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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
19 août 2009, 06:49
Le Centre des Sciences de calcul informatique de l'Université de Tsukuba a établi un nouveau record pour le calcul des décimales du nombre pi (π).

Le superordinateur T2K-Tsukuba a mis 73 heures et 36 minutes pour calculer 2.576.980.370.000 chiffres de pi, ce qui double le record précédent.

[www.asahi.com]

NB. Au lycée on apprenait d'abord 3,14 et 22/7, puis 3,1416 et enfin.3,14159 et 355/113.
Cela simplifiait les opérations car nous n'avions pas les calculettes.

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
19 août 2009, 07:18
ON EST MAL BARRE.....

Et ça continue …


Qui expliquera à Franck Ribery qu'un terrain de football n'est pas une mosquée ?

S'afficher de la sorte devant des dizaines de milliers de personnes (prières sur un terrain de Foot) s'appellerait "provocation" pour n'importe quelle religion.....Sauf, comme par hasard, quand il
s'agit de la Religion islamique.....

Alors que les Musulmans s'offusquent et crient "à la provocation" quand on a, en France, l'outrecuidance de fêter Noël (Fête multi et multi-centenaire), en exposant des Arbres de Noël...

Voici l'excellent article de Pierre Cassen, publié sur le site RIPOSTE LAIQUE :

Dans un article intitulé " Les prières de Ribery ont-elles leur place dans un stade ", j'avais expliqué que l'attitude prosélyte de l'international français, faisant ses prières avant le coup d'envoi, était contraire à l'esprit du sport et aux principes laïcs de notre pays. Je m'étonne encore que personne, ministre des Sports, président de la Fédération française de football ou sélectionneur, ne le rappelle à l'ordre, quand il joue pour l'équipe nationale.

Manifestement, à lire l'interview qu'il a accordée à un journal italien, le garçon persiste et signe : nous aurons droit à ses prières, nul ne l'empêchera, dit-il, avant chaque match de football . Le parcours de ce joueur brillant, issu d'un milieu populaire, aujourd'hui idole des supporters du Bayern de Munich, est révélateur d'un ensemble de phénomènes nouveaux auquel est confrontée la société française.

Chaque sportif, comme chaque citoyen, a la parfaite liberté de croire, ou de ne pas croire, et cela relève de sa sphère privée. Mais à partir du moment où il affiche publiquement son engagement religieux, on est en droit de l'interroger : a-t-il été contraint à cette conversion, pour pouvoir épouser une musulmane ? Or, dans l'interview, il se refuse à répondre à cette question, ce qui prouve que la réponse est probablement oui, et confirme la pression que subissent de nombreux citoyens de nationalité française pour épouser un conjoint musulman :
pas de conversion à la religion d'amour et de paix, pas de mariage !

Ses deux filles s'appellent Hizya et Chahinaz. Franck Ribery vient d'aller faire un pèlerinage à La Mecque. Est-il excessif de dire que ce joueur est en train de devenir un militant musulman, prêt à
utiliser sa renommée internationale pour faire de la propagande pour sa religion, en imposant ses prières à ses équipiers, à ses adversaires, et au stade entier ?

Faut-il signaler que l'équipe de France était, dans le dernier euro, celle qui comptait le plus de joueurs musulmans ?

Cela pourrait demeurer un choix privé... si la vie quotidienne du groupe n'en était transformée, devant s'habituer à des rites particuliers, à des comportements alimentaires spécifiques, et à des démonstrations de plus en plus visibles.

Ces derniers temps, même Thierry Henry, la vedette de l'équipe, meilleur buteur de tous les temps de l'équipe de France, a fait connaître son intérêt pour l'islam.

C'est donc dans ce contexte que Franck Ribery annonce que nous devrons continuer à subir ses prières, dans les stades, et ajoute, avec toute la subtilité dont il est capable : " Quand je récite mes prières, je me fous de ce que les gens en pensent ". Une nouvelle version de " Le voile c'est mon choix, c'est ma liberté ". On a su expliquer aux jeunes filles, en France, que l'école de la République nécessitait d'en préserver la neutralité, et de ne pas y exhiber leur voile. Qui expliquera à Ribery et à ses amis qu'il y a une différence entre un terrain de football et une mosquée ?

Devons-nous nous attendre, dans un contexte où La Marseillaise est sifflée par des citoyens nés en France dès que notre pays rencontre un pays d'Afrique du Nord, où les internationaux français sont conspués dès qu'ils touchent le ballon (sauf les convertis à l'islam), à ce que Ribery fasse des émules ? Un autre français, qui joue en Espagne, Frédéric Kanouté, qui ne cache pas son militantisme pour l'islam, a, lui, retiré son maillot, lors des événements de Gaza, pour exhiber un
tea-shirt exprimant sa solidarité à la Palestine.

Dernièrement, l'international William Gallas exprimait son malaise, au lendemain de la pitoyable élimination de l'équipe de France, au dernier euro, devant le fossé qui se creusait entre générations. Il y décrivait l'arrogance de beaucoup de jeunes joueurs, déjà milliardaires à vingt ans, et leur absence de respect pour les anciens. Cette équipe où, outre les problèmes jeunes et anciens, on assiste à la montée d'un clan cimenté par la conversion à l'islam d'un nombre de plus en plus important de joueurs, qui, tels Ribery, imposent leurs pratiques à l'ensemble ?

Peut-on compter sur la Fédération Française de Football pour effectuer quelques élémentaires rappels à l'ordre républicain ? A voir son ridicule dernier clip, surfant sur la vague Obama, ce n'est pas d'elle que peut venir ce sursaut.

Dix ans après le titre de champion du monde, on est bien loin de l'équipe de France de 1998, derrière laquelle tout le monde se reconnaissait. Aimé Jacquet n'aurait jamais accepté cela, et Zidane n'aurait jamais imposé une prière aux spectateurs. Faudra-t-il que les spectateurs en arrivent à siffler Ribery, dès qu'il touche un ballon, pour lui signifier ce qu'ils pensent de son attitude ?

Pierre Cassen
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
20 août 2009, 01:03
Paris et Lyon, les deux villes où l'on travaille le moins

LEMONDE.FR avec AFP | 19.08.09

Selon une étude comparative sur le pouvoir d'achat réalisée dans 73 villes par la banque suisse UBS, Paris et Lyon seraient les deux villes où l'on passe le moins de temps à travailler, tandis que les villes asiatiques et du Proche-Orient seraient les plus zélées.
Selon cette étude intitulée "Prix et salaires", publiée mercredi 19 août, la durée annuelle moyenne de travail dans le monde est de 1 902 heures. Elle est de 1 582 heures à lyon et de 1 594 heures à Paris, les deux seules villes françaises retenues pour cette étude. Les travailleurs ont également beaucoup de temps libre à Madrid, Copenhague et Nicosie. L'étude ne distingue cependant pas le temps passé au travail du temps effectivement travaillé.


En Europe occidentale, les plus grands travailleurs se trouvent dans les villes suisses et à Athènes. Mais le temps passé au travail explose en Asie, où l'on compte le plus grand nombre d'heures effectuées à la tâche, avec 2 119. Le Proche-Orient la suit de près avec 2 063. C'est Le Caire qui tient le record absolu (2 373) suivi de Séoul (2 312).

LES SALAIRES LES PLUS ÉLEVÉS SONT EN SUISSE

L'étude de la banque suisse s'intéresse également aux différences de salaires et de pouvoir d'achat. Elle révèle que les employés des villes suisses de Zurich et Genève bénéficient des salaires moyens nets les plus élevés au monde, quinze fois supérieurs à ceux pratiqués en moyenne à Bombay ou Djakarta. Paris se classe 22e, juste derrière Londres, et est devancée par trois villes allemandes et plusieurs capitales du nord de l'Europe.

Mais les deux villes suisses où se pratiquent les meilleurs salaires figurent également dans le top des quatre villes considérées comme les plus chères au monde. Sur cette liste établie à partir d'un panier de 122 biens et services, Oslo (Norvège) caracole en tête suivie de Copenhague (Danemark), Zurich, Genève, Tokyo et New York.

PARIS, 8E VILLE LA PLUS CHÈRE

Paris se classe 9e hors loyer, et 8e en comptant le loyer, une place particulièrement élevée si l'on considère son classement (22e) en termes de salaires. Londres a chuté de 20 places en raison de la crise et de la dévaluation de la livre sterling, alors qu'elle occupait encore en 2006 la deuxième place du podium. Elle se retrouve à présent dans la moyenne occidentale.

En termes de pouvoir d'achat, les différences sont particulièrement marquantes, souligne encore l'étude : s'il faut environ 9 heures de travail à un salarié de Zurich ou New York pour pouvoir s'offrir un iPod nano, un employé à Bombay devra travailler 20 fois plus, soit 20 jours à raison de 9 heures quotidiennes.

[www.lemonde.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
26 août 2009, 09:49
RUSSIE
Mercredi26 août 2009
«Arctic Sea»: le pesant silence du Kremlin
PAR EMMANUEL GRYNSZPAN, MOSCOU

La version du piratage recule devant la piste d’une livraison d’armes russes déjouée par un pays tiers. Les fuites se multiplient malgré l’étau du secret placé sur cette affaire par les autorités russes.

La mystérieuse brume entourant l’Arctic Sea ne veut pas refluer. Le cargo finlandais battant pavillon maltais navigue désormais dans les eaux troubles russes, entre les détails cocasses et les théories farfelues. Car tout est aujourd’hui entre les mains de Moscou. Le bateau et les protagonistes. Les autorités européennes ont l’air d’en savoir plus qu’elles n’en disent, mais laissent aux Russes la tâche d’expliquer ce qui s’est passé. Le Kremlin n’a jamais été très convaincant dans l’exercice de la communication, et dans l’affaire de l’Arctic Sea, il ne recule devant aucun effort pour signaler bruyamment qu’il a quelque chose à cacher.

D’abord, avec un blocus complet de l’information sur les premiers témoins de l’affaire: les 15 membres russes de l’équipage. Libérés il y a plus d’une semaine, ils n’ont pu qu’hier soir appeler leurs familles clandestinement. Depuis une semaine, leurs familles se plaignent à la presse qu’il leur est impossible d’avoir le moindre contact avec les marins. Les autorités russes ont nié les tenir captifs, mais les faits sont là. Deux membres de l’équipage ont pu pour la première fois hier soir appeler leur famille pour indiquer qu’ils se trouvent «dans un hôtel, mais lequel, impossible de savoir».

Mardi également, le directeur du Comité d’enquête du procureur général de Russie admettait que «l’Arctic Sea pourrait ne pas avoir transporté que du bois». Ce comité, chargé de toutes les grosses affaires criminelles, est dirigé par Alexandre Bastrykine, un intime de Vladimir Poutine, et contrôle strictement l’information autour de l’Arctic Sea. «Le navire a probablement été attaqué deux fois» et «sera inspecté de fond en comble lors de son arrivée» dans un port russe, a-t-il ajouté.

Si les autorités ont été en panne d’imagination pour présenter une histoire plausible, la presse russe s’est fait un plaisir de nourrir son public avec ce feuilleton rocambolesque. Le quotidien populaire Moskovski Komsomolets a apporté de l’eau au moulin mardi matin en citant des sources venant du GRU (les renseignements militaires, une sorte de CIA russe). Ce GRU, qui est la plus secrète et la plus influente de toutes les structures militaires russes, aurait mené une opération beaucoup plus importante que celle admise par les autorités russes, avec la mobilisation de troupes d’élite en plus des quatre navires de guerre lancés à la poursuite du cargo. Des moyens de toute évidence disproportionnés par rapport à l’assaut d’un vieux navire transportant pour à peine 1,5 million de francs de bois. Selon les sources de Moskovski Komsomolets, «il y avait bien des armes de contrebande à bord de l’Arctic Sea». Mais rien n’est dit de leur provenance ni de leur destination. La bande de pirates autoproclamés écologistes aux tatouages bariolés d’ex-détenus serait, selon ces mêmes sources, «une équipe recrutée par les services spéciaux d’un pays de l’Union européenne dans l’objectif de prendre le contrôle du navire». Toujours prompt à prendre des accents patriotiques, le quotidien ne se dit toutefois «pas certain que la cargaison d’armes soit destinée à être utilisée à des fins de chantage contre la Russie dans l’arène internationale». Pas certain, mais quand même fortement suggéré.

Selon Yulia Latynina, une journaliste d’investigation habituellement très critique envers le Kremlin, il ne fait pas de doute que l’histoire de piratage est un écran de fumée pour cacher l’échec d’une livraison d’armes à un pays peu recommandable comme la Libye ou l’Iran. Sur les ondes d’Echos de Moscou, Latynina remarque que le cargo a fait une escale de deux semaines dans le port russe de Kaliningrad pour «maintenance». Ce port est, soit dit en passant, une grosse base militaire russe. Dans la même lignée, un ancien officier de la marine militaire russe, Vladimir Filin, a écrit sur le site internet nationaliste anvictory.org que les containers chargés à Kaliningrad pourraient contenir quatre missiles stratégiques X-55 en pièces détachées. Il estime que ces missiles sont susceptibles de modifier l’équilibre des forces au Proche-Orient. «Etant donné l’ampleur du scandale international potentiel, un pays dont l’intérêt était de stopper cette livraison a choisi d’intervenir de manière masquée», écrit l’ancien militaire. Quant à la télévision russe, étroitement sous le contrôle du Kremlin, elle se contente de présenter la version officielle du piratage sans s’interroger sur les incongruités de l’affaire. Au fond, ce feuilleton mystérieux est bien pratique pour distraire le peuple en temps de crise.

© 2009 LE TEMPS SA

[letemps.ch]|1
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
26 août 2009, 12:25
C'est nébuleux et MAUSSADE, tout cela.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
26 août 2009, 19:26
LA PAIX AU MOYEN ORIENT COMMENCE PAR LE RESPECT



Note à Mr Obama: les Palestiniens n'ont pas encore reconnu l'Etat Juif.



De Ronald Lauder, président du Congrès Juif Mondial

Publié par www.YnetNews.com émanation de Yédio't Ah'oronot – le 26/08/09

Traduit par Albert Soued, écrivain, [symbole.chez.com] pour www.nuitdorient.com



Plus d'un président américain a tenté d'apporter la paix au Moyen Orient et plus d'un a échoué. Alors que l'administration Obama envisage son propre plan de paix globale pour résoudre le conflit avec les Arabes et avec les Palestiniens, elle serait bien inspirée de prendre note de quelques écueils.



Règle n°1: respecter la souveraineté des alliés démocratiques. Quand dans une démocratie un peuple libre exprime ses préférences, les Etats-Unis devraient respecter son opinion. L'administration actuelle ne devrait pas chercher à imposer ses idées à des alliés comme Israël.



Reconnaissance et respect mutuels – Cette administration devrait prendre en considération que l'Autorité Palestinienne persévère dans son refus de reconnaître l'Etat d'Israël, comme l'état-nation du peuple Juif. Ce n'est pas une mince affaire. Un accord pour le long terme ne peut être conclu que sur la base d'une reconnaissance mutuelle et le respect de l'autre. Nier l'essence du projet sioniste de reconstruire l'ancienne patrie du peuple Juif, c'est remettre en question le sérieux de tout engagement pour la paix.

Il est triste de constater que l'approche palestinienne du processus de paix dénigrant une patrie au peuple Juif n'est pas seulement le fait des dirigeants antisémites du Hamas. C'est aussi une conviction largement partagée par l'ensemble de l'opinion palestinienne. Et on doit tenir compte de cette réalité.



Rejet par les Arabes – Aujourd'hui les dirigeants ne doivent pas oublier les raisons historiques au cœur du conflit, le refus continu de l'existence d'Israël par le monde Arabe. La solution à 2 états avait déjà été acceptée par les dirigeants juifs menés par David Ben Gourion en 1947 (l'année qui précède l'indépendance), quand ceux-ci ont accepté le plan de partage de la résolution 181 du Conseil de Sécurité de l'Onu. Et les Arabes l'ont formellement rejetée.

Comme la Secrétaire d'Etat Hillary Clinton le sait bien, le plan de paix de Bill Clinton en 2000 a sombré à cause du rejet palestinien de l'état Juif, alors qu'Israël, une fois de plus, avait accepté le droit des Palestiniens à un état.



Il est dangereux de négocier avec des terroristes –Les récentes expériences en Europe nous donnent des leçons sur le danger de négocier avec des terroristes. L'an dernier, des officiels de Grande Bretagne, de France et de l'Union européenne ont pris langue avec des représentants de l'"aile politique "du Hezbollah, dans une tentative pour les amener à la modération dans leur conduite. Le Hezbollah est certainement reconnaissant pour la légitimité que lui confèrent ces pourparlers, mais il ne désarme pas. En fait, selon un communiqué récent du Times de Londres, le groupe a accumulé plus de 40 000 missiles à la frontière avec Israël.



Ne pas trop insister sur l'importance des implantations – Sûrement, nous devons avoir de l'espoir. Les accords de paix avec l'Egypte et la Jordanie sont des modèles utiles. Néanmoins, les récentes rebuffades de la Jordanie, du Koweit et de l'Arabie saoudite devant les efforts de l'administration Obama pour promouvoir une attitude plus conciliante à l'égard d'Israël, nous rappellent à l'évidence que ceux qui ont commencé le conflit ne sont pas encore prêts à le terminer, quelle que soit la rhétorique qui prétend le contraire.

Et puis il y a les implantations. C'est une affaire complexe, sans aucun doute. Mais l'administration américaine doit prendre la mesure des choses, sans les amplifier. Des compromis entre des gens de bonne volonté peuvent être trouvés sur la question des implantations, comme Israël l'a démontré dans un passé récent. Mais aucun compromis ne peut être fait sur le droit à l'existence d'Israël (comme état juif) dans des frontières sûres et non agressées en continu par des groupes terroristes ou menacées par des pays agressifs.



Une stratégie non ambiguë – C'est pourquoi une stratégie non ambiguë expliquant avec précision comment le Hamas et le Hezbollah pourront être désarmés et comment on empêchera l'Iran d'acquérir des armes nucléaires est d'une importance capitale pour tout plan de paix.

L'administration américaine doit être aussi prudente en ne laissant pas les ennemis d'Israël se servir de la question des implantations comme excuse pour ne pas faire de pas en avant vers la paix. Les implantations sont d'importance, mais elles ne font pas partie du cœur du conflit qui dure depuis des décennies.



Faire la paix au Moyen Orient est une tâche peu enviable. Mais c'est aussi une noble cause. Pour réussir, il faut de la patience et de la détermination. Il faut avoir aussi la capacité de pouvoir se tenir au dessus de la mêlée, de bien cerner les problèmes et avoir le courage de les affronter à la source.





Mideast peace starts with respect

Note to Obama: The Palestinians still haven’t recognized the Jewish state

Ronald S. Lauder, president of the World Jewish Congress



Published:
08.26.09, 12:02 / Israel Opinion




More than one American president has tried to bring peace to the Middle East, and more than one has failed. So as the Obama administration outlines its own prospectus for a comprehensive settlement to Israel’s conflict with the Palestinians and the wider Arab world, it would do well to take note of some potential pitfalls.



Rule No. 1: Respect the sovereignty of democratic allies. When free people in a democracy express their preferences, the United States should respect their opinions. The current administration should not try to impose ideas on allies like Israel.



Mutual recognition and respect - The administration would also do well to take heed of the Palestinian Authority’s continued refusal to recognize Israel as the nation-state of the Jewish people. This is not a trivial matter. A long-term settlement can only be forged on the basis of mutual recognition and respect. To deny the essence of the Zionist project - to rebuild the Jewish people’s ancient homeland - is to call into question the seriousness of one’s commitment to peace.

It is a sad statement of the Palestinians’ approach to peace-making that denial of the Jewish homeland is not simply contained in the openly anti-Semitic leadership of Hamas. It is a widespread belief across the spectrum of Palestinian opinion. This reality must be confronted.



Arab rejection - Today’s leadership must never forget that the core historic reason for the conflict is the Arab world’s longstanding rejection of Israel’s existence. The two-state solution was accepted by Israel’s pre-state leadership led by David Ben-Gurion in 1947 when it agreed to the partition plan contained in United Nations General Assembly Resolution 181. The Arabs flatly rejected it.

As Secretary of State Hillary Clinton knows all too well, President Bill Clinton’s peace plans in 2000 foundered due to Palestinian rejection of the Jewish state, even as Israel, once again, accepted their right to statehood.



It is dangerous to negotiate with terrorists - More recent experience in Europe also offers lessons about the dangers of negotiating with terrorists. Over the past year, officials from Britain, France and the European Union all held talks with officials from the “political wing” of Hezbollah in a bid to get the terrorist group to moderate its behavior.

Hezbollah is undoubtedly grateful for the legitimacy that these meetings have conferred, but it is not laying down its arms. Indeed, according to a recent report from the Times of London, the group has now stockpiled 40,000 rockets close to the Israeli border.



Don’t overemphasize the settlements - To be sure, we must have hope. Peace agreements with Egypt and Jordan are useful models. Nonetheless, the recent rebuffs by Jordan, Kuwait and Saudi Arabia of efforts by the Obama administration to promote a more conciliatory attitude to Israel offer a salient reminder that those who started this conflict may not yet be in a mood to end it, whatever their rhetoric to the contrary.



And then there are the settlements. Undoubtedly, this is a complex matter. Yet the administration must beware of overemphasizing it. Compromises between people of goodwill can be made on the settlements, as Israel has demonstrated in the recent past. But no compromise can be made on Israel’s right to exist inside secure borders unmolested by terrorist groups or threatened by belligerent states.



Unambiguous strategy - That’s why an unambiguous strategy explaining precisely how Hamas and Hezbollah can be disarmed and how Iran can be prevented from acquiring nuclear weapons is of central importance to any peace plan.

The administration must also be wary of letting Israel’s opponents use the settlement issue as a convenient excuse for failing to make moves of their own. The settlements matter, but they do not go to the core of this decades-old conflict.



Making peace in the Middle East is an unenviable task. It is also a noble calling. To be successful, it will require patience and fortitude. It will also require an ability to stand above the fray, to see the problems for what they are, and the courage to confront them at their source.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
27 août 2009, 06:50
France-Israël : je t'aime moi non plus
27/08/09
- - Thème: France/Israël

Incompréhension, divergences, le couple France-Israël a vu se creuser ces dernières années le fossé entre deux pays autrefois proches. Les chemins de Paris et de Jérusalem se sont croisés ou éloignés, dessinant les contours d'une relation faite de grands élans d'amitié mais aussi de déceptions. Ambitionnant de retracer les grandes étapes des relations franco-israéliennes, ce documentaire historique s'attache à décrire les événements qui ont directement influé sur les rapports des deux pays. La libération, la création d'Israël, la guerre des Six Jours, les accords d'Oslo sont autant d'épisodes marquants, autant de jalons dans cette histoire.

« France-Israël : je t'aime moi non plus », un documentaire de Gérard Benhamou (France/Israël, 2007). 52 mn. Inédit.
Ce jeudi 27 août 2009, à 20 heures, sur LCP Public Senat.

[www.crif.org]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
27 août 2009, 07:02
Pologne : un Noir disparaît de la dernière pub Microsoft
27/08/09

Sale affaire pour Microsoft. Sa dernière campagne internationale de publicité a été curieusement modifiée en Pologne. Autour d'une table, des businessmen souriants. Petits problème : l'homme Noir figurant dans la pub originale a été grossièrement remplacé par un Blanc.

Nombreux ont été ceux qui ont remarqué l'ignoble stratagème puisque les mains sont restées noires. Seul le visage a été effacé et remplacé par celui d'un « caucasien » comme disent les américains. Difficile d'accuser Microsoft de racisme, sa communication est depuis longtemps axée sur la représentation des minorités. Alors que s'est-il passé ? Est-ce une initiative de l'agence de publicité locale ? Cette dernière a-t-elle reçu des pressions d'associations polonaises d'extrême-droite, on le sait, actives dans le pays ? Le mystère reste entier. En attendant d'en savoir plus, Redmond s'excuse platement : « Nous étudions de près cette affaire. Nous nous excusons et sommes en train de retirer l'image », rapporte le site Internet zednet.fr.

Photo : D.R.

Source : zednet.fr

[www.crif.org]

Sans être un professionnel, on peut se rendre compte facilement de la supercherie.
Les trois personnages de la photo originale sont éclairés principalement par une lumière venant de droite; Dans la photo modifiée le visage du personnage central est éclairé par la gauche.


Pièces jointes:
microsoft_2-Pologne.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
28 août 2009, 01:51
Mardi 25 août 2009

Qui a commencé ?


Suffit-il qu'un seul crétin, persuadé d'être journaliste, diffuse une "info" immonde pour que tout un troupeau de crétins y croient ?

C'est du placebo ce truc, ça ne marche pas du tout ), je me demande ce que l'on pourrait encore faire croire a la horde de gogos prompts a diffamer et insulter les juifs.
Mais je suis en panne, car que n'a-t-on pas déjà inventé au cours de notre longue histoire, pour nous salir et nous insulter.
Faut-il répondre ?
Faut-il se rabaisser à démentir ce que des individus indignes annotent sans style dans des torchons même pas bons à être recyclés en papier WC ?

Qui a commencé ?
L'idiot qui lit ou celui qui écrit ?

J'ai des amis dont le passe-temps favori, lorsqu'il ne travaillent pas, est de rencontrer toutes sortes de gens quand l'occasion se présente.
Ainsi ont-ils sympathisé avec un couple d'américains venus enseigner la musique ...à Ramallah.
Ramallah, c'est tellement la ville où on ne voudrait pas mettre un orteil, que je me demande immédiatement ce que ces deux-là ont été y faire.

Mes amis ont été invité à Ramallah.
Ouaip !
Remarquez ils sont ressortis entiers car ils ne sont pas juifs, sinon, on aurait appris leur mort par les médias.***

Bref, ils ont à leur tour invité les deux américains à Modiin.
Ils leur ont fait visiter leur appartement et la chambre sécurisée, obligatoire dans les nouvelles constructions.
Surpris, ils ont demandé pourquoi bâtir une telle pièce...contre des gosses qui jettent quelques pierres ?

Si si, là était la question.

Inutile de vous dire que j'ai pressé mes amis de me faire rencontrer ces ignares afin d'en savoir un peu plus, et surtout essayer de comprendre comment on peut être aussi peu informés.

Car ils travaillent également à Jérusalem, où on vend des journaux, où il y a la télé et la radio, où on peut échanger des idées, bref où on communique .

Je ne les ai toujours pas vus, mais je vous tiens au courant, cela va sans dire !

Ainsi en va-t-il de ce monde moderne si axé sur la communication justement.

Et bien non, c'est une erreur d'espérer que les gens ont évolué, ils restent ignorants au delà de l'imaginable et surtout il leur faut un bouc émissaire.

A quel point peut-on être assez bête pour croire que nous prélevons des organes aux pauvres petits palestiniens, que nous avons provoqué la crise actuelle, que nous avons fabriqué le virus H1TFV, que nous buvons du sang, que nous empoisonnons les puits, ....

Et à quel point devons-nous réagir, alors que le monde se prosterne devant des dictateurs, se prostitue pour le pétrole et fait dans son froc, devant la menace bien concrète du chaos imminent ?

Pendant que nous attirons l'attention malgré nous, mais bien contre nous, les salopards s'installent et avec eux la régression, l'oppression et la misère.

Pendant qu'on nous diffame sans aucune créativité et en vomissant sempiternellement les mêmes accusations sans fondement, en Israel, on avance et on construit.

Les gens qui viennent ici pour la premiere fois disent tous la même chose.
" C'est drôle, je n'imaginais pas Israel comme ça ! "

Il serait temps de se poser les vraies questions.

Celles qui font peur parce qu'au fond, on connaît déjà la réponse.

***12. 10. 2000 : Lynch à Ramallah. Deux soldats réservistes entrent par erreur dans Ramallah et se font lyncher par la foule sous les yeux des caméras de télévision. La presse est menacée. La télévision italienne présente des excuses à l’Autorité palestinienne pour avoir diffusé les images du lynch.( source: Un écho d'Israel .)
J'ajouterai que les cadavres des soldats ont été montrés à la foule surexcitée, la tête en bas, se vidant de leur sang.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
29 août 2009, 14:08
Au cours d'un entretien téléphonique dimanche 23 août avec Binyamin Netanyahou, le président français Nicolas Sarkozy ''a souligné l'urgence d'une relance vigoureuse du processus de paix'' au Proche-Orient. (Guysen.International.News)


et que faut-il entendre par « processus de paix » ? Capitulation ? L’abandon de tout espoir d’évolution, de vie « normale » au prix d’une « pax Franco-Americana » ?

Selon les tenants de cette théorie, la paix dans le monde dépendrait de celle au Proche-Orient.

Et il faudrait croire à ces balivernes ? À tous ces artifices propagandistes destinés à faire plier le « petit peuple d’élite, fier et sûr de lui-même » ?

Selon eux, le « gel de la colonisation » suffirait à ramener le calme sur la planète.

Oui ! et sans doute :

Eloigner la menace Nord-coréenne

Arrêter le génocide soudanais au Darfour

Stopper la terreur islamique au Pakistan

Vaincre les Talibans en Afghanistan

Ramener les mollahs iraniens à la raison

Transformer le Hezbollah en organisation caritative

Recycler les barons de la drogue mexicains en écologistes

Faire des pirates somaliens des pêcheurs d’éponges, de la Birmanie un paradis touristique, de la Chine un modèle des droits de l’Homme et de Poutine le prochain prix Nobel de la paix…

Peut-être le « gel » réussirait-il même à effacer dans les esprits troublés par le matraquage médiatique l’image du « génocide palestinien », celui où la population augmente de 30% tous les 10 ans ?

Ceux qui véhiculent des idées aussi simplistes dans l’espoir de corrompre l’opinion publique n’ont pas compris un élément essentiel qui lie l’histoire du peuple juif à celle de l’Humanité. Une histoire faite de persécutions, de pogroms, d’inquisition, d’exils, le summum culminant dans la Shoah, tentative de l’effacer de la surface de la terre.

Un peuple qui a survécu à tout cela et sur lequel plane une fois de plus la menace d’éradication massive ne va pas se retourner tranquillement sur le côté en attendant que ça se passe…

Confiance ! Vous voudriez que l’on fasse confiance à ceux qui sont prêts à se vendre pour quelques pétrodollars de plus ? Mais que représentent-ils au regard de l’Histoire ?

Ceux qui, en France, décorent de la Légion d’Honneur un journaliste qui prête sa voix à la diabolisation d’une armée de défense tout en étant incapable d’apporter la moindre preuve tangible à ses allégations ? Ceux qui, aux Etats-Unis, décernent la médaille de la Liberté à celle qui a présidé l’infâme conférence de Durban en 2001, qui a apporté son soutien à une décision consistant à décrire les attentats-suicide comme « un moyen légitime d’établir un Etat » ? Ceux qui, à la présidence de l’Union Européenne, laissent prétendre par l’intermédiaire de l’un des fleurons de leur presse écrite, sans la moindre justification, que les soldats israéliens seraient des « voleurs d’organes » ?

Et ce sont ceux-là même qui voudraient servir sur un plateau Jérusalem, capitale plurimillénaire d’Israël, à des usurpateurs ? Pensez-vous vraiment qu’un peuple puisse accepter de mettre son sort entre de telles mains ?

Toutes les incitations, pressions, incantations et autres calomnies de cet acabit sont vaines.

L’existence est une notion qui ne se négocie pas. Au pied du mur (n’y voyez pas nécessairement un symbole autre qu’historique), le peuple juif a toujours su puiser les ressources indispensables à sa pérennité. Je n’y vois pas plus de raison religieuse que paranormale : le peuple juif et sa patrie originelle, Israël, survivront tout simplement parce que sans eux, le monde se trouverait précipité dans un vortex de violence sans limites.

Parce qu’à défaut de pouvoir blâmer Israël de tous les maux, notre civilisation ne bénéficierait plus du dernier rempart contre ceux qui se sont fixé pour but de la détruire. Ils s’abattraient sur les capitales occidentales comme la misère sur notre pauvre monde, afin de substituer aux valeurs démocratiques un modèle basé sur une régression moyenâgeuse, un système dogmatique où une poignée de monstres (comment appeler autrement ceux qui décapitent des innocents au nom de leur D.ieu ?) réduisent l’être humain qualifié « d’infidèle » à une chair à pâtée, la femme à moins d’un animal et l’enfant à une source de revenus… L’évocation de la menace ultime contre tous les possédés de l’islamisme radical est la seule qui les retienne encore. C’est la principale raison de la course au nucléaire iranien. Que ceux qui veulent effacer Israël de la carte y réfléchissent et que ceux qui participent à l’idée qu’un monde sans Juifs respirerait mieux et « en paix » méditent là-dessus.
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