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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
31 août 2010, 10:18
Meyer quelle angoisse cette montre.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
01 septembre 2010, 13:50
IMPORTANT

Mise en garde de l'administration fiscale contre des courriels frauduleux
01.09.10 |
L'administration fiscale a averti, mercredi 1er septembre, que des courriers électroniques frauduleux, promettant un remboursement d'impôt à certains contribuables en échange de leur numéro de carte bancaire, étaient actuellement en circulation.

"La Direction générale des finances publiques (DGFIP) a été informée de la circulation de courriers électroniques frauduleux adressés à certains contribuables par un expéditeur utilisant la signature de l'administration fiscale et l'entête du Ministère du Budget ou de la DGFIP", déclare-t-elle dans un communiqué.

Interrogée par l'Agence France-Presse, la DGFIP n'a pas été en mesure de préciser le nombre d'e-mails frauduleux en circulation. "Nous avons eu quelques alertes hier (mardi) et nous avons préféré prendre les devants", a-t-on expliqué.

DEMANDE D'INFORMATIONS PERSONNELLES

"Ces courriers, accompagnés d'un formulaire, invitent les contribuables à communiquer des informations personnelles (nom, adresse, date de naissance, numéro de téléphone) ainsi qu'un numéro de carte bancaire en vue d'obtenir un remboursement d'impôt", ajoute cette direction de Bercy, annonçant avoir déposé plainte "pour qu'une enquête judiciaire soit engagée".

La DGFIP appelle donc les usagers "à ne pas répondre à ces messages" et les "supprimer". Elle rappelle à cette occasion qu'elle "ne fait jamais d'envois sous cette forme" et que "le numéro de carte bancaire n'est jamais exigé pour le paiement d'un impôt ou le remboursement d'un crédit d'impôt".

L'an dernier, des courriels similaires avaient circulé mais, selon Bercy, son intervention rapide avait permis d'éviter que des contribuables se fassent piéger.

[www.lemonde.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
03 septembre 2010, 06:17
Elie Wiesel : l'âme juive et humaniste

Publié le vendredi 03 septembre 2010 à 06h00

Elie Wiesel, 81 ans, se considère comme juif, citoyen américain et écrivain français.

Le prix Nobel de la Paix 1986, déporté avec sa famille quand il avait 15 ans, signe un passionnant roman « Otage » où reviennent ses thèmes de prédilection : le silence, la mémoire, la judaïcité.

.. Un homme profond et indispensable.


PROPOS RECUEILLIS PAR PATRICE DEMAILLY > patrice.demailly@nordeclair.fr

Quel est l'élément déclencheur de ce roman ?

>> Le thème de l'otage est tellement brûlant. Il regroupe tant de paramètres : la solitude devant la mort, l'éloignement surtout pour quelqu'un qui n'est pas mêlé à la politique.

Rien d'autobiographique ?

>> Il y a eu quelque chose mais uniquement à la surface. Il y a à peu près deux ans, j'ai été victime d'une tentative d'enlèvement. J'étais à San Francisco pour une conférence et, dans l'ascenseur, un jeune homme de 22 ans a tenté de m'enlever. Il a avoué ensuite qu'il me suivait partout depuis des semaines et il a attendu que je sois seul pour me forcer à admettre que l'Holocauste n'avait pas eu lieu. J'ai commencé à hurler « Au secours » mais il ne se passait rien. Plus tard, j'ai appris qu'une vingtaine de personnes avaient entendu, mais aucune n'est venue. La porte de l'ascenseur s'est ouverte, il a pensé qu'on venait à mon secours et il a pris la fuite.

Cet événement a-t-il influé sur le livre ?

>> J'ai commencé à écrire ce livre un an avant cet incident.
Depuis des années, j'essaie de tirer la sonnette d'alarme sur le terrorisme, ce danger qui guette le monde.

Le terrorisme est-il en mutation ?

>> Il a franchi les étapes et les degrés. Il y a eu la période romantique avec les anarchistes. Aujourd'hui, c'est la brutalité nue, l'extrême, le dépassement total. Au départ, on avait affaire à un terrorisme ciblé, par exemple un chef d'État ou des généraux. On s'en prend désormais à des anonymes.

Comme Shaltiel, le personnage principal d'« Otage »...

>> Il n'a jamais insulté quelqu'un ni défendu aucune cause. C'est un homme simple, un conteur qui adore les mots, les enfants et les vieillards.

Comment expliquez-vous que l'enfant, le vieillard et le fou reviennent de manière récurrente dans vos livres ?

>> Ce sont eux qui ont été les premiers à partir pendant la guerre. L'ennemi les a ciblés. Je me suis dit qu'ils méritaient un refuge, un toit, une identité.
Et je leur offre donc ce qu'ils n'ont pas eu.

Le Talmud est-il votre référence première ?

>> Je l'étudie encore tous les jours. J'ai toujours un petit traité avec moi. C'est une vraie passion.

Vous écrivez à propos de Shaltiel : « Né sans doute dans la joie, j'ai toujours vécu dans l'angoisse ». Est-ce aussi votre cas ?

>> Bien sûr. Je me rends compte que le monde ne va pas bien, tout simplement. Qu'est-ce qu'on peut faire encore qu'on n'a pas déjà réalisé dans l'horreur ? L'antisémitisme continue de croître dans le monde entier. Le fanatisme au pouvoir m'angoisse. Ahmadinejad veut une bombe atomique pour anéantir l'État juif. L'angoisse qui m'accompagne tout le temps ne nie pourtant pas la joie.

Les enfants sont-ils la raison de votre engagement ?

>> Absolument. Chaque fois que j'ai épousé une cause pour les droits de l'Homme, cela a toujours commencé avec un visage d'enfant. J'enseigne aussi depuis 40 ans et j'adore ça. Il y a une relation affective entre mes élèves et moi. Je reste pour la plupart en contact avec eux.

Est-il impossible pour vous de ne pas vous retourner vers le passé ?

>> Je ne vis pas dans le passé, c'est le passé qui vit en moi. Je ne lui permets pas de gouverner ma vie au point de dire que le reste ne compte pas. Pas du tout. C'est parce que le passé est là que le reste compte et mérite toute mon attention.

Dans le livre, vous dites : « Ne jamais céder au chantage terroriste ». Est-ce vraiment la position d'Israël ?

>> (Hésitant) Ce n'est pas si simple que ça. Netanyahu est prêt à échanger un grand nombre de prisonniers de guerre, mais c'est lui qui veut les choisir. De l'autre côté, ils veulent aussi avoir le dernier mot concernant le choix des otages à libérer. Et puis, dans le passé, des prisonniers palestiniens libérés sont revenus le lendemain attaquer Israël.

Pourquoi autant d'interrogations dans votre écriture ?

>> Je ne vis que pour ça. Dans une société, un monde si vaste, il faut s'interroger. Le questionnement accompagne toute ma démarche, qu'elle soit personnelle ou collective. Pourquoi ai-je survécu ?
Logiquement, je n'étais pas fait pour survivre, croyez-moi. J'étais toujours timide, craintif. Même dans les camps je n'ai rien fait pour survivre. Tant que mon père était vivant, je voulais rester en vie pour lui parce que je savais que si je mourais il allait se laisser aller. Il n'a pas tenu le coup. Les derniers jours à Buchenwald, on a évacué le camp parce que les Américains approchaient. Nous étions dans un bloc pour enfants, près du portail. Si je l'avais franchi, je ne serais plus là. Puis, il y a eu une alerte aérienne et on a été libéré quelques heures plus tard.

Avez-vous toujours foi en Dieu ?

>> Disons qu'il s'agit d'une une foi blessée.

L'aviez-vous perdue au sortir des camps ?

>> Au contraire. Après la guerre, je suis devenu plus religieux qu'avant. C'était une volonté pour montrer à l'ennemi qu'il n'avait pas vaincu. C'est après seulement, quand j'ai commencé à étudier la philosophie, que cela a un peu changé. On ne peut pas concevoir Auschwitz sans Dieu. Je ne divorce pas, mais je me dispute avec lui.

Vous dites :« Le peuple juif, en exil depuis 2 000 ans, n'a jamais opprimé un autre peuple ». À votre avis, pourquoi cet acharnement contre lui ?

>> Je ne sais pas. Pourquoi ce peuple-là ? Que les juifs soient riches ou pauvres, on les déteste. Le dalaï-lama, qui est un grand ami, m'a appelé et m'a dit : « Votre peuple est en exil depuis 2 000 ans et vous êtes toujours là. Mon peuple vient de sortir de chez soi et d'entrer en exil, je sais que la route sera longue. Expliquez-nous l'art de survivre ? ». Pour moi, aucun peuple n'est supérieur à un autre, aucune religion n'est supérieure à une autre. Chacun à sa façon peut revendiquer son identité profonde.

Depuis Carter, vous avez été reçu par tous les présidents américains...

>> Je suis une sorte d'envoyé présidentiel (rires). Quand Obama vous demande de l'accompagner à Buchenwald, (en juin dernier, ndlr) on ne peut pas refuser. Aucun de mes discours n'a eu un tel retentissement, pas à cause de moi mais de lui. Toutes les télévisions au monde ont retransmis ça en direct.

Pourquoi avoir refusé en 2006 la présidence de l'État d'Israël ?

>> Parce que, d'abord, ma femme aurait divorcé (rires). J'étais la deuxième personne non israélienne à qui on proposait ça. Le premier était Albert Einstein qui avait refusé parce qu'il ne parlait pas hébreu. Ehud Olmert, le Premier ministre, m'a dit : « Tu n'auras pas cette excuse ». J'ai été assiégé pendant deux mois. J'ai dû aller en Israël pour une conférence et j'ai eu une couverture médiatique sans précédent. Un journaliste me dit : « Mr le professeur Wiesel, est-ce parce que nous ne sommes pas assez bons pour vous que vous refusez cet honneur ? ».

Qu'avez-vous répondu alors ?

>> J'ai trouvé les mots justes : « Pourquoi vient-on vers moi ? Je n'ai rien, je ne suis pas milliardaire ni président de mouvement. Je n'ai que des mots mais ils sont à moi. Dès l'instant où je deviens Président, ils ne le seront plus ».

[www.nordeclair.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
07 septembre 2010, 04:29
Sondage sur Jforum.

* Êtes-vous pour, qu’Israël paie à n’importe quel prix la libération de Guilad SHALIT ?

Merci pour votre avis.

Pour 388 26.5%
Contre 953 65.1%
Pas d’avis 124 8.5%
1465 votes
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
10 septembre 2010, 08:01
Depuis que je l'ai connu, j'ai admiré le courage et l'esprit d'analyse de cet infatigable ami d'Israel et du Peuple Juif, je veux parler de M. GUY MILLIERE.
Je voudrais citer quelques lignes et retransmettre ici le lien pour un article, écrit hier, où il explique son attachement à Israel ainsi que ses voeux de Shanna Tova.

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[www.drzz.info]

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Jeudi 9 septembre 2010 4 09 /09 /2010 06:12
Ce que nous devons aux Juifs - par Guy Millière

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. "Alors que se fête le nouvel an juif, comme une façon de souhaiter une bonne année 5771 à tous mes lecteurs juifs, et comme une façon d’expliquer aux autres quelques-unes de mes positions essentielles, je dirai ici que j’ai conscience, à chaque instant, de ce que l’humanité doit à la culture et au peuple juif, et que j’ai cette conscience depuis longtemps.
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. (carte de Shanna Tova)
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J’en suis venu à m’intéresser à la culture juive par la découverte de l’antisémitisme et des ignominies auxquelles il avait conduit. De Primo Levi et Elie Wiesel, je suis passé à la lecture des œuvres de Léon Poliakov. Les œuvres de Léon Poliakov m’ont conduit à tenter de déchiffrer ce que détestaient les antisémites, et j’ai trouvé des éléments importants chez Winston Churchill qui, dans « The World Crisis », l’ouvrage qu’il a consacré à la Première Guerre Mondiale, parle de la Loi, et de ce que « nous devons aux Juifs » : « un système d’éthique qui, même s’il était entièrement séparé du supranaturel, serait incomparablement le bien le plus précieux de l’humanité, plus précieux que les fruits de toute la sagesse pris ensemble ». .......

Winston Churchill m’a conduit à relire Léo Strauss, chez qui j’ai appris la philosophie du Droit, et à découvrir l’un de ses livres, « La persécution et l’art d’écrire », où il est beaucoup question de Moïse Maïmonide."............................
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
13 septembre 2010, 03:14
La France, un "artisan de la paix" ? - Par LESLIE REZZOUG - Pour Jerusalem Post edition en francais - 12 septembre 2019

La France entretient depuis longtemps des relations ambiguës avec Israël. Et le conflit israélo-palestinien a rendu son rôle encore plus flou. Entre pourparlers diplomatiques et crispations communautaires, la France tente de s'imposer comme un médiateur incontournable dans la région, sans y parvenir vraiment.




En 1947, la France vote pour la création d'Israël aux Nations unies. Dès lors, elle ne remettra plus jamais en question l'existence ni la souveraineté de l'Etat hébreu. Elle soutient le pays et compte œuvrer pour son existence. Mais le conflit avec les Palestiniens et les autres pays arabes de la région, notamment le Liban, rend la position de Paris de plus en plus compliquée. Si son implication militaire reste limitée, elle s'efforce d'acquérir de plus en plus d'influence diplomatique.

Participation aux résolutions de l'ONU

•Après la guerre des Six jours, le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 242 le 22 novembre 1967. Cette résolution stipule le retrait des forces armées israéliennes "des territoires occupés".

•En 2004, la France et les Etats-Unis prennent conjointement l'initiative de la résolution 1559. Adoptée dans l'urgence, elle appelle au respect de l'indépendance politique du Liban, au retrait de toutes les troupes étrangères de son sol, notamment israélienne, et à une élection présidentielle libre et équitable.

•La résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies est adoptée le 11 août 2006 à l'unanimité. Elle vise à stopper le conflit israélo-libanais. Le gouvernement libanais, qui comprend deux membres du Hezbollah, approuve la résolution le 12 août 2006 à l'unanimité.

Spécificité de la position française

On peut s'en étonner mais le conflit israélo palestinien passionne les Français. De l'homme de la rue aux plus hautes sphères de la diplomatie, tout le monde a son avis à donner sur le sujet. Peut-être que cet intérêt repose en partie sur l'exacerbation du sentiment communautaire : Juifs et Musulmans de France se sentent partie prenante de cette histoire en pleine mutation.

•Actes antisémites. Régulièrement, des synagogues et des cimetières juifs sont vandalisés, des personnes sont parfois même agressées, au nom de la cause palestinienne. Le cycle de tensions atteint son paroxysme en juillet 2004 lors des déclarations du Premier ministre Ariel Sharon appelant les Juifs de France à émigrer d'urgence en Israël.

•Ces faits divers tragiques conduisent à une division profonde de l'opinion en France. Institutions juives et associations de défense des droits de l'Homme s'indignent de ces comportements qui se nourrissent d'une vision souvent fantasmée du conflit israélo-palestinien. Au niveau politique, la fracture est profonde entre les partis qui soutiennent Israël et ceux qui critiquent son action à l'égard des Palestiniens. Ces divisions au sein même de la classe politique compliquent encore plus les relations franco-israéliennes.

•En 2002, la France met en place des projets de coopération bilatérale qui concernent l'ensemble des acteurs économiques et culturels français et israéliens. Un groupe de haut niveau a été chargé de réfléchir à la relance des relations bilatérales (politique et économique notamment). Cette réflexion a plus particulièrement porté, pour ce qui concerne les questions régionales, sur le dossier du nucléaire iranien et la mise en œuvre des résolutions 1559 et 1701, mais elle a également concerné le dialogue des cultures.

Relations avec les leaders israéliens et palestiniens

Les hommes d'Etat français ont à cœur de défendre leur position sur le conflit en recevant successivement des dignitaires des deux camps. Ces rencontres ont souvent été massivement relayées par les médias français. De la même façon, les hommes politiques français se sont parfois rendus en Israël. Ces discussions ont été l'occasion de défendre une vision française du conflit israélo-palestinien.

•La relation entre le président socialiste François Mitterrand et le chef historique de l'Organisation de libération de la Palestine, Yasser Arafat, a été particulièrement médiatisée. Le passé de résistant de François Mitterrand lui donne un attachement particulier à Israël. Cependant, il devient progressivement sensible à la cause palestinienne. Il le rencontre Arafat à plusieurs reprises, notamment en 1972, 1974 et 1993. Il prononce également un discours remarqué à la Knesset en 1982, soulignant l'importance d'établir deux Etats avec les mêmes droits.

•Durant la cohabitation Jacques Chirac-Lionel Jospin (1997-2002), le Premier ministre s'écarte de la position du gouvernement en soutenant fermement Israël. En 2000, il condamne "les attaques terroristes du Hezbollah contre des soldats israéliens". Il salue, par ailleurs, la retenue observée par Tsahal : "Epargner les populations civiles est une contrainte que s'efforce de respecter Israël." Cela lui vaudra des jets de cailloux lors de sa visite à l'université de Bir Zeit, haut lieu du nationalisme palestinien.

•Aujourd'hui le président Nicolas Sarkozy se présente comme un allié essentiel d'Israël et de son gouvernement. Il soutient l'Etat hébreu et considère ses actions militaires comme "légitimes". Il fustige le Hamas, responsable selon lui des souffrances de la population de Gaza. En se rendant au Proche-Orient, Sarkozy tente de peser dans les négociations et de s'imposer en "artisan de la paix".

Positions actuelles

•A l'approche de la conférence de Washington, prévue le 2 septembre sous l'égide des Etats-Unis, la France a fait entendre sa voix et souhaite peser dans les négociations. Elle a notamment réclamé que l'Union européenne dispose d'un siège lors des pourparlers afin de faire pression sur les Israéliens concernant le gel des constructions israéliennes en Judée-Samarie. Sa demande a néanmoins été refusée. Encore une fois, la France reste sur le banc de touche.

•Enfin, le dossier sur lequel la France s'illustre par sa virulence et son implication concerne le soldat de Tsahal, Guilad Shalit. Ce jeune homme de 24 ans a été fait prisonnier il y a quatre ans. Disposant de la nationalité française, il est devenu un symbole important pour le pays. Le 27 juillet dernier, le Premier ministre François Fillon rappelle que "quatre Français sont encore détenus", en incorporant Shalit à la liste de noms cités.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
13 septembre 2010, 03:22
12 septembre 2019

RETOUR VERS LE FUTUR IV ?
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
13 septembre 2010, 07:36
Un des quatre inventeurs de la grotte de Lascaux était Simon Coencas, jeune juif Parisien de Montreuil réfugié à Montignac avec sa famille. On a pu le voir hier soir au journal télévisé. Seuls sa soeur et lui ont survécu à la Shoah.

J'ai eu la chance de pouvoir visiter la grotte originale en 1960. Cela n'est plus possible depuis 1963 pour les visiteurs amateurs.
Une reproduction de la grotte a été réalisée. Devant l'affluence, une deuxième reproduction est envisagée.


Lascaux et la guerre
13/09/10 - - : Mémoire

La grotte de Lascaux a été découverte le 12 septembre 1940 par quatre garçons : Marcel Ravidat, Simon Coencas, Georges Agniel, et Jacques Marsal. Jacques, Georges et Marcel ont campé plusieurs jours devant la grotte, pour protéger l'entrée de leur trésor. Le quatrième, Simon, a du quitter le village. Sa famille juive s'était réfugiée à Montignac en 1939, mais l'endroit n'était déjà plus sûr. Peu après, l'adolescent a été raflé, interné à Drancy, et a du son salut à la Croix-Rouge du fait de son jeune âge, avant de devenir ferrailleur après la guerre. En fait, l'histoire de ces garçons rencontre celle de France.

Marcel Ravidat devint maquisard parmi les premiers, dès juin 1943. Son maquis FTP campait tout près de Lascaux, dans les bois de La Chapelle-Aubareil et de Valojoulx, et opèrait dans la région. Il a réunit, entre autres, des jeunes du coin et bientôt quelques Géorgiens du général Andreï Vlassov, déserteurs de la Wehrmacht, dont le sympathique Pierre Kitiaschvili. Après l’automne 1944, le caporal Ravidat a combattu dans les Vosges, puis en Allemagne avec le 126e RI de Brive, il est entré à Baden-Baden. Il ignorait sans doute que le journaliste Pierre Ichac, qu’il avait rencontré à Lascaux en 1940, servait dans la même 1ère armée du général de Lattre de Tassigny.

Jacques Marsal, l’autre Montignacois, a été arrêté fin 1942 sur le pont de Montignac par la gendarmerie française, malgré ses 17 ans, et requis par le Service du travail obligatoire en Allemagne, institué officiellement par Pierre Laval le 16 février 1943. Il a découvert le film La Nuit des temps dans un cinéma de Vienne et a hurle alors à ses compagnons : « J’y étais !».

Simon Coencas, jeune Parisien de Montreuil, était réfugié à Montignac depuis juin 1940 avec sa famille. Le 27 septembre 1940, une ordonnance allemande prescrit le recensement des juifs parisiens et le 18 octobre « il est interdit aux Juifs qui ont fui la zone occupée d’y retourner ». Toute la famille de Simon est emprisonnée à Drancy puis exterminée à Auschwitz, sauf sa sœur Éliette et lui qui ont pu quitter Drancy, car ils n’avaient pas tout à fait 16 ans alors. Il s’est reconnu, après guerre, sur une photo prise à Drancy et publiée dans Historia. Avec ses camarades, Simon Coencas a été décoré de l’ordre du Mérite en 1991.

[www.crif.org]

Voir l'article complet sur la grotte : [www.hominides.com]

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
14 septembre 2010, 06:27
"CE QUE NOUS DEVONS AUX JUIFS" -par Guy Millière


Alors que se fête le nouvel an juif, comme une façon de souhaiter une bonne année 5771 à tous mes lecteurs juifs, et comme une façon d’expliquer aux autres quelques-unes de mes positions essentielles, je dirai ici que j’ai conscience, à chaque instant, de ce que l’humanité doit à la culture et au peuple juif, et que j’ai cette conscience depuis longtemps.



J’en suis venu à m’intéresser à la culture juive par la découverte de l’antisémitisme et des ignominies auxquelles il avait conduit. De Primo Levi et Elie Wiesel, je suis passé à la lecture des œuvres de Léon Poliakov. Les œuvres de Léon Poliakov m’ont conduit à tenter de déchiffrer ce que détestaient les antisémites, et j’ai trouvé des éléments importants chez Winston Churchill qui, dans « The World Crisis », l’ouvrage qu’il a consacré à la Première Guerre Mondiale, parle de la Loi, et de ce que « nous devons aux Juifs » : « un système d’éthique qui, même s’il était entièrement séparé du supranaturel, serait incomparablement le bien le plus précieux de l’humanité, plus précieux que les fruits de toute la sagesse pris ensemble ».



Winston Churchill m’a conduit à relire Léo Strauss, chez qui j’ai appris la philosophie du Droit, et à découvrir l’un de ses livres, « La persécution et l’art d’écrire », où il est beaucoup question de Moïse Maïmonide.



La découverte de la pensée de Moïse Maïmonide m’a conduit vers la pensée juive : « La philosophie du judaïsme » de Julius Guttman, puis des textes de Mordecai Kaplan, Abraham Joshua Heschel, Joseph Soloveitchik.



Sachant que mes lecteurs ne pourront pas tous consacrer des années à l’étude, si je devais ne leur conseiller qu’un seul livre aux fins de comprendre, je leur conseillerais, cela dit, le volumineux mais passionnant ouvrage d’un auteur qui, comme moi, n’est pas juif : Paul Johnson. L’ouvrage s’appelle « A History of the Jews ». Il existe en édition française, je crois, mais je l’ai lu, et le relis en anglais. C’est l’ouvrage d’un historien. C’est un ouvrage lumineux, passionnant, impeccable en termes d’érudition, et c’est un livre imprégné vis-à-vis du peuple juif, du seul amour qui vaille à mes yeux : un amour lucide et pleinement fondé.



Je ne puis faire mieux que citer Paul Johnson, qui va dans le même sens que Winston Churchill : « Le judaïsme explique que l’être humain doit être traité avec respect et dignité, et on lui doit l’émergence de ces idées en tant que principes ». Puis : « Toutes les grandes découvertes de l’intelligence semblent évidentes une fois qu’elles sont révélées, mais il faut un génie tout particulier pour les formuler pour la première fois. Le peuple juif est porteur de ce génie ».



« Nous lui devons l’idée d’égalité devant la loi, divine et humaine, l’idée du caractère sacré de la vie, de l’individualité de la conscience et donc de la rédemption personnelle, de la paix en tant qu’idéal abstrait, et de l’amour en tant que fondement de la justice, mais aussi la plupart des autres éléments qui constituent le dispositif éthique fondamental de l’être humain. Sans les Juifs, le monde serait un endroit bien plus vide ».



Je parlerai de ce qui m’attache à Israël dans un autre texte. Mais d’une même façon que je suis un ami indéfectible d’Israël, parce que je connais l’histoire d’Israël, je tenais à dire en ce moment précis, qu’en un temps trouble où l’antisémitisme remonte de divers côtés, j’entends plus que jamais être un ami fidèle du peuple juif : parce que je connais l’histoire du peuple juif. Et parce que je sais ce que tous les hommes aspirant à vivre dignement, partout sur terre, doivent au peuple juif.



Je sais qu’il faut être très vigilant.



Je sais aussi, et je tiens à l’écrire, que les ennemis du peuple juif ne peuvent triompher, car ce qu’ils haïssent au travers de leur haine des Juifs est ce qui constitue cela précisément : « le dispositif éthique fondamental de l’esprit humain ».



Je sais que sans ce dispositif, l’esprit humain se perd, et, avec lui, l’humanité elle-même.



Guy Millière.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
20 septembre 2010, 12:15
Qui n'a pas entendu parler ces jours du savant tunisien MOHAMED LAOUCET AYARI ?
" Lead Structural System ingeneering " à la NASA : Le Tunisien qui a changé notre conception de l'espace

Qui est Mohamed Laoucet Ayari ?
Je m'appelle Mohamed Laoucet Ayari, "le cadet ". Je suis né à Hammam-Lif (donnant sur Boukornine) où j'ai fréquenté l'école primaire et le lycée secondaire. Mes études supérieures se sont faites à l'ENIT où j'ai obtenu mon diplôme d'ingénieur en Génie Civil en 1983. Mes ambitions m'ont mené plus loin. Je suis allé à la "Colorado State University " pour préparer une thèse de Doctorat en ingénierie dans une spécialité de pointe, à savoir "la Structure ". Celle-ci ayant trait à tout ce qui concerne la mécanique appliquée, la mécanique de la fissuration et la mécanique de la fracture "fracture mecanics ". Ce domaine concerne l'étude de comportement des fissurations dans les corps solides : fer, pierre, béton, métaux… Ma thèse avait pour objet l'analyse des fractures dans des matières ayant subi des efforts dynamiques " the crack nucleation ". Durant quatre ans j'ai travaillé sur des structures massives, et précisément le comportement des grands bâtiments (barrages) et des bétons armés… lors d'un tremblement de terre, de secousses ou de bombardements pendant les guerres. En 1988, j'ai soutenu cette thèse et obtenu les félicitations du Jury.

Comment avez-vous pu accéder à la NASA, qui est une agence américaine stratégique ?

Ma spécialité et l'objet de ma thèse de Doctorat ont intéressé plusieurs centres de recherches qui m'ont soutenu financièrement afin d'aboutir à des résultats très concluants. Ensuite, j'ai tenu à développer davantage ces résultats et les mettre en application avec un centre de recherche "Nuclear Waist Diposal " spécialisé dans le traitement des déchets nucléaires. Ces applications m'ont ouvert la porte de l'enseignement et de la recherche. Un jour j'ai été sollicité par un célèbre centre américain de recherches aérospatiales, " The Ball aerospacial " pour résoudre un problème du ressort dans une grande élongation. Mission réussie. On m'a confié encore la solution d'un autre problème plus difficile et beaucoup plus compliqué dans le " Habel Space telescop ". A l'époque, il était mal installé et comportait des fautes graves dans le miroir principal, ce qui conduisait à des incertitudes et à des résultats imprécis. La correction des aberrations était très difficile, car il s'agissait de corriger seulement les lumières de ce miroir géant. Et la mission a réussi. L'accès à l'agence spatiale américaine n'est-il pas interdit aux non-Américains ?Non absolument pas. Au contraire, l'Agence fonctionne grâce aux compétences de différentes nationalités. Elle veut attirer les compétences du monde entier.

Quelle est l'attitude de l'opinion publique américaine vis-à-vis d'un Tunisien ou d'un Arabe ayant accédé à des postes stratégiques au sein de la NASA ?

Sans aucun doute le citoyen américain accepte facilement l'autre, car la structure de la société américaine est fondée sur la multiplicité des races et des origines ethniques et religieuses. L'être humain n'est jugé que sur ses compétences. Au cours des dix-sept ans que j'ai passés aux USA, je ne me suis jamais senti étranger à la société américaine et je n'ai jamais été victime d'une discrimination raciale ou d'agissements dégradants.

Au sein de la NASA, quelle est la valeur ajoutée que vous apportez à la recherche aérospatiale ?

Je suis chef de groupe de chercheurs, "Lead structure system ingeneering ". Je préside une équipe de recherche ayant pour mission d'assurer le contrôle et le suivi des structures aérospatiales (navette spatiale, fusée…). On doit contrôler le fonctionnement de cette structure lors de la propulsion, durant sa mission dans l'espace ou lors de sa mise sur orbite sans subir de fractions.Outre ces tâches importantes, quelles sont les grandes applications que vous avez réalisées dans ce domaine ? Les connaissances sur les galaxies, les objets dans l'espace et l'astronomie d'une façon générale se sont développées ces dernières années. Elles sont actuellement différentes de ce qui a été enseigné il y a une décennie grâce aux corrections des aberrations que j'ai faites sur le " Habel Space ". Je suis particulièrement fier que notre conception de l'espace ait changé grâce à cet instrument sur lequel j'ai laissé des empreintes. Actuellement, il existe d'autres instruments qui sont venus soutenir les résultats du premier instrument. Il s'agit en particulier du "Radial instrument ". En outre, je travaille actuellement sur un instrument spatial dont la capacité est beaucoup plus puissante que celle qui existe. Cet instrument, qui sera prêt en l'an 2003, va certainement remplacer l'ancien instrument et faire avancer les résultats des recherches scientifiques. Y a-t-il d'autres Tunisiens à la NASA ? Dans ma spécialité, je suis le seul Tunisien et Arabe.

Au sein de la NASA, les recherches scientifiques sont-elles orientées vers la paix ou vers la guerre ?

La nouvelle tendance est pour la paix. Il est vrai qu'à partir de la deuxième guerre mondiale et tout au long de la guerre froide entre les deux super-puissances, tous les efforts de la NASA et de l'Air-Force américaine ont servi la guerre. Et la bombe atomique qui a été larguée par les USA restera une tache noire. Mais actuellement, l'équilibre des forces a changé. Et tout le budget de l'Agence spatiale américaine est consacré à la paix et au bien-être de l'homme.-Mohamed Laoucet Ayari, " Lead Structural System ingeneering " à la NASA : Le Tunisien qui a changé notre conception de l'espace.
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Qui n'a pas entendu parler ces jours du savant tunisien MOHAMED LAOUCET AYARI ? " Lead Structural System ingeneering " à la NASA : Le Tunisien qui a changé notre conception de l'espace Qui est Mohamed Laoucet Ayari ? Je m'appelle Mohamed Laoucet Ayari, "le cadet ". Je suis né à Hammam-Lif (donnant sur Boukornine) où j'ai fréquenté l'école primaire et le lycée secondaire. Mes études supérieures se sont faites à l'ENIT où j'ai obtenu mon diplôme d'ingénieur en Génie Civil en 1983. Mes ambitions m'ont mené plus loin. Je suis allé à la "Colorado State University " pour préparer une thèse de Doctorat en ingénierie dans une spécialité de pointe, à savoir "la Structure ". Celle-ci ayant trait à tout ce qui concerne la mécanique appliquée, la mécanique de la fissuration et la mécanique de la fracture "fracture mecanics ". Ce domaine concerne l'étude de comportement des fissurations dans les corps solides : fer, pierre, béton, métaux… Ma thèse avait pour objet l'analyse des fractures dans des matières ayant subi des efforts dynamiques " the crack nucleation ". Durant quatre ans j'ai travaillé sur des structures massives, et précisément le comportement des grands bâtiments (barrages) et des bétons armés… lors d'un tremblement de terre, de secousses ou de bombardements pendant les guerres. En 1988, j'ai soutenu cette thèse et obtenu les félicitations du Jury. Comment avez-vous pu accéder à la NASA, qui est une agence américaine stratégique ? Ma spécialité et l'objet de ma thèse de Doctorat ont intéressé plusieurs centres de recherches qui m'ont soutenu financièrement afin d'aboutir à des résultats très concluants. Ensuite, j'ai tenu à développer davantage ces résultats et les mettre en application avec un centre de recherche "Nuclear Waist Diposal " spécialisé dans le traitement des déchets nucléaires. Ces applications m'ont ouvert la porte de l'enseignement et de la recherche. Un jour j'ai été sollicité par un célèbre centre américain de recherches aérospatiales, " The Ball aerospacial " pour résoudre un problème du ressort dans une grande élongation. Mission réussie. On m'a confié encore la solution d'un autre problème plus difficile et beaucoup plus compliqué dans le " Habel Space telescop ". A l'époque, il était mal installé et comportait des fautes graves dans le miroir principal, ce qui conduisait à des incertitudes et à des résultats imprécis. La correction des aberrations était très difficile, car il s'agissait de corriger seulement les lumières de ce miroir géant. Et la mission a réussi. L'accès à l'agence spatiale américaine n'est-il pas interdit aux non-Américains ?Non absolument pas. Au contraire, l'Agence fonctionne grâce aux compétences de différentes nationalités. Elle veut attirer les compétences du monde entier. Quelle est l'attitude de l'opinion publique américaine vis-à-vis d'un Tunisien ou d'un Arabe ayant accédé à des postes stratégiques au sein de la NASA ? Sans aucun doute le citoyen américain accepte facilement l'autre, car la structure de la société américaine est fondée sur la multiplicité des races et des origines ethniques et religieuses. L'être humain n'est jugé que sur ses compétences. Au cours des dix-sept ans que j'ai passés aux USA, je ne me suis jamais senti étranger à la société américaine et je n'ai jamais été victime d'une discrimination raciale ou d'agissements dégradants. Au sein de la NASA, quelle est la valeur ajoutée que vous apportez à la recherche aérospatiale ? Je suis chef de groupe de chercheurs, "Lead structure system ingeneering ". Je préside une équipe de recherche ayant pour mission d'assurer le contrôle et le suivi des structures aérospatiales (navette spatiale, fusée…). On doit contrôler le fonctionnement de cette structure lors de la propulsion, durant sa mission dans l'espace ou lors de sa mise sur orbite sans subir de fractions.Outre ces tâches importantes, quelles sont les grandes applications que vous avez réalisées dans ce domaine ? Les connaissances sur les galaxies, les objets dans l'espace et l'astronomie d'une façon générale se sont développées ces dernières années. Elles sont actuellement différentes de ce qui a été enseigné il y a une décennie grâce aux corrections des aberrations que j'ai faites sur le " Habel Space ". Je suis particulièrement fier que notre conception de l'espace ait changé grâce à cet instrument sur lequel j'ai laissé des empreintes. Actuellement, il existe d'autres instruments qui sont venus soutenir les résultats du premier instrument. Il s'agit en particulier du "Radial instrument ". En outre, je travaille actuellement sur un instrument spatial dont la capacité est beaucoup plus puissante que celle qui existe. Cet instrument, qui sera prêt en l'an 2003, va certainement remplacer l'ancien instrument et faire avancer les résultats des recherches scientifiques. Y a-t-il d'autres Tunisiens à la NASA ? Dans ma spécialité, je suis le seul Tunisien et Arabe. Au sein de la NASA, les recherches scientifiques sont-elles orientées vers la paix ou vers la guerre ? La nouvelle tendance est pour la paix. Il est vrai qu'à partir de la deuxième guerre mondiale et tout au long de la guerre froide entre les deux super-puissances, tous les efforts de la NASA et de l'Air-Force américaine ont servi la guerre. Et la bombe atomique qui a été larguée par les USA restera une tache noire. Mais actuellement, l'équilibre des forces a changé. Et tout le budget de l'Agence spatiale américaine est consacré à la paix et au bien-être de l'homme.-Mohamed Laoucet Ayari, " Lead Structural System ingeneering " à la NASA : Le Tunisien qui a changé notre conception de l'espace.

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