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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
04 octobre 2009, 01:36


B R A V O S S I M O
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
04 octobre 2009, 14:41
Qui a perdu à l'Unesco ?, par Alaa Al-Aswany
LE MONDE | 03.10.09 | 14h27

Depuis dix ans, mes amis et moi avons pris l'habitude de tenir chaque jeudi une sorte de salon littéraire auquel participent des amoureux de la culture de tous âges et de toutes tendances. Cette semaine, une trentaine de personnes y assistaient. "Qu'avez-vous ressenti en apprenant que (le ministre de la culture égyptien) Farouk Hosni avait perdu l'élection au poste de directeur de l'Unesco ?", leur ai-je demandé.

Je fus surpris des réponses. Une personne déclara que Farouk Hosni avait été traité de manière injuste alors qu'il méritait le poste en raison de ses talents, et deux personnes affirmèrent regretter qu'une fonction internationale de premier ordre ait ainsi échappé à l'Egypte. Tous les autres participants, en revanche, avouèrent qu'ils avaient accueilli avec plaisir la défaite de Farouk Hosni.

Le même jour, en lisant les commentaires laissés par des Egyptiens sur divers sites Internet, je constatai également que la plupart se disaient satisfaits de cette défaite. Cela me parut étrange, car les Egyptiens sont très attachés à leur pays et éprouvent de la fierté chaque fois que l'Egypte remporte un succès sur la scène internationale. Je me souviens encore de l'immense vague de joie qui avait déferlé d'un bout à l'autre du pays à l'annonce officielle de l'attribution du prix Nobel de littérature à Naguib Mahfouz. Lorsque Ahmed Zewail remporta un Nobel de chimie, j'eus l'occasion de l'accompagner dans ses déplacements en Egypte et fus le témoin de l'accueil enthousiaste qu'on lui réservait partout où il allait.

Pourquoi les Egyptiens se sentiraient-ils fiers d'Ahmed Zewail et de Naguib Mahfouz, alors que beaucoup d'entre eux ont accueilli avec satisfaction la nouvelle de la défaite de Farouk Hosni à l'élection du directeur de l'Unesco ? Aurait-il été victime d'une conspiration sioniste visant à l'écarter ? Quelque trahison aurait-elle précipité sa défaite au dernier tour ? Je résumerai la réponse dans les points suivants.

Le ministre Farouk Hosni n'a jamais été élu par les Egyptiens. Lorsqu'il fut nommé, c'était un parfait inconnu, tant sur le plan artistique - Hosni est peintre - que politique, et il est resté à son poste depuis vingt-deux ans non parce que les Egyptiens apprécient son action, mais parce qu'il bénéficie du soutien du président Moubarak. Du fait que le président Moubarak dirige le pays depuis trente ans sans s'être présenté une seule fois à une véritable élection, les Egyptiens estiment que Farouk Hosni fait partie du régime qui leur est imposé, un régime qui, par sa corruption, son ineptie et son despotisme, est la cause de la misère dans laquelle vivent des millions d'Egyptiens.

En ce qui concerne en revanche Ahmed Zewail, Naguib Mahfouz, Magdi Yacoub et d'autres de leurs compatriotes internationalement reconnus, les Egyptiens les aiment parce que ce sont des hommes indépendants qui ont lutté pour réaliser ce qu'ils ont fait, en dehors du régime et, parfois même, en dépit du régime.

La candidature de Farouk Hosni au poste de directeur général de l'Unesco s'est accompagnée d'une intense campagne médiatique, comme s'il menait une bataille décisive dont dépendait le sort du pays. Il y a deux raisons à cela : tout d'abord, comme c'est le président Moubarak lui-même qui l'a sélectionné pour être candidat, l'auguste souhait présidentiel a justifié la mobilisation des rédacteurs et des responsables gouvernementaux afin d'appuyer et acclamer Farouk Hosni. La seule tâche de ces gens est de battre le tambour pour tout ce que veut, dit ou même pense le président.

La seconde raison est que Farouk Hosni a réussi à rallier de nombreux intellectuels au régime, au sens où il les a directement liés au ministère de la culture par des intérêts sonnants et trébuchants, qui vont des contrats temporaires signés avec de jeunes intellectuels jusqu'aux congés exceptionnels complaisants, aux projets superflus et aux commissions fantômes dont les membres sont comblés d'avantages visant à s'assurer leur loyauté, sans oublier les intellectuels de renom à qui le ministère verse de grosses sommes d'argent au motif qu'il les emploie comme consultants.

Farouk Hosni s'est donc constitué sur la scène culturelle égyptienne une véritable milice armée toujours prête à le défendre, qu'il ait raison ou pas. Ces gens ont bien entendu tout fait pour manifester leur enthousiasme à l'annonce de la candidature du ministre, sans s'interroger sur ses réelles capacités à occuper le poste.

Farouk Hosni incarne parfaitement l'image du responsable d'un régime despotique. Tout ce qui lui importe est de plaire au président afin de conserver sa place au gouvernement. Il est prêt à y parvenir par tous les moyens et à n'importe quel prix, et il a un talent remarquable pour défendre avec le même enthousiasme une idée et son contraire.

Les exemples sont innombrables : il a défendu la liberté d'expression pendant la crise déclenchée par le roman Le Festin des algues de mer, de l'écrivain Heidar Heidar, mais n'a pas hésité ensuite à faire saisir trois livres pourtant imprimés par le ministère de la culture. La personne responsable de leur publication fut limogée. Hosni ordonna ensuite la saisie des exemplaires du Da Vinci Code et interdit que le film tiré du livre soit projeté en Egypte.

Lors d'une rencontre avec des députés membres des Frères musulmans, le ministre fit sa célèbre remarque où il promettait de brûler les livres israéliens, avant de se rétracter et d'exprimer ses excuses dans un article publié dans Le Monde. Voulant prouver sa tolérance à l'égard d'Israël, il invita alors le chef israélien Daniel Barenboim à diriger un concert à l'Opéra du Caire, passant ainsi outre à l'interdiction de toute normalisation avec Israël - interdiction dont il s'était targué peu avant de l'appliquer rigoureusement. Personne ne peut donc prétendre connaître les véritables opinions de Farouk Hosni, car il ne fait pas ce qu'il croit être juste, mais ce qui lui permet d'atteindre ses objectifs.

Farouk Hosni se fait à présent passer devant l'opinion égyptienne pour la victime d'un complot sioniste occidental visant à empêcher les Arabes et les musulmans de diriger l'Unesco. C'est faux, car un musulman noir sénégalais, Amadou-Mahtar M'Bow, a effectué deux mandats successifs à la tête de cette organisation, qu'il a dirigée durant treize années consécutives, de 1974 à 1987.

Il est également faux d'affirmer qu'Israël et les pays occidentaux lui étaient hostiles. Après les excuses que celui-ci a présentées dans Le Monde, le ministère israélien des affaires étrangères a officiellement fait savoir qu'il les acceptait. Le premier ministre israélien, M. Nétanyahou, a plus tard déclaré au président Moubarak qu'Israël ne s'opposerait pas à la candidature de Farouk Hosni, et la France a annoncé officiellement qu'elle voterait pour lui à chaque tour de scrutin. Quant à l'hostilité américaine à sa candidature, elle était honnête et franche, l'administration américaine ayant dit dès le départ au gouvernement égyptien qu'elle était prête à soutenir tout candidat égyptien autre que Farouk Hosni.

Dans ces circonstances, où est donc le complot ? Les journalistes proches de M. Hosni estiment que les arrangements conclus en marge de la réunion de l'Unesco en faveur de la candidate bulgare sont une forme sournoise de complot, mais ils oublient que leur candidat a lui-même procédé à de tels arrangements avec ceux qui ont voté pour lui, et que ces tractations sont dans la nature de toute élection libre, où qu'elle ait lieu.

La candidate bulgare, Irina Bokova, a obtenu le poste de directrice de l'Unesco pour la simple raison qu'elle était mieux qualifiée. Elle est plus jeune que lui, bénéficie également d'un haut niveau d'éducation, puisqu'elle est diplômée de l'université du Maryland et de Harvard, et possède une expérience des postes internationaux que n'a pas Farouk Hosni. Mais surtout, elle a des opinions arrêtées sur tout, dont elle ne dévie pas et sur lesquelles elle ne se rétracte pas. Elle est une championne de la démocratie et de la liberté, et non la ministre d'un régime despotique qui truque les élections et réprime ses opposants.

Au final, ce sont Farouk Hosni et le régime égyptien qui ont perdu cette élection, tandis que le peuple égyptien n'a rien perdu puisqu'il n'a jamais choisi Farouk Hosni ni élu le président Moubarak, qui l'a soutenu après l'avoir désigné comme candidat. Farouk Hosni était le candidat du régime, pas le candidat de l'Egypte, et il existe des centaines de personnes qualifiées qui auraient pu mieux que lui prétendre à diriger l'Unesco, mais le président Moubarak ne les a pas désignées car il voulait donner ce poste à Farouk Hosni et à nul autre, et parce que la volonté du président passe avant toute autre considération.

Des millions de dollars - l'argent de pauvres Egyptiens - ont été gaspillés à faire campagne pour Farouk Hosni dans une bataille perdue d'avance. Mais nous avons également constaté qu'il n'y a qu'en Egypte, et pas à l'étranger, où l'on doive se plier à la volonté du président, car dans des institutions comme l'Unesco, ce sont les mieux qualifiés qui obtiennent les postes. La seule solution, c'est la démocratie.

Alaa Al-Aswany est écrivain. Ce romancier, dentiste de profession, né en 1957, est l'un des auteurs égyptiens les plus connus. Célèbre pour son ouvrage L'Immeuble Yacoubian (Actes Sud), il n'a de cesse de jeter sur son pays un regard drôle et critique à la fois. J'aurais voulu être égyptien(Actes Sud), malmené par la censure dans les années 1990, est de la même veine. Combattant l'intégrisme et la dictature, il considère que rien ne justifie l'absence de démocratie.

Traduit de l'anglais par Gilles Berton ©2009 Shorouk Newspaper


Article paru dans l'édition du 04.10.09

[lemonde.fr]

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
05 octobre 2009, 01:35
UNE SOUCCAH A WALL STREET


Pour la première fois, une souccah, cabane de la fête du même nom, rehausse la rue de la bourse américaine. Les réactions sont encourageantes. Le département de la jeunesse du mouvement Habad, est à l’origine de cet événement.


A quand la meme initiative place de la Bourse a Paris ?
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
05 octobre 2009, 03:26
Elsa, rien de plus beau que cette vidéo qui nous montre 80 enfants - 40 juifs - 40 musulmans chantant pour Shimon Péres, merci ma belle de nous l'avoir montrée.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
05 octobre 2009, 07:46
IRAN

Ahmadinejad serait d'origine juive selon un journal britannique
lepoint.fr



Mahmoud Ahmadinejad est coutumier des interventions anti-juives

Connu pour ses violentes diatribes contre Israël, Mahmoud Ahmadinejad pourrait avoir des origines juives.

C'est en tout cas ce qu'affirme le Daily Telegraph. Selon le journal britannique, une photo du passeport du président iranien prise alors qu'il brandissait sa pièce d'identité lors d'un meeting électoral en mars 2008 prouve les racines juives de sa famille.

Un agrandissement du document montre que celle-ci s'appelait précédemment Sabourjian, nom juif.

Une brève note sur le passeport suggère que la famille du président iranien a changé de nom lors de sa conversion à l'islam, après la naissance de Mahmoud Ahmadinejad.

L'affirmation du journal britannique, selon laquelle les Sabourjian viennent traditionnellement d'Aradan, le village de naissance d'Ahmadinejad, est "péremptoire et non sourcée", analyse un spécialiste français de l'Iran, interrogé par lepoint.fr.

"C'est à la mode, en Iran, de dire que quelqu'un a des ascendances juives.

C'est ce qu'on dit pour discréditer des gens importants.

Tout cela prend sa source dans un antisémitisme latent.

Je connais Aradan, le village paysan d'origine du père d'Ahmadinejad. À ma connaissance, il n'y a pas de population juive dans ce village situé près de la ville de Garmsar, à 100 kilomètres environ au sud-est de Téhéran. Mais il faudrait vérifier".



Un blogueur trop curieux arrêté

Certains analystes voient dans l'information du journal britannique une explication aux propos anti-juifs tenus par Mahmoud Ahmadinejad.

Ali Nourizadeh, du Centre pour les études arabes et iraniennes, cité par le Telegraph, estime : "Cet éclairage sur l'origine d'Ahmadinejad explique beaucoup de choses sur ce qu'il est.

Toute famille qui se convertit à une religion différente construit sa nouvelle identité en condamnant son ancienne foi.

En tenant des propos anti-Israéliens, il essaye d'écarter toute suspicion à propos de ses liens avec les Juifs. Il se sent vulnérable dans une société chiite radicale."

Le président iranien n'a jamais caché que sa famille avait changé de nom lors de son déménagement à Téhéran, dans les années 1950, selon le journal britannique.

Mais il n'a jamais évoqué la raison de ce changement, ni son origine.

Son entourage avait déjà évoqué des raisons religieuses, mais aussi des pressions économiques, rapporte le Telegraph , qui note également que Mehdi Khazali, un blogueur, a été arrêté cet été après avoir appelé à une enquête sur les origines du président iranien.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
05 octobre 2009, 21:21
alors qui dit vrai????
il faut toujours prendre le temps
soyons circonspect ci joint un article fort interessant

[/sizhaël Bloch pour Guysen International News
Lundi 5 octobre 2009 à 23:23
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, connu pour ses positions antisionistes et antisémites aurait des origines juives révèle le quotidien Daily Telegraph. Le journal britannique s’appuie, pour corroborer ses dires, sur des témoignages anonymes et sur une analyse lexicale de l’ancien nom d’Ahmadinejad : Sabourjian. Mais cette méthode d’enquête est-elle pour autant crédible ?

Tout débute par une photo du chef de la République Islamique iranien exhibant ses papiers d’identité durant un meeting à Téhéran. Zoomant sur l’image, les journalistes découvrent alors que l’ancien nom d’Ahmadinejad est Sabouridjan. Sabouridjan signifierait « porteur de Sabour» (talith ou nom du châle de prière juif en Iran) et serait un nom juif très connu dans le pays.
Pour appuyer cette affirmation, le Telegraph se fonde sur l’affirmation d’un juif vivant à Londres et né en Iran : "Il a changé son nom pour des raisons religieuses, ou en tout cas ses parents l’ont fait". D’où ce londonien lambda tire-t-il ses informations exclusives, le journal ne le précise pas.

Meir Javedanfar, spécialiste de l'Iran et biographe du président Ahmadinejad, dans un article publié par le Guardian affirme quant à lui que "Sabourjian est un nom assez commun. En Iran, beaucoup de musulmans et de juifs partagent le même nom". En France, certains noms d’origine sépharade sont également répandus dans les deux communautés. Par exemple, le nom de famille Sabah signifiant "le matin'' en arabe est porté indifféremment à la fois par des Juifs ou par des arabo-musulmans.

Cet expert conteste également la traduction du mot ''Sabouridjan'' qui signifierait plutôt ''tisseur de tapis" et non pas "porteur de talith". Le métier de brodeur étant, d'ailleurs, plutôt associé en Iran aux musulmans et non aux Juifs.

Les biographes d'Ahmadinejad sont également formels. Les deux parents de l'actuel président de la république islamique iranienne étaient bien musulmans. Ahmed Ahmadinejad, père de Mahmoud, était en réalité un chiite religieux qui enseignait le Coran, avant que naisse le chef iranien. Sa mère était elle considérée comme une Sayed, un titre donné aux femmes dont les familles descendent directement du prophète Mohamed. La mère de Mahmoud Ahmadinejad ne pouvait donc, en aucun cas, être juive.

Un nom présumé à consonance juive, une modification de ce patronyme. Une énigme qui ne pouvait laisser indifférent nos fins limiers du Daily Telegraph. Pourtant M. Ahmadinejad n'a jamais caché que sa famille avait changé de nom lors de son déménagement à Téhéran, dans les années 1950. La raison de cette mutation pourrait être, pour autant, plutôt liée à des pressions sociales.

Quand il était devenu obligatoire d'adopter des noms de famille, de nombreux habitants des zones rurales ont choisi des appellations qui représentaient leur profession ou celle de leurs ancêtres. Mais, beaucoup de ces familles ont ensuite déménagé à Téhéran et changer de nom afin d'éviter le snobisme et les discriminations des résidents de la capitale.

On ne peut donc que s'interroger sur les intentions du journal le plus vendu d'Angleterre. La volonté de faire un scoop l'aura-t-elle emporté sur leur déontologie journalistique?

Cette information nous rappelle ainsi les prétendus révélations sur la judéité supposée d'Adolf Hitler. S'appuyant sur le témoignage de Hans Frank, condamné à mort comme criminel de guerre à Nuremberg, des biographes affirmaient qu'un des grands parents du dictateur était juif. Dans le cas d'Hitler et Ahmadinejad, on retrouve la même intention grossière d'expliquer les actes ignobles d'un homme par une pseudo psychanalyse de ses intentions.
Pour le Dr Gilbert, confident de Hans Frank, Hitler voulait montrer ''qu'il n'y avait pas de pire antisémite que lui sur la terre afin de faire oublier ces origines". Ali Nourizadeh, chercheur au Centre anglais d'études arabes et iraniennes, a accrédité cette même logique à propos d'Ahmadinejad : "En tenant des propos anti-israéliens, il essaye d'écarter toute suspicion à propos de ses liens avec les Juifs. Il se sent vulnérable dans une société chiite radicale"… Un peu simpliste, non?e]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 octobre 2009, 15:00
Des chercheurs israéliens ont pour la première fois mis en oeuvre en grandeur réelle la production d'électricité à partir du trafic routier.

Une portion de dix mètres sur l'autoroute N°4 a permis de délivrer une puissance de 200 watts. Un tronçon d'un kilomètre serait en mesure de livrer une puissance de 200 kW. Cette installation, posée à une profondeur de 5 cm sous la chaussée, ne nécessite pas d'infrastructure importante.



Last update - 22:10 06/10/2009

Israeli scientists turn rush-hour traffic into electricity
By Avi Bar-El, TheMarker


An Israeli company has developed a method of generating electricity from road traffic, and Israeli may look to implement the system on the nation's highways.

The system works by using generators implanted in the asphalt that create energy when cars drive over them. Each generator produces 2,000 watts per hour, which is stored in batteries along the side of the road.

The technology was developed by the Israeli firm Innowattech, with the cooperation of the Technion University.
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A trial of the system was performed on Tuesday morning, along a 10 meter stretch of asphalt on Highway 4. The experiment was viewed as a success, with passing cars providing the power for street lights set up next to the 10 meter strip.

The manager of the project, Dr. Lucy Edri-Azoulay, said that the generators on Highway 4 were planted 2 inches below the top level of asphalt, and use the weight of cars driving on top of them to generate electricity.

Edri-Azoulay explained that the technology driving the system is based on Piezoelectric materials, which generate electricity in response to applied mechanical stress.

Edri-Azoulay stated that installing the program on a single traffic lane stretching one kilometer would produce 200 kilowatts of electricity hour and a four lane highway with the system implemented would produce a megowatt of electricity, enough to power 2,500 households.

Edri-Azoulay also stated that the system could be used to power electrical installations along the road, providing power for traffic lights, cameras, and streetlights to name a few.

The system would not be dependant on weather and does not require the construction of large-scale infrastructure.

[www.haaretz.com]

Ouvriers installant les générateurs sur l'autoroute N°4.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 octobre 2009, 15:21
Voici une des façons de produire de l'électricité à partir du trafic routier.

[bonnenouvelle.blog.lemonde.fr]

La bagnole, une énergie renouvelable
31 août 2009

C’est paradoxal mais c’est symptomatique de notre heureuse capacité à transformer un problème en solution. L’entreprise anglaise Highway Energy Systems propose de transformer les parkings de supermarché en centrales électriques.

Comment ? Grâce à la pression exercée par les véhicules sur des plateaux incrustés dans le sol, lors de leurs déambulation à la recherche d’une place. Cette pression, insensible pour le conducteur, génère de l’énergie utilisée pour l’éclairage ou les caisses automatiques du parking.
Le premier parking “écolo” de ce type a été inauguré avant l’été dans le supermarché Sainsbury’s de Gloucester. Il génère 30 kwh par heure (l’équivalent de la consommation électrique d’un foyer français en 3 jours).
La chaîne se fait ainsi une image verte (et des économies) et compte bien progressivement adopter le système pour tous ses magasins. Sa démarche va plus loin puisqu’elle utilise aussi panneaux solaires, matériaux de construction recyclés et récupération de l’eau de pluie (pour les toilettes).

Le système mis au point par Highway Energy Systems marche évidemment ailleurs que dans les parkings de supermarché. Ils est déjà utilisé pour faire fonctionner des feux rouges, par exemple. Mais allons plus loin : et si notre immense réseau routier était une gigantesque centrale électrique potentielle ?



>>> Si ça vous fascine, il y a moult vidéos de l’affaire ici

[www.hughesresearch.co.uk]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
06 octobre 2009, 18:25
avec des millions d'utilisateurs d'internet ,le cliquetit des souris devait produire pas mal d'energie . un habitant de la region parissienne d'ailleurs produit 90 % de l'electricite requise pour son magazin de cremes eclaircissantes par son usage soutenu de la souris.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
07 octobre 2009, 01:22
Bon à savoir pour les abonnés ORANGE.

Des milliers d'abonnés Orange victimes d'une escroquerie

LEMONDE.FR | 06.10.09 |

Des milliers d'abonnés Orange ont été victimes d'une escroquerie appelée "ping call", un terme dérivé du mot ping-pong. Le principe est simple : un numéro commençant par 0899 s'affiche sans que le destinataire ait le temps de décrocher. Ce dernier rappelle et "le piège se referme", explique Le Parisien, dans son édition du mardi 6 octobre. "Le numéro composé aboutit à une boîte vocale et l'appel est surtaxé entre 1 euro et 3 euros au préjudice de la victime et de son opérateur téléphonique", précise le quotidien.

Une activité frauduleuse, redoutable et efficace que deux frères installés à Hyères, dans le Var, gérants de plusieurs sociétés, pratiquaient depuis début 2008, "équipés de tout le matériel informatique pour générer des appels téléphoniques en continu", confient les enquêteurs. L'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication a mis fin à leur arnaque. Jean R., 51 ans, et Pierre R., 49 ans, étaient titulaires de plusieurs comptes surtaxés, identifiés par Orange, qui a été escroqué de plus de 900 000 euros.

Le Monde.fr

[www.lemonde.fr]
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