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En Allemagne, première économie de la zone, les prévisions ont été revues à la hausse, de 1,7% à 1,8%. En France, désormais troisième économie d’Europe (le Royaume-Uni lui a ravi la deuxième place en 2014), elles ont été revues à la baisse, de 1,5% à 1,3%.

Le Fonds social juif unifié (FSJU) qui administre les écoles confessionnelles juives, s’est insurgé, jeudi 6 octobre, contre des propos d’Emmanuel Macron estimant que certains établissements enseigneraient « la Torah plus que les savoirs fondamentaux ».

Jérôme Bourbon, ne perd pas de temps pour cracher son antisémitisme: il se félicite de ses tweets nauséaboonds “c’est un métier”, lance “autrefois on ne recevait pas un juif à sa table quand on était catholique”, et “si ma fille épousait un juif, j’en serais malade”. 

La petite histoire ci-dessous n’est pas qu’une anecdote désagréable. Ce n’est pas qu’une anecdote non plus. Cela arrive quotidiennement, malheureusement, l’insulte « feuj » (juif en verlan) se banalisant. 

« Réveillé par son fils », qui le renvoyait, confie-t-il, à l’image « d’un néo-juif de l’entre-deux-guerres », Alexandre Amiel a choisi de répondre par ce qu’il sait faire le mieux : à savoir réaliser et produire un documentaire. 

Le 15 novembre dernier, après l’attentat du Bataclan, le peuple français allumait des bougies, mais ne réclamait aucun compte à son gouvernement. Après l’attentat de Nice, le peuple français allume des bougies, et ne hurle pas sa rage : il a accepté, il s’est soumis au terrorisme et je respecte son choix.

Ce que je conteste avec la plus grande vigueur, c'est que la journaliste donne la parole à des femmes de confession musulmane en prétendant que leur voix serait étouffée, et ce, pour dresser le portrait d'une France qui les oppresserait. 

On le savait depuis des années. La haine de la France et la haine des juifs s'est développée dans certains quartiers dits « sensibles ». Les sociologues, les travailleurs sociaux, souvent d'origine musulmane, les enseignants des collèges et des lycées en témoignaient. 

Djihadisme, crise migratoire, menaces liées au changement climatique... Le neuropsychiatre et psychanalyste Boris Cyrulnik, vulgarisateur du concept de résilience, couche nos sociétés sur le divan et dresse un diagnostic alarmant.

L’enfer commence un beau matin d’août à Paris. Les policiers français soutenus par les militaires allemands, arrêtent 4232 juifs pour les envoyer vers le camp de Drancy qui venait d’ouvrir ses portes.

Mes chers amis, en publiant un appel dans le JDD de la semaine dernière, vous avez courageusement répondu à une nécessité. Français et musulmans, vous êtes la première voix qui, à vos risques et périls, ose reconnaître que l'islam connaît en son sein une crise profonde. 

Depuis qu’a commencé en France cette vague sinistre d’attentats, le pouvoir a cru devoir riposter par des effets d’annonce, peut-être susceptibles de rassurer le public, mais fort peu adaptés à la répression du terrorisme. 

Plusieurs responsables juifs ont critiqué lundi l'"oubli" de la mention des victimes des attentats de Toulouse en 2012 et de l'Hyper Cacher en 2015 dans une tribune de Français musulmans publiée dimanche dans le JDD.

J’ai beau me dire que je n’ai rien à voir avec les attentats terroristes, que je ne peux être comptable des crimes commis au nom de l’islam, je mentirais en disant que la musulmane que je suis n’a pas mauvaise conscience ou se sent hors de cause. 

Je ne me cacherai pas derrière l’argument que cela n’a rien avoir avec l’Islam, car la réalité, c’est qu’ils ont assassiné un homme et blessé gravement un autre au nom de ma religion.

Le philosophe plaide pour un grand accord entre médias «réduisant au strict inévitable l’évocation des figures du crime».

Ne nous voilons plus la face, nous sommes incapables de lutter contre le terrorisme. On abdique ou on se révolte ?

« Il s’est radicalisé très récemment et très rapidement »… C’est la nouvelle niaiserie proposée par le ministre de l’Intérieur et répétée à longueur d’ondes à propos du criminel islamiste de Nice. 

Franck, c’est ce père de famille qui a tenté, au péril de sa vie, d’arrêter Mohamed Lahouaiej Boulhel. Il raconte comment il est parvenu à le frapper puis le ralentir avant les tirs des policiers.

Alors que sa start-up de restauration-livraison vient de souffler sa première bougie, la jeune femme de 27 ans peut déjà s'enorgueillir d'employer près de 200 salariés, d'avoir levé 12 millions d'euros en janvier et de livrer plus de 10.000 plats à la semaine. 

Dans un train de banlieue de Paris-Montparnasse à Versailles-Chantiers sans rien de particulier ni de remarquable en fin d’après-midi…

Sur les immenses terrasses pleines de fleurs – où il y avait même une vigne – nous pouvions jouer à toutes sortes de jeux ou lire à l'ombre assis sur les bancs. Nous avions une vue sur l'Église russe, plus loin, le Parc Impérial, et au-delà, les collines dominées par le Mont Chauve ! 

Mohamed Lahouaiej Bouhlel, le tueur au camion qui a fauché, à l’heure où j’écris, 84 vies, était un terroriste et c’était un psychopathe. Il était instable, mentalement dérangé, et il était membre de l’armée du crime qui a entendu l’appel de Daech

Depuis des décennies, les gouvernements français font une distinction entre les terroristes djihadistes selon qu’ils sont « palestiniens » ou non, et ne veulent voir un danger djihadiste que lorsqu’il n’est pas « palestinien ».

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