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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
22 juillet 2008, 10:23
Une société israélienne a mis au point un appareil pour permettre aux paraplégiques de marcher, conduire, aller au travail, monter et descendre des escaliers.
La personne utilisant l'appareil dans la vidéo, âgée de 40 ans, était depuis 20 ans confinée dans un fauteuil roulant.


Last update - 12:50 22/07/2008

VIDEO: Israeli-developed device allows paraplegics to walk again
By Haaretz Service




An Israeli company has developed a revolutionary quasi-robotic system that will enable wheelchair users to walk again.

Argo Medical Technologies' wearable upright mobility system, or "exoskeleton," was specially designed for individuals with lower-limb disabilities, according to Los Angeles-based Israeli news Web site ISRAEL21c.
[www.israel21c.org]

In a clip the company posted on the video-sharing Web site YouTube, a man described as having been confined to a wheelchair for over 20 years is shown walking, descending stairs and even driving a car.

Dr. Amit Goffer PhD, founder and director of Argo, and ReWalk's developer, explained the project's goal to ISRAEL21c.

"What we want to do is have the person wake up in the morning, put on clothes, put on the ReWalk, go to work and go throughout the day, wearing it," Goffer said.


[www.haaretz.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
23 juillet 2008, 04:12
De très sérieux universitaires planchent à l'Université Paris VII, sur le psychisme de notre Président. Marianne2 y était. L'exposant a parlé d'action et de masturbation.


Même le Washington Post (édition du 15 février dernier) le dit : la France entière ne bruisse que d'une question. Que ce soit au bistrot, au boulot ou dans le métro, ce que les Français - les « vraies gens », quoi - se demandent, c'est : «Sarkozy a-t-il toute sa tête ?».
Il n'est donc guère surprenant de trouver, dans les programmes de l'UFR de Sciences humaines Cliniques de l'université Paris VII, un séminaire de psychanalyse intitulé «Sarkozy, le symptôme – Lecture de l'inconscient».

...Suite sur ce lien

[www.lepost.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
23 juillet 2008, 12:55
Qountar rejoint officiellement le Hezbollah
Dans un entretien accordé à un journaliste saoudien, Samir Qountar, le terroriste libanais d'origine druze, auteur du massacre de Naharyah, en 1979, a déclaré que «l'affrontement avec les sionistes ne prendra fin qu'avec la disparition totale de leur Etat». Il a par ailleurs indiqué vouloir rejoindre «les résistants du Hezbollah», dont il a qualifié l'action de «fondamentale», afin de «libérer chaque centimètre de la terre palestinienne».
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
23 juillet 2008, 13:58
Suisse mercredi 23 juillet 2008
L'affaire Kadhafi se transforme en crise



Hannibal avait été arrêté mardi passé

Le fils cadet du colonel Kadhafi, qui se surnomme Hannibal, et sa femme ont été interpellés mardi passé dans un palace genevois. La femme de Motassim Bilal Kadhafi, enceinte de neuf mois, était venue à Genève pour accoucher.

La police est intervenue après avoir été alertée par des employés de l'hôtel, révoltés par l'attitude des époux Kadhafi à l'égard de deux de leurs domestiques.

Hannibal et son épouse ont tous les deux été inculpés de lésions corporelles simples, menaces et contraintes envers leurs domestiques par le juge d'instruction Michel-Alexandre Graber.

Interpellés mardi, les époux ont été libérés jeudi contre une caution de 500'000 francs et ont ensuite quitté la ville, comme la loi le permet.

Le colonel Kadhafi, né le 19 juin 1942 à Syrte en Libye, est de facto le chef de l'Etat de la Libye depuis 1970, à la suite du coup d'Etat du 1er septembre 1969. Officiellement, Kadhafi est désigné comme le Guide de la grande révolution de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste, titre plus généralement raccourci en « frère guide.

Selon l'organisation Human Rights Watch, "des dizaines de personnes se trouvent en prison en Libye pour s'être livrées à une activité politique, et certaines ont disparu. La Loi 71 interdit toute activité politique indépendante et les contrevenants sont passibles de la peine de mort".

Déjà une affaire similaire en 1997

Ce n'est pas la première fois qu'un des fils du colonel Mouammar Kadhafi est à l'origine de tensions diplomatiques entre la Suisse et la Libye.

Le 12 novembre 1997, la Libye avait interdit aux citoyens suisses l'accès à son territoire.

Cette mesure faisait suite au refus d'un visa à un fils du "guide de la révolution" qui voulait étudier à Genève.

La délivrance de visas à des citoyens libyens avait alors été limitée à des raisons humanitaires.

Le conflit avait été résolu en avril 1998. La Libye avait alors levé son interdiction et la Suisse était revenue à la pratique antérieure en matière de visas.

L'affaire Kadhafi se transforme en crise
23.07.2008 18:15

L'affaire autour du fils Kadhafi prend de l'ampleur.

Après l'arrestation à Genève du fils du colonel Kadhafi, la Libye a décidé de ne plus délivrer de visas pour les ressortissants suisses et a réduit ses liaisons aériennes. Le DFAE a fait part de sa "préoccupation".

Selon un communiqué du Département fédéral des affaires étrangères, les autorités libyennes ont mis en oeuvre dès le 17 juillet des mesures de rétorsion "préoccupantes" contre la Suisse. Elles pourraient même être lourdes de conséquences pour l'économie helvétique.

sur ce sujet

Crise Suisse-Libye: le régime du Général Kadhafi multiplie les représailles contre la Suisse, à la suite de l'arrestation d'Hannibal Kadhafi à Genève - mercredi 23 juillet, 19:30 Le journal [02:27 min.]

Crise Suisse-Libye: commentaires d'Alain Rebetez, en duplex de Berne - mercredi 23 juillet, 19:30 Le journal [01:43 min.]

Crise Suisse-Libye: l'enjeu de la crise est également économique, la Libye étant le principal fournisseur de pétrole de la Suisse - mercredi 23 juillet, 19:30 Le journal [01:31 min.]

Crise Suisse-Libye: portrait du clan Kadhafi - mercredi 23 juillet, 19:30 Le journal [02:17 min.]

Crise Suisse-Libye: analyse d'Hubert Gay-Couttet - mercredi 23 juillet, 19:30 Le journal [01:48 min.]

La tension monte entre la Suisse et la Libye après l'arrestation d'Hannibal Kadhafi à Genève - mercredi 23 juillet, 12:45 Le journal [01:18 min.]

Tensions Suisse-Libye: commentaires d'Alain Rebetez, en direct de Berne - mercredi 23 juillet, 12:45 Le journal [03:13 min.]

La Libye menace la Suisse de représailles - 23 juillet, Forum [10:55 min.]

La justice peut-elle travailler sereinement ? - 23 juillet, Forum [03:31 min.]

Libye: quelles conséquences pour la Suisse? - 23 juillet
Des mesures spectaculaires

La Suisse a vivement protesté contre ces mesures, qui font suite à l'interpellation du fils du colonel Kadhafi la semaine passée par la police genevoise (voir ci-contre).

Jusqu'à nouvel avis, le DFAE recommande aux citoyens suisses de renoncer à tout déplacement à destination de la Libye. Le Département a indiqué que 49 Helvètes vivent en Libye et estime que le nombre de touristes suisses dans le pays est assez minime.

Eviter l'escalade

Mardi, Micheline Calmy-Rey, qui a interrompu ses vacances, a déjà protesté lors d'un entretien téléphonique avec son homologue libyen, Abderrahman Shalgan, indique le Département fédéral des affaires étrangères. Elle lui a notamment précisé que la Suisse souhaitait éviter toute escalade entre les deux pays.

Dès le 17 juillet, Tripoli a rappelé son chargé d'affaires et des délégations officielles en mission en Suisse. Puis les autorités libyennes ont suspendu l'octroi de visas pour les ressortissants helvétiques et ont interrompu la légalisation de documents, selon le communiqué.

Des entreprises fermées

Ce n'est pas la 1ère fois qu'un fils de Kadhafi fait parler de lui.
De plus, les liaisons aériennes entre la Libye et la Suisse ont été réduites. Un vol par semaine est maintenu depuis le 17 juillet, contre trois en temps normal. Tripoli a demandé notamment à la compagnie Swiss de réduire ses rotations hebdomadaires de trois à une seule «pour des raisons techniques», a indiqué Jean-Claude Donzel, porte-parole de la compagnie. La compagnie libyenne Afriqiyah Airways a elle certes évoqué mercredi les mêmes «problèmes techniques» à l'aéroport de Tripoli, démentant toutefois l'annulation de deux de ses trois vols hebdomadaires.

Les entreprises suisses ont quant à elles reçu un ordre de fermeture et les bureaux de certaines ont été mis sous scellés. Une quinzaine de sociétés sont implantées en territoire libyen, dont ABB, Nestlé et des banques.

Le bureau de représentation de Nestlé a ainsi été mis sous scellés entre hier et aujourd'hui. Son responsable, d'origine égyptienne, a été quant à lui placé en garde à vue durant quelques heures, a indiqué le porte-parole de la multinationale. Nestlé n'a pas d'autre employé sur sol libyen.

Enfin, deux ressortissants helvétiques, dont un employé d'ABB, sont en garde à vue depuis le 19 juillet sous divers motifs d'accusation. Le département de Micheline Calmy-Rey a souligné qu'il poursuivra sans relâche ses efforts pour obtenir leur libération.

Une délégation dépêchée

Le DFAE indique qu'une délégation diplomatique est arrivée mercredi à Tripoli afin d'apporter à la Libye des explications sur l'arrestation du fils Kadhafi. Elle devra tenter de prévenir la crise entre les deux pays et tenter d'obtenir la libération des deux Suisses. La Suisse a depuis la semaine passée multiplié les démarches diplomatiques et mis en place une cellule d'intervention.

Mais Berne précise aussi que l'affaire de Hannibal Kadhafi est du seul ressort de la justice genevoise, qui statue selon le droit en vigueur.

L'affaire tourne à l'incident diplomatique - 23 juillet, Journal de 12h30 [02:41 min.]

Itw de Hasni Abidi - 23 juillet, Journal de 12h30 [03:18 min.]

GE: Hannibal Kadhafi et sa femme ont été libérés contre le versement d'une caution de 500'000 CHF - 22 juillet 2008, 19:30 Le Journal [01:55 min.]

GE: le couple Kadhafi a quitté la Suisse après avoir été libéré sous caution; témoignage de leurs employés battus - 18 juillet 2008, 19:30 Le Journal [01:55 min.]

GE: Hannibal Kadhafi a été arrêté pour avoir battu ses domestiques - 17 juillet 2008, 12:45 Le Journal [01:47 min.]

Les victimes de Kadhafi s'expriment - 18 juillet 2008, Forum [02:22 min.]

Kadhafi : la Suisse doit-elle s'inquiéter ? - 18 juillet 2008, Journal de 12:30 [01:47 min.]

Kadhafi : la Libye en colère - 18 juillet 2008, Journal de 12:30 [04:08 min.]

Kadhafi : l'origine de l'affaire - 18 juillet 2008, Journal de 12:30 [01:19 min.]

Le couple Kadhafi a quitté Genève - 18 juillet 2008

Kadhafi et son épouse libérés sous caution - 17 juillet 2008

Arrestation d'un fils de Khadafi à Genève - 17 juillet 2008



[www.tsr.ch]
Pièces jointes:
kada.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
24 juillet 2008, 01:13
Affaires Suisses : La vengeance de Kadhafi

Tous les détails sur :


[www.tsr.ch]

[www.tsr.ch]
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kada.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
26 juillet 2008, 12:14
'...§§§......TOUNES EL KHADRA....§§§§§...AGMEL MEN BELDEN....OUFFIIII GAFSAAAAA YETLEQ EL NAR....§§§§§....



De violentes émeutes ont éclaté ces derniers jours à Sidi Ifni et Gafsa, localités situées respectivement au Maroc et en Tunisie. C'est le chômage, couplé à l'absence de perspectives, qui a conduit, les 6 et 7 juin, des chômeurs à descendre dans les rues de ces deux petites villes, perdues à des centaines de kilomètres au sud de Rabat et de Tunis.


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Edition abonnés Fiche pays : Tunisie

A Sidi Ifni (20 000 habitants), port de pêche d'une région berbère contestataire, limitrophe du Sahara occidental, une violente altercation a opposé, samedi, les forces de l'ordre à des jeunes manifestants. Ceux-ci bloquaient le port pour contester un tirage au sort organisé un peu plus tôt par la municipalité pour l'embauche de trois personnes.

Le bilan de l'échauffourée qui a suivi est incertain. Les associations locales, notamment Aït Baamarane et le Centre marocain des droits humains (CMDH), avancent le chiffre d'au moins deux morts et de nombreux blessés. Information confirmée par la chaîne de télévision Al-Jazira, qui fait état de deux à huit morts.

Les autorités marocaines, quant à elles, parlent de 44 blessés et démentent énergiquement qu'il y ait eu des morts. Elles accusent Al-Jazira de "légèreté dans la collecte de l'information". Reste que l'accès à l'hôpital de Sidi Ifni est bloqué par les forces de l'ordre, ce qui alimente les rumeurs.

Dans le sud tunisien, pendant ce temps, la région de Gafsa (120 000 habitants) s'enflammait à nouveau. Vendredi, un jeune de 25 ans a été tué par balles à Redeyef (l'un des quatre bassins miniers de Gafsa), lors d'affrontements avec les forces de l'ordre. Déjà, en mai, un jeune manifestant était mort électrocuté alors qu'il tentait de couper des câbles électriques. A l'annonce de ce nouveau décès, la colère a été telle que l'armée a été appelée en renfort et s'est déployée, samedi, à la place de la police.

Voilà cinq mois que les quatre bassins miniers de Gafsa, ville déshéritée de l'intérieur où le taux de chômage dépasse les 30 %, sont secoués par des émeutes. Le seul employeur de la région, la Compagnie des phosphates de Gafsa (CMG), n'embauche plus depuis des années, en raison de la mécanisation des mines. Le nombre des employés est passé de 14 000 dans les années 1980 à 5 000. Le 7 janvier, 81 postes ont toutefois été proposés. Plus de 1 000 candidats se sont présentés. Dès que la liste des "gagnants" a été affichée, la révolte a éclaté. Selon Hajji Adnane, porte-parole du mouvement de Redeyef, "les embauches étaient affaire de corruption et de népotisme".

Les mineurs de Redeyef se plaignent d'être otages d'un potentat local qui est à la fois patron, délégué syndical et député du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), le parti au pouvoir. Ils accusent également la police de se livrer régulièrement à des provocations et à des pillages. Les femmes sont aux premières loges de ce combat contre le pouvoir. Fait exceptionnel : elles étaient nombreuses, samedi, à assister à l'enterrement du jeune tué la veille par la police.

Florence Beaugé...

Correspondance spéciale.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
28 juillet 2008, 14:40
Surveillance du terrorisme.

15.000 personnes veulent être effacées de la liste US des suspects de terrorisme.


15,000 want off the U.S. terror watch list.

La liste s'élève à plus de 755.000 personnes.


Depuis le mois de février plus de 15.000 personnes ont demandé au Gouvernement de retirer leurs noms de la liste de suspects de terrorisme qui retarde leurs voyages dans les aéroports des Etats-Unis et lors qu'ils franchissent des frontières, a affirmé le Département de Sécurité Nationale.

Par Mimi Hall
Usa Today , Washington, le 6 novembre 2007.

John W. Anderson

Les plaintes ont créé une accumulation de travail telle, que les membres du Congrès plaident pour un système qui accélère ces demandes afin d'aider les personnes innocentes à clarifier leur cas et à éliminer leur nom de la liste pour ne pas être l'objet de soupçons dans le futur. Parmi les personnes qui ont été arrêtées aux points de contrôle il y a des jeunes enfants et des adultes qui ont les mêmes noms que des terroristes présumés et qui apparaissent dans la liste.

« Laisser les personnes dans ce purgatoire est une procédure indigne pour des étasuniens », a affirmé Yvette Clarke, élue démocrate pour New York, qui a ajouté qu'elle présentera un texte législatif pour essayer d'accélérer le processus.

Le Département de Sécurité Nationale a indiqué qu'il reçoit quelque 2.000 demandes par mois de personnes qui souhaitent que leurs noms soient retirés de la liste. Ce chiffre est tellement important que le département n'a pas pu tenir son objectif de résoudre les cas sous 30 jours, indique Christopher White, porte-parole du Département de Sécurité du Transport et en charges des demandes, qui affirme que ce département a besoin de 44 jours pour traiter une plainte.

En février, le Département de Sécurité du Transport a entamé le Traveler Redress Inquiry Program, point de contact qui permet aux personnes de solliciter la liaison avec la liste qui retient toute personne qui a de possibles liens avec des terroristes. La liste comprend plus de 750.000 noms.

Bennie Thompson, président du Comité de Sécurité Nationale, élu démocrate pour le Mississipi, a affirmé qu'il interrogera les fonctionnaires dans une audition qui aura lieu jeudi et il a ajouté que : « Vu l'utilisation généralisée de la liste de terroristes présumés, le programme est d'une extrême importance. » John Anderson* de Minneapolis, qui a fêté ses 6 ans le 4 juillet, s'est trouvé dans le groupe des gens importunés.

Ils l'ont arrêté pour la première fois en 2004 à l'Aéroport International de St. Paul, Minneapolis, quand la famille l'emmenait à son premier voyage en avion à Disneyland. Selon la mère de John, Chritstine Anderson, « nous vérifions nos bagages dans le compteur et la femme nous a demandé avec une voix rugueuse : Qui est-ce John Anderson ? « j'ai montré la poussette. »

Son fils peut voyager. Toutefois, comme son nom est noté, la famille ne peut pas éditer de carte d'embarquement en ligne et John doit directement se présenter au comptoir pour que le fonctionnaire de la compagnie aérienne puisse voir qu'il est un enfant.

Christine Anderson dit qu'à plusieurs reprises elle a essayé de faire éliminer le nom de son fils de la liste mais elle n'a pas pu trouver les formulaires adéquates sur le site Web de la TSA et n' en a reçu aucun non plus par courrier après que les fonctionnaires lui aient promis de les envoyer. « Personne ne peut me répondre pourquoi mon fils est inscrit dans la liste, ni comment faire pour qu'ils enlèvent son nom

White affirme qu'on effacera beaucoup de noms quand le Gouvernement commencera à demander aux passagers leurs dates de naissance et mais qu'il ne commencera pas à traiter cette information avantl'année prochain [2008].

Recherche contre le terrorisme

Le nombre de personnes inscrites [1] sur la liste de terroristes présumés a quadruplé dans une période d'environ trois ans :

Juin 2004 158.374
Mai 2005 287.982
Juin 2006 515.906
Mai 2007 754 960

Voir le site :


[www.elcorreo.eu.org]
Pièces jointes:
liste.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
29 juillet 2008, 07:39
ne plus se referer a l'afp pour citer des articles
Honte à l’A.F.P.



28 juillet 2008 - Sylvain Semhoun, Conseiller élu , représentant les Francais d’Israël

Une fois de plus, l’AFP aura brillé par sa mauvaise foi dès qu’il s’agit de traiter le conflit israélo-arabe. A peine l’attentat de Jérusalem perpétré, le site internet français du Figaro publiait ce titre hallucinant : « Un conducteur de bulldozer abattu à Jérusalem ! » suivi d’un court communiqué : « Un conducteur de bulldozer a été abattu aujourd’hui par balles dans le centre de Jérusalem par un Israélien qui pensait qu’il allait perpétrer un attentat avec son véhicule, ont indiqué des témoins » !!!

Lire l’article sur : [a7fr.net]
Conclusion logique de ceux qui auront lu cette dépêche : « Quel peuple de paranoïaques ! Les voilà maintenant qui tirent sur tout ce qui leur paraît bizarre ! »
Ce qui est particulièrement grave dans cette déviance, ce sont les soubassements inconscients qui sont en jeu. L0AFP aura beau jeu de dire « qu’elle s’est fiée à des premiers témoignages de passants et que sa bonne foi n’est pas en jeu ». Faux et archifaux. Le choix des titres, celui de ne pas investiguer plus loin durant ne serait-ce quelques minutes, se font systématiquement au détriment d’Israël. Si le correspondant de l’agence avait eu un brin de professionnalisme, il aurait pu apprendre que parmi les blessés figuraient des ressortissants français en vacances en Israël. Et qui sont « ces témoins » derrière lesquels se cache courageusement le journaliste ?? Des témoins réels n’auraient jamais affirmé qu’un conducteur de bulldozer a été froidement abattu.

Depuis trop longtemps, l’AFP a adopté une position anti-israélienne claire : choix des événements couverts, gonflés, minimisés ou tus, choix stratégique de termes empruntés au vocabulaire anti-israélien, style tendancieux des phrases, mise en doute des affirmations israéliennes et acceptation des sources palestiniennes telles qu’elles. Ceci est très grave car c’est l’AFP qui, dans une très large mesure influence la presse française, qu’elle soit écrite ou audiovisuelle. Ignorée du grand public, elle est l’un des principaux vecteurs de l’opinion en France et dans une partie du monde, notamment le bassin méditerra néen.

Les contrevérités et la malhonnêteté de la 3e agence de presse au monde ne sont pas une vue de l’esprit. Une étude sémantique précise effectuée sur la période de la 2e Intifada par le journaliste français Clément Weill-Raynal a démontré de la manière la plus claire la partialité de l’AFP, à travers des centaines de dépêches qui traduisent des choix politiques extrêmement clairs (« L’AFP, les récits contre les faits » - C. Weill-Raynal - Le Dossier israélo-palestinien : les médias français sont ils objectifs ? Collection « Observatoire du Monde Juif »)

Les obligations déontologiques de l’Agence fixées par la loi sont pourtant « exactitude, rigueur, équilibre et objectivité »... !!! L’erreur professionnelle est humaine, mais concernant le conflit israélo-arabe, l’agence de presse qui se targue d’être « la plus arabophone de la planète » a opté pour la devise « Omissions, approximations, contrevérités, parti pris ».

Dans ce cas, ce ne sont plus uniquement
de « simples erreurs matérielles », mais une politique voulue et choisie dans le but de flatter la clientèle arabe.

Entre l’éthique et le fric, l’AFP a choisi depuis longtemps.
par Gad publié dans : Désinformation
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
01 août 2008, 10:02
Non à l'hyperprésidence, par Robert Badinter
LE MONDE | 19.07.08 | 14h49 • Mis à jour le 20.07.08 | 17h20


Certains se demandent si, en refusant de voter la révision constitutionnelle, les socialistes ne sont pas en train de passer à côté d'une opportunité : rééquilibrer les institutions. La réponse est non. Cette révision est une occasion perdue, non pour les socialistes, mais pour la République. Nos institutions souffrent d'un mal profond : l'hyperpuissance du président. Il est le véritable chef du gouvernement, pour ne pas dire le gouvernement à lui seul, dans la pratique actuelle de l'Elysée. Et, depuis le quinquennat et la succession des élections présidentielle et législatives, il est le chef réel de la majorité présidentielle à l'Assemblée. La séparation des pouvoirs n'est plus qu'apparence. De surcroît, ce pouvoir sans pareil n'est assorti d'aucune responsabilité. J'appelle ce régime la monocratie : le pouvoir d'un seul dans la République.

Le projet de révision ne réduit pas les pouvoirs du président. Il les accroît en lui permettant de s'adresser directement aux parlementaires réunis en Congrès. Le président présentera un bilan flatteur de son action et fera acclamer par sa majorité son programme de gouvernement. Le premier ministre comme chef de la majorité parlementaire disparaît. Le renforcement des prérogatives du Parlement, premier objectif de la révision selon le président, est un leurre en termes de pouvoir réel. Tant que le président sera le chef incontesté de la majorité à l'Assemblée, le Palais-Bourbon demeurera une annexe du palais de l'Elysée. "Cy veut le Roi, cy fait la loi", l'axiome de l'Ancien Régime demeure la règle sous la Ve République.

Quant aux pouvoirs de nomination du président aux grandes fonctions (Conseil constitutionnel, CSA, etc.), on annonce "un changement considérable" : le choix du président pourra être refusé par un vote des trois cinquièmes des membres d'une commission parlementaire. Mais un tel vote requiert le concours de la majorité présidentielle, qui ne sera jamais donné contre la volonté du président. Si on voulait rendre ces nominations consensuelles, il faudrait une majorité positive des trois cinquièmes nécessitant l'accord de l'opposition. On est loin du compte.

D'autres font valoir que la réforme accorde à l'opposition parlementaire des droits nouveaux. Mais il faut regarder la portée des textes et non pas seulement l'étiquette. On nous dit : le Parlement aura la maîtrise de la moitié de l'ordre du jour, "un progrès immense". Mais qu'en est-il pour l'opposition ? Le projet lui réserve un jour pour trois semaines, à partager avec les centristes. Belle avancée démocratique !

Autre exemple. Le président annonce que la présidence d'une commission parlementaire sur huit sera réservée à l'opposition. Pourquoi pas trois ? Nous ne demandons pas des pourboires, mais un rééquilibrage.

Enfin, la révision proposée consolide le mode d'élection archaïque des sénateurs, qui assure à la droite une majorité pérenne au Sénat. Cette situation est un défi à la démocratie. Le comité Balladur avait ouvert la voie à un changement possible. La droite sénatoriale a tout refusé à ce sujet. Elle entend demeurer maîtresse du Sénat et, par là, de toute révision constitutionnelle proposée par la gauche. Lors de la prochaine alternance, la gauche devra donc présenter un projet de révision constitutionnelle, soumis directement au pays par voie de référendum. Il devra inclure la reconnaissance du droit de vote aux élections municipales des immigrés régulièrement établis en France. Cette réforme-là, si importante pour l'intégration, est ignorée par l'actuelle révision.

Dans ces conditions, libre à qui le veut de danser un pas de deux constitutionnel avec le président de la République. Ce n'est pas notre choix.

Robert Badinter, sénateur, ancien président du Conseil constitutionnel


Pièces jointes:
badinter.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
08 août 2008, 02:10
Reçu ce jour une info publiée par la CICAD,,, à prendre avec les pincettes d'usage,,, Qu'y a t il de vrai ???

Le petit-neveu d’Adolf Hitler s’est converti au judaïsme et vit en Israël


Un descendant des Hitler s’est converti au judaïsme et vit en Israël. L’histoire est à peine croyable. Elle ressemble même à une de ces légendes urbaines, ces rumeurs sans fondement, colportées dans nos rues.

La journaliste britannique Tanaya Gold avait déjà lu quelque chose à ce sujet dans un obscur fascicule de la communauté juive orthodoxe de New York, daté d’août 2006. Cet été, elle a voulu en avoir le cœur net. Elle est partie à Jérusalem sur les pas de ce petit-neveu de Hitler, fils d’un nazi convaincu, officier de la Wehrmacht. Et elle a retrouvé ce descendant d’Alois junior, demi-frère du führer Adolf Hitler, l’initiateur de la solution finale, qui extermina cinq à six millions de Juifs européens.

Après un séjour de six semaines passées en Israël, dans le cadre d’études de théologie, ce fils de protestant décidait en 1977 de poursuivre ses études à l’Université hébraïque de Jérusalem. Converti au judaïsme, il est aussi tombé amoureux d’Israël. Et a épousé là-bas une Allemande, convertie comme lui.

Avant-hier, The Guardian a publié l’article de Tanaya Gold dans son supplément du jour. Et la lecture de ce reportage réserve bien d’autres surprises. Ce professeur, dont elle a préservé l’anonymat, n’est pas le seul descendant de nazi converti au judaïsme. Ils seraient même environ trois cents, selon OU’s, la modeste revue des juifs orthodoxes new-yorkais.

Mais pourquoi ces «enfants du nazisme» se sont-ils convertis? s’interroge la journaliste britannique. Elle a posé la question à Aaron Shear-Yashuv, rabbin des armées en Israël. Son père à lui était Waffen SS. Un père qui l’a renié quand il a décidé d’embrasser la religion juive, de s’appeler Aaron et de faire son rabbinat en Israël. Pourquoi s’est-il converti ? Aaron répond théologie et refuse toute explication liée à son histoire familiale. Pourtant, pour Dan Bar-On, professeur de psychologie à l’Université Ben Gourion, cela ne fait aucun doute: «La motivation des convertis est de rejoindre la communauté des victimes. » On parle même, dans certains cercles juifs, de «pénitents», expiant inconsciemment les fautes de leurs aînés. Le petit-neveu de Hitler témoigne à demi-mot de ce cheminement inconscient, évoquant des images de l’Holocauste qui l’obsédaient: «Je vois un soldat qui tient un enfant et le tue. Je partage la peur de l’enfant. Et je peux voir mon père et mon grand-père qui assistent à la scène. Tout ce que je peux dire, conclut-il, c’est que depuis que je suis arrivé en Israël, ces impressions se sont évanouies.»

Un autre descendant de dignitaire nazi , arrière-petit-neveu du maréchal Goering, est lui aussi devenu un «pénitent». Son père était un médecin militaire antisémite. Lui, Matthias Goering, a été au début des années 2000 physiothérapeute à Zurich. Il porte aujourd’hui la kippa et l’étoile de David autour du cou, en Israël.

Source: Olivier Bot, 24 Heures, Tribune de Genève - jeudi 7 août 2008

Voir le site :


[www.cicad.ch][tt_news]=4182&tx_ttnews[backPid]=1873&cHash=509b3fd95a

et

[www.cicad.ch]

Pièces jointes:
cicad.jpg
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