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Moyen-Orient

Le Cheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani du Qatar effectuera sa première visite officielle en Israël en nombre prochain. Le richissime petit Etat du Golfe arabique continue ainsi de courtiser l’Etat juif au moment où il tisse des liens avec les régimes islamistes établis en Egypte, en Tunisie et en Libye.

Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert

A Jérusalem, on a pris très au sérieux la nouvelle du quotidien panarabe Al-Hayat (la vie), selon laquelle, sous la pression des Iraniens, Béchar al Assad aurait autorisé l’ouverture d’un troisième front contre Israël sur le plateau du Golan.

Cela rejoint les conclusions qui avaient été émises depuis bien longtemps par le scientifique Nahum Shahaf, puis par le regretté Gérard Huber, par Stéphane Juffa et bien-sûr par Philippe Karsenty, qui a mené le combat en justice en France pour faire jaillir la vérité

Seuls les partisans de l’Iran ont condamné l’attaque. Ils l’ont fait par crainte de Téhéran et de ses alliés, y compris le Hezbollah et Assad… Et non pas à cause de leur hostilité envers Israël.

Dans la foulée des révolutions arabes, le Qatar profite de sa grande richesse et son empire médiatique pour se transformer en superpuissance régionale. Ses liens avec les Frères musulmans détermineront le succès de la stratégie de Doha.

On n’en est peut-être pas au stade d’actions militaires ininterrompues de la part de Tsahal mais, assurément, de frappes ciblées à répétition. Les objectifs militaires que poursuivent les pilotes hébreux sont des entrepôts et des cargaisons de missiles sol-sol iraniens de type Fatah-110

 Le décès de la présidente de la petite communauté des juifs d’Egypte, Carmen Weinstein, a coïncidé avec la projection d’un documentaire sur son histoire. Mais sans reconnaissance officielle, elle restera confinée quelque part entre la nostalgie et le reniement.

Dans mon métier, j’évoque fréquemment la Perse. Et rarement en des termes élogieux, actualité internationale oblige. Alors il y a un mois, me rendant compte que je disposais de jours de congé non utilisés, je n’ai pas mis longtemps à décider d’aller voir l’envers du décor de cette "république" islamique tant décriée.

Courant 2012, plusieurs vidéos de l´aile militaire du Hamas, Izz Al-Din Al-Qassam, ont été mises en ligne sur YouTube, d’environ une demi-heure chacune, sur la fabrication de bombes et l’utilisation de différentes armes.

Ils étaient plus d'une centaine de personnes, des juifs d'Égypte mais aussi de l'étranger, ainsi que des amis chrétiens et musulmans de Carmen Weinstein, à s’être d’abord rassemblées sous haute sécurité pour l'office religieux dans l'enceinte de la synagogue Chaar Hachamayim, en plein centre-ville du Caire.

Le Secrétaire d’Etat américain, John Kerry, déploie ces jours une intense activité diplomatique pour tenter de ramener Palestiniens et Israéliens à la table de négociation. Mais le ministre américain, en dépit de toute sa bonne volonté, n’est pas parvenu à rendre l’optimisme à ses interlocuteurs

Dans le quotidien indépendant égyptien Al-Watan, le chroniqueur Khalid Muntasir fait l´éloge des réalisations des juifs en science et en technologie ainsi que de leur contribution à l´humanité. Il écrit que les magnats juifs du hi-tech, notamment les fondateurs de Google et Facebook, ont fait beaucoup plus pour améliorer la qualité de vie de l´humanité que les leaders d´Al-Qaeda, des Talibans ou même les savants musulmans

Avant sa première élection, le président américain Barack Obama avait critiqué ces cartes qui anticipaient un monde sans Israël, les qualifiant de menaces pour la sécurité d’Israël.

Le 1er ministre ottoman est un admirateur du Hamas, qu’il considère comme une organisation sœur de son parti de la Justice et du Développement Moyenâgeux

Interdit en Égypte, le film raconte la vie de membres de la communauté juive égyptienne dans la première partie du XXe siècle. Il devait être projeté dans trois cinémas ce mercredi.

Il y a près de 10 ans, Steven Averbach, un officier de police israélien né au New Jersey, a réalisé qu’un passager de l’autobus dans lequel il se trouvait était un terroriste déguisé en juif orthodoxe. Il a alors pris une décision héroïque qui a sauvé des dizaines de vie, et changé pour toujours le cours de la sienne.

Il est illusoire de s’imaginer que l’Armée régulière abandonne ses positions sans en être délogée par la force ; plus encore lorsque l’on sait que Jamla ne se trouve pas dans le no man’s land placé sous la protection de l’ONU, mais à un kilomètre de celui-ci.

Les criquets passent à l'attaque. En Egypte, des essaims sont apparus dimanche dans la banlieue du Caire ainsi que dans le Sinaï, et pourraient désormais gagner Israël, Gaza ou la Jordanie.

A la suite du conflit israélo-arabe de 1947, l’Histoire n’aura retenu que le cas des palestiniens ayant fui leurs maisons pour se réfugier à Gaza, en Jordanie, en Syrie ou au Liban et a occulté l’histoire de plus d’un million de juifs contraints de quitter la patrie qui les avait hébergés pendant plusieurs siècles et qui parfois, les persécutait. 

Depuis quelques semaines, c’est Jabhat Al-Nosra, une organisation djihadiste considérée comme ­terroriste par les États-Unis et ­souhaitant faire du pays un État islamiste régi par la charia, qui tient le haut du pavé.

Khomeini avait rompu les relations diplomatiques avec l’Égypte pour protester contre l’accord de paix avec Israël ; plus tard, l’Iran n’a pas ménagé ses efforts pour renverser le régime Moubarak

Doha : Sa chute est vertigineuse, se voulant porte voix du printemps arabe, Al Jazeera ne lui a pas résisté.

Israël conserve un silence tactique à propos des incidents guerriers qui émaillent, ces derniers jours, ses relations avec la Syrie et le Liban. Ce choix légitime laisse libre cours à de nombreuses rumeurs émanant de fuites

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