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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 décembre 2009, 08:53
‘…Dans la célèbre série ‘…ALLO BEBEEEEEEERT…. ?



Kife the life.


'…Allo Bébert…?
‘…AHHHH…!’
‘…Tu m’attendais hein….?’
‘…Et oui on s’habitue à tout maman, même à celle qu’on attend le moins… !’
‘…Ah, le moins, donc moi je suis le MOINS… !’
‘…NOOOOnnn…. ! ToIIIII… ! Tu es le plus par moins par moins ca donne… !’
‘..Ca donne quoi…?’
‘…Plus que moins de moins… !’
‘…Chefta Poupa (sa sœur) i’ye te’chci ou teb’ci ou méjelet jét men Iretz mchét à Puntadicaca… !’
(‘…Tu as vu ta tante, elle qui grogne tout le temps, elle vient d’arriver d’Israël, et la voilà repartir pour la Pointe du Caca… !’)
‘…Punta si Cana… ’ ‘…Alors, Elle KIFFE THE GOOD LIFE…Poupée…?’
‘…Quoi…?’
‘…Je t’ai dis, elle KIFFE THE LIFE…!’
‘…Bel A’FIE, I’yèEEE… ! Mais pas du tout, elle ne les fréquente pas…!’
‘…Elle ne fréquente pas qui… ?’
‘…Ce que tu viens de me dire… !’
‘…Et je t’ai dis quoi…?’
‘…KIFFE chnoué bââda…?’ (Quoi déjà…?)
‘…THE LIFE… !’
‘…Ah je croyais que tu parlais de sa copine … ! …Je ne la connais pas…! Bent ech’coun… ?’ ( C’est la fille de qui… ?)
‘…The KIFE GOOD LIFE…!’

‘…C’est BIO…?’
‘…BIO CLAIRE…! Comme ma crème…!’
‘…Elle n’a jamais eu de copines avec ce nom là, sans que je ne le sache… !’
‘…Elle te l’a cachée surement… !’
‘…Elle me raconte tout ma sœur…!’
‘…Elle t’a racontée pour la fille de Suzette… ?’
‘…Qu’est ce qu’elle a Johanna… ?’
‘…Elle est enceinte… !’
‘…JOHANNNNAAAAAAA…. ?’
‘…Oui, tu vois… !’
‘…Mais elle n’est pas mariée…!’
‘…Ce n’est pas obligatoire d’être marié pour tomber enceinte … !’
‘…De qui… ? Elle a 35 ans… ! Célibataire… ! Qui te l’a dit à toi…?’
‘…Ce n’est pas Poupa, mais Félix… !’
‘…Félix el nechnech… ?’ ( Le rumoriste)
‘…Oui, elle est passée le voir avec son gros ventre chez lui… ! Elle a dit que c’est un accident de la nature… !’
‘…Ah ils sont beaux les ACCIDENTS DE LA NATURE… ! Surtout lorsque la NATURE DERAPE… !’
‘…Chacun à ses accidents de la NATURE… !’ Moi.
‘…Regarde-moi ca… ! C’est pour cela que sa maman Jasmine, ouje hjine ta’oui… ?’ ( Que le visage de sa maman est endeuillé… !’)
‘…Poupée, et j’en suis sur est au courant par ses enfants… !’
‘…Regarde-moi ca… !’
‘…En plus elle a accouché d’un petit garçon… ! Maïnou… !’
‘…Alors elle est enceinte depuis 9 mois et 9 mois qu’ elle me l’a cachée ma sœur… ? C’est pas possible… !’
‘…Tu as raté deux événements majeurs, sa grossesse et son accouchement… ! Et même que tu ne seras pas invitée à la BRIT et sa BAR MITSWA puisque tu n’es pas au courant de cette naissance… !’
‘…Et le MARIAGE AUSSI ALORS…?’
‘…Ben oui… !’
‘…Tu as raison, je vais appeler FELIX… !’
‘…Pourquoi… ? Pour lui dire QUOIII… ?’
‘…Que… !’
‘…NON, TU NE LUI DIS RIEN….OK… ? Sinon je ne te raconterai plus rien… !’
‘…Si tu me le dis, dans ce cas, je ne dis rien… !’
‘…En plus c’est son fils le traiteur, donc tu vois que Poupée le savait… !’
‘…Regarde-moi ca… !’
‘…Donc motus, sois digne et ne me mets pas la TETE DANS LE CACA… !’

Dix minutes plus tard…

‘…Allo Albert… ?’
‘…Ah Félix, lââjij… !’
‘…Qu’est ce que c’est que cette histoire, ta maman m’a appelée et durant une demi heure, elle m’a remontée les bretelles… !’
‘…Depuis quand tu portes des bretelles toi… ? Et des bas résilles aussi… ?’
‘…Elle me parle de Johanna, d’où je connais Johanna moi, en plus en enceinte, je n’ai pas pu placer un mot, et elle a raccroché sur mon nez… !’
‘…Ah bon… ? D’où je sais moi, calme toi, je vais la rappeler pour voir plus clair… !’
‘…Déjà que toi tu travailles avec les NOIRS, ca m’étonne que tu vois clair.. !’
‘…Ecoute rappelle là, toi et demande lui PARDON… !’
‘…PARDON DE QUOI… ? De qq chose que je ne sais pas… !’
‘…Alors excuses toi au moins… !’
‘..Chnoué el biya mca’tââ que tu m’as apporté (Qu’est ce donc cette affaire déchirée que j’hérite… !)
‘…Ca t’apprendra de me raconter des salades… !’
‘…Mais ALBERT ca fait six mois que tu ne m’as pas vu.. !’
‘…Et bien là, je t’entends… ! Bon, je vais mettre les choses en ordre… !’

Dix minutes plus tard…

‘…Allo Bébert… !’
‘…Oui Poupée comment vas-tu…Tantine… ?’
‘…Bien, dis moi maman m’a appelée c’est qui Johanna qui est tombée enceinte et qui a accouché de Maïnou… ?’
‘…Je ne sais pas… !’
‘…Elle m’a houspillée durant 30 minutes, je n’ai rien compris alors que je suis à PUNTA DI CACA… !’
‘…Tu appelles de là bas… ?’
‘…Ben oui mon fils, en PCV… !’
‘…C’est moi alors qui paye… ?’
‘…Ben oui, qui va payer alors, lejelé meghir bjijlét que je suis … !’ (La veuve sans petits seins.. !)
‘…Bon bronze tranquillement, je vais arranger cela… !’
‘…I yaiche ouldi ( que tu vives) appelle Sydney mon fils et dis lui que tout va bien, et surtout qu’il n’oublie pas de faire ma commission à la Mairie, pour mon allocation veuvage, el kbour fél jbeben ( les sépultures, elles parlent des agents de la mairie) ils veulent me diminuer ma pension de veuvage, et aussi téléphone à Sylvie, demande lui comment va son fils , si sa fièvre est tombée, ah oui prends des nouvelles de ma belle sœur dis lui si elle peut mettre une bougie sur la tombe de mon mari parce que demain, c’est la montée au cimetière, Bébert, tu sais qui j’ai vu ici, ton ami Marcel de la Goulette, si tu vois comment il est devenu, je ne l’ai pas reconnu, merci mon fils… !’
‘…Ok tata, je vais le faire… !’ DIX MINUTES AU COMPTEUR.
‘..DRINGGGG…. ! DRIIIIIIIG… !’
‘…Allo Bébert, c’est toujours moi… !’
‘…Tu appelles en PCV…?’
‘…Bien sur alors tu ne veux pas que je paye e’ne lejéllè.. ! J’ai oublié de te donner le numéro de téléphone de Sydney… ! Note 01 42….. ! Dis aussi à Laurent qu’après demain c’est le dernier allumage de la dernière bougie de Hannouca, ouh j’ai la nechyè ( j’ai l’oubli) essaye de contacter Patrick, dis lui que tout va bien, et que je pense à tous, brass ouldi tu vois aussi si Sonia a retrouvé sa voiture, on la lui a volée, mechcina, voilà si je me rappelle autre chose, je t’appelle… !’
‘…PAS LA PEINE TATA…. ! MOI JE T APPELLERAI EN PCV… !’

DRING…DRING….DRING….

‘…Allo Bébert…?’
‘…Hein c’est toi maman…?’
‘…Et qui veux tu que ce soit, j’ai appelé Félix, parce que je ne veux pas passer pour une conne et le menteur me dit qu’il n’est pas au courant et j’ai appelé Poupée en PCV, et là, elle me refuse la communication ââla chamelt mââye. ( Avec tout ce que j’ai fais pour elle)
‘…C’est aussi une MENTEUSE, elle te dira qu’elle n’est pas au courant… !…Mais dis moi Maman tu m’appelles comment toi… ?’
‘…EN PCV BIEN SUR….e’ne EJELLE… !’( Je suis veuve… !)

‘…Ou’ené je suis LÂÂJ’LA DE LA FORTUNE N’EST-CE PAS… !’


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( la roue de … !)
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 décembre 2009, 04:29

KHANA ET OTTO.
A CHEM.


7°/



Acte II. Scène II.


L’enfant est aussi surpris par la présence de cette jeune fille en guenilles à l’air misérable, s’arrête de pleurer. Il la regarde et ...

‘...Je m’appelle Otto... ! Otto Pimenger.................. !’
‘...Tu es juif... ?’
‘...Non, je suis catholique et je viens de perdre mes parents, j’habite à deux pas d’ici, ils sont ensevelis sous un tas de décombres suite à un bombardement... !’
‘...Et toi tu es en vie... !’
‘...Oui, je ne sais pas comment, je me suis retrouvé éjecté dehors .. !’
‘...Mais en vie... !’
‘...Qu’est ce que je vais devenir... !’

A Suivre...

SALLE LENA.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 décembre 2009, 04:37
'...Le jeune homme plein d’égards et surtout charmant ne s’est pas laissé intimider par la jeune fille.


A Suivre…


Suite du haut dans la série des récits SKETCHS...

‘…ALLO BEBERT…. ? VIII.


'...Ni elle non plus. Les parents les ont laissés sortir pendant six mois ensemble et les FRADJA se sont aperçus du grand changement de comportement de leur fille. Elle était heureuse de fréquenter ce jeune homme. Ils sont tombés amoureux l’un de l’autre. Au bout d'un an, elle atteint l’âge légal pour se marier. Et le papa a tenu parole, il a tout paye, tout même les fringues du jeune homme. Le miracle se paye lorsque la santé des enfants est en jeux. Je ne te dis pas le mariage qu’ils ont euUUUUU, je ne dis pas la soirée du HénèEEEEEEEEE, le jour de la cérémonie, les pleurs, l’émotion, les youyous, l’ambiance.
‘…Tu as été toi la bas… ?’
‘…Non, plus tard ma copine m’a visionnée la vidéo du mariage… !’
‘….Ah… !’
‘…Mais j’ai vu Poupée par contre, lorsque je lui avais dis ‘…Ye Okhti tu vas au mariage de la fille FRADJA… !’ Elle me répond ‘…Non ma chérie, ils ne sont pas venus au mariage de LAURENT… ! Et la voilà qui apparait devant moi, la jejuita… !’ ‘..Je l’ai appelée sur le champ devant témoin,c'est à dire moi toute seule, qu’est ce qu’elle me dit...

‘…MOIIIIIII…. ! Tu confoOOOOnds… !’ ‘…Comment tu confonds, je te vois avec ta robe bleue turquoise, celle que tu mets depuis 10 ans déjà … !’ Elle me répond…‘…MOIIIIIII… ! Mais tu te trompes ma sœur… !’

A la fin, j’ai raccroché sur sa gueule. Et en plus, elle a le toupet de me dire ‘…Si c’était moiIIII…. ! Je m’en serai rendu compte… !’ ‘ BLATA MTA…!’
‘…Bon après… ?’
‘…Après, la jeune fille a obtenu son bac, elle a fait des cours de médecine tout en étant mariée. Elle est médecin depuis longtemps et elle a quatre enfants. Son mari est ingénieur informaticien dans une grosse boite à Paris… ! Choft Rabi quand il veut faire des miracles… !’
‘…Et elle ne se rappelle plus rien de ce qui s’est passée… ?’
‘…Rien, elle ne se rappelle plus rien et les médecins n’ont rien compris à ces crises, pour elle tout est rentrée dans l’ordre. Tu veux encore l’histoire de Bichi El Chiéghi…. ? Bichi le Bijoutier… ?’
‘…Attends, que j’ingurgite cette histoire et en verra après… !’
‘…Je t’ennuie n’est ce pas… ?’
‘…Pas du tout, on dirait ‘…Kchouq’chou ââla bââdou… !’ (On dirait un plat de couscous tout emmêlé… !’) Chaque chose en son temps…!’

FIN


Suivant '...BICHI LE BIJOUTIER.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 décembre 2009, 07:02
'...Les grecs cultivaient les pois chiches au temps d'Homère. Pendant les jeux du cirque à Rome, des marchands vendaient des pois chiches grillés et les gourmands les dégustaient comme les popcorns dans les salles de cinéma. ma p'tite recette : pois chiches jaunes grillés Un peu long, mais ça vaut le coup ! ingrédients...' Googles.





En voilà un autre de métiers qui est passé à travers les grilles de mes souvenirs.
LE HAMMAS…



Le marchand de POIS CHICHES.


Oui, à la Goulette, noblesse oblige, nous avions notre ‘traiteur de pois chiches’, ces petites fécules rondes aux extrémités légèrement pointues bien dures au toucher mais tendres une fois bien cuits sous les dents, au point que les mamans parfois les ‘ratatouiller’ sous leurs molaires pour en faire profiter leurs rejetons.

J’appréciais beaucoup cette denrée que je me payais lors d’un bon film donné dans l’aristocratique cinéma Rex, le temple de nos loisirs, de nos pets et de notre belle culture.

J’en grignotais aussi sur le parcours de mon école en prenant bien soin de déverser dans ma poche du ‘Duffy colt’( manteau d’époque) ces ronds encore biens chauds.

Sur le chemin du retour aussi lorsque papa m’envoyait acheter par deux cent grammes cette friandise salée pour honorer la table du shabbat.
Les deux cent grammes ne pesaient plus que cent après mon arrivée ce qui bien sur laissait mon père perplexe sur ma gourmandise.

‘..Klit el star rabec …’ Tu as bouffé la moitié, juron) qu’il me disait comme remerciements.

Devant tant d’ingratitude, je baissais les yeux en mâchouillant ce qui me collait aux dents.

Papa Deidou avait ses fournisseurs préférés et le Hammas de l’avenue Franklin Roosevelt, à l’échoppe sombre coincée entre un réparateur et loueur de cycles et un patio de maison était de ceux là.

La petite boutique faisait face à notre grande librairie NATIONALE, surnommée la FENETRE pour la bonne raison que le proprio de la ‘SARL’, en fait sa maison qui faisait office de librairie sur rue, nous servait par derrière les barreaux. Un peu comme à travers un parloir de prison. Nous étions de petites tailles bien sur et il fallait faire un grand effort pour passer la main sous la barre en fer pour saisir le stylo, la plume SERGENT MAJOR ou la feuille de dessin CANSON. Et bien sur prendre le rendu que notre bonhomme prenait soin de poser tout prés du cadre en bois intérieur de sa ‘connerie’. Ce qui accentuait un peu plus notre élongation du bras.
Chez lui les arrières pensées ou les oublis de rendu étaient monnaie courante.

Cen i nic’né él chéyeb. Il nous truandait un peu le vieux.

Le Hammas, je le revois comme s’il était encore devant moi, nous servait sa petite marchandise grillée et décortiquée de sa petite pelure dans un cornet dans un contenant souvent fait de papier journal, généralement avec une petite pelle. Contenant qu’on nomme en judéo arabe FERTOUNE.

Il avait souvent les mains noires, colorées par de la suie, car notre homme, debout devant son four découvert, un large battit de forme ronde d’une profondeur approximative de 10 cm de hauteur pour un diamètre de 80, devait surveiller la cuisson.

Il maniait sans arrêt, un instrument de forme ronde, une sorte de fer à repasser artisanal, qu’il faisait glisser sur la TÊTE des pois chiches et cela dans le but avéré de séparer la petite pelure, qui , ainsi détachée, restait au fond de son battit couleur brune.

Il tournait sans cesse sa marchandise et cette rotation avait pour but de ne laisser aucun grain cru. Une fois sa fournée terminée, il replaçait ses centaines de petits pois chiches grillés et salés dans un grand tamis afin d’en séparer encore une fois les petites impuretés qui auraient pu échapper à son coup d’œil de fin connaisseur, lors du premier contrôle.

Souvent, consciencieusement, il soufflait sur le grillage de ce tamis pour une dernière finition.

Une fois ses opérations terminées, il nettoyait ses mains sur sa blouse de couleur bleue, nouée autour de sa fine taille. Notre hammas portait toujours une chéchia rouge.

Les pois chiches grillés étaient mis ensuite dans des bocaux en verre à la vue de la clientèle, allant rejoindre ainsi, ses sœurs et frères de même congrégations, glibettes noires et blanches, amandes salées, raisins secs, pignons, noisettes, pistaches, kakis etc…
Ce que l’on appelle chez nous la FEKIA.

Les petits consommateurs étaient servis dans des cornets
Au fond de sa petite échoppe s’entassaient les sacs de pois chiches.
De bonnes factures et de moindres qualités.

C'était la HAMMASS FAÇON ALBERT.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 décembre 2009, 07:11
Mais nous nous sommes jamais battus à la GOULETTE pour des POIS CHICHES PAS MÊME POUR DES POIS DE SENTEUR.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 décembre 2009, 07:13
Ne pas oublier aussi cette EXPRESSION TOUTE JUDEO ARABE...

'...YATIC HOMSSA. FI TERMIC...!'
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 décembre 2009, 08:19
ne pas confondre "hammas" tunisien avec l'autre.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 décembre 2009, 12:19
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 décembre 2009, 12:41
8°/

KHANA ET OTTO.
A CHEM.


Acte II. Scène III
.


Et de lui présenter par la suite ses deux mètres carrés, humides et tissés de toiles d’araignées. Un autre pan de mur fait de parpaing la sépare de la grande et richissime cave à vin, longue de vingt mètres. Elle ne souffle mot à son nouveau compagnon. Préférant garder le secret....


SALLE RACHEL


RENTREZ DANS LA CAVE DE KHANA ET OTTO.
Dans la cachette qui leur sert d'abri.
Dans la solitude partagée de deux enfants que le destin a réuni.
Et puis faites connaissance avec leur compagnon CAFARD.

Vous ne resterez pas insensibles à leur sort ni à leur jeune amour qui va naitre dans l'obscurité, l"humidité et la peur.

Signé Albert le Grand n'en déplaise aux petits. smiling smiley smiling smiley smiling smiley
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 décembre 2009, 12:53
'...Et puis Albert, qui n'est jamais à court d'idées, démentant ceux et celles qui pensent mal que ses idées raccourcissent alors qu'elles prennent de l'étoffe à mesure qu'il vieillit, comme un bon vin BETH DIN GLAD IATEUR, vous offre dans un autre registre ses quelques scénettes de la vie courant, avec comme actrice sa vieille maman qui lui a fourgue quelques hectolitres de sang lors de son bas âge.

Alors jeunes, n'acceptez plus de sang de votre maman car vous lui serez redevable de cela toute votre vie. De 50 Cl, la goutte atteindra un volume qui vous laissera pantois avec les années.

Cette goutte prend de la valeur. A mesure que les ans passent.

Donc tout celà pour vous dire que sa Maman Haye va raconter une autre histoire, sketh/récit, celle de BICHI LE BIJOUTIER ou la descente aux enfers d'un homme riche qui.....!

A toute à l'heure donc, juste le temps qu'il finisse ses banatages de la semaine dernière qui ressemblent à des petites boules de pétanque, un peu comme le sont ses coucouillettes rétrécies.

Qui donc pourra me contredire.
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