Une photo rare : Visite au cimetiere de Tunis avant Yom Kippour, en 1903
A l'occasion de la célébration de Yom Kippour, cette photographie ancienne, œuvre de Soler autour de 1903, s’imposait d’elle même.
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A l'occasion de la célébration de Yom Kippour, cette photographie ancienne, œuvre de Soler autour de 1903, s’imposait d’elle même.
Français et juifs, ils avaient entrepris d'embrasser leurs racines tunisiennes, réconciliant leur judéité avec une forme d'arabité. Mais les tensions nées des massacres du 7 octobre 2023 et de la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza depuis ont encore plus fragilisé cette identité.
Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant, selon une croyance qui s’est développée en Europe orientale à partir du XVIIIe siècle. Le dibbouk fait partie des créatures surnaturelles qui ont dépassé le domaine de la superstition, pour devenir un thème inspirant les artistes d'hier et d'aujourd'hui.
Ce chiffre représente une augmentation d'environ 100.000 personnes sur l'année dernière. L’étude a été réalisée par l’Université hébraïque de Jérusalem et dirigée par le démographe Sergio Della Pergola, de l’Université hébraïque de Jérusalem.
La militante franco-palestinienne Rima Hassan organise une exposition sur les populations arabes ayant fui après la création d’Israël
Voilà maintenant un an qu'Israël réagit à l'atrocité du 7 octobre. Non seulement le gouvernement n'était pas prêt ce jour-là mais en plus, il n'avait pas de plans d'attaque du Hamas, il disposait de renseignements relativement maigres sur les actifs ou les dirigeants de l'organisation, et faisait face à un puissant lobby au niveau national et international qui insistait pour que le retour des otages soit la première priorité.
Les trois fêtes de pèlerinage , en hébreu Shalosh Regalim (שלוש רגלים), sont trois fêtes majeures du judaïsme — Pessa'h ( Pâque ), Chavouot ( semaines ou Pentecôte ) et Souccot ( tabernacles , tentes ou cabanes ) — quand tous les anciens Israélites qui pouvaient ferait un pèlerinage au Temple de Jérusalem , comme l'ordonnait la Torah.
Cette coutume consiste à prendre, la veille de Yom Kippour, un poulet vivant (un mâle pour les hommes, une femelle pour les femmes) et à le faire tourner au dessus de la tête en disant un formule qui charge la bête de nos péchés, en souhaitant que sa mort se substitue à la notre au cas où on la mériterait.
Selon le Tanakh, les franges du talith sont un mémento permettant aux juifs de se souvenir des 613 commandements bibliques et du lien qu'ils entretiennent avec Dieu.
Souccot signifie cabanes ou tentes et ce terme rappelle le séjour du peuple d' Israël dans le désert. Elle nous rappelle également que nous sommes « étrangers ...
Je vous donne un avant goût de la liturgie interprétée par le grand Acher mezrahi (zal). Hatima tova lé koulam.
Racisme et antisémitisme à l'école : "La question se pose dans tous les foyers juifs : où est-ce qu'on scolarise nos enfants ? (...), en France, être un parent juif n'est pas facile" Me Patrick Klugman, avocat au Barreau de Paris, au micro d'Yves Calvi