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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
17 septembre 2007, 23:14
Kfir,
Mais pour l'amour du ciel, ces informations je les obtiens des journaux Israéliens et américains. Donc pourquoi apporter ces problèmes sur le site Harissa vous faites la meme chose que L.....
Soyons sérieux. En allemand on dit "Lassen wir die Kirche im Dorf"
(Laissons l'église dans le village

)
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
17 septembre 2007, 23:16
A-Dura : Tsahal demande – une fois de plus – copie des rushes à France 2 (info # 011709/7) [Analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Dans sa décision, rendue le 19 octobre 2006 par la 17ème Chambre du Tribunal correctionnel de Paris, présidée par le juge Joël Boyer, la justice française avait condamné Philippe Karsenty, l’animateur de l’agence web de "notation des media" Media-Ratings au motif de diffamation à l’encontre de Charles Enderlin et de France 2.



La cour justifiait sa décision en alléguant que Philippe Karsenty de ne s’était appuyé que sur des articles provenant de notre agence de presse pour étayer son accusation.



Dans sa décision, évoquant les arguments avancés par la défense, "le tribunal ne les a pas considérés convaincants : provenant d'une source unique - une agence de presse israélienne (la Ména. Ndlr) - qui a formulé une telle accusation tardivement (près de deux ans après la diffusion du reportage) reposant essentiellement sur des extrapolations et des amalgames, elle (la Ména. Ndlr) se nourrit d'affirmations péremptoires auxquelles aucune autorité officielle israélienne - ni l'armée, pourtant concernée au premier chef, ni la justice - n'ont jamais accordé le moindre crédit.".



Notre agence avait commenté cette décision en plusieurs articles (voir les liens au talon), soulignant l’incroyable légèreté des arguments de la cour, leur fausseté, le fait qu’elle qualifiait d’extrapolations et d’amalgames une enquête de près de deux cents analyses qu’elle n’avait pas demandé à connaître et qu’elle jugeait, en fait, à travers Philippe Karsenty. La Metula News Agency n’était ni citée à comparaître, ni témoin dans cette procédure. La condamnation par contumace que le tribunal nous avait infligée n’était pas qu’ultra petita (elle n’avait pas été sollicitée par les demandeurs), elle était nettement diffamatoire, et contraire au fondement du droit, qui veut qu’une cour ne puisse pas condamner une personne qu’elle n’a pas jugée.



Rebondissement, le dix septembre dernier ! Il concerne l’armée israélienne, "concernée au premier chef" par l’Affaire A-Dura, et qui, à en croire la décision du Tribunal Correctionnel de Paris, n’aurait "jamais accordé le moindre crédit" aux thèses défendues par la Ména. Or, la semaine dernière, Tsahal s’exprime, par la plume du colonel Shlomi Am-Shalom, son vice porte-parole.



Dans une lettre envoyée à "Charles Enderlin, France 2", Am-Shalom leur demande "communication des prises de vue de Talal Abou Rahma du 30 septembre 2000 d’une longueur d’au moins 27 minutes (selon le témoignage des trois journalistes Jeambar, Leconte et Rosenzweig, qui les ont visionnées en octobre 2004, après avoir été autorisés à le faire par vos services), ainsi que les images tournées par le même cameraman, le 1er octobre 2000.".



Le colonel précise, dans son courrier à en-tête de l’armée israélienne, que ce n’est en aucune façon la première fois que Tsahal réclame à voir ces fameux rushes. Il se fait très précis, commentant directement la décision du tribunal correctionnel :



"Je sais que des points de vue divergents ont été présentés devant le tribunal français ayant jugé l’affaire Enderlin, France 2 contre Karsenty (dossier 0433823049). Dans son verdict, le juge Joël Boyer a laissé entendre à plusieurs reprises que l’Etat d’Israël n’avait jamais repris à son compte les allégations de mise en scène, n’avait jamais nié que Mohamed Al Doura ait été tué par des soldats de Tsahal et ne s’était jamais employé a réfuter les allégations du reportage de France 2 à ce sujet. On pouvait également comprendre de ce verdict que l’Etat d’Israël n’avait jamais cherché à obtenir les prises de vue ayant servi à la réalisation dudit reportage.



Je tiens a souligner que ces allégations ne cadrent nullement avec les tentatives réitérées de Tsahal d’obtenir ces prises de vue, ni d’ailleurs avec les conclusions de la commission d’enquête de Tsahal, pourtant largement citées dans la presse internationale et française. Le général Samia m’a également précisé que toutes ses tentatives d’obtenir les prises de vue (en possession de FR2. Ndlr) pour compléter l’enquête ont été vouées à l’échec. (…)"."



Quant à savoir si les accusations portées contre le reportage de France 2, "provenaient d’une source unique (La Ména) [1]", voici ce que l’armée israélienne a à en dire :



"Une enquête diligentée peu après par le chef du commandement sud, le général Yom-Tov Samia a établi qu’un certain nombre de faits ne cadraient pas avec ce qui avait été décrit dans le reportage de France 2. Dans la conversation que j’ai eue avec le général de réserve Samia, ce dernier m’a à nouveau précisé que l’analyse de toutes les données sur le terrain, l’emplacement de la position de Tsahal, les angles de tir, l’emplacement du père et de son fils derrière un tonneau leur servant d’abri, la fréquence des tirs, les angles de pénétration des balles dans le mur placé derrière le père et le fils ainsi que le timing de l’évènement, rendait hautement improbable que les tirs ayant soi-disant atteint le père et son fils aient pu être tirés par les soldats de Tsahal se trouvant dans cette position.".



Voici qui a le mérite de la clarté et qui devrait largement suffire, en droit, à faire invalider la décision de la cour présidée, il y a un an, par Joël Boyer. Une audience en appel se tiendra mercredi prochain à Paris, à l’initiative de M. Karsenty.



Dans son courrier, le colonel Am-Shalom annonçait à FR2 que son service avait "été appelé à présenter ses observations" au sujet du jugement du 19 octobre 2006, et qu’à cette fin, il a besoin des 27 minutes de rushes "sans tarder". La lettre d’Am-Shalom est, entre autres, adressée, en copie, au chef d’état-major adjoint de Tsahal, le général Dan Harel et à M. Patrick de Carolis, président de France-Télévisions.



Nous, nous savons, parce que notre ami Luc Rosenzweig nous en a relaté le contenu, que les 27 minutes de rushes contiennent, outre 55 secondes concernant Mohamed A-Dura, d’autres saynètes sur lesquelles le caméraman de FR2, Talal Abou Rahma, a complaisamment filmé des Palestiniens qui "jouent à la guerre", selon les termes de Denis Jeambar et Daniel Leconte.



Pour correspondre au témoignage de Talal Abou Rahma, enregistré sous serment par Maître Raji Sourani, le 3 octobre 2000 à Gaza, il faudrait impérativement que ces rushes contiennent 27 minutes du mitraillage ciblé de l’adulte et de l’enfant par les soldats israéliens. Le témoin a rapporté que cet assassinat avait duré 45 minutes. 45 minutes, à propos desquelles, le cameraman de FR2 "peut confirmer que l’enfant a été tué, intentionnellement et de sang froid et son père blessé par l’armée israélienne".



Il est plus que temps que le nouveau régime français mette un terme à cette accusation de meurtre rituel dirigée par son service public contre la nation d’Israël. Jusqu’à maintenant, et pour cause, France 2 a refusé de produire les rushes devant un tribunal ainsi qu’à l’usage des enquêteurs de Tsahal, tout comme Charles Enderlin a refusé de présenter les images insoutenables de l’agonie de l’enfant, qu’il affirme détenir et que moi, j’affirme qu’il ne détient pas.



Mercredi, il s’agira de commencer à rétablir un petit coin de la crédibilité de la justice française, lourdement hypothéquée sous l’ère Chirac. Mais cela ne suffit pas. Il faut que les faussaires passent à leur tour devant une justice sereine. Qu’ils rendent les prix internationaux qu’ils ont reçus à la clé de leur imposture. Que leurs complices-responsables soient chassés des professions de l’information, et que les institutions qui ont permis à l’Imposture de Nétzarim de perdurer sept ans soient revisitées de fonds en combles. Le Renascimento politique et éthique de la France voulu par le président Sarkozy est au moins à ce prix.







Note :



[1] La Metula News Agency n’a pas cessé d’affirmer que deux enquêtes avaient disséqué l’Affaire A-Dura, dite aussi Controverse de Nétzarim. Il s’agit, initialement, de celle de l’armée, dont la direction fut soumise au physicien Nahum Shahaf, et ensuite, de celle de la Ména, qui a vérifié les résultats obtenus par Tsahal et qui les a complétés, durant les trois ans et demi qu’ont duré sa propre enquête.





Articles concernant le procès Karsenty :



Les faux procès de l’Affaire A-Dura, par Stéphane Juffa.

Réflexions sur un jugement français, par Luc Rosenzweig.

Il faut sauver le soldat Enderlin ! (1ère partie), par Stéphane Juffa.

Il faut sauver le soldat Enderlin ! (2ème partie et fin), par Stéphane Juffa.

Procès Karsenty : La Metula News Agency condamnée ''par contumace'', dépêche

Football : lourd revers pour France 2 en match préliminaire de l’Affaire A-Dura, par Ilan Tsadik.
Reponse a E....
18 septembre 2007, 00:58
E....,

Les informations les plus recentes d'Israel sont diffusees (en general, il est vrai, par Kfir et par L....) uniquement pour ceux qui n'ont pas le temps et la possibilite de suivre assez regulierement, dans les nombreux sites qui sont a leur disposition, "tout ce qui a trait a Israel" et je ne vois pas en quoi cela peut gener certains surinformes qui sont au courant de tout grace a leur curiosite et au temps libre dont ils disposent! comme E.... De toutes facons, cela ne devrait pas les gener car les nouveaux forums sont structures de telle facon qu'il est vraiment facile aujourd'hui de faire l'impasse sur certaines rubriques sinon sur certains harissiens. N'est-ce pas E.... ?

L....
Publication d'articles
18 septembre 2007, 04:47
Peut-etre faudrait-il que La Mena, et les autres disparraissent, puisqu'ils ont des sites prives, que tout le monde peut consulter, dans ce cas quel interet y aurait-il, d'avoir une revue de presse ?
Education
18 septembre 2007, 11:24
Education
2007-09-18 16:31:00


Selon une étude menée par l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE), le budget du gouvernement destiné à l'enseignement supérieur a énormément baissé, rendant les établissements scolaires d'autant plus dépendants des fonds privés.

La proportion de ces fonds privés est ainsi l'un des plus hauts enregistrés dans les pays développés : parmi les 24 pays de l'OCDE, Israël est classé 6ème.

Si la politique israélienne ne change pas à ce sujet, le niveau scolaire pourrait alors rapidement baisser.

Aujourd'hui, seuls 1/3 des adolescents poursuivent des études supérieures.

Les Israéliens restent en moyenne 16 ans à l'école, contre 17.5 dans les autres pays développés.

Jeudi 11 septembre, le Président de l'association des étudiants, Tomer Oved, avait vivement condamné la décision du gouvernement de réduire de 22 millions de shekels le budget alloué aux collèges académiques, malgré les promesses faites par la ministre de l'Education, Youli Tamir, d'annuler ces restrictions.

Provocations iraniennes : Le monde réagit
18 septembre 2007, 11:27
Provocations iraniennes : Le monde réagit

par Sophie Castella pour Guysen International News

Mardi 18 septembre 2007 à 12:33


Face aux nombreuses provocations lancées par l’Iran ces derniers temps, les réactions ne se sont pas fait attendre. Certains parlent de diplomatie, d’autres pensent à la guerre.


Mardi 18 septembre, une conférence sur les bienfaits des exportations allemandes en Iran s’est ouverte, à Darmstadt, en Allemagne.

Cette initiative, lancée par le ministre fédéral allemand de l’Economie et de la Technologie, ne semble pas faire l’unanimité parmi les diplomates israéliens, à l’heure où le dossier iranien fait la une des journaux.

« D’un côté les Allemands soutiennent les sanctions adressées contre l’Iran, et de l’autre ils diffusent un message de « business as usual », faisant comme si de rien n’était », a déclaré une source diplomatique.

Cet évènement est d’autant plus génant qu’il fait suite aux récentes provocations lancées par la République islamique.

Début septembre, l’Iran a en effet déclaré qu’il possédait 3000 centrifuges en activité, ce qui lui permettait de produire assez d’uranium pour créer une bombe atomique en un an. Les recommandations de l’ONU semblent donc laisser la République islamique de glace.

Cependant, c’est bien Israël et les Etats-Unis qui se trouvent principalement dans la ligne de mire de l’Iran.

Lundi dernier, le site iranien Assar a annoncé que 600 missiles étaient pointés sur Israël et prêts à être tirés si l’Etat hébreu attaquait l’Iran, ou la Syrie.

Par ailleurs, lors de la 15e exposition internationale sur le Coran, qui s’est ouverte, mardi 18 septembre, à Téhéran, les organisateurs se sont servis des drapeaux israéliens et américains comme tapis, histoire d’illustrer l’opposition iranienne au « big devil » (le grand satan), les Etats-Unis, et le « little devil » (le petit satan), Israël.

Ces provocations iraniennes ont alors suscité de nombreuses réactions dans le monde entier.

« Israël doit se préparer au pire, c’est à dire à la guerre contre l’Iran », a déclaré le ministre français des Affaires Etrangères, Bernard Kouchner, peu après sa visite en Israël, le 11 septembre dernier.

Une telle déclaration reste bien dans la même optique que celle du Président français, Nicolas Sarkozy. « Une bombe iranienne ou le bombardement de l’Iran », avait-il annoncé, en août dernier.

Certains tiennent cependant à calmer le jeu, comme le Directeur général de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA), Mohammed El Baradei, qui s’oppose à des frappes militaires contre l’Iran.

« Je ne pense pas qu’à l’heure actuelle nous soyons face à un véritable danger qui nécessite d’utiliser d’autres méthodes que la diplomatie », a-t-il déclaré lundi.

Il a également souligné que l’AIEA ne détenait, à ce jour, aucune preuve certifiant que le programme d’enrichissement d’uranium lancé par l’Iran avait pour but de créer une bombe atomique.

Bien qu’écoutant attentivement tous les propos tenus par le Président iranien Mahmoud Ahmadinejad, Israël ne semble pas effrayé par ces menaces.

« Mahmoud Ahmadinejad veut effrayer le monde en lui faisant croire qu’il est trop tard pour arrêter son programme nucléaire », a soutenu Ehoud Olmert, lundi 17 septembre, lors d’une réunion avec des journalistes de médias israéliens russophones.

Cependant, de telles réactions ne laissent rien présager de bon pour la 62ème session de l’Assemblée générale des Nations-Unies, qui s’est ouverte le 18 septembre, à New-York. Le Président iranien a en effet été invité par le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, à assister à une réunion de l’Assemblée Générale, ce qui a entraîné de nombreuses oppositions.

Lundi 17 septembre, l’ancien gouverneur républicain du Massachusset et candidat à la présidence des Etats-Unis, Mitt Rommey, a ainsi adressé une lettre à Ban Ki-Moon pour lui demander d’annuler l’invitation de Mahmoud Ahmadinejad. « Le régime d’Ahmadinejad a explicitement parlé de rayer Israël de la carte, il a soutenu la campagne du Hezbolalh et défie le monde en poursuivant son programme nucléaire ».

Une manifestation officielle est également prévue par de nombreuses organisations et comités juifs américains, lundi 24 septembre. « Nous croyons que cette manifestation est particulièrement importante à cause de la hausse permanente des propos tenus par l’Iran contre Israël et les Juifs », a déclaré Malcom Henlein, vice-président exécutif de la Conférence des Présidents des organisations juives américaines, qui participera à cette manifestation.

Vendredi 20 septembre, les six grandes puissances (la France, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Chine, la Russie et l’Allemagne) se réuniront à Washington pour voter une nouvelle résolution de l’ONU qui leur permettra de sanctionner plus sévèrement l’Iran.


Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
18 septembre 2007, 23:16
Les Palestiniens contre les méthodes du Hamas

Les Palestiniens sont très majoritairement opposés aux méthodes brutales du Hamas dans la bande de Gaza. C'est ce qui ressort d'un sondage réalisé lundi 17 septembre par l'université Al-Najah de Naplouse, en Cisjordanie, auprès de 1 630 Palestiniens partisans du Hamas et vivant en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. 78 % des personnes interrogées désapprouvent le recours du mouvement islamiste à la Force exécutive (force paramilitaire chargée de maintenir l'ordre à Gaza).

Cette baisse de la popularité du Hamas survient alors que, depuis la mi-juin, le mouvement islamiste contrôle la bande de Gaza. Or 65 % des personnes interrogées jugent aussi que la sécurité dans ce territoire s'est détériorée depuis cette date.

Toujours selon le même sondage, 50 % soutiendraient le Fatah (parti du président Mahmoud Abbas) si des élections, législatives ou présidentielle, avaient lieu aujourd'hui.
Pièces jointes:
78% des palestiniens opposes aux methodes brutales du Hamas - image.gif
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
19 septembre 2007, 00:51
Un coup de poignard dans le cœur.

Par Marc Haviv pour Guysen International News

Dimanche 16 septembre 2007 à 22:46


L'année dernière, à la même période qu'aujourd'hui, j'ai vécu, ainsi que des membres de ma synagogue, un traumatisme que je ne pensais jamais vivre ici, en Israël.

Un peu comme une honte, je l'ai gardé pour moi et pourtant, reflexe journalistique oblige, je me suis précipité sur mon appareil photo afin de témoigner de l'impensable. Après quelques jours de réflexion je me suis dit que personne n'en saura rien, que c'est un épisode (qui s'est toutefois renouvelé à deux reprises en quelques semaines) unique et qu'il valait mieux le passer en "pertes et profits".


Mais voilà, l'arrestation et le jugement des Néo Nazis à Petah Tikva a révélé le débat en plein jour.

Oui il y a des néo Nazis en Israël et je vous livre mon témoignage, différé certes.

Oui des individus sont rentrés dans notre synagogue, sans rien voler mais dans le but de détruire, de profaner.

Ils ont renversé des objets saints, les ont mis par terre et ont uriné dessus.

Ils ont inscrit des croix gammées sur l'armoire du Sepher Thora (le Haron). Heureusement que les Rouleaux de la Thora étaient protégés par une porte blindée!

Des profanations de synagogue en Israël? Il y en a eu des dizaines.
Des actes antisémites? Des centaines.

Des centaines de milliers de non juifs ont rejoint Israël, dont une petite partie avec leur lot de haine.

La politique d'émigration de l'Etat d'Israël a généré un monstre pervers. De faire venir dans le pays des juifs les descendants de ceux qui ont cherché à nous détruire dans les steppes de la Russie blanche.

Fuyant une situation économique précaire, ils sont venus trouver refuge dans un pays qui leur ouvrait leurs bras et leur… Coffre Fort.

Avantages divers, Israël devient un bon filon, les juifs, on verra après!!!!!

Trop c'est trop. L'émigration juive de Russie est un modèle d'intégration tel que je la souhaite aux juifs de France. Ces juifs eux non plus, ne supportent pas la présence de cette "Tourbe nombreuse".

Comme ceux qui sont sortis d'Egypte avec Moshé, suivant l'opportunité de libération des juifs pour semer la zizanie à chaque instant jusqu'à fabriquer le veau d'Or (Selon certains commentateurs).

Les autorités doivent être fermes au plus haut point et cesser de remettre tous les problèmes de société à plus tard.

Un néo Nazi en Israël doit être expulsé ainsi que toute sa famille et immédiatement. Toutes les aides doivent leur être retirées sur le champ.

Il est normal que le peuple qui a subi la Shoa soit un peuple d'accueil. Les réfugiés des Boat People dans les années 70 et dont l'une d'entre eux est aujourd'hui consule d'Israël dans un pays d'Extrême orient, est un bon exemple. De même que, plus récemment, les centaines de chrétiens réfugiés du Darfour qui ont échappé à l'extermination silencieuse de toute une ethnie sans enjeu, n'intéressant pas les donneurs de leçon de l'Occident bien pensant et venant se réfugier en Israël. Depuis une semaine, leurs enfants ont débuté leur scolarité avec les petits israéliens.

J'attends avec impatience le verdict et la jurisprudence de ce procès. En attendant je vous laisse partager "l'horreur" de la vision d'une synagogue saccagée un Shabbat matin.

Pièces jointes:
syna_devaste_2.jpg
Impardonnable négligence.
19 septembre 2007, 00:54
Impardonnable négligence.

Par Ambre Grayman pour Guysen International News.

Lundi 17 septembre 2007 à 12:34


Dans le monde publicitaire, la provocation est souvent utilisée comme un précieux condiment susceptible de réveiller l’appétit des consommateurs blasés. Parfois cependant, elle provoque des indigestions difficiles à guérir et à oublier. Dernier exemple en date : La campagne de pub de Bell Canada.
Il faudra probablement beaucoup de temps à Bell Canada pour se remettre de sa dernière campagne, censée promouvoir un nouveau service de téléphone mobile.

Affichée sur des panneaux de stations de métro ainsi que des abris de bus de Vancouver et de Toronto, celle-ci a en effet décidé d’exploiter le mythe du 'punk anglais en colère' rendu hystérique parce qu’il ne peut obtenir le service 'Solo Mobile' : un privilège réservé aux seuls canadiens et que le monde entier leur envie.

Jusque-là rien de bien méchant sauf que sur la veste de la jeune punk est épinglé un badge sur lequel on peut lire 'Belsen was a gas'.

Un titre très controversé du groupe Sex Pistols dans les années soixante-dix faisant explicitement référence au camp de concentration de Belgen Belsen dans lequel 50 000 juifs furent assassinés entre 1940 et 1945, parmi lesquels Anne Frank et sa sœur Margot.

Une gaffe qui ne pouvait passer inaperçue dans un pays comptant la quatrième plus grande communauté juive du monde.

Dès le lendemain la société BELL Canada s’est immédiatement excusée pour cette référence malheureuse et a aussitôt annulé sa campagne d’affichage.

Attribuant ce grave incident à une erreur d’inattention, le porte-parole de la compagnie, Mark Langton a précisé qu’il était "évident" que Bell Canada n’avait jamais voulu mentionner "un slogan aussi blessant" sur la publicité.

Dans l’argot britannique des années soixante-dix l’expression 'what a gas' signifiait (et signifie encore) 'formidable !' ou encore 'génial !'.
On comprend dès lors pourquoi le titre 'Belsen was a gas' souleva un tel scandale à l’époque.

Le groupe se défendit de faire le jeu des révisionnistes ou des antisémites en arguant du fait que la chanson était 'simplement' ironique.

Très soucieux de ne pas se faire l’écho de l’idéologie provocatrice, et de mauvais goût ,de l’ancien groupe punk, Bell Canada a attribué son erreur à un problème technique.

Selon Langton en effet, les officiels auraient approuvé les épreuves graphiques avant qu’elles ne soient publiées.
Malheureusement la taille de ces exemplaires n’aurait pas permis de lire l’inscription du badge, laquelle ne fut découverte qu’après que les affiches aient été apposées sur les lieux publics.

"C’est une mauvaise publicité, pour n’importe quel jour, mais peut-être en particulier pour cette semaine" a indiqué le responsable de Bell Canada en faisant allusion aux fêtes de Rosh Achana qui ont coïncidé avec la sortie de la campagne.

Et de préciser : "nous nous excusons de l’offense et de la détresse que nous avons pu causer."

Pièces jointes:
p90_sex_pistols.jpg
L'Iran capable de bombarder Israël en cas d'attaque de l'Etat hébreu
19 septembre 2007, 09:14
TEHERAN (AFP) - Un haut responsable des forces aériennes iraniennes a assuré mercredi que les bombardiers iraniens étaient capables de frapper Israël si ce dernier attaquait l'Iran.


"Nous avons un plan selon lequel, dans l'éventualité d'un geste fou de ce régime (israélien, ndlr), les bombardiers iraniens pourraient exécuter une attaque de représailles contre le territoire israélien", a dit le général Mohammad Alavi, commandant-adjoint des forces aériennes, cité par l'agence Fars.

Réagissant à ces propos, les Etats-Unis ont dénoncé une volonté de provocation iranienne.

"Des propos tels que ceux qui ont été rapportés d'Iran sont inutiles, qu'ils ne sont pas constructifs et qu'ils paraissent presque provocateurs", a dit la porte-parole de la Maison Blanche, Dana Perino, ajoutant qu'Israël ne cherchait "pas la guerre avec ses voisins".

La force aérienne iranienne est considérée comme largement obsolète par les experts militaires occidentaux. Ses appareils encore en service ont été achetés notamment aux Etats-Unis avant la révolution islamique de 1979.

Le général a mentionné la capacité de frappe iranienne à l'aide de missiles, avant de poursuivre: "nous pouvons les attaquer avec nos avions de chasse et répondre à leur attaque improbable avec une attaque aérienne sur leur sol".

Ces commentaires interviennent alors que le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, a provoqué une certaine émotion en évoquant le risque d'une "guerre" avec l'Iran si la diplomatie échouait à convaincre Téhéran de suspendre son programme nucléaire controversé.

M. Kouchner a ensuite insisté sur le fait que ses propos visaient à éviter une telle issue, en signifiant la nécessité d'accentuer la pression diplomatique sur l'Iran.

Des experts et universitaires occidentaux ont fait état de plans israéliens pour détruire dans un raid aérien les installations nucléaires iraniennes, sur le modèle de l'opération "Opéra", dans laquelle des appareils israéliens avaient détruit en 1981 la centrale nucléaire irakienne Osirak.

L'Etat hébreu n'a jamais confirmé l'existence de tels plans, mais Israël a répété à plusieurs reprises que la perspective d'un Iran doté de l'arme nucléaire était pour lui "inacceptable".

Le général Alavi a estimé que les discussions sur une attaque aérienne israélienne étaient "seulement une guerre psychologique, car nous rejetons l'idée que ce régime ait la capacité d'attaquer l'Iran par les airs".

L'armée de l'air israélienne dispose notamment des chasseur tactique F-15I et chasseur multirôle F-16I, d'origine américaines, ainsi que des appareils de ravitaillement en vol mettant l'Iran à leur portée. Israël est réputé avoir reçu des Américains des bombes conçues pour frapper des installations protégées sous des blockhaus.

L'armée de l'air iranienne dispose de 287 avions, dont des F-14 américains achetés avant la révolution et des F-4 et F-5 dont la conception remonte aux années 1960, des F-7 chinois dérivés du MiG-21 soviétique, des MiG-29, ainsi que des Mirage F-1 saisis lors de la guerre contre l'Irak, selon l'ouvrage du groupe d'informations militaires britannique Jane's.

Aucun de ces appareils ne dispose d'un rayon d'action suffisant pour frapper Israël et pouvoir en revenir.

De surcroît, une telle opération supposerait de violer l'espace aérien de pays comme l'Irak, où les Etats-Unis dominent le ciel, ou d'alliés américains, comme les monarchies du Golfe, l'Arabie saoudite ou la Jordanie.
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