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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
08 février 2009, 02:36
"Relations" Suisse-Iran

Sur YNET (Hébreu), ce matin.



ãåãé ëäï
ôåøñí: 08.02.09, 00:05
äãéôìåîè äùååéöøé ðúôñ òí äîëðñééí ìîèä: àîöòé ú÷ùåøú áàéøàï ãéååçå àúîåì (ùáú) ëé ãéôìåîè ùååéöøé ðòöø áèäøï ìàçø ùðúôñ î÷ééí éçñé îéï áîëåðéú çåðä òí àéùä î÷åîéú. äîùèøä äëçéùä àú äãéååçéí.



"Un diplomate Suisse a été attrapé pantalon bas.

Les médias iraniens ont rapporté hier qu'un diplomate suisse a été arrêté, à Téhéran, après avoir été vu entretenir des relations sexuelles, avec une femme locale, dans une voiture en stationnement.
La police nie l'événement.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
08 février 2009, 06:02
Des photographies de la Palestine des années 1930 et 1940.

Anonymous photographer who documented Haifa

Identity of man who took photos of country's landscapes, residents in 1930s, 1940s is unclear, but albums he left behind provide a visual window to Haifa, Tel Aviv and other places during that era

[www.ynetnews.com]

[www.ynetnews.com]

Davantage d'anciennes photographies

[www.ynetnews.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
09 février 2009, 10:24
AMITIE JUDEO-CHRETIENNE DE FRANCE

Groupe de Boulogne




Toutes nos manifestations ont lieu à la MAISON DES ASSOCIATIONS

au 60, rue de la Belle Feuille à Boulogne-Billancourt (92100),

Salle 406 ( 4ème étage, ascenceur) – M° Marcel Sembat





Mardi 10 Février 2009 à 20 Heures .



CONFERENCE-DEBAT

" LES NATIONS DésUNIES ou Comment l'ONU

enterre les Droits de l'Homme "



Par Mme Malka MARCOVITCH, Historienne,

Consultante en faveur des Droits des Femmes auprès de

diverses institutions en France, en Europe et au niveau

international



Diffusion et signature du livre

La Conférence sera suivie par un pot de l'amitié .

PAF : 5 euros

LE Président de l'Amitié Judéo-Chrétienne de Boulogne .
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
16 février 2009, 03:24
Le Journal de la Nuit" sur Guysen TV

Lundi 16/02/2009

Le sort de Guilad Shalit et la trêve qui sont au cœur des négociations entre le Hamas et Israël via la médiation de l’Egypte.




bravo !! pas de negociations de treve avant la liberation de Guilad !!!
Pièces jointes:
GuliadShalit2.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
16 février 2009, 12:48
L'Etat français reconnu responsable dans les déportations
Reuters 16.02.09 | 21h14

PARIS (Reuters) - Le Conseil d'Etat affirme pour la première fois d'une façon aussi solennelle que la responsabilité de l'Etat français était engagée dans les déportations pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il estime toutefois que les différentes mesures prises depuis, tant sur le plan indemnitaire que symbolique, "ont réparé, autant qu'il était possible, l'ensemble des préjudices."

Cet avis a été rendu par l'assemblée du contentieux du Conseil d'Etat, la plus haute formation de jugement de cette institution.

Elle entend éclairer ainsi les juridictions saisies d'environ 400 dossiers, déposés notamment devant le tribunal administratif, pour réparation du préjudice subi par des proches de personnes mortes en déportation.

Le Conseil d'Etat "reconnaît la faute et la responsabilité de l'Etat en raison des dommages causés par les agissements qui, ne résultant pas d'une contrainte directe de l'occupant, ont permis ou facilité la déportation à partir de la France de personnes victimes de persécutions antisémites", précise un communiqué.

"Engagent en particulier cette responsabilité les arrestations, internements et convoiements qui ont abouti à la déportation de 76.000 personnes, dont 11.000 enfants, 3.000 d'entre elles seulement étant revenues des camps."

Interrogé par Le Figaro.fr, l'avocat Serge Klarsfeld, président de l'association des Fils et filles des déportés juifs de France, s'est félicité de cet avis du Conseil d'Etat.

"La France montre maintenant qu'elle est à l'avant-garde des pays qui assument leur passé, ce n'était pas le cas jusque dans les années 90", souligne-t-il.

Pour Serge Klarsfeld, les indemnisations sont "tout à fait convenables". Il rappelle qu'ont été créés différents dispositifs, issus de la commission Mattéoli installée en 2000 pour faire la lumière sur le sort des biens juifs.

Gérard Bon

[www.lemonde.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
17 février 2009, 02:00
Voler grâce à un moteur à réaction fonctionnant avec de l'eau sous haute pression.

>
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
17 février 2009, 07:45
Guilad Shalit bientôt de retour chez lui ?

Par Itaï Smadja pour Guysen International News

Guilad Shalit et la trêve sont au cœur des tractations entre le Hamas et Israël via la médiation de l’Egypte. Ces dernières heures le Hamas semble souffler le chaud et le froid. Les annonces succèdent aux démentis quant à une issue heureuse pour la famille de Guilad aux mains de ses ravisseurs depuis 966 jours. Retour sur une (très) éventuelle transaction suceptible d'intervenir entre l’Etat juif et le groupe islamiste.

Le bureau du Premier ministre a officiellement réagi aux différentes déclarations du Hamas selon lesquelles un accord imminent est sur le point d’être signé entre Israël et le Hamas qui prévoit un cessez-le-feu de longue durée (18 mois) contre l’ouverture des points de passage.

Selon Jérusalem, aucun accord ne pourra être conclu sans la libération de Guilad Shalit. Pour le ministre israélien de l’Intérieur, « nous devons ramener Guilad à la maison, je pense qu'il est inconcevable de croire que nous pouvons lui laisser plus de temps. Sa remise en liberté doit être l'une des conditions pour la réouverture des terminaux frontaliers et pour un cessez le feu

Un avis qui semble bien être celui de l’ensemble du gouvernement puisque le ministre Travailliste Shalom Simhon a déclaré : « il n'y a aucune raison d'ouvrir ne serait-ce que le quart d'un point de passage si Guilad Shalit n'est pas rentré à la maison. Le gouvernement est libre de prendre des décisions et n'a rien à perdre. Si une raclée n'a pas suffi au Hamas, c'est qu'il faut lui en infliger une deuxième ».

Le Premier ministre Ehoud Olmert lui-même a assuré devant les présidents des communautés juives américaines dimanche 15 février : « nous ne permettrons pas l'ouverture des points de passage avant que Shalit ne soit rentré chez lui. Le Hamas doit réfléchir à deux fois s'il pense que nous ouvrirons les frontières avant que Guilad Shalit ne soit rentré chez lui en bonne santé».

Selon lui, l’ordre des choses doit-être le suivant : « en premier lieu, Guilad Shalit, deuxièmement l'arrêt de la contrebande d'armes d'Egypte vers la bande de Gaza et troisièmement, un cessez-le-feu total ».

Exigence inacceptable pour le Hamas qui affirme qu’aucune faction palestinienne ne liera le sort de Guilad Shalit à la signature d’une trêve.

Du côté des médiateurs égyptiens on affirmait dimanche matin, que ces déclarations israéliennes ne reflètent pas la position officielle, et qu’un communiqué annonçant le cessez-le-feu allait effectivement intervenir sous 48 heures.

Depuis les derniers jours de l’opération ‘Plomb Durci’ dans la Bande de Gaza, les annonces et les rumeurs se sont multipliées. Dernière en date, celle avancée par le journal ‘Saudi Arabia Daily’ et relayée par l’agence de presse chinoise Xinhua :
selon Moussa Abou Marzouk, le numéro 2 du bureau politique du Hamas basé à Damas, Guilad Shalit aurait été tué au cours d’un raid israélien, lors de l’opération plomb durci.

Ce n’est pas la première fois que de telles allégations sont proférées. Elles se sont toutes avérées, à ce jour, invérifiables.

Lors du précédent échange de prisonniers entre Israël et un groupe terroriste, à savoir le Hezbollah en juillet dernier, Israël avait fait savoir qu’il se doutait que ses deux soldats étaient morts. Dans le cas présent, aucune affirmation de ce genre n’a été faite. Au contraire, le ministre de la Défense Ehoud Barak a assuré le 8 février dernier que Guilad Shalit était « vivant et en bonne santé ».

Partant de ce constat, le gouvernement israélien sait que le prix à payer pour obtenir sa libération sera particulièrement élevé. Le Cabinet restreint de sécurité devrait se réunir mercredi 18 février pour arrêter sa position.

Bien qu’aucun successeur à son poste ne soit encore désigné, Ehoud Olmert a prévenu qu’il tiendrait au courant le chef du Likoud Benjamin Netanyahou des décisions du gouvernement. Une manière d’assurer une certaine continuité dans la politique israélienne.

D’après certaines informations, Jérusalem aurait accepté de libérer entre 1200 et 1400 prisonniers palestiniens.
Des rumeurs font également état de la possible libération par Israël de Abdullah Barghouti - fabricant des bombes utilisées dans des attentats particulièrement meurtriers tels que la pizzeria Sbarro à Jérusalem, de Ahmed Sa'adat, emprisonné pour avoir commandité l'assassinat de l'ancien ministre du Tourisme Rehavam Ze'evi, et de Abbas el-Said, le cerveau du massacre du Park Hotel à Netanya en 2002, où 29 civils ont été tués.

Autant de criminels que l’Etat hébreu n’est cependant pas prêt à laisser sortir de ses prisons. Pourtant, dimanche 15 février, la 10e chaine de télévision israélienne a semé à nouvelle fois le trouble en faisant état d’une libération prochaine de Marwan Barghouti.

Ce dernier purge actuellement cinq peines de prison à vie pour son implication dans plusieurs attaques terroristes. Il est considéré comme l’un des instigateurs de la seconde Intifada et est très populaire dans les territoires palestiniens. A maintes reprises son nom a été cité comme possible successeur à Yasser Arafat mais surtout comme le seul à pouvoir réconcilier Hamas et Fatah.

« Nous n'avons jamais été plus près d'un accord pour la libération de Marwan Barghouthi. Elle pourrait intervenir dans les prochains jours » a assuré son avocat Khader Shkirat. Réagissant à cette information, un cadre du Fatah (le parti du président palestinien) a estimé que « si Israël veut renforcer le camp de la paix palestinien, il doit libérer Marwan Barghouti, en geste de largesse à l'égard de Mahmoud Abbas et non dans le cadre de tractations avec le Hamas.

En attendant de voir leur fils rentrer chez lui, Noam et Aviva Shalit, ont indiqué par le biais du comité de soutien à Guilad Shalit qu’ils « ressentent cette fois un vrai changement. Mais bien entendu, ils sont encore circonspects. La possibilité de libérer Guilad jusqu'à la formation d'un nouveau gouvernement est extrêmement ténue. Un ratage serait équivalent au meurtre de son destin ».

Un avis qui finalement résume la situation : optimise et inquiétude.

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
26 février 2009, 14:51
Auschwitz, lieu de mémoire en péril

LE MONDE | 25.02.09
AUSCHWITZ, VARSOVIE (POLOGNE) ENVOYÉE SPÉCIALE

ne inscription sur une dalle noire se détache sur l'épais tapis de neige. "Que ce lieu où les nazis ont assassiné un million et demi d'hommes, de femmes et d'enfants, en majorité des juifs de divers pays d'Europe, soit à jamais pour l'humanité un cri de désespoir et un avertissement." Cette résolution, écrite dans vingt et une langues, est gravée au pied du mémorial sur le site d'Auschwitz-II-Birkenau.
Bientôt, la neige fondra et la terre dégèlera. Les ruines des baraques en bois et des chambres à gaz et crématoires seront alors, une fois de plus, soumises aux mouvements du sol. Il faut les protéger pour éviter, à terme, qu'elles ne s'effondrent.

Ce n'est qu'un des nombreux travaux indispensables à la préservation de l'ancien camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. En janvier, le Musée d'Etat Auschwitz-Birkenau, qui gère les anciens camps, les visites et les expositions, a rendu publics ses besoins : 60 millions d'euros pour parer au plus urgent, 120 millions pour le financement total de la conservation. Si rien n'est fait, le site est tout simplement menacé de disparition.

Or le budget du musée s'élevait en 2008 à 6,8 millions d'euros. C'est juste assez pour des "rafistolages", comme l'explique Jacek Kastelianec, responsable de la collecte des fonds. De cette somme, seuls 400 000 euros arrivent de l'étranger. Le reste provient pour moitié des revenus du musée (livres, publications - l'entrée du site est @#$%&winking smiley et pour moitié du gouvernement polonais.

Car le musée est une institution d'Etat, financée depuis sa création, en 1947, par le ministère de la culture. Ce n'est qu'après l'ère communiste, dans les années 1990, qu'il a bénéficié d'aides étrangères ponctuelles pour sa restauration.

Le musée vient donc de créer une fondation chargée d'accueillir un fonds doté, dans l'idéal, de 120 millions d'euros à récolter, et dont les dividendes annuels (entre 3 et 5 millions) permettraient de subvenir aux besoins de restauration.

Pourquoi avoir attendu si longtemps ? "Peut-être en raison de l'impré@#$%& de l'ancienne direction", avance Serge Klarsfeld, vice-président de la Fondation pour la mémoire de la Shoah et nouveau membre du conseil de la Fondation Auschwitz-Birkenau. "Mais aussi du manque d'intérêt des gouvernements polonais. Ils ont pris conscience de cette nécessité récemment, avec l'augmentation du nombre de gens qui viennent." Wladyslaw Bartoszewski, ancien déporté, secrétaire d'Etat chargé du dialogue international et directeur du Conseil international pour Auschwitz (IAC), conseil consultatif qui veille sur le devenir du site, offre une réponse complémentaire. "La génération des déportés arrive à la fin de sa vie. Il faut protéger cet endroit, le seul des camps inscrit au Patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco. C'est une obligation pour ceux qui partent."

Dans l'atelier de conservation du site, financé par la Fondation Lauder, une équipe de dix personnes veille depuis 2003 à préserver objets et lieux. Sur une table, deux piles de feuilles jaunies attendent. Ce sont les rapports de l'institut d'hygiène SS, dans lesquels sont consignées les expériences médicales pratiquées sur les déportés. La restauration de ces feuilles, payée par le Land allemand de Rhénanie-du-Nord- Westphalie, coûte 600 000 euros et prendra trois ans. Le travail des conservateurs est difficile. Il ne s'agit pas de rendre beau, comme dans un musée d'art. Il s'agit de "conserver en l'état", explique l'une d'eux. "Le but n'est évidemment pas de construire Disneyland, résume M. Bartoszewski. On veut garder le lieu authentique." C'est aussi le travail du spécialiste chargé de la conservation végétale : sur la base d'archives, il fait en sorte que le paysage ressemble autant que possible à ce qu'il était à l'époque.

Dans une autre salle, des blocs rouges et blancs sont numérotés. Ce sont des essais pour reproduire à l'identique les sols de certains bâtiments. Car dans les baraques en brique aux murs décolorés, le sol est abîmé. Il y a des trous. Il faut donc recréer les matériaux utilisés dans les années 1940. Parfois, il faut aussi remplacer des planches de bois gonflées d'humidité ou usées par le temps.

Ailleurs encore, on tombe sur une reproduction du portail "Arbeit macht frei", qui remplaçait l'original pendant sa restauration ; ou sur une grande fresque qui se trouvait, à l'origine, dans l'ancienne cantine des SS.

Parmi les premières tâches à effectuer, le conservateur Rafal Pirio cite la sauvegarde des baraques en bois et en brique de Birkenau et des onze bâtiments d'Auschwitz-I qui abritent l'exposition principale. Cette dernière, qui conduit les visiteurs à travers onze baraques, doit aussi être rénovée. Car elle est inchangée depuis... 1947. Dans ces salles, où l'affluence est grande, sont montrées, derrière des vitres, des tonnes de cheveux de déportés et des chaussures d'enfants. Les chaussures seront restaurées, mais le musée a choisi de laisser les cheveux tomber en poussière.

Le site comprend 155 bâtiments et 300 ruines sur près de 200 hectares. En arrivant à Birkenau, le visiteur reste sidéré par l'étendue des lieux. Les vestiges des baraques-dortoirs, encadrés de fils barbelés qui rouillent et de leurs poteaux en béton qui s'érodent, s'étendent à perte de vue. Les ruines des baraques en bois ponctuent le long quai où arrivaient les trains.

La préservation d'un lieu de mort n'est bien sûr pas dénuée d'ambivalence. "J'ai souvent eu un sentiment un peu mitigé devant l'idée qu'il fallait restaurer un lieu comme celui-ci, dit Richard Prasquier, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et membre du Conseil international pour Auschwitz. D'un autre côté, si l'on ne restaure pas, cela disparaîtra. Auschwitz est un signal pour l'Europe et pour le monde. Il ne peut pas disparaître physiquement."

Au fil des ans, le statut d'Auschwitz a changé. Il est devenu le symbole par excellence de la folie nazie. Les chiffres de fréquentation le confirment : jusqu'en 2003, le nombre annuel de visiteurs tournait autour du demi-million. Ils étaient en 2008 1,3 million. Piotr Cywinski, le directeur du musée, relate une anecdote qui illustre cette évolution. "Fin avril 2008, un homme est venu, un juif qui, enfant, avait survécu aux camps. Son père était mort. Il m'a dit : "Je devais venir à Auschwitz, parce que mon père a été tué à Bergen-Belsen." Pour lui, Bergen-Belsen était symboliquement inscrit à Auschwitz."

Il paraît impensable que la communauté internationale refuse de participer à la conservation d'Auschwitz-Birkenau. Pourtant, Piotr Cywinski reste prudent. "En général, je dis que ce qui arrive de l'étranger, ce sont surtout des bons conseils", plaisante-t-il. Pour Richard Prasquier, il n'est pas normal que ce soit la Pologne qui finance le site : "Je trouverais tout à fait choquant que l'ensemble des pays d'Europe ne paient pas."

Le site vient d'obtenir 4 millions d'euros de fonds européens, pour la conservation de deux baraques d'Auschwitz-I. Les Allemands se sont déjà manifestés auprès de la Fondation.

Wladyslaw Bartoszewski est optimiste. "Quand j'étais au collège, dans l'entre-deux-guerres, il me semblait que Verdun, c'était une histoire fermée, qui n'intéresserait rapidement plus personne. Il s'est écoulé exactement soixante-dix ans depuis mon bac. Les gens s'intéressent toujours à Verdun."


Clara Georges
Article paru dans l'édition du 26.02.09

[www.lemonde.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
03 mars 2009, 03:25

Moez Garsallaoui, rentier en Suisse, combattant en Afghanistan
Polyvalence / mardi 3 mars par Ian Hamel
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Laxistes en matière de terrorisme les Suisses ? Les autorités helvétiques viennent de réaliser qu’elles versaient une rente à un « réfugié politique » tunisien parti faire le djihad contre les Américains en Afghanistan.

Barbe fournie, le crâne un peu dégarni, Moez Garsallaoui, la petite quarantaine, apparaît bien effacé aux côtés de son épouse, la volcanique Malika El-Around, actuellement incarcérée en Belgique dans le cadre d’une enquête sur un réseau terroriste soupçonné d’être lié à Al-Qaida.

Malika, toujours recouverte d’un tchador noir, est la veuve d’un des deux assassins du commandant Massoud. Cette Belge d’origine marocaine n’a jamais cessé de qualifier les partisans d’Oussama Ben Laden de « Soldats de lumière » [1]. « Petite fille de moujaheedines, épouse d’un moujaheed, sœur de moujaheedines », Malika assure que son premier mari, Abdessatar Dahmane, est un « homme croyant et plein de bonté », et qu’il a eu raison d’assassiner Massoud, car « c’était le diable ! Un mauvais musulman ! ». Voilà pour l’ambiance.

Moez Garsallaoui a d’abord fait parler de lui en 2004. Il est domicilié à Lausanne et anime le site islamiste « islamic-minbar.com ». Son forum accueille toutes sortes d’informations sensibles, comme la demande de rançon pour libérer deux journalistes français détenus en Irak, ou des revendications d’attentats en Turquie et en Russie. D’une voix hésitante, Moez Garsallaoui jure qu’il ne cherche qu’à « réunir des informations sur l’islam ».
Incitation à la violence et au crime

Le réfugié tunisien s’installe ensuite dans le canton de Fribourg. Il est arrêté en 2005 pour avoir montré sur des sites Internet des exécutions d’otages en Irak, et expliqué comment perpétrer des attentats. On découvre alors - et surtout - qu’il s’est marié avec Malika El-Around, plus âgée que lui de dix années. Le couple (qui s’est connu via Internet) est installé dans la petite ville de Guin, près de Fribourg.
Double emploi - JPG - 99.6 ko
Double emploi
© Nardo

En 2007, le Tribunal pénal fédéral de Suisse condamne Moez Garsallaoui à deux ans et demi de prison, dont six mois fermes, pour soutien à une organisation criminelle et incitation publique à la violence et au crime. Malika El-Around n’écope, elle, que de six mois avec sursis. Pour le couple, les Suisses sont « des suppôts du diable », « neutralement sionistes », et qu’il faut freiner « l’ardeur belliqueuse, dévastatrice, immorale et immonde de l’occident décadent ».
Les taliban, des hommes galants

Il est difficile d’imaginer que des organisations terroristes sérieuses puissent utiliser les services d’islamistes aussi voyants et remuants, qui ne peuvent que caricaturer le djihad par leurs excès. Moez et Malika diffusent par exemple des images et des séquences filmées d’exécutions et de mutilations d’êtres humains. Et Malika jure que les combattants arabes en Afghanistan et les taliban sont des hommes galants, pleins de prévenance et de délicatesse pour les femmes…

Pourtant, Malika, de retour en Belgique, a été arrêtée une première fois en décembre 2007. Puis relâchée. Elle est de nouveau sous les verrous, soupçonnée de liens avec un réseau terroriste, qui projetait de détourner des avions. Son époux, lui avait disparu depuis plusieurs mois.

Le quotidien fribourgeois La Liberté vient de révéler que Moez Garsallaoui, qui bénéficie d’un statut de réfugié politique depuis 1998, profiterait d’une rente versée par la caisse nationale suisse en cas d’accident. Le Tunisien, qui souffrirait de troubles mentaux et de pulsions suicidaires, jouirait, en plus de sa rente, de l’aide sociale de la commune de Guin. Une rente de l’assurance-invalidité lui a tout de même été refusée en 2008…

Car, loin de soigner sa dépression, Moez Garsallaoui a pris le chemin du maquis et du djihad et se battrait actuellement en Afghanistan. Il se vanterait sur des sites Internet d’avoir déjà occis plusieurs soldats américains. Ces révélations ont mis dans l’embarras les autorités helvétiques, accusées de laxisme. Afin de rassurer la population, la Police fédérale a annoncé que Moez était maintenant sous le coup d’une « interdiction sur le territoire suisse ».




A lire ou relire sur Bakchich.info
La Suisse détruit des preuves d’un trafic nucléaire
Le gouvernement helvète reconnaît qu’il s’est introduit dans un dossier instruit par la justice pour effacer les preuves d’un trafic de technologie nucléaire entre le Pakistan et la Libye. Explosif.
Au nom du 11 septembre… (suite)
Roland Jacquard, Xavier Raufer, Antoine Sfeir, Antoine Basbous… Autant de spécialistes hyper médiatiques des questions de terrorisme et dont le discours est analysé et décrypté dans « Au nom du 11 septembre… Les démocraties à l’épreuve du terrorisme (…)
Les djihadistes se mettent au Français
Sarkozy peut être satisfait. Sa politique de rupture d’avec l’ère Chirac commence à payer : jamais la France n’avait connu un tel rayonnement à l’international auprès… des réseaux d’Al-Qaïda.
Le djihad pour les nuls
Condamné à perpétuité en 2003 au Maroc pour avoir dirigé des cellules terroristes, le Français Richard Robert a depuis viré sa cuti pour se muer en pourfendeur de ses anciens camarades de djihad, qualifiés d’« apothicaires de l’Islam ». Se présentant (…)
Sainte Alliance
Une des conséquences du réchauffement des relations américano-saoudiennes : le retour des pétrodollars du royaume, qui coulent… vers ONG et autres officines islamistes.

[1] C’est d’ailleurs le titre de son livre, imprimé à compte d’auteur en Belgique en novembre 2004. 166 pages.

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
03 mars 2009, 03:33
Fillon veut durcir la répression des actes racistes
Judith Waintraub
03/03/2009 | Mise à jour : 07:37 | Commentaires 32 | Ajouter à ma sélection
«La République ne transige pas», a martelé lundi soir François Fillon, s'engageant à lutter contre la recrudescence des actes à caractère antisémite .
«La République ne transige pas», a martelé lundi soir François Fillon, s'engageant à lutter contre la recrudescence des actes à caractère antisémite . Crédits photo : Le Figaro
Nicolas Sarkozy s'est contenté d'un court passage au dîner annuel du Crif.

Finalement, Nicolas Sarkozy est venu. À 19 h 30, de retour de Charm el-Cheikh, le président de la République est arrivé au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France. Dans la matinée, pourtant, un membre de l'entourage présidentiel avait annoncé qu'«un problème d'emploi du temps» empêcherait le chef de l'État de s'y rendre. De Charm el-Cheikh, Nicolas Sarkozy avait lui-même démenti l'information. «J'ai bien l'intention de passer quelques instants au dîner du Crif pour manifester mon soutien et mon amitié, avait-il assuré en marge de sa visite éclair en Égypte. Ensuite, le premier ministre fera lui-même le discours, comme il est de tradition.» Une «tradition» que Sarkozy n'avait pas hésité à enfreindre l'an dernier en volant la vedette à Fillon. C'était le premier dîner du Crif auquel il participait en tant que président, et il avait créé la polémique en proposant de confier à chaque élève de CM2 la «mémoire» d'un enfant juif victime de la Shoah.

«Slogans antijuifs inexcusables»

Lundi soir, en arrivant au pavillon d'Armenonville, Sarkozy a prévenu : «C'est le premier ministre François Fillon qui prononcera le discours.» Il a réaffirmé sa détermination à lutter contre l'antisémitisme «et contre l'islamophobie» en expliquant : «Les antisémites, les islamophobes, ils sont tous racistes et n'ont rien à faire sur le territoire de la République.» Dans son intervention, Fillon a reconnu la «recrudescence des actes à caractère antisémite», en affirmant que «l'une des premières manières» de lutter contre le phénomène, c'est de «durcir la répression des actes racistes et antisémites et une fois les condamnations prononcées, d'informer largement l'opinion publique de leur sévérité». «La République ne transige pas», a-t-il martelé.

Le président du Crif n'a pas tenu rigueur à Sarkozy de la brièveté de son passage. Entre Richard Prasquier et le PCF, en revanche, les relations ne sont pas près de s'apaiser. Prasquier, qui a consacré l'essentiel de son discours à l'explosion des actes antisémites recensés en janvier, n'a pas invité les représentants du PCF parce qu'ils ne se sont pas élevés contre «le kidnapping des manifestations par des mouvements islamistes avec des slogans antijuifs tout à fait inexcusables» pendant les manifestations de janvier en France. Le président du Crif a rappelé que, sous couvert de «soutien aux populations de Gaza», des participants à ces défilés avaient crié «mort aux Juifs» et imprimé l'étoile de David sur des banderoles à croix gammée. Il a également évoqué «ces maquettes de fusées Qasam glorieusement transportées dans les rues de Paris par des militants encagoulés». «Je comprends celui qui vient aider des populations en détresse et qui se laisse manipuler, a-t-il concédé, mais comment croire ces militants politiques aguerris de l'extrême gauche qui prétendent n'avoir rien vu, rien entendu de ces débordements ?»

En réponse, Marie-George Buffet a jugé dans Le Parisien que c'est Prasquier qui commettait une «confusion» entre le jugement du PCF sur «le comportement inadmissible du gouvernement israélien» et sur l'attitude constante du PCF, «qui s'est toujours battu contre le racisme et l'antisémitisme». En marge du dîner, le président PS d'Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, a temporisé : «Les communistes ne sont plus antisémites depuis l'abandon du stalinisme.»

NDLR.BREITOUNA.

Donc avant ils l'étaient.
Comment appelle t'on ceux qui enfouissent la tête dans le sable...?
Des Autruches AVEUGLES...?
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