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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 mai 2011, 10:18
Dominique, né parisien
Tombe dans la retraite
Après 38 ans de bons et loyaux services
Dans une grande firme industrielle.

Il avait bien songé à prendre femme
Mais hélas, l’épouse volage le trompa.
Sa confiance altérée, il jure ses grands dieux
Que la femelle sera bannie de sa vie.
A tout jamais.

Il se lance à cœur et à corps perdus
Dans les bars à hommes et chaque soir
Un compagnon partage son lit.
Las de cette vie nocturne, il décide
De changer de pays à sa retraite.

Il tombe amoureux d’une ville de Tunisie
Hammamet. Et pose donc ses valises dans sa nouvelle
Acquisition, une grande maison arabe dans la médina.


Fatigué de presque tous ses hommes avinés
Qui voient en lui une poche d’argent bien friquée
Bien plus qu’un échange de véritable amour,
Il réfléchit en célibataire bien pensant et plein d’ennui
A occuper sa solitude et ses longues journées sans fin.

Par la jeune fille de ménage qu’il emploie, il apprend
Par sa bouche, qu’elle est soutien de famille.

Elle a 20 ans, à charge pour elle ses vieux parents,
Quatre frères et cinq sœurs
Tous logés à la même enseigne,
Dans un presque gourbi vicié.

Emu,
Il décide de rendre visite à cette famille malheureuse.
Prit de compassion, il demande à la mère, l’autorisation
De prendre chez lui, le jeune Larbi, l’avant dernier de la fratrie.
Il promet de s’en occuper comme un père le ferait avec son fils.

Le jeune n’a que 12 ans.

La maman soulagée d’une bouche se voit même offrir un charmant pécule
Comme récompense pour se la boucler et boucler ses fins de mois difficiles.

Dominique est plein d’attentions pour le jeune adolescent
Qui déménage trois plus tard,
Et qui se voit choyé par son ‘tuteur’.

Les années passent et la rumeur se fait jour.
Il se raconte dans le quartier et sur les quais du port
Que le jeune homme est l’amant de son riche Réconfort.

Mais chez ces braves et malheureuses familles,
Personne ne pense au soupçon qu’on distille
D’autant plus que le ‘père’ nourricier
Subvient aux frais de toute la portée.



Le silence est d’argent.
Et le secret est connu.
Ils sont de bon ton et de bon air
Sous le ciel couleur azur du petit port
Célèbre, adulé par les allemands.


Larbi est grand adulte aujourd’hui,
Et n’a jamais prit femme de vie
Sans blesser celui qui l’a rendu un homme.

Dominique autrefois avait bien pensé.
Ses vieux lendemains, il les avait planifiés.

En détournant du droit chemin un jeune garçon
Issu d’une famille très pauvre, indigente,
Il a comblé son futur grand vide de sa vieillesse
En assouvissant ainsi son désir de ne pas crever sans tendresse.

Il n’est pas rare que, sous de prétendues bonnes actions,
Se cachent des être vils, pervers, égoïstes fortunés,
Qui achètent, soudoient des familles misérables
Pleine d’honneur mais à qui il manque l’essentiel.
Et cela dans le seul but de s’accaparer plus tard
Corps et esprits de jeunes filles ou de garçons pubères
Afin de servir dans le futur leurs intérêts de pédophiles.



NDLR/Dominique doit avoir aujourd’hui 72 ans.
Larbi la cinquantaine.
Ils vivent tjs en couple à Hammamet.
Il a couché tous ses biens dans un testament au nom de son ‘fils spirituel’.
L’anecdote est vraie.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 mai 2011, 10:37
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 mai 2011, 11:57


Dés fois on se dit ‘…Zut, déjà… ?’

Parce qu’on pense que la maman ou le papa ne vieillit jamais. Qu'ils sont éternels.

C'est de bonnes augures.

Qu’il ne tombe jamais malade, qu’elle qu’il ne peut pas mourir, qu’elle ou qu’il a l’éternité pour elle pour lui sur cette terre.

Et puis, il faut se résoudre à l’évidence et se dire, que quelque soit notre représentation sur terre nous devons tous rendre ce qui nous a été prêté. Un prêt que l’on rembourse par son âme.

Telles sont les conditions éditées dans un BAIL DE LA VIE. Des 3 6 9 ou des 20 30 90 qu’en savons-nous du reste au juste de ces échéances dont nous n’avons aucune prise dessus… ?

C’est le seul contrat moral, non dit, non signé entre notre créateur et nous.

Et s’il y a une chose sur laquelle on ne peut pas discuter,transiger, négocier, c’est bien les termes de ces chapitres qu’aucun avocat au monde, si puissant soit t’il, ne peut défendre devant un tribunal céleste. Et c’est là aussi où l’on se rend compte combien notre condition humaine est si pauvre, si misérable devant ce que nous ne pouvons pas nommer fatalité. Mais réalité bien évidente.

Il y a des sujets qui méritent d’être dissertés durant des jours et des jours, voir même des années mais il a des sujets certes qui ne peuvent être débattus sans que l’on soit taxés de blasphémateurs.

La résignation.

Que devons nous répondre devant l’intransigeance… ? Devant ce qui a été décidé depuis la naissance… ? Que devant nous répondre devant des drames qui emportent souvent des fleurs, des innocents, des petits humains… ? Devant des douleurs atroces qui font qu’un grand nombre de gens, restent pour tout le restant de leur vie des hommes et des femmes, des pères, des mères meurtris, et blessée à tout jamais.

Bien heureux celui ou celle qui durant toute sa vie n’a pas connu pareilles souffrances, malheurs comme perdre des enfants… ! Qu’est ce qu’une vieille personne, arrivée à un certain âge, en fin de vie peut t’elle donner comme douleur ou souffrance à ces enfants à part un sentiment de peine, de grande tristesse, de chagrin momentané qui ne dure pas longtemps parce qu’on se dit, pour alléger sa peine ‘…Après tout, il elle était vieille…Et il et elle a vécu !’

Je me souviens de cette dame qui s’occupait de sa maman handicapée durant des années sans jamais se plaindre d’elle et qui vivait vers la fin de sa vie dans état végétatif. Elle disait à ses voisines ‘…Touenech’ni… !’ ‘Elle me tient compagnie… !’ Elle disait aussi ‘…Khir tââyche taht jouaneh débanna khir mél fè jébènna’…Je préfère la voir vivre sous les ailes d’une mouche que sous terre dans un cimetière… !’

C’est d’une grande philosophie qui fait de cette dame une ‘héroïne’. Elle a sacrifié une grande partie de sa vie à s’occuper de sa maman impotente plutôt que d’avoir de futurs regrets. Elle a donné un sens à sa vie, celle d’avoir rempli une mission douloureuse afin que rien ne puisse troubler sa conscience.

Combien d’héros et d’héroïnes peuvent t’ils ou t’elles dirent ou faire cela aujourd’hui… ? Elles ils se font rares ces personnes parce que les conditions de vie ont changé, parce que l’esprit de sacrifice des enfants a drôlement vécu.

Toutes choses à une valeur sentimentale.

Que l’on hésite à se débarrasser d’une vieille relique, d’une fourchette, d’une cuillère, d’un vieux bibelot, il n’y rien de dramatique mais lorsqu’il s’agit de ne plus revoir l’un de ces vieux géniteurs ou génitrices il faut se dire ‘…Merci Mon D ieu, elle n’a pas subie certains affres de la vie… !’

Ce qui fait le plus mal dans tout cela sont ces pages et ces pages écrites, non éditées ni publiées, tout au long de la vie auprès d’eux, eux qui nous ont tant appris, tant illuminés tant éduqués, et qui iront un jour sécher quelque part dés qu’ils, qu’elles ne seront plus là.

Ils elles laisseront leur mémoire, elles ils laisseront leur caractère, et tant de ‘…Tu te souviens de qu’il disait, de ce qu’elle disait … !’ Lorsque les enfants se réunissent par un jour de hasard. Et si l’occasion sera au rendez vous mais avec la vie que nous menons et les malaises d’avant, il est fort à parier que certains ressentiments d’anciens conflits, père fils, mère fille, belle fille belle mère sont tels que même un cadre de belle mère ou de beau père ne trônera dans une cave humide et obscure.


Tel est la loi de la vie actuelle.

Il y a un temps, le temps de naitre et de mourir, le temps du souvenir et de l’oubli.

Aimer et haïr.

Vaincre et perdre.

Il y a le temps du père, celui de la mère, bref, il y a un temps pour tout.

Pardonner et se repentir avant qu’il ne soit trop tard.








Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mai 2011, 01:27


CHAMBRE 328.


J’irais cet après midi là où elle se repose.

Là où la pénombre prend le dessus sur la lumiére.

Je lui offrirai son bouquet de fleurs en ce jour de la fête des Mères.

Je le lui poserai sur sa commode, cette commode étrangère qui n’est pas la sienne. Je lui dirai, tout bas, en chuchotant à son oreille sur son lit de repos de sa chambre 328 ‘…Bonne fête maman… !’ Elle sursautera sans doute en oubliant de me dire ‘…Merci… !’



Cette chambre qui a vu passer tant et tant de vieux papas, de vieilles mamans usés, fatigués par tant de travail, par tant de soucis, par tant d’angoisse de peur, par tant de joie aussi qu’elles ont endurées durant toute leur vie. Et les voilà alités sur des lits de fortune, spéciaux avec des tas de machins au mur.



Je relèverai un peu sa couverture pour lui réchauffer ses mains bleues, pleines d’hématomes. Je la couvrirai afin qu’elle ne prenne froid et ensuite j’irai m’asseoir comme je le fais depuis trois semaines sur la chaise des visiteurs. Attendre qu’elle se réveille pour lui dire ‘…Comment te sens tu Maman, aujourd’hui… ? Je t’ai apporté des fleurs Maman… !’

Sans doute, qu’elle se rendormira sans avoir jeté un regard sur mon bouquet. ‘…Veux tu que j’allume la télé… ? Elle hochera la tête doucement, sans savoir si elle approuve ou pas.

Devant cet écran allumé, fade à mourir, les images défilent alors que mes pensées sont ailleurs.

Bien loin, et voilà que ces images de projection se changent en un autre décor qui m’emmène ailleurs, très loin, très loin là bas dans ma ville de naissance, dans cet appartement de la rue Pasteur, du temps où encore jeune enfant, je la tenais par la main pour ne pas me perdre dans la rue. Du temps où elle me surveillait lorsque je rentrais dans le balcon, du temps où elle me lavait, du temps où elle me soignait, du temps où elle était là à m’apprendre à lire et à écrire dans cette salle à manger aussi étriquée qu’une boite de Neffa. (tabac à chiquer). Du temps, où de se balcon, elle m’appelait avant la tombée de la nuit.

Du temps où je l’aidais à dépoussiérer les meubles, essuyer le par terre, à faire son grand lit défait.

Du temps où elle se déplaçait chez mes instituteurs pour s’enquérir de la bonne marche de ma scolarité, du temps où elle pleurait devant eux pour gagner sa cause.

Je me souviens du temps où avec son frottoir, elle nous corrigeait lorsque de trop de turbulence nous la fatiguions. Oui, du temps où elle repassait des tas de linge qui n’en finissait pas, du temps où elle montait ces marches en bois qui menaient à la terrasse. Du temps, où elle économisait de l’argent parce que papa était grand généreux et grand dépensier, pour que nous manquions de rien. Du temps où elle sortait avec papa, bras dessus bras dessous pour aller se payer un moment de farniente au café Vert où au Casino de la Goulette. Du temps où elle ne restait pas trop longtemps sur la plage parce qu’elle n’avait pas trop de temps pour bronzer. D’ailleurs elle n’a jamais trop bronzée Maman. Elle restait blanche comme son esprit.

Du temps où mon père subissant un revers de fortune, maman lui souffle pour joindre les deux bouts d’ouvrir une petite gargote pour se refaire. Et la voilà là, derrière un comptoir elle qui n’a jamais travaillée, à aider papa à servir des sandwichs derrière un comptoir, une Nessba. Je suis au premier plan à servir des petits ronds et une portion de boutargue aux passants. Elle a un courage exemplaire.


‘…Comment te sens tu aujourd’hui maman… ?’ Elle dort, elle ronfle, elle n’entend rien. Et lorsqu’elle entend, elle ouvre ses petits yeux pour dire ‘….C’est Richard… ?( Mon autre frère de Marseille) ‘…Non maman, c’est Bébert… !’ ‘…Nomchi kobaara ââllic… !’ Elle veut partir en sacrifice pour moi alors que sa vie tourne au ralenti… ! Tjs ce mot de sacrifice dans sa bouche qui l’accompagne depuis des décennies. Elle reste fidèle au sacrifice à 90 ans et demi comme elle le dit dans un moment de lucidité.

‘…Ne t’inquiète pas Bébert… !’ Qu’elle me dit, ‘…Je vais très bien, très très bien… !’ Elle va très très bien alors qu’elle a de grands moments d’oublis. Elle va très très bien maman qui traite les infirmières de ‘…Méchantes… !’ Lorsqu’elle ne veut plus se lever de son siège. Parfois une heure, deux heures pour évacuer ce qu’elle pense être un pipi ou autre chose. Elle dit avoir mal partout et me voilà ressentir ce mal partout. Il y a des moments où l’on se sent solidaire du mal de ses parents.

Par moment, elle nous fait rire, elle rit aussi de nous lorsqu’elle on lui demande ‘…Où as-tu mal… ?’ Elle répond qu’elle ne ressent rien et qu’elle est en forme et qu’elle peut faire des cabrioles. Des cabrioles alors qu’elle peine à se lever, à faire quelques pas dans le corridor. C’est drôle, elle a prit un vrai coup de vieux en si peu de temps. Les mamans ne ressentent jamais rien pour ne pas angoisser les enfants.

‘…Où as-tu mal Maman… ?’

‘…Ne vous inquiétez pas les enfants, je n’ai pas peur de la mort… !’

Elle a décidé de la combattre et elle vaincra. Telle que je la connais, elle vaincra. Mais à quel prix….
?


Pièces jointes:
resto.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mai 2011, 10:35













pour ta maman, breitou, en esperant que de bonnes nouvelles .....
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mai 2011, 11:47



CHAMBRE 328 2°

Mon parcours s’est allongé de quelques kilomètres.

De l’hôpital ST ANTOINE où elle était hospitalisée, j’emprunte à présent les voies qui mènent à Romainville. Aucun parcours n’est jamais long lorsqu’on rend visite à sa maman malade. Aucun temps n’est superflu lorsqu’on va aux nouvelles, au chevet de celle qui a tant pris soin de nous durant toute sa vie.

Et lorsque j’y suis, je guette son état.

L’ascenseur me conduit au troisième étage. Je passe par un long couloir aux lumières tamisées. Toutes les portes des chambres sont ouvertes et je prends le temps de lorgner sur les occupants.

Ici la vieillesse règne. Il a celle qui dort, celui qui est assis les yeux rivés à la télé, celle là est assise devant sa table à bouffer. Un autre est entouré par des membres de sa famille. Et vas y que je ne vous raconte pas la misère humaine qui nous rend si faible devant la maladie.

Je suis dans l’univers des vieux malades, cet univers où les cheveux blancs sont là avachis sur leur lit ou dans leur chaise. Dans cet univers presque sans bruit, où règne le silence seulement dérangé parfois par quelques gémissements. Je suis chez les vieux et vieilles patientes qui fixent leur regard sur vous comme des chiens blessés lorsque vous passez devant eux. Il y a celle de la chambre 321 qui n’a pas changé de position. Elle a la bouche ouverte en rond et les yeux fermés. Comme si, elle avait un rendez vous urgent avec qq’un qui viendrait la prendre dans son sommeil.

La dame qui partage la chambre 328 avec maman est atteinte de la maladie Alzeihmer. Elle est souvent assise prés de son lit mais somnolente. Maman me dit qu’elle fait exprès. Elle se lève souvent fait qqs pas dans la chambre puis reprendre sa place le bras ceint par ’une écharpe. La veille, elle s’était cassée le bras.

Cet après midi, un couple (son fils et son épouse) est venu lui rendre visite. Maman a dialogué avec eux en leur disant que leur maman n’est pas aussi sénile que cela. La vieille rigole en disant ‘…Je veux bien vous croire… !’ Un sourire tendre aux lèvres éclaire son visage marqué par la pâleur et les rides..

Ma sœur est là et nous profitons de cette journée ensoleillée pour promener maman dans l’espace ouvert de la cafétéria. Il est situé au rez-de-chaussée. Il fat très beau dehors et maman se prend un bol d’air frais avant de re-gouter à cet air chaud et aseptisé qu’est sa chambre.

Autour de la table, nous discutons de tout. Elle est lucide mais à tendance à somnoler lorsqu’elle nous raconte de vieilles histoires d’avant et lorsqu’elle s’arrête de narrer, nous relançons la discussion afin qu’elle ne se rendorme pas.

‘…Tu dors assise Maman… !’

‘…Moi, mais vous êtes fous, vous deux, je suis en forme… !’ Et de jurer qu’elle l’est. ‘…Vous me prenez pour qui hein… ? Pour une vieille sénile… !’ Elle avoue rêver de sa maman, et de nous la rappeler lorsqu’elle vivait chez nous à la Goulette. Elle ne tarit pas d’éloges sur elle. Elles étaient toutes les deux, autrefois, unies par une grande connivence en parfaite harmonie avec leurs pensées. Elles étaient associées dans tout. Et tout était conforme avec leurs idées. Jamais une querelles, ni contradictions entre elles, tout baignait dans l’huile, dans le couscous et dans les boulettes.

C’est bizarre, elle ne parle pas de mon père, de son époux mais de sa maman avec qui elle avait des attaches bien particulières. Ma sœur est prise de sanglots….’…Jamais, je ne l’abandonnerai jamais… ! J’ai trop de peine pour elle… !’ Mes yeux larmoient un instant et je lui dis pour la rassurer ‘….Qu’il faut être réaliste… !’ Maman se rend compte de ses pleurs et ajoute ‘…Mais qu’est ce que tu as toi …Hein… ?’ Je lui réponds ‘…Qu’elle a un coup de blues… !’ ‘…Allons allons ressaisit toi enfin et soit forte comme moi… ! Puisque que je te dis que je n’ai rien… !’

Elle n’a rien sauf qu’elle a échappé à un grave AVC il y a trois semaines chez elle vers les deux heures du matin. Elle était assise dans le salon lorsque cela est arrivé et ce soir là sa sœur, chose rare était venue lui rendre visite. S’inquiétant de ne pas voir maman prés d’elle au lit, elle se lève et l’a trouve allongée mais éveillée sur le tapis.

Impossible qu’elle se lève. Ma tante, écoutant les conseils de sa sœur qui lui interdisait de nous alerter en pleine nuit s’en aller se rendormir laissant maman dans cette position qui aurait pu lui être fatale. Et ce n’est qu’au matin qu’elle décide enfin vers les 9 heures d’appeler mon frère pour lui rendre compte de la situation.


Mon frère, sur place, alerta les pompiers, direction l’hôpital ST ANTOINE.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mai 2011, 11:48
Merci Elsa, merci mon amie.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mai 2011, 13:36
Breitou

J'ai ete tres touche de lire ce que tu ecris la haut au sujet de ta mere. Je vous souhaite de tout mon coeur un rapide retablissement.

En plus du "NEMSHI CABBARA" rituel, nos meres benissaient leurs enfants tous les vendredis soir apres l'Allumage des Kandils de Shabbat, elles savaient surement que le Bon Dieu serait plus attentif a l'heure de l'entree du Shabbat.
.
Pièces jointes:
a nos meres.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mai 2011, 21:09
Cher Albert,

J'ai aussi été très touché en lisant ce que tu as ecrit sur ta maman "CHAMBRE 328 2°". Je lui souhaite Refoua chlema, un prompt rétablissement.



Lapid
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mai 2011, 21:25
biber je sais tres bien de quoi tu parles . inshallah kheir smiling smiley
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