De Hussein 1er, le fondateur, à Lamine Bey "le monarque démocratique", en passant par Ahmed Pacha, qui abolit l'esclavage en 1846, et surtout par Moncef Bey, le souverain nationaliste mort en déportation, le documentaire de Mahmoud Ben Mahmoud réécrit quelques-unes des pages prestigieuses de la dynastie des beys de Tunis
Images d’archives et témoignages inédits retracent les persécutions antisémites pendant l’Occupation en Algérie, alors composée de trois départements français, et dans les protectorats du Maroc et de Tunisie
Il s’agit du roi Christian X, monarque du Danemark, qui s’opposa fermement à l’arrestation de la population juive de son Etat, allant à l’encontre des injonctions nazis. En réalité, il ne la porta pas cette fameuse étoile jaune (la légende était trop belle…) mais menaça «… d’être le premier citoyen de son royaume à la porter»
Le concept de dhimma qui s’applique aux juifs et aux chrétiens stipule un comportement de soumission envers les musulmans. Les dhimmi doivent respecter toute une série d’interdictions
Je pense que désormais les manuels d'histoire de Tunisie ou du Maghreb doivent prendre en compte la composante juive. Dans les domaines du culte, de la musique, de l'architecture religieuse de l'artisanat, de la cuisine, du costume et de tout ce qui relève de l'anthropologie, on ne saurait omettre les contributions juives.
Fondée par les Phéniciens au IXe siècle avant Jésus-Christ selon les uns, au VIIIe selon les autres, Carthage tira longtemps sa prospérité de ses relations commerciales avec les divers peuples de l'Afrique septentrionale et de la Méditerranée occidentale.
Il y a bien eu en Andalousie et ailleurs en Espagne, des plages de répit et des phases de bienveillance réciproque grâce surtout à la magie fusionnelle de la langue arabe et aux philosophes juifs. Mais c’est à cette époque au contraire que le concept de pureté musulmane (ou chrétienne) et de souillure par le sang juif est apparu.
Telle était la dénomination courante de cette nécropole sous le Protectorat français (1881-1956). Située hors des murs de la médina et de ses faubourgs, elle s’étendait au nord de la cité.
L’origine de Tunis est plus ancienne que celle de Carthage. En effet, Tunis était une cité de la tribu des Maxitani, ce peuple qui céda à un groupe d’émigrants de Tyr l’emplacement de ce qui allait devenir Carthage, la métropole punique.
La présence d'établissements juifs en Afrique du Nord est attestée dès le IIIe siècle avant l'ère commune. Ils sont enrichis par diverses vagues d'émigration, notamment à la suite de la destruction de Jérusalem par Titus en 70 et lors des diverses persécutions dans la péninsule ibérique.
Le nouvel an tombe le 1er janvier : l'affirmation semble évidente, mais cela n'a pas toujours été le cas. Pourquoi ce jour a-t-il été choisi ? Quelles ont été les autres premiers jours de l'an ? Remontez le temps et découvrez les tribulations de la nouvelle année.
La Shoah, cela dit, a commencé avant Wannsee. Elle a commencé avant la rencontre entre Adolf Hitler et Amin al Husseini. Elle a commencé avec l’antisémitisme virulent qui a imprégné l’Europe pendant des siècles, et elle en a été la sinistre apothéose.
Fils du grand vizir et réformateur Kheireddine Pacha, Mohamed Tahar a vécu d’abord en Turquie où son père avait été nommé "Sadr Aadham" (Premier ministre) du Sultan ottoman Abdülhamid II.
C’est aux alentours de l’an 960 av. JC, que le roi juif Salomon entreprit de construire le Temple de Jérusalem, et où furent gardés précieusement pendant des siècles la fameuse Arche d’Alliance qui contenait les Tables de la Loi reçues par Moïse du Seigneur en personne.
Les juifs s'en allèrent où le vent les poussa, en Afrique, en Asie, en Grèce et en Turquie. D'accablantes souffrances et des douleurs aiguës les assaillirent, les marins génois les maltraitèrent. Des créatures infortunées mouraient de désespoir pendant leur route : les musulmans en éventrèrent pour extraire de leurs entrailles l'or qu'elles avaient avalé pour le cacher.
En Tunisie, il remonte à 3000 ans, au temps des Phéniciens. L’or d’Afrique, à cette époque, était acheminé par les caravanes transsahariennes jusqu’aux principales places commerçantes du bassin méditerranéen.
Si les emblématiques Alcazar et Plaza de España de Séville, la somptuosité des palais Nasrides de l’Alhambra de Grenade ou l’immensité de la mosquée-cathédrale de Cordoue – la seconde plus vaste du monde après celle de La Mecque, constituent des étapes inévitables à toute visite en Andalousie, les initiatives mises en place dans ces villes afin de faire renaitre l’histoire et la mémoire des Juifs séfarades méritent également que l’on s’y attarde.
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