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Israel

Co-leader mondial des drones, les avions sans pilotes, avec les États-Unis, Israël est venu en force au Salon du Bourget. Sous la houlette du «Israël export & international Cooperation Institute» et du département commercial de l'ambassade d'Israël à Paris, une quinzaine d'entreprises représentant le fleuron de l'industrie aérospatiale, exposent leurs dernières créations. En visitant le pavillon d'Israël, le visiteur peut «toucher du doigt» les dernières innovations.

En longeant la rue Herzl pour arriver au Kikar Haatzmaout, difficile de s’imaginer que près de 72 heures auparavant, cette même place était à feu et à sang. En ce début de soirée du dimanche 19 juin, l’air est doux, les bancs et les restaurants sont remplis, comme d’habitude. Il y a même une petite foire du livre, sur la place. Il faut cependant se rapprocher, de plus près, pour comprendre l’ampleur du drame.

Plusieurs Américains d'origine juive seront à bord du bateau américain de la nouvelle flottille pour Gaza, baptisé « Audacity of Hope » (L’Audace de l’espoir, titre que le Président américain Barack Obama a donné à son autobiographie parue en France en 2008).

Rebecca Dorai est la troisième victime du groupe des trois amies tuées par l’explosion du ballon de gaz qui s’est produite au Kikar HaAtsmaout, dans la nuit de jeudi à vendredi. En compagnie de ses amies, Rebecca Msihid et Stacy Barouk, elle distribuait des bougies pour encourager le peuple d’Israël à honorer le jour du shabbat. 

Le tableau, exposé a la Knesset, a été peint par Elihaou Eric Bokobza, ancien pharmacien, né a Paris en 1963, de parents immigrés de Tunisie.

Les intellectuels israéliens sont inquiets. La Sainte Trinité israélienne (Amos Oz, A.B. Yehoshoua, et David Grossman) vieillit. Le Panthéon de l’Université Hébraïque (Martin Buber, Yehuda Magnes, et Yeshohoua Leibowitz) appartient à l’Histoire. Avraham Burg essaie d’imiter Leibowitz, mais il est difficile d’hériter de cette grosse tête lithuanienne quand on n’a même pas fini sa License. 

La propagande palestinienne marche bien. Le mensonge qu’est le discours sur la nakba est partout. Si Dominique Strauss-Kahn ne s’était pas précipité sur une femme  de chambre à New York, ruinant ainsi ses chances de devenir Président de la République, on n’aurait parlé que de ça à la télévision française.

Mercredi, des députés de l'opposition, surfant sur l'appel au boycott lancé sur internet, ont jeté sur le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu une barquette de fromage blanc, pour dénoncer la forte hausse des prix. 

Un tribunal rabbinique ultra-orthodoxe de Jérusalem a récemment condamné à mort par lapidation un chien errant accusé d'être la réincarnation d'un avocat laïque qui avait insulté les juges religieux il y a 20 ans, a rapporté aujourd'hui le site d'information Ynet.

En 1963, l'État juif, nouveau venu dans la famille des nations, a réussi en l’espace de deux générations ou presque, à rallier et même surpasser les réalisations de la plupart des anciennes démocraties occidentales sur pratiquement tous les domaines de l'activité humaine, sans omettre celles des états plus récents de l’Asie, d’Afrique et du Moyen-Orient. 

L’opéra peut-il se satisfaire de représentations en plein air à grands coups de figurants, de baffles et de lasers ? On pensait depuis longtemps avoir la réponse à cette question et voilà que cette Aïda proposée par l’Israeli Opera Festival fait vaciller nos certitudes. Déjà, la prouesse de faire ainsi surgir d’une terre aride un spectacle lyrique abouti mérite considération. Puis l’utilisation comme élément de décor du site de Masada, ce symbole de la résistance juive posé en plein désert, impressionne.

Le dernier livre de Michel Gurfinkiel a été publié récemment. Il a été entouré du silence médiatique qui accompagne dans ce triste pays la sortie des livres qui, plutôt que d’enfoncer des portes grandes ouvertes et de disséminer des lieux communs débiles et débilitants, apportent connaissance et lucidité. Et c’est effectivement un livre qui apporte connaissance et lucidité.

Mentionnée plus de 600 fois dans le texte biblique, cette ville a été la capitale de deux Etats Juifs et est devenue la référence absolue de la continuité juive durant plus de 2000 ans d’exil, but ultime de vagues d’immigration récurrentes des Juifs durant cette période, objet d’une contemplation mystique et poétique qui a rempli des bibliothèques.

 Ils ont émigré en Israël, il y a des dizaines d’années, dans des circonstances souvent dramatiques sans le moindre papier officiel indiquant le lieu et la date de leur naissance. Enregistrés à toute allure par des autorités un peu dépassées, 800 000 Israéliens sont actuellement sans date de naissance. 

Il est si rare de voir un chef de gouvernement prendre des positions de principe qu'il faut reconnaître au premier ministre Harper un singulier courage dans l'appui indéfectible qu'il manifeste à Israël.

Ce soir, Jérusalem fête les quarante-quatre ans de sa réunification. La libération de Hébron est pour le lendemain, le 29 du mois de yar, du calendrier hébraïque. En six jours, Israël a été sauvé de ses agresseurs, qui avaient juré sa perte, unifiant leurs forces armées sous le commandement de Nasser, qui déclencha les hostilités en chassant la force internationale du Sinaï, en massant d'impressionnantes troupes à la frontière, et en étranglant le détroit de Tyran et l'économie israélienne.

BIG DEAL , YOU COULD SAY ?? ? ? ?

but this synagogue in not any synagogue , it is one of the lifetime fights of a wonderful Man , a "MENSCH " as we say , Doctor Eric BELLAICHE ,
a brillant French surgeon who made his Alliyah with all his family ,
leaving behind him a very confortable life in Paris to fulfil his dreams

Personne ne peut ignorer la réussite de l’économie israélienne à moins de n’avoir allumé la télévision ou de n’avoir pas parcouru un quotidien. En soixante-trois ans d’existence l’Etat juif a accompli des pas de géant et a dépassé son ancienne puissance tutélaire : la Grande-Bretagne. 

 L'ancien chef d'état-major de l'armée israélienne, le général Gabi Ashkenazi, reconnaît que l'Etat juif n'arrive pas à localiser le sergent franco-israélien depuis son enlèvement en juin 2006 par le Hamas à la frontière entre Israël et la bande de Gaza. (Reuters/Nir Elias)

Je tenais à traverser le désert, et j’ai pris la route qui descend jusqu’à Eilat le long de la frontière avec la Jordanie. Je suis remonté en longeant le Sinaï puis en obliquant vers Mitzpe Ramon et la tombe de David Ben Gourion, sur laquelle je suis allé me recueillir. 

Les dirigeants de la planète sont penchés sur le conflit proche-oriental et tentent de trouver, pour certains une paix juste et durable pour la région, pour les autres le moyen d’en finir définitivement avec l’état juif. 

Bon, il existe en apparence un différend majeur entre l’administration Obama et le gouvernement hébreu. Ce point d’achoppement a trait à des divergences quant à la relation appropriée entre les frontières qui séparaient la Jordanie d’Israël jusqu’au 4 juin 1967, et la base de négociation qu’il convient d’adopter afin de délimiter celles censées séparer l’Etat d’Israël et un Etat de Palestine à naître.

J'ai suivi avec attention vos derniers discours, et je voudrais m'arrêter un peu sur celui qui vous avez prononcé à l'occasion de l'anniversaire de l'indépendance d'Israël. Le point fort de votre allocution est certainement votre affirmation établissant que le monde n'a pas retenu les leçons de la Shoah. 

« Dans un Etat de droit, on révise un jugement quand l’une des parties est en mesure de produire des « éléments nouveaux » ; ou quand il est établi que les pièces sur lesquelles reposait le jugement étaient des faux.

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