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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
09 juillet 2008, 07:52
OHHHHHHHH LOOLA au risque de me répeter je suis épatée par tes recherches minitieuses sur des sujets précis - en ce qui concerne les ogm - je pense que nous n 'avons plus le choix - à nous de réguler pour ne pas en utiliser de façon abusive.
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
09 juillet 2008, 08:20
je sais mais c'est tres grave Mamilia,au bout il y a la sterilie,plus de vie sur tout les arbres ,les fleurs ,les animaux qui mangent deja ce poison,et qui vont finir par nous rattraper

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
09 juillet 2008, 09:25
Découverte : Un écrit qui restreint le fossé entre le judaïsme et le christianisme
Rédaction



Le quotidien Haaretz a choisi ce titre pour annoncer au grand public la découverte d’un écrit datant de la fin du 1er siècle avant JC appelé « Vision de Gabriel » ou encore « Apocalypse de Gabriel » qui témoignerait que les Juifs croyaient que le Messie devait mourir et ressusciter le troisième jour.

La « Vision de Gabriel » est un texte prophétique écrit sur une stèle en pierre crayeuse de couleur gris clair. Elle n’a pas été découverte dans des fouilles archéologiques précises et se trouve actuellement chez un collectionneur privé en Suisse à Zurich. Elle semble provenir de Jordanie, dans la région de la mer Morte. Le texte, écrit en hébreu, était en partie effacé et il fallut de nombreux efforts pour le reconstituer.

Il y a un an, la revue spécialisée « Cathedra » a publié presque intégralement ce document. L’ange Gabriel est au centre de cet écrit qui inclut citations de l’Ecriture et visions messianiques.

Lors du Congrès organisé à l’occasion du 60ème anniversaire de la découverte des manuscrits de la mer Morte qui s’est tenu dimanche dernier au Musée d’Israël, le professeur d’Ecriture Sainte et spécialiste du judaïsme de la fin du Second Temple à l’Université Hébraïque de Jérusalem, Israel Knohl, a surpris son auditoire en annonçant qu’il avait réussi à reconstituer un mot manquant du texte.

« La Vision de Gabriel » est écrite sur 87 lignes. A la ligne 80, on peut lire une phrase peu claire « Trois jours » puis le texte est illisible. Knohl a identifié le mot « vivra » écrit en hébreu ancien. Ainsi l’ange Gabriel serait décrit comme celui qui ressuscitera le Messie, appelé ‘Prince des Princes’, trois jours après sa mort. La phrase entière se lirait de la façon suivante selon le professeur : « Dans trois jours, tu vivras. Moi, Gabriel, je te l’ordonne. »

Selon le professeur Israël Knohl, juif religieux pratiquant, ce texte « est révolutionnaire ». « Il change notre compréhension de la personne du Jésus historique et nous fournit le lien manquant entre le judaïsme et le christianisme ». Selon lui, « S’il existait une tradition juive du messie qui ressuscite, il est possible de comprendre que Jésus comme messie juif national soit allé vers sa mort avec la foi que son sang versé amènera la Rédemption au peuple d’Israël. Nous découvrons un nouvel aspect des souffrances de Jésus qui sont présentées sous un aspect plus national. Jésus n’est pas mort pour effacer les péchés de tous les hommes, comme le disent les chrétiens, mais pour apporter la rédemption à Israël. »

Source : Haaretz, 7 juillet 08



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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
10 juillet 2008, 06:03
Ces textes sont passionnants, en particulier, parmi les Manuscrits de la Mer Morte, celui du Rouleau de la Guerre

Le Rouleau de la Guerre 1 QM.

Ce texte, d’inspiration nettement dualiste, dépeint une gigantesque
bataille de la fin des temps, dont la durée sera de quarante ans exactement, opposant les fils de Lumière aux fils des Ténèbres.

Son sens apocalyptique apparaît dès la première colonne du rouleau (1 QM I 1-3).

Lutte des fils de Lumière contre le lot des fils des Ténèbres,
contre l’armée de Bélial, la bande d’Edom, de Moab, contre
les fils d’Ammon, l’armée des Philistins, les troupes des Kittim
d’Assur et leurs alliés qui commirent des vilenies contre
l’Alliance.

Les fils de Levi, Juda et Benjamin, les exilés du Désert, combattront contre eux, troupe par troupe. . . lorsque la diaspora des fils de Lumière reviendra du désert des nations pour camper dans le désert de Jérusalem.

Le modèle des fils de Lumière est sans doute la Communauté elle même, celui des fils des Ténèbres est a coup sûr l’ensemble des ennemis
traditionnels d’Israël : Edom, Moab, Ammon, les Philistins.
Le texte décrit avec une variété de détails infinie les armes, les étendards, les vêtements des guerriers, ainsi que les formations de combat, tout cela calqué sur le modèle romain.

Le but de l’ouvrage était de dépeindre la Toute-Puissance du Seigneur
qui octroie la victoire finale aux fils de Lumière.

D'après Aimé Fuchs
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
10 juillet 2008, 07:57
les esseniens
Les Esséniens étaient les membres d'une communauté juive, fondée vers le IIe siècle av. J.-C.. Les principaux groupements s'établirent, semble-t-il, sur les rives de la mer Morte. Les esséniens ont été décrits par les auteurs anciens : Flavius Josèphe, Philon d'Alexandrie et Pline l'Ancien. Les archéologues pensent, pour la plupart, que le site de Qumrân était un établissement essénien et que ses occupants sont probablement les auteurs des manuscrits de la mer Morte.

Les relations des Esséniens avec la monarchie hasmonéenne furent ambiguës : en effet, les Esséniens rejetaient ces monarques comme grands prêtres illégitimes, mais en même temps, ils soutenaient fortement leur résistance à l'influence grecque et païenne, incarnée par les Séleucides. C'est la raison pour laquelle les esséniens furent probablement tolérés, et non pas persécutés, par les Hasmonéens, puis ensuite par les Hérodiens, leurs héritiers.

Lors de la destruction du Temple et lors du chaos qui sévit en Judée à la fin du premier siècle, les Esséniens ne réussirent pas à conserver leur identité, tandis que la communauté juive de la Diaspora s'organisait autour des pharisiens survivants, donnant ainsi naissance à la tradition du judaïsme rabbinique. Il est probable que l'établissement de Qumrân représentait une survivance précaire du mouvement essénien. En 70, après la destruction de leur établissement par les légions romaines, puis la ruine de Jérusalem, les Esséniens disparurent complètement. Il demeure fort peu vraisemblable qu'ils se soient mêlés ou fondus dans la secte des pharisiens, fidèles du Temple, qui représentaient plutôt pour eux leurs ennemis

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
10 juillet 2008, 22:40
Noirs et juifs a la fois
[www.juif.org]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
10 juillet 2008, 22:53
L’errance du peuple juif ne s’est pas arrêtée aux portes septentrionales du Sahara. Un site Internet nous apprend qu’il existe plusieurs communautés de Juifs africains sur le continent. Certaines sont issues de populations juives depuis 2 000 ans. D’autres pensent avoir pour ancêtre l’une des “ Tribus perdues d’Israël ”.
Par Valentine Lescot

source [www.afrik.com]

“ Les juifs occidentaux ne s’imaginent pas toujours que des gens de couleur de peau et de culture différentes peuvent être juifs. La vérité est qu’il existe plusieurs communautés observant le culte judaïque sur le continent africain ”, écrit Jay Sand, auteur américain du site Internet Les juifs d’Afrique. On savait que le Maghreb abritait une importante communauté juive, agrandie après les persécutions européennes au 15ème et 16ème siècles, puis amoindrie lorsque ses membres rejoignirent l’Etat d’Israël après 1948. Certains avançaient que la communauté juive éthiopienne Beta d’Israël était vieille d’environ 2 500 ans, remontant à l’époque du roi Salomon et à la reine de Saba ou, selon une autre version de l’Histoire, à celle d’un certain Dan, fils d’une des “ Tribus perdues d’Israël ”. Mais qui pouvait penser que des descendants d’Abraham se trouvaient également au Ghana, en Ouganda, au Zimbabwe, au Mali, au Cap Vert, à Sao Tome, au Mozambique ou en Afrique du Sud ? Descendants “ de souche ” ou descendants “ autoproclamés ”, car l’origine de ces populations diffère selon les pays.

Les trois quarts des 14 millions de Juifs vivent en Amérique du Nord, en Europe et en Israël. En Afrique, ils seraient environ 100 000 juifs “ par choix ”, à la fois différents de leurs compatriotes par leur religion, et différents des autres Juifs par leur culture. La plupart des Juifs d’Afrique sont, à l’origine, arrivés d’Europe pour s’établir en Afrique du Nord, mais aussi en Afrique de l’Ouest (Ghana, côte guinéenne, Cap Vert, Sao Tomé), au Mozambique ou en Afrique du Sud. Le géographe espagnole Al Idrisi du 12ème siècle, les historiens arabes Ibn Khaldun du 13ème siècle et Léon l’Africain du 16ème siècle écrivaient dans leurs récits de voyage avoir rencontré des “ juifs noirs ”.

Exemple : la communauté Abayudaya en Ouganda

Le site Internet sur les Juifs d’Afrique, au graphisme sobre et illustré de photos, donne un aperçu historique sur les origines de chaque communauté et sur la manière dont chacune observe les rites hébraïques. Exemple : la communauté des Abayudaya en Ouganda. Au 19ème siècle, le puissant guerrier Semei Kakungulu est converti par les Britanniques au protestantisme. Sur ordre des Anglais, il conquiert la région autour du Lac Victoria. Mais le colonisateur ne lui laisse qu’une petite partie du territoire près de la petite ville de Mbale. Furieux, Semei Kakungulu rejoint alors les Malachites en 1913, un mouvement qui combine rites chrétiens et juifs. Le guerrier ougandais se tourne de plus en plus vers la religion judaïque. En 1919, il se circoncit lui-même et circoncit son fils. Et déclare sa communauté d’obédience juive.

Persécuté par les Anglais, Kakungulu fuit vers les monts Elgon où il fonde une secte appelée Kibina Kya Bayudaya Absesiga Katonda (la communauté des Juifs qui croient en dieu). Après sa mort, la secte se scinde en un groupe qui suit la voie de Jésus et un autre groupe, les Abayaduya, qui garde le rite hébraïque. Ce dernier n’a jamais émis de contacts avec d’autres communautés juives jusqu’à une visite en Israël dans les années 60 et 70. Rien en apparence ne différencie un Juif ougandais d’une autre Ougandais, sinon que les enfants d’Abayaduya accueillent les visiteurs étrangers aux cris de “ Shabbat Shalom ”. Et que les membres de la communauté suivent scrupuleusement les rites et coutumes judaïques comme la circoncision et le service du Shabbat dans l’une des 5 synagogues que compte la région de Mbale.

En relatant ces histoires, Jay Sand, lui-même de confession juive, journaliste indépendant et historien, a un objectif : créer un pont entre Juifs africains et Juifs occidentaux. Dans les pages Musique, Jeux et Nourriture, il essaye de trouver en quoi certaines traditions culturelles ou culinaires des Juifs africains sont assez proches de celles des Juifs occidentaux. Mais après lecture sur l’origine des différentes communautés, on en vient à se poser la question suivante : finalement, qui est juif ? Jay Sand va plus loin et se demande dans la rubrique The Issues : “ Est ce que les juifs sont une race, une culture, une nation ? Quelle est l’origine de ce peuple ? Quelle était la couleur de peau des premiers juifs ? ”. Autant de questions qui ne manqueront pas de faire débat...


Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
10 juillet 2008, 23:45

Le rastafari, philosophie née en Jamaïque, s’inspire de la Bible. Ces adeptes se disent « enfants d’Israël », ils arborent étoiles de David, parlent de Sion, des douze tribus d’Israël et de l’Exode, symboles de liberté

En novembre 2005, au Zénith à Paris, devant cinq mille personnes, le célèbre reggaeman Alpha Blondy interprétait son tube Jérusalem. « Baroukh ata Adonaï. Baroukh aba Yerushalaïm. Jérusalem, je t’aime… » Curieux endroit qu’un concert de reggae pour célébrer la Ville sainte. Et pourtant…

Alpha Blondy trouve son inspiration dans les principes du rastafari et dans la Bible. Il porte fièrement une étoile de David au poignet et transmet depuis vingt-cinq ans le message universel de la philosophie rasta tout droit venue de Jamaïque. « Les connexions entre le reggae, le rastafari et le judaïsme sont nombreuses et profondes. Bob Marley disait : “Les rastas sont une des douze tribus d’Israël éparpillées à travers le monde


sa quête de Dieu le mène en Terre sainte : « Jérusalem est un livre vivant. Elle a changé ma vision spirituelle. Voilà pourquoi j’ai souvent été taxé de “sioniste” alors que la politique ne m’intéresse pas. » Ses albums Jérusalem et Elohim symbolisent le mariage des cultures. Alpha Blondy chante l’amour dans le monde et en Israël où il rêve de donner un concert pour la paix. Dans son disque, Yitzhak Rabin, sorti en 1998, il pleure l’homme de l’entente perdue et chante la Ville éternelle : « Si Jérusalem se vidait de toute violence, elle serait encore plus sainte. La paix est un impératif. » prônant une forme d’oecuménisme, dont la Torah, la Bible et le Coran ne seraient qu’un seul livre. « Dieu n’a pas de religion, chacun l’adore comme il veut. Il est un grand démocrate. » À l’image du rastafari, Alpha Blondy se veut universel et défend la solidarité entre Noirs et Juifs. « Pour avoir été frappés avec les même bâtons, des liens se sont créés. Le peuple juif est notre allié. Lui aussi a connu la morsure de l’injustice et de l’humiliation. » Le reggae, vecteur de la philosophie rasta, est fortement impregné des textes de la Torah et des Psaumes. Idéologi syncrétique née dans les années 1930, le rastafari s’est inventé sa propre identité en puisant à la fois dans ses racines africaines et dans la Bible. Ses adeptes se nomment eux-mêmes les enfants d’Israël. Il compte cinquante mille pratiquants en Jamaïque et plusieurs millions dans lemonde..

La révélation



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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
11 juillet 2008, 08:08
Grâce à l'ADN d'une espèce éteinte ressuscité dans un organisme vivant,
il devient possible de cloner des espèces disparues.


Grâce à de nouvelles techniques d'extraction d'ADN, l'accès aux génomes d'espèces éteintes est maintenant possible, et des travaux récents ont examiné in vitro le rôle de séquences d'ADN codant provenant d'espèces éteintes.

Grâce à de nouvelles techniques d'extraction d'ADN, l'accès aux génomes d'espèces éteintes est maintenant possible, et des travaux récents ont examiné in vitro le rôle de séquences d'ADN codant provenant d'espèces éteintes. Un nouveau pas vient d'être franchi avec les travaux de biologistes australiens de l'Université de Melbourne et américains qui ont utilisé de l'ADN extrait de tissus de tigre de Tasmanie maintenant disparu pour cultiver du cartilage dans une souris.

Les gènes ont été extraits de tissus préservés pendant une centaine d'années dans le musée Victoria de Melbourne, et injectés dans un embryon de souris. Les tissus ont été prélevés à partir des poches abdominales de trois jeunes préservées dans de l'éthanol, ainsi que de la peau séchée d'un adulte. Les résultats de l'analyse génétique ont montré que le gène Col2A1 du tigre de Tasmanie jouait un rôle semblable à celui de ce gène chez la souris dans le développement du cartilage et des os. Il est maintenant possible d'étudier les génomes d'espèces éteintes selon la méthode in vivo développée par les chercheurs en conjonction avec des techniques in vitro afin d'analyser le rôle de leurs gènes.


La population du tigre de Tasmanie (Thylacinus cynocephalus), un mammifère marsupial carnivore ressemblant à une hyène, a été décimée par les colons jusqu'à l'extinction de l'espèce en 1936, date à laquelle le dernier tigre est mort au zoo de Hobart en Tasmanie.
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
12 juillet 2008, 08:02
Pour la première fois en France, le Conseil d'Etat a pris en compte le niveau de pratique religieuse pour se prononcer sur la capacité d'assimilation d'une personne étrangère. Il vient de confirmer fin juin la validité d'un décret refusant à une Marocaine musulmane l'acquisition de la nationalité française, en se fondant sur "une pratique radicale de la religion incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française". Elle s'était présentée à ses entretiens pour demander la nationalité vêtue d'une burqa qui la couvrait entièrement. Jusque-là les refus de nationalité française dans la communauté musulmane étaient réservées aux personnes qui avaient des liens avec les fondamentalistes.

[www.europe1.fr] (klic klic)



A plusieurs reprises l'épouse se serait présentée au rendez-vous vêtue d'une burqa, vêtement traditionnel de la péninsule arabique. Ce vêtement consiste en une longue robe tombant jusqu'aux pieds, avec un voile couvrant les cheveux, le front et le menton, seul un bout du visage apparaissant à travers une pièce de tissu.

- - -



La Nationalité Française lui a été refusée ?

Mais c’est bien le minimum !

Comment savoir ‘CE’qui se cache sous la bâche ?

Comment la comparer avec la photo qui se trouverait sur son éventuelle carte d’identité nationale Française?

Et puis il y a les raisons de sécurité ;

Si nous prenons l’avion ?

Qui nous garanti que ce n’est pas un terroriste Islamiste dissimulé :



Quand on vit comme ça ?

Quand on a un tel niveau d’exigence pour ce qui concerne le style de vie ?

On ne vit pas en France mais on va vivre en Arabie Saoudite :



Petit aparté ?

Cela est aussi valable pour les Juifs :

Remplacer Arabie Saoudite par Israël

D.ieu merci ! Les Juifs ayant un haut niveau d’exigence par rapport à la vie Juive ont désormais un pays pour pratiquer le Judaïsme sans entrave et sans avoir l’obligation de bouleverser le mode de vie occidental et ce pays c’est ???



……………………………………….ISRAEL !
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