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Cette auteur, scénariste et traductrice de l’hébreu, a écrit le scénario d’Une bouteille à la mer de Thierry Binisti, film sorti en février. Et garde plus d’un rêve dans son sac.

Soixante-deux pour cent des électeurs juifs américains souhaitent la réélection de Barack Obama à la Maison blanche en novembre prochain, selon une enquête du Public Religion Research Institute rendue publique mardi.

Une femme juive du Connecticut se voit sanctionnée d'une amende par l'association des copropriétaires après avoir fixé une mezouza sur le chambranle de la porte de son appartement.

 

Had Gadya En Arabe et en Arameen, par une chorale mixte de Jaffa

La musique rappelle celle de Tunisie "Ouah'adejjdey"

Jacob Lellouche, la silhouette massive et la moustache rieuse, accueille dans une ancienne maison d’été de la Goulette où, depuis 1996, il tient ce qu’il revendique fièrement comme « le seul restaurant juif casher du monde arabe (en dehors du Maroc) ». 

Nous avons tous appris un jour que Clovis était le premier des rois de France. Or, il était Français pour la France, il était Belge pour la Belgique et il était Allemand pour l’Allemagne. De Saint Louis, on garde l’image d’un grand souverain, rendant la justice sous son chêne. On ignore qu’il imposa aux Juifs de porter l’équivalent de l’étoile jaune. 

Dans « Le fils de l'autre », à l'affiche mercredi, Pascal Elbé se trouve au cœur du conflit israélo-palestinien. Il conçoit sa carrière d'acteur, de scénariste et de réalisateur comme un engagement civique.

Je me décide, pour la première fois de ma vie à porter plainte devant la justice tunisienne contre les individus qui, sur l’avenue Bourguiba, ont appelé, ce dimanche 25 mars, à l’assassinat des Juifs.

A Tunis-Marine, pas loin du pont de la République, une première fresque murale tout en tags sera prête vendredi en fin d’après midi. Signée Kif Kif, une association tuniso-française.

Des Israéliens d’origine tunisienne qui avaient l’habitude de visiter le pays sans entrave et sans visas, lors des régimes de Bourguiba et de Ben Ali, ont été empêchés d’entrer en Tunisie, selon une déclaration de Roger Bismuth, président de la communauté juive en Tunisie, au journal Le Maghreb.

Il est venu, l'enfant de chez nous, le petit garçon de sucre et de miel, qui scella naguère l'alliance avec l'Éternel, tendre et appliqué, il a pris la grosse voiture allemande noire, trop grosse, trop allemande et trop noire pour lui, et il est arrivé dans la ville du Nord, si loin des rivages fleuris de notre Méditerranée, loin des sycomores et des flamboyants, des cyprès et des palmiers, la ville hautaine et froide, ennemie de notre peuple, la ville des Gentils et des juges. 

Deux fois par an, peu avant les fêtes de Pessah et de Roch Hachana - le début de l'année civile en Israël -, le Kotel, vestige du second temple juif de Jérusalem, subit un nettoyage méticuleux. L’objectif : le nettoyer des messages laissés dans ses interstices.

On a beaucoup écrit sur les Juifs de Tunisie. Surtout sur ceux de la capitale, Tunis. Beaucoup moins sur les communautés juives dites de l’intérieur… ». C’est pourquoi le travail universitaire de qualité que nous offre Claire Rubinstein-Cohen est le bienvenu. 

Mercredi dernier, tôt le matin, j'étais en route pour des funérailles à Jérusalem. Je pouvais déjà sentir le nœud se former dans mon estomac alors que je commençais à apercevoir des visages familiers de Juifs français et israéliens se rassembler sombrement.

« Les juifs sont des citoyens tunisiens dotés de la plénitude de leurs droits à l'instar de chaque tunisien, a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse en réponse à une question sur fond de l'appel, dimanche, du leader salafiste Abou Iyadh à « extirper les juifs de la Tunisie jusqu'à la racine ».

Les Juifs de France sont pour moi des homards – désolée pour la comparaison, vraiment – qui refusent de voir la réalité et se voilent la face : ils ont été plongés voici des siècles (pour les Juifs ashkénazes) et voici des décennies (pour les séfarades qui les ont rejoint dans les années 60) dans une marmite d’eau salée, accueillante, ouverte, respectueuse. Mais depuis, quelqu’un a allumé le feu et ils ne se rendent pas compte que l’atmosphère devient irrespirable.

Les relations entre les Etats-Unis et Israël sont loin de s’arranger autour du dossier de l’atome iranien. Le Commandement Central des armées américaines vient de terminer une vaste simulation de conflit avec la Perse, dont les conclusions sont terriblement négatives en vue d’une opération militaire contre le régime des ayatollahs.

"C'est la troisième fois que ce genre de choses se répète, c'est trop. Je n'accepte plus et j'ai donc porté plainte" ce mercredi, a déclaré à l'AFP Roger Bismuth, le représentant de la communauté juive, qui compte quelque 1.500 personnes en Tunisie (contre 100.000 à l'indépendance en 1956).

Rachael Levy confond l'antisémitisme historique, religieux et politique, qui depuis 2.000 ans a imprégné l'Europe, et l'antijudaïsme venu depuis quelques décennies du monde arabo-musulman, conséquence directe de la création de l'Etat d'Israël et du conflit israélo-palestinien.

Le drame antisémite ne s’arrête pas là : hier, un Juif marocain a été assassiné dans la ville de Fès. Selon les premiers rapports, la victime, un collecteur de loyers, a été frappé à la tête à coups de marteau. Il semblerait, selon la police, que ce meurtre soit « le lien fait rapidement entre les juifs et l’argent. »

Pourquoi ce dépit exprimé par certains que le tueur de Toulouse n'ait pas été un néo-nazi et pourquoi est-il si difficile de rappeler publiquement que la seule communauté à avoir été visée en tant que telle par Mohamed Merah est la communauté juive ?

Roger Bismuth, président de la communauté juive en Tunisie, a rencontré ce matin, mardi 27 mars 2012, le président de l’Assemblée nationale constituante, Mustapha Ben Jaâfar, pour lui faire part de son inquiétude quant aux dérives qui se multiplient dans le pays, et les discours haineux appelant au meurtre des juifs, notamment lors de la manifestation des salafistes, dimanche dernier à Tunis.

La Haute représentante de l’Union européenne chargée des Affaires étrangères et de la Sécurité a été critique hier pour avoir comparé l’assassinat de trois enfants et d’un rabbin lors d’un attentat perpétré par un tireur isolé, en France, à la situation régnant dans la bande de Gaza.

La tuerie de Toulouse a rouvert un débat au sein de la communauté franco-israélienne sur l'aliyah, l'immigration des juifs de France vers Israël, entre ceux qui souhaitent qu'elle s'accélère et d'autres qui refusent qu'elle réponde à la peur.

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