contrôle du poids. Les boissons à base d'édulcorant participent à la progression du surpoids et de l'obésité, selon certaines études, même si cela peut paraître paradoxal", indique M. Chevallier. Cette hypothèse est étayée par les travaux du professeur John Blundell, directeur du département de psychobiologie de l'université de Leeds au Royaume-Uni.

Elle est cependant contestée. "L'aspartame est une façon idéale de remplacer le sucre avec pratiquement aucune calorie, et peut contribuer à une bonne hygiène bucco-dentaire", souligne le site Aspartame Information, géré par... Ajinomoto, l'un des plus grands fabricants d'aspartame au monde. Cependant, "en général, les consommateurs de produits allégés surconsomment", avertit M. Reiser.

Pascale Santi

Colorants : 42 % des bonbons non conformes

La réglementation qui s'applique aux producteurs de confiseries en matière de colorants artificiels n'est pas respectée dans 42 % des cas. Tel est le résultat d'une enquête de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) publiée le 14 avril. "Les fabricants de produits de confiserie, français ou étrangers, ne maîtrisent pas parfaitement l'emploi des colorants artificiels", souligne l'organisme d'Etat. Dans deux tiers des cas, la non-conformité concerne seulement l'étiquetage. "Les confiseries contiennent beaucoup de colorants artificiels, car les couleurs attirent les jeunes consommateurs", ajoute la DGCCRF. Le Syndicat national de la confiserie s'est "étonné" des résultats de cette étude, soulignant que les colorants sont faiblement dosés.

Article paru dans l'édition du 09.05.09

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
14 mai 2009, 05:12


La ville communiste d'Ivry/Seine (94), à l'initiative du groupe des verts, a

décidé de faire du terroriste palestinien Marwane BARGHOUTI, le Citoyen

d'Honneur de la Ville.



Une cérémonie sera donnée en son honneur le 28 Mai 2009 à la Mairie, en

présence de la femme de Barghouti et de la représentante de la Palestine en

France.



Les élus de la ville d'Ivry demandent en outre la libération de Barghouti.



Cette décision du Conseil municipal est apparue comme une véritable

provocation pour la communauté juive, les amis d’Israël et les véritables

partisans de la paix au Proche-Orient.



Notre protestation est d’autant plus vive que chacun sait que Marouane

Barghouti a été jugé et condamné en Israël pour plusieurs crimes de sang

délibérément commis sur des civils, crimes qu’aucune cause ne saurait

justifier.



Il purge une peine de 5 fois à pérpétuité, et il n'a jamais déclarer

regretter ses actes.



Cette décision est vécue par la communauté juive d’Ivry/Seine comme une

provocation, de nature par ailleurs à attiser fortement les tensions

intercommunautaires dans la ville et le département.



Le Comité signataire de la présente a été interpellé par ses

coreligionnaires, citoyens de confession israélite de la ville, mais aussi

par de nombreux non-juifs amis d’Israël et opposés à la violence : ils

redoutent que le fossé creusé entre les différentes composantes de la

population de la cité – mais aussi du département – ne s’élargisse encore et

ne donne lieu a des troubles.



Pour donner forme à ces oppositions à la décision du Conseil municipal nous

avons établi cette pétition que nous vous demandons de signer en grand

nombre.



Merci pour de faire passer le line vers la pétition, qui sera envoyée à la

Mairie d'Ivry/Seine, mais aussi au Préfet du Val de Marne, au parti

communiste et au Ministère de l'Interieur.



SIGNEZ LA PETITION:

[www.lapetition.be]


Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
14 mai 2009, 11:08
Correspondance.


Texte très intéressant.

Allah de l'Islam ou Jésus? Par Rick Mathes..

À lire, cette note plutôt courte mais très informative!
La religion Musulmane est la religion qui connaît la plus forte croissance par personne aux États-Unis, particulièrement dans les minorités!!!

Le mois dernier, j'ai suivi une session de formation annuelle qui est exigée pour le maintien de mon autorisation de sécurité de prison d'état. Pendant la session de formation, il y avait une présentation par trois orateurs représentant la foi Catholique , Protestante et Musulmane. Ils ont tour à tour expliqué leurs croyances. J'étais particulièrement intéressé par ce que l'Imam Islamique avait à dire. L'Imam a donné une grande présentation sur l'essentiel de l'Islam accompagné d'une vidéo.

Après les présentations, il y avait une période de questions et de réponses.

Lorsque ce fut mon tour, j'ai posé ma question suivante à l'Imam :

« Corrigez-moi s'il y a erreur, mais j'ai compris que la majorité des Imams et des ecclésiastiques Islamistes ont déclaré le jihad « la guerre Sainte » contre les infidèles du monde. En tuant un infidèle, ce qui est un ordre à tous les Musulmans, ils sont assurés d'une place au ciel. Si c'est le cas, pouvez-vous me donner la définition d'un infidèle ?»

Il n'y avait aucun désaccord avec mes déclarations et, sans hésitation, il a répondu :

« Les non-partisans! »

J'ai donc répliqué :

«Alors, si j'ai bien compris, on a ordonné à tous les disciples d'Allah de tuer ceux qui ne sont pas de votre foi, ainsi ils iront au Ciel. Est-ce ainsi ou corrigez-moi ? »

L'expression autoritaire sur son visage a changé comme celui d'un petit garçon qui venait de se faire prendre la main dans le sac. Il a timidement répondu :

« Oui ».

J'ai donc continué:

« Eh bien Monsieur! Je peux à peine imaginer le Pape Jean Paul II demander à tous les Catholiques de tuer tous ceux de votre foi ou le Docteur Stanley demander aux Protestants de faire la même chose pour aller au Ciel! »

L'Imam était muet.

J'ai continué: « J'ai donc cette difficulté à être votre ami quand vous et vos frères ecclésiastiques dites à vos disciples de me tuer.» Selon le verset de Coran sourat Altawba (9) 29 « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humiliés.»

Laissez-moi vous poser une autre question : « Aimeriez-vous mieux votre Allah qui vous demande de me tuer pour aller au Ciel ou mon Jésus qui me dit de vous aimer parce que je vais au Ciel et qui veut aussi que vous soyez avec moi? ».

Vous auriez pu entendre une épingle tomber pendant que l'Imam penchait sa tête dans la honte.

Inutile de vous dire que les organisateurs et promoteurs « de la Diversification » qui ont organisé le séminaire n'étaient pas heureux envers Rick Mathes d'avoir exposé la vérité sur les croyances Musulmanes.

Je pense que l'on devrait exiger à tous les Canadiens et tous les Américains de lire ceci, mais avec le système de justice libéral, les médias libéraux et l'ACLU, il n'y a aucune chance que ça parvienne au grand public.

S'il vous plaît, diffusez ce texte sur tous vos contacts de courrier électronique.

C'est une histoire vraie et l'auteur, Rick Mathes, est un chef bien connu dans les ministères des prisons.

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
17 mai 2009, 15:15
Photographies de la navette spatiale lancée pour réparer le télescope HUBBLE, avec en arrière plan le SOLEIL.

Images uniques.

[sciences.blog.lemonde.fr]

[legault.club.fr]

[sciences.blog.lemonde.fr]

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
19 mai 2009, 11:39
La nuit dernière une émission a été tardivement diffusée par la Chaîne ARTE. Elle traitait du cinéma israélien.
Pour ceux qui ne l'ont pas visionnée et/ou enregistrée une rediffusion est prévue le 25.05.2009 à 03:00

Une histoire du cinéma israélien
(France, 2007, 104mn)
ARTE F
Réalisateur: Raphael Nadjari

Un parcours passionnant à travers une quarantaine de films, qui révèle toute la diversité de la mémoire et de la société israéliennes. Premier volet, du sionisme héroïque à la découverte de l'Autre : le Palestinien.

Le premier film israélien s'appelle Oded hanoded, ("Oded l'errant", 1933), et il préfigure une série de films de propagande, exaltant le sionisme et sa capacité à forger un homme nouveau sur la terre d'Israël. Un héros qui agit, construit, combat, et cesse d'attendre son salut de Dieu pour prendre en main son destin et celui de son peuple. Comment l'utopie nationaliste des pionniers, inspirée du cinéma révolutionnaire soviétique, va-t-elle donner lieu aux questionnements déchirants de la postmodernité ? Raphaël Nadjari a choisi de laisser parler de multiples témoins et spécialistes - réalisateurs, producteurs, scénaristes, critiques ou acteurs - dont les propos éclairent les extraits d'une quarantaine de films. Un récit d'une richesse remarquable, qui permet de comprendre comment, aux prises avec une succession de traumatismes et d'événements - la Shoah, les guerres israélo-arabes, les vagues d'immigration successives, la défaite du socialisme fondateur ou la libération de la femme... -, ce cinéma va passer de l'affirmation d'une identité contestée à sa permanente remise en cause.

Friandises et coups d'éclat

Entre autres découvertes délectables, cette première partie explore le succès phénoménal de Sallah Shabati d'Ephraïm Kishon (1962), qui fait rire tout Israël avec les tribulations d'un juif oriental récemment immigré, et conquiert Hollywood - malgré les tentatives de Golda Meir pour interdire à l'étranger un film qu'elle juge dégradant pour l'image du pays. Tandis que Kishon et son producteur, Menahem Golan, inaugurent la vogue du cinéma commercial dit "bourekas" (du nom d'un friand gras et savoureux), Uri Zohar, poète de l'absurde, compare l'entreprise sioniste au tournage d'un film en plein désert dans Un trou dans la lune (1964) et annonce la "Nouvelle sensibilité", cousine de la Nouvelle Vague. À la décennie suivante, David Perlov, "artiste total" proclame la force de l'intime dans une société qui nie la vie privée. Et Ram Loevy, en racontant pour la première fois la guerre de 1948 du point de vue des Palestiniens dans Khirbet Hiza'a (1978), est censuré pour quatre ans...

[www.arte.tv]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
20 mai 2009, 10:52
"Docteur, j'ai peur d'avoir Alzheimer"

LE MONDE | 19.05.09 | 14h45 • Mis à jour le 20.05.09 | 08h24

Où sont mes clés ? Qu'étais-je en train de dire ? Où est garée ma voiture ? Qu'est-ce que je suis venue chercher dans cette pièce ?..." De plus en plus de personnes se plaignent de trous de mémoire, affirme la journaliste américaine Martha Lear dans son ouvrage Où sont passées mes lunettes ? (Belfond, 232 pages, 17,50 euros).

Sur fond de peur de la maladie d'Alzheimer, les trous de mémoire dits "bénins" se multiplient. "Plus de la moitié des gens de plus de 50 ans se plaignent de leur mémoire. Il y a 11 % de plaintes mnésiques dans mon service, et ce chiffre tend à augmenter", constate le professeur Bruno Dubois, neurologue à l'hôpital parisien de La Pitié-Salpêtrière, qui a préfacé le livre de Martha Lear. Ce constat est partagé par d'autres médecins, comme le professeur François Blanchard, responsable du pôle gériatrie du CHU de Reims (Marne). Mais avoir parfois la mémoire qui flanche n'a rien d'anormal.

"Les plaintes de mémoire ne signifient pas forcément déficits de mémoire. Ce type de troubles est un phénomène banal", tempère le professeur Dubois. "Tous les spécialistes de la mémoire peuvent vous raconter les affres des super-manageurs qui arrivent à la consultation en tremblant et leur demandent : "Docteur, est-ce que j'ai Alzheimer ?"", explique Mme Lear. L'appréhension de la maladie d'Alzheimer - qui touche environ 850 000 personnes en France et dont la prévalence augmente du fait de l'allongement de l'espérance de vie - est très forte ; d'autant plus forte que cette pathologie génère un fort sentiment d'impuissance.

Les trous de mémoire sont souvent liés à des troubles attentionnels qui s'expliquent par l'évolution de nos sociétés modernes et le stress de la vie quotidienne. Abreuvé d'informations, d'Internet, d'appels sur le téléphone mobile, de SMS et de courriels... le cerveau doit gérer de plus en plus de flux en même temps. Et la mémoire est de plus en plus sollicitée."Comment notre système attentionnel pourrait conserver une trace de toutes ces informations, qui, à peine lues ou entendues, sont déjà remplacées par d'autres ?, questionne le professeur Dubois. Notre cerveau ne s'est pas (ou pas encore !) adapté à cette évolution si récente."

En outre, "les situations anxiogènes peuvent provoquer des troubles de l'attention, de mémorisation, de concentration", liste Elisabeth Grebot, psychologue spécialiste du stress. "Les troubles liés à la dépression, le stress, la fatigue, les insomnies, les excès d'alcool, etc., sont autant de facteurs qui peuvent avoir une influence", complète le professeur Blanchard.

"AUTOROUTE DES SOUVENIRS"

Dans ce contexte, comment faire la part des choses entre les troubles de mémoire bénins et une pathologie ? En analysant la réalité des maux et en pratiquant des tests. Les médecins font souvent passer un test cognitif assez simple : faire lire une liste de cinq mots (sauterelle, limonade, camion, musée, passoire), puis demander de nommer la boisson, l'insecte, le véhicule... et de répéter les cinq mots. Après un laps de temps, renouveler l'épreuve. Si la personne ne retrouve pas les mots, même avec les indices, il faut aller plus loin.

Le plus souvent, "les patients souffrant de la maladie d'Alzheimer ne se plaignent d'aucun trouble", rappelle le professeur Dubois. Les troubles de la mémoire augmentent essentiellement avec l'âge. "Le vieillissement entraîne la baisse des ressources attentionnelles. Or, une information mal enregistrée ne sera pas récupérée", souligne-t-il. "Ce sont les fonctions cognitives qui sont modifiées avec l'âge, comme la rapidité d'exécution, le calcul, la concentration, mais pas forcément la mémoire", tempère le professeur Blanchard.

La mémoire fonctionne en trois étapes. D'abord, l'enregistrement, ou l'encodage, lorsque le cerveau acquiert les informations ; puis, le stockage, la fixation des données ; enfin, la récupération d'information, dans laquelle intervient l'expression du souvenir, conscient ou inconscient. "Une fois l'information perçue, le cerveau l'analyse et la transfère vers l'hippocampe, véritable péage de l'autoroute des souvenirs, une voie automatique qui permet de graver les informations dans le disque dur, résume le professeur Dubois. Une chose est sûre, mieux on encode l'information, plus on a des chances de la mémoriser." Si le sujet n'est pas attentif, l'information ne sera pas bien enregistrée et donc mal récupérée.

"Il ne faut pas oublier l'aspect émotionnel, l'état d'implication...", analyse le professeur Blanchard. Notre "disque dur" a des ratés et ne conserve pas toutes les informations.

Pascale Santi

Conseils pratiques

Pour booster sa mémoire, il n'y a pas de remède miracle. Les spécialistes donnent des conseils qui peuvent s'appliquer à toute personne soucieuse de son hygiène de vie : se nourrir sainement, faire attention aux excès, notamment d'alcool, éviter le stress, bien dormir, faire de l'exercice physique et mental. Pour retenir les noms ou les chiffres, il faut utiliser des moyens mnémotechniques et faire des listes. L'une des meilleures façons de faire travailler son cerveau est de multiplier les relations sociales. Bref, sortez et bougez !

Article paru dans l'édition du 20.05.09

[www.lemonde.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
21 mai 2009, 01:53
Objet : MISE EN GARDE DU SHIN BETH: FACEBOOK ET GROUPES TERRORISTES





FACEBOOK, LA BASE DE DONNEES QUE VOUS ALIMENTEZ....




Les services secrets israéliens : Facebook devient le Big Brother des groupes terroristes

Source : Jerusalem Post

Facebook devient le Big Brother des groupes terroristes. Le Shin Bet, les services secrets israéliens, demande la plus grande précaution sur la plateforme communautaire. Des groupes terroristes chercheraient à obtenir des informations confidentielles de la part des utilisateurs israéliens du site. L’avertissement a été publié lundi dans l’après-midi.

Selon les services de sécurité, des terroristes arabes essayent d’obtenir des informations classifiées en échange de sommes d’argent. Certains ont tenté d’organiser des rendre-vous. Une manœuvre qui signifie un risque élevé d’enlèvements.



Le Shin Bet cite le cas d’un Israélien qui a été récemment contacté par un citoyen libanais. Ce dernier lui a demandé de divulguer des informations classifiées. D’autres histoires similaires ont été rapportées.
Pour contrer cette dérive, les services secrets demandent aux citoyens israéliens d’éviter de publier des informations personnelles sur Facebook telles que des adresses ou des numéros de téléphones portables. Il est recommandé, par ailleurs, de rester vigilants face à des propositions insolites, en particulier la promesse de faire fortune à l’étranger.
Le Shin Bet a ajouté que des groupes terroristes essayaient également de s’introduire dans des forums fréquentés par des soldats d’unités d’élite afin d’obtenir des informations sur les dispositifs de sécurité de leur base militaire.
Facebook, une base de données que vous alimentez !!!…
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
22 mai 2009, 06:27
Le tour de France de la drôle d’amitié judéo-musulmane

Vendredi 22/05/2009 | Posté par Nadia Méhouri

Bravant parfois la haine, le rabbin Serfaty et l’imam Mohammed délivrent un message de paix. Leur bus a fait halte cette semaine dans le 19e arrondissement de Paris. Reportage.

D’après les livres saints, tout aurait commencé avec Abraham, le père du monothéisme, qui, à la demande de sa seconde et légitime épouse Sarah, mère de son fils Isaac, a dû chasser son autre fils, Ismaël. Celui qu'il avait eu avec sa servante Agar. C’est ainsi qu'Isaac et Ismaël devinrent des frères ennemis. Depuis ils n'ont toujours pas fait la paix. Chez les musulmans, le père est celui qui transmet la religion, alors que chez les juifs, c’est la mère qui est porteuse de la transmission. Cette différence a-t-elle joué un rôle important dans les cultures des deux « peuples » et influe-t-elle sur le comportement de leurs pratiquants ? Dieu seul le sait, comme qui dirait.

3000 ans et des poussières plus tard, un rabbin français, Michel Serfaty, se trouve sur le parvis de la mairie du 19e arrondissement de Paris en compagnie d’un imam de la grande Mosquée de Paris, Azizi Mohammed, pour faire passer ce message : « On se ressemble plus qu’il ne semble. » Ils ont achevé cette semaine leur tour de la région Ile-de-France. Ils l’ont traversée de Saint-Denis à La Courneuve en passant par Saint-Ouen et bien d’autres villes encore, où ils ont tenté de faire partager aux habitants leur démarche de paix entre les religions juive et musulmane.

Mardi dernier, près du bus, un stand animé par Richard Chomuny, de confession juive. Pour lui, les juifs et les musulmans ont une histoire commune : « Nous devons réapprendre à vivre ensemble pour rejeter les haines et les préjugés de toutes parts. » Greg, un Noir de 34 ans natif du 19e, considère que pour faire baisser les tensions, les « grands frères » devraient prendre les choses en main : « Il faudrait que les grands des cités et les grands chez les juifs se rassemblent et organisent des activités communes comme le sport ou des sorties culturelles. La plupart des préjugés qu’ont les gosses, ça vient de leurs parents et de l’entourage. Ils ne peuvent pas inventer ça tous seuls. » Greg estime que la municipalité de l’arrondissement ne propose pas grand-chose pour remédier à cet état de fait.

« Préjugés », un mot qui revient dans toutes les bouches, l’une des plaies de ce début de 21e siècle, dirait-on. Ce sont ces satanés préjugés que combattent le rabbin Serfaty et l’imam Mohammed, ainsi que des gens comme Myriam, 30 ans, qui porte un étoile de David autour du cou. Elle nous raconte que depuis la dernière intifada, l’antisémitisme est allé crescendo. Et lorsque l’armée israélienne, dernièrement, a lancé son offensive à Gaza, le phénomène s’est encore amplifié, en particulier sur le net. « Il y a eu une explosion de haine et d’affrontements virtuels. » Myriam, à cette occasion, a créé un groupe sur Facebook avec ses amis : « Juifs, musulmans, faisons la paix ». Plus de 8000 membres à ce jour.

Myriam reconnaît qu’il y a de la haine des deux cotés. « Une maman juive m’a raconté que son fils s’est fait rouer de coups dans une école publique par une bande d’Arabes. Elle m’a dit que c’est beau, ce que nous faisons, mais qu’il est vain et utopiste d’essayer de rassembler nos deux peuples. Il n’y a, selon cette maman, aucun espoir de paix. Je lui ai répondu, comme me l’ont inculqué mes grands-parents, qu’il ne faut jamais être haineux, quel que soit le prétexte. »

Nathan, 22 ans, et Yossi, 21 ans, sont montés dans le bus pour faire le tour du 19e. Ils sont jeunes et aiment les filles. Nathan avoue n’être sorti qu’avec des musulmanes. Tous deux se sent très proches d’elles et les « kiffe ».

Le bus fait une halte à la station de métro Stalingrad, les passants curieux s’arrêtent et écoutent. « Il arrive parfois que certains aient la haine qui sorte des yeux lorsqu’ils nous voient passer, affirme l’imam Mohammed. A ceux-là, je dis : "Ne tiens pas ce genre de propos devant moi !" Il y en a, ils nous frapperaient presque et il y en a d’autres qui pleurent en disant "c’est beau, ce que vous faites". »

Au mois de juin, le rabbin Serfaty avec quelques-uns de ses coreligionnaires et ses amis imams partiront à travers toute la France, dans leur vieux bus fatigué des années 70, tels ces prophètes qui traversaient les désert à dos de mulet afin d’apporter leur message pacifique. Ils commenceront par Lille, Metz et descendront ensuite jusqu’à Nice, où s’achèvera leur périple, le 3 juillet. Comme le dit Imed, un jeune habitant du 19e, à Richard Chomuny : « Tout ce que j’espère, c’est l’amour et la paix. »

Nadia Méhouri

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