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Antisemitisme

Envoyé par sarel 
Re: Antisemitisme
10 juillet 2011, 08:18
Oui le monde craint le nouveau Juif, Monsieur Sarel.
D'un état de sous homme, il est passe depuis longtemps à la vitesse supérieure.

On le craint parce que Israël est là à présent. Avec toute son intelligence, celle qui fut autrefois mise de coté parce que le juif ne pense qu'avec le FRIC.

Depuis 48, un NOUVEAU JUIF s'est levè pour dire à la face du monde, '...Ne craignez rien de nous mais au contraire, nous sommes là pour marcher à vos cotés... En paix...! Alors partageons ce que nous savons faire et ce que vous savez faire. !!!

Hélas ce message a étè soufflé le jour de l'indépendance d'Israël par BEN GOURION à l'ONU. Cette ONU sourde aujourd"hui à la voix de la paix.
Re: Antisemitisme
18 juillet 2011, 13:07
Belgique : un professeur démissionne pour protester contre l'antisémitisme à l'Université libre de Bruxelles

Le professeur Jacques Brotchi a décidé de quitter ses fonctions au sein du conseil de la Fondation de l'Université libre de Bruxelles (ULB ), après avoir dénoncé plusieurs incidents antisémites au sein de l’université, rapporte le site de l’agence European Jewish Press. "Je déplore profondément l’absence d’une réaction forte et appropriée des autorités universitaires à une succession d’incidents antisémites", a expliqué Jacques Brotchi. Le neurochirurgien de renommée internationale et professeur honoraire à l’ULB était membre du conseil de la Fondation ULB qui recueille des fonds pour la recherche. Dans sa lettre de démission adressée au recteur de l’ULB, M. Brotchi écrit qu’il ne se sent plus chez lui à l’ULB. Le professeur, également sénateur MR, fait référence à plusieurs incidents tels que la mise en scène d’un checkpoint militaire israélien sur le campus universitaire ou encore l’absence de réactions appropriées des autorités à la suite de déclarations antisémites du pseudo humoriste Dieudonné, invité à une conférence à l’ULB.
Re: Antisemitisme
19 juillet 2011, 03:03
Ne peut etre anti juif parfait que celui qui est ne juif et qui ne veut pas l'etre.
Et d'autant qu;il ne pourait s'en detacher sa haine devient plus forte et malicieuse.
Il collabore et cree les situations de deligimite pour se justifier.
Etant intellectuel'il sait tres bien que le juif persistera toujours'et pourtant il essaye de nouveau.
il attaque le juif physiquement en sachant que sa force est morale et spirituelle.Chose q"HITLER"avait deja remarque 'en signalant qu;il ne pourrait pa y avoir deux peuples au haut niveau et donc il faut detruire l'autre.
Korah etait un de ceux qui ne voulaient pas reconnaitre la loi et pensaient diriger le peuple a leur facon .Il y a toujours eu des juifs qui ont quitte les rangs et cela n'a pas fait detourner en quoi que cesoit le chemin initial et prevu.
L'antisemitisme est tres proche du juif'il n'est pas toujours en face parfois il est en lui meme.
Et celui qui agit de cette facon souffre parce que il est tenu a rester juif malgre lui
Il y aura toujours quelqu'un pour lui rappeller ses origines
amities a tous
sarel
Re: Antisemitisme
19 juillet 2011, 06:43
sarel a écrit:
-------------------------------------------------------
> Ne peut etre anti juif parfait que celui qui est
> ne juif et qui ne veut pas l'etre.
> Et d'autant qu;il ne pourait s'en detacher sa
> haine devient plus forte et malicieuse.
> Il collabore et cree les situations de deligimite
> pour se justifier.
> Etant intellectuel'il sait tres bien que le juif
> persistera toujours'et pourtant il essaye de
> nouveau.
> il attaque le juif physiquement en sachant que sa
> force est morale et spirituelle.Chose
> q"HITLER"avait deja remarque 'en signalant qu;il
> ne pourrait pa y avoir deux peuples au haut niveau
> et donc il faut detruire l'autre.
> Korah etait un de ceux qui ne voulaient pas
> reconnaitre la loi et pensaient diriger le peuple
> a leur facon .Il y a toujours eu des juifs qui ont
> quitte les rangs et cela n'a pas fait detourner en
> quoi que cesoit le chemin initial et prevu.
> L'antisemitisme est tres proche du juif'il n'est
> pas toujours en face parfois il est en lui meme.
> Et celui qui agit de cette facon souffre parce que
> il est tenu a rester juif malgre lui
> Il y aura toujours quelqu'un pour lui rappeller
> ses origines
> amities a tous
> sarel


Mon cher Sarel le grand chef de l'inquisition
le grand inquisiteur Torquemada qui en a fait du mal durant cette periode noire de l'histoire de l'Espagne
etait ,c'est malheureux a dire , juif !!!
car comme on le dit dans notre language ,il n'y a pas plus antisemite qu'un juif (renegat ,bien sur!!)
Re: Antisemitisme
24 juillet 2011, 00:18
24.7.11 le juif
Le juif reste juif
Le monde occidental veut le faire participer au jeu et regles judeo=chretiens pour le renier.
Le monde arabe tient a le soummetre par l'epee
Et le juif reste juif
Il est en dehors' il est par-dessus malgre tout
Il est intemporel et immobile
Il etonne 'car on ne peut pas le toucher 'le blesser'ou le faire basculer.
Il fait partie du temps
Il peut s'amuser avec la phylosophie mais reste juif .
En souvenir de la victoire de l'empire romain contre la judee'Rome a edifie un arc de triomphe qui est encore la .Le seul edifice qui est reste entier au milieu d'un forum tout detruit pour nous souvenir de cette petite province dans ce grand monde romain.
Leur acte a glorifie le juif 'en ayant l'intention de designer le valeureux soldat romain.
La phylosophie nazie ne pouvait pas admettre un peuple plus superieur'
que le peuple aryen 'devant etre unique sans concurrent
Il n'était pas question d'une nation quelquonque mais specialement du "juif" qu'il fallait exterminer pour qu'il ne reste qu'un seul de dominant.
En repoussant le juif 'et en le craignant le monde l'a toujours fait monter de grade tout en le menacant'parce que il le redoute.
En voulant l'ecraser il l'a emmene a avoir part egale dans tous les conflits ou discussions internationnales.
Et le juif reste juif
Il ne peut pas etre autre .
Cela ne depend pas de lui.
Re: Antisemitisme
24 juillet 2011, 02:30
Sarel Cher Ami, tu peux ajouter, qu'Il transcendera les empires qui sont périssables,,,

et qui tous périront !
Re: Antisemitisme
24 juillet 2011, 14:23
Le nouvel enseignement du mépris - Par Guy KONOPNICKI - Pour aschkel.info - 24 juillet 2011

Une circulaire parue au Bulletin officiel de l’Education nationale recommande de remplacer le terme Shoah par « anéantissement ». Ce mot serait plus rigoureux, et le rôle de l’école étant d’assurer la défense et l’illustration de la langue française, il semble bien naturel de bannir toute importation de l’Hébreu. Respectant cette recommandation, le manuel d’histoire présenté par les éditions Hachette pour les classes de première évoque donc l’anéantissement des Juifs par l’Allemagne nazie, en évitant le mot. La chose effroyable est correctement décrite, mais sans le mot. Sauf, bien sûr, dans le titre de l’enseignant invité à rédiger ce chapitre, Lannis Roder, responsable des formations pédagogiques au Mémorial de la Shoah.

Or, on se souvient qu’une enseignante de Nancy, Catherine Pederzoli, faisant l’objet d’une suspension disciplinaire, s’était vue reprocher son emploi systématique et donc abusif du mot Shoah, et ce, dans un rapport à charge rédigé par les inspecteurs généraux d’histoire. Traduite devant un conseil de discipline, Catherine Pederzoli a été réintégrée, le conseil n’ayant pas retenu les charges concernant l’emploi du mot Shoah, ni celles portant sur le contenu de l’enseignement dispensé tant en classe que lors des voyages de la mémoire. Mais si l’affaire Pederzoli est close, la querelle portant sur le mot Shoah n’est nullement anecdotique.

L’inspection générale de l’Education nationale rejette un terme, au motif qu’il ne vient pas des historiens, mais du travail d’un cinéaste, Claude Lanzmann. Le mot Shoah peut, à la rigueur, être mentionné en tant que terme adopté par l’Etat d’Israël pour désigner l’anéantissement des Juifs d’Europe.

Passe que l’Education nationale ne parvienne toujours pas à admettre le cinéma comme moyen d’investigation historique ! L’inventeur de ce procédé, Louis Lumière, était tout de même membre de l’Académie des Sciences. Il est vrai qu’il s’y distingua, en 1942, par un éloge des progrès scientifiques de l’Allemagne hitlérienne, mais l’engagement des frères Lumière dans la collaboration ne les empêche pas d’avoir été à l’origine d’un bouleversement des moyens de la pensée. Le paradoxe du cinéma, c’est d’avoir été rapidement considéré comme un instrument d’hégémonie culturelle placé entre les mains des juifs, en dépit de l’antisémitisme de ses inventeurs. La négation de la valeur historique du film de Claude Lanzmann s’enracine tout à la fois dans cette prévention vis-à-vis du cinéma et dans l’insupportable soupçon de manipulation, de partialité, qui s’éveille dès lors qu’un Juif aborde, en tant que tel, l’histoire de la Shoah.

Lanzmann n’a pas choisi par hasard le mot Shoah. Il s’agissait de désigner le caractère unique du génocide des Juifs, sa planification systématique par le régime nazi, sa place centrale et obsessionnelle dans la politique hitlérienne. Et, ce qui est plus difficile à faire admettre à nos esprits clairs et rationnels, la désignation en hébreu de la Shoah porte aussi la singularité du peuple Juif.

L’Éducation nationale refuse donc un traitement trop singulier, trop juif, ce qui revient à réduire la dimension singulière de l’événement à sa durée et à son ampleur. Il ne faudrait surtout pas que les élèves s’interrogent sur l’histoire des enfants d’Israël, sur ce qui les distingue des autres victimes de génocides, Arméniens, Tzigane, Tutsies, et tant d’autres encore. Bien évidemment, il importe de montrer ce qui unit des peuples différents lorsqu’ils sont victimes de la barbarie. Mais chaque acte criminel s’inscrit dans une histoire. Celle de la haine des musulmans pour les Chrétiens s’agissant du massacre des Arméniens par les Ottomans.

Et pour ce qui concerne la Shoah, les inspecteurs d’Histoire comprendraient mieux sa spécificité, en relisant l’Enseignement du mépris. L’auteur, cette fois, n’était pas extérieur à l’Education nationale, il avait rédigé des manuels d’Histoire que ceux d’aujourd’hui nous font regretter ! Et Jules Isaac montrait comment l’antisémitisme européen, depuis l’accusation de déicide avait pu conduire au nazisme et à la solution finale. La spécificité de la Shoah, tient à son enracinement dans l’histoire de l’Europe et dans celle du peuple juif.

Ce que l’on reprochait à Catherine Pederzoli et que l’on reproche toujours à l’association Déportation Persécution Mémoire, animée par le rabbin Michel Serfaty, c’est d’inscrire l’histoire de la Shoah dans l’histoire du peuple juif. Mais tout s’explique quand notre manuel d’Histoire Hachette pour les classes de première aborde la question de la « Palestine ». J’emploie les guillemets, parce que cette « Palestine » est un territoire imaginaire que nos historiens substituent à la réalité politique, historique et géographique, constituée, depuis 1948, par l’Etat d’Israël. Sur trois pages d’Histoire, on n’a pas trouvé le moyen d’employer l’expression reconnue par les Nations Unies, définissant un état souverain, l’Etat d’Israël.

Pourtant ce chapitre consacré au partage de la Palestine comporte un petit encadré indiquant aux élèves le vocabulaire à connaître. Et si le mot hébreu Shoah est désormais proscrit, on introduit en revanche le terme arabe « nakba ». Avec cette définition : « nakba (catastrophe en arabe), expulsion des Palestiniens en 1948 ».

On ne saurait mieux falsifier l’Histoire qu’en présentant la création de l’Etat d’Israël comme l’expulsion d’une population légitime. Naturellement, il n’est nullement question de l’appel du muphti de Jérusalem à quitter les régions sous souveraineté juive, pour y revenir après la victoire des armées arabes qui se ruaient sur le nouvel Etat d’Israël. Mais tout le chapitre vise à nier toute légitimité à Israël.
Les élèves de première seront d’autant moins critiques qu’ils auront été préparés, dès la quatrième, par un autre manuel Hachette. On y voit, dans la vieille ville de Jérusalem, une pauvre petite fille brune avançant entre deux rangées de soldats israéliens. Nous sommes dans un pays occupé, dans une ville, Jérusalem, où l’on conviendra que les juifs n’ont rien à faire. En quatrième, il faut un choc émotionnel. L’enfant martyr de Palestine marche entre les soldats juifs !

L’explication viendra en première avec les termes à connaître.
Avec cette définition : « sionisme : idéologie et projet politique visant à créer un Etat juif indépendant en Palestine ».
Le sionisme est une idéologie, terme qui porte désormais une connotation péjorative, renvoyant aux régimes fondés sur une idéologie, les fascismes et le stalinisme. Les élèves ne seront pas instruits de l’Histoire du sionisme, comme mouvement d’émancipation nationale du peuple Juif, ils devront le considérer à titre d’idéologie.

La libération nationale se trouve de l’autre côté. L’œil est attiré par une photo ainsi légendée : « 1936 manifestation pour l’indépendance la Palestine ». Or, il s’agit d’une manifestation pour la terre aux Arabes, contre le développement du Foyer national Juif. Non seulement ces manifestations arabes ne s’opposaient pas au colonialisme britannique, mais elles étaient largement encouragées par les Anglais. Elles servirent de prétexte au contingentement de l’immigration juive, à la veille de la Shoah.

Rien dans ces pages ne permet de comprendre comment et pourquoi des centaines de milliers de Juifs se trouvaient sur la terre d’Israël en 1947 – 48 . Le sionisme étant une « idéologie », au mieux un projet politique, on ne saura pas que ce mouvement s’est propagé à travers l’Europe dès sa création. On ne saura rien de son caractère progressiste, de ses structures politiques et de l’organisation du Foyer national avant l’indépendance. Il ne sera jamais question de la place de Sion dans l’histoire et l’imaginaire des enfants d’Israël, bien avant la fondation du sionisme politique. Les élèves apprendront que la « Palestine » a toujours existé, comme pays, ils ne sauront pas que l’administration ottomane l’avait divisé en provinces, dépendant chacune du gouvernement de l’empire. On ne leur dira pas qu’il y avait, à l’époque des Sultans, des populations musulmanes, chrétiennes et juives, mais qu’elles ne formaient pas un peuple palestinien. Surtout : les élèves devront ignorer que le caractère particulier de cette région tient à peuple ancien, qui a bouleversé l’Histoire de l’humanité en récusant les idoles païennes et en adoptant une loi écrite, faite de principes qu’aucun monarque ne pouvait modifier, parce ce peuple reconnaissait une autorité, supérieure à celle des hommes. On peut interpréter l’Histoire de toutes les manières, être rationaliste, rigoureux, objectif, respectueux de tous les peuples, même quand ils sont deux à revendiquer la même terre. Mais on défigure l’Histoire, en retirant au peuple Juif son antériorité, en refusant de le considérer comme une nation.

La logique de ce manuel d’Histoire tient à la suppression non d’un seul mot mais de deux. Shoah et Israël ! La destruction du peuple dont le nom est Israël, le refus de reconnaître que l’échec de la politique « d’anéantissement » comme ils disent, fut la proclamation de l’Etat indépendant d’Israël.

Ces manuels scolaires fondent un nouvel enseignement du mépris. L’ancien, dénoncé par Jules Isaac, reposait sur un catéchisme, auquel l’Eglise catholique a eu le courage de renoncer. Las ! L’école laïque, qui nous donna pendant plus d’un siècle, l’antidote aux préjugés de l’antisémitisme clérical, l’école laïque diffuse désormais le nouvel enseignement du mépris.

L’antisémitisme naît souvent de la négation d’un père fondateur Juif. Il en fut ainsi pour celui de l’Eglise, comme pour celui du communisme. Depuis des années, de réforme en réforme, l’enseignement de l’histoire dans les lycées se veut moderniste, en rupture avec le récit universel et le roman national français que racontaient nos vieux Malet Isaac. Ces merveilleux manuels d’Histoire ont formé des générations de lycéens. Ils ont été remisés au grenier des souvenirs, au nom d’une idéologie du respect des diversités. La glorification de l’Histoire de France pouvait heurter des élèves issus d’anciens peuples opprimés. Et puis, le récit historique linéaire, la chronologie, les batailles, c’était ringard. Il importait seulement de donner « des clefs pour comprendre », et le nouveau manuel Hachette s’intitule « clefs pour comprendre le XXème siècle ». Après avoir organisé la méconnaissance de l’Histoire générale et la liquidation de l’Histoire de France, les pédagogues de l’Education nationale proposent des clefs idéologiques, pour comprendre d’où viennent les malheurs du monde. Et ces malheurs ont pour origine l’expulsion des Palestiniens par les juifs, avec pour illustration, une photo montrant des soldats israéliens entassant des Arabes dans un camion. C’est que si le nom de l’état d’Israël est interdit, l’adjectif israélien peut s’employer, mais avec le substantif soldat…

Jules Isaac est loin. On ne songerait même pas à citer son nom et son Histoire, à titre de clefs pour comprendre la Shoah, pardon l’anéantissement. Isaac Jules : Historien français radié de l’Université par Vichy. Il consacra les dernières années de sa vie à extirper l’antisémitisme de l’enseignement historique, en souvenir de sa fille et de son gendre, déportés et assassinés, parce que Juif. Ce père fondateur de notre enseignement secondaire est aujourd’hui renié, au profit d’une vision manipulatrice de l’Histoire.


Source : [www.aschkel.info]
Re: Antisemitisme
25 juillet 2011, 01:41
France : Hachette remet en vente des livres d'histoire pro-palestiniens

Le Bureau national de vigilance Contre l'antisémitisme (BNVCA) a été informé par des correspondants particulièrement scandalisés que les éditions Hachette Education ont, par mail et par fax, demandé aux librairies de remettre à la vente les livres d'histoire destinés aux classes de 1ère et de 4ème que plusieurs associations dont le BNVCA avaient contestés en raison des pages relatives au Proche-Orient, faisant l'impasse sur la création d'Israël, ou ne l'évoquant qu'à travers la Nakba -catastrophe.

La direction des éditions ajoute que ''Hachette ne cède pas aux pressions''.

Le BNVCA confirme les termes de ses communiqués précédents. Le BNVCA persiste à contester la relation des faits tels que l'ont fait les professeurs sous la direction de Mr Zachary, professeur à Nancy. Dans les pages contestées de ces livres d'histoire destinés à des enfants et adolescents perméables a toute information avec un statut officiel, Hachette se comporte comme un relais de la propagande palestinienne, interprète les faits, tronque la vérité historique, incite a la haine.
Le BNVCA constate que l'enseignement du mépris tel que l'avait combattu le grand et véritable historien Jules Isaac réapparait. Ce nouvel enseignement de la haine trouve aujourd'hui son vecteur dans un parti pris pour la seule cause palestinienne .

Hachette manque à sa parole. Il avait déclaré retirer ces livres et même les détruire. Hachette n'étant désormais plus fiable, le BNVCA a décidé de s'en remettre à l'arbitrage du ministre de l'Education nationale, auquel il demande de faire retirer les manuels incriminés.

Parallèlement, le BNVCA étudie avec ses conseils l'opportunité d'une procédure pénale contre Hachette, ainsi que contre les auteurs des textes répréhensibles.
Re: Antisemitisme
26 juillet 2011, 14:50
Qui sont les anti-juifs d’aujourd’hui ?
lundi 25 juillet 2011

A l’occasion de la sortie son dernier livre "Israël et la question juive", le philosophe Pierre-André Taguieff a été interviewé par l’historien Andreas Pantazopoulos pour le journal grec Kathimerini. L’interview sera publiée en grec le 31 juillet prochain. La voici en français dans Atlantico.

Pierre-André Taguieff est philosophe, politologue et historien des idées. Il est directeur de recherche au CNRS, rattaché au Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF).

Il est l’auteur de Les Fins de l’antiracisme (Michalon, 1995) et La Couleur et le sang. Doctrines racistes à la française (Mille et une nuits, 2002) et Israël et la question juive (Les provinciales, juin 2011).

Andreas Pantazopoulos : Vous parlez depuis une vingtaine d’années d’un antisémitisme nouveau que vous appelez “nouvelle judéophobie”. Pouvez-vous nous donner les traits de base de cette nouvelle configuration ?

Pierre-André Taguieff : Le postulat de la nouvelle judéophobie est le suivant : les juifs constituent un peuple en trop. À cet égard, on note une continuité dans les formes de l’hostilité aux Juifs. La principale différence consiste dans le remplacement du grief de "cosmopolitisme" ou de "nomadisme" par celui de "nationalisme" ou de "colonialisme" : les juifs incarnaient le contre-type du « sans-patrie » dans le vieil antisémitisme politique, ils incarnent aujourd’hui le type négatif du "nationaliste" (colonialiste, voire "raciste") dans le cadre de la nouvelle judéophobie à base antisioniste.

Il s’ensuit que l’appartenance des juifs à la commune humanité est mise en doute, et même, par les antijuifs radicaux, niée purement et simplement. Ce qui peut se traduire par un impératif ainsi formulable : "juifs, cessez d’être juifs pour devenir humains !" Pour être humainement acceptables, les juifs doivent disparaître en tant que juifs. Or, dans la nouvelle vision antijuive du monde, la première étape de cette élimination n’est autre que la destruction d’Israël. La réalisation de cet objectif constitue la "solution" de la nouvelle "question juive", résultat de l’islamisation du discours antisioniste, mêlant les arguments de type nationaliste ou ethno-nationaliste aux thèmes politico-religieux du fondamentalisme musulman. Le programme "antisioniste", considéré dans ses formulations radicales, a un objectif explicite : "purifier" ou "nettoyer" la Palestine de la "présence sioniste" ou "juive", considérée comme une "invasion" qui souille une terre palestinienne ou arabe (pour les nationalistes) ou une terre d’Islam (pour les islamistes).

Que professe le judéophobe d’aujourd’hui ? Quelle est sa physionomie ? Est-il de droite, ou de gauche ?

Pierre-André Taguieff : Cinq traits permettent de définir le style et le contenu du discours des antisionistes radicaux :

1. Le caractère systématique de la critique d’Israël, une critique hyperbolique et permanente faite sur le mode de la dénonciation publique et recourant aux techniques de la propagande (sloganisation, amalgames, etc.) ;

2. La pratique du « deux poids, deux mesures » face à Israël, c’est-à-dire le recours au « double standard ». Cette pratique systématique de la mauvaise foi, dès qu’il s’agit de l’État juif, conduit à la condamnation unilatérale d’Israël, indépendamment de toute analyse des faits ;

3. La diabolisation de l’État juif, traité comme l’incarnation du mal, impliquant une mise en accusation permanente de la politique israélienne fondée sur trois bases de réduction : le racisme/nazisme/apartheid, la criminalité centrée sur le meurtre d’enfants palestiniens (ou musulmans) et le complot ;

4. La délégitimation de l’État juif, la négation de son droit à l’existence - donc la négation du droit du peuple juif à vivre comme tout peuple dans un État-nation souverain -, ce qui implique d’isoler l’État d’Israël sur tous les plans, en organisant notamment contre lui un boycott généralisé ;

5. L’appel répété à la destruction de l’État juif, impliquant la réalisation d’un programme de « désionisation » radicale, ou plus simplement une guerre d’extermination, où l’Iran nucléarisé jouerait le rôle principal.

Dans vos analyses, vous insistez particulièrement sur le complexe formé par l’islamisme radical et la nouvelle judéophobie. Le thème récurrent est la destruction d’Israël. Mais la question qui se pose est la suivante : peut-on critiquer la politique d’Israël sans être judéophobe ?

Pierre-André Taguieff : Le vieil antisémitisme se survit à travers la simple substitution du mot "sioniste" au mot "juif", notamment chez les adeptes de la pensée conspirationniste : la "conspiration juive internationale" est ainsi rebaptisée "complot sioniste mondial".

L’islamisation des Protocoles des Sages de Sion, auxquels se réfère la Charte du Hamas, en constitue le principal vecteur.

Le complot international est interprété par les islamistes radicaux, de façon paranoïaque, comme un grand complot contre l’islam et les musulmans, conduit par les juifs. L’existence même de l’État d’Israël est perçue comme la preuve du mégacomplot. Si Israël doit être détruit, c’est parce qu’il est le résultat d’une opération perçue comme criminelle : l’installation des juifs sur une prétendue "terre d’Islam".

L’islamisation de la cause palestinienne rend impossible toute véritable négociation susceptible d’aboutir à un compromis. Je distingue clairement, dans tous mes travaux depuis les années 1980, l’antisionisme radical de la critique légitime, dans une perspective libérale/pluraliste, de la politique de tel ou tel gouvernement israélien, de droite ou de gauche. La critique démocratique de la politique d’un gouvernement, relevant du débat public légitime, ne doit pas être confondue avec l’appel à la destruction d’un État-nation. Or, c’est un tel appel à l’éradication qui forme le cœur du programme de l’antisionisme radical.

Atlantico.fr
Re: Antisemitisme
28 juillet 2011, 00:03
le chretien dit que le juif n'a pas reconnu le messie/
c'est donc un renegat qu';il faur effacer pour permettre a ceux qui y croyent a continuer leur route pour la sauvegarde de l'humanite a leur facon /
dans le coran que le juif est specifie qu'il est le peuple du livre 'et qu'on ne [doit pas l'aneantir /seulement il pretend que celui ci n'est pas le juif dont on parle /
parceque le vrai a ete puni 'et que le relais a ete transmi a l'islam /
ce qui fait que les deux religions qui ont decoule du judaisme ne reconnaissent pas le juif en tant que tel.
et la les deux sont d'accord pour l'effacement de ce peuple/
car autrement toutes leurs phylosophies ne tiendront pas debout.

donc l'enjeu est vital et il faut le regler au plus vite.
il faut ajouter la cooperation de juifs laiques qui ne s'interresent qu'a eux meme et n'ont rien a voir avec toute croyance de nulle part.

ce lien bizarre a pour but primordial de deligitimiser le juif physiquementen premier lieu

tout le monde sait bien que la force du juif est morale et qu;'on n'a jamais pu reussir a la detruire.
voila en deux mots l'appercu du sujet tellement actuel et qui se renouuvellera certainement dans les generations futures .
ce qu'il faut distinguer c'est le fait que les deux croyent a une autre suite des evenememnts religieus {messie ou envoye de dieu}

le juif a un mission a effectuer/
il ne peut pas s'en degager.car il restera juif 'malgre lui dant toute circonstance.
il ne peut pas etre autre chose que juif 'ou "juif et ......
le bonjour a tout le monde
sarel
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