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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 novembre 2013, 00:56
PUTAINS DE BREBIS.

hebergeur d'image
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 novembre 2013, 02:24
LA TAL’YA.

La montée à l’ancien cimetière de Londres à la mémoire du grand Rebbi HAI TAIEB LO MET z’al.

Il y a des circonstances louables, des anciens souvenirs avouables qui remontent à la surface.

Je suis de ceux qui n’ont pas le pied facile, non point que j’ai horreur des fêtes, anniversaires etc. Aujourd’hui, je les trouve fatigants surtout lorsqu’ils se prolongent tardivement, et pour peu à une veillée.

Hier, j’ai fait l’effort d’assister à l’anniversaire de mon beau- frère, dans une salle huppée de la capitale, dans le 17éme arrondissement de Paris.

En attendant le menu, nous avons fait mes belles sœurs et compagnie, un peu de bavardage sur tout et sur rien, lorsque la conversation glisse sur la Hilloula du grand Saint REBI HAI TAIEB LO MET z’al .

Une des protagonistes me dit qu’une quarantaine de personnes ‘ venus de Paris’ s’était donné rendez-vous au Borgel pour l’occasion.

Les uns parlaient de 15, les autres de 30 bref personne n’était d’accord sur le nombre exact ‘d’immigrés ‘ pour une semaine. Il faut savoir aussi, que cette occasion permet à ces déplacés, de titiller le soleil. Deux heures de prières et de petite bouffe et tout le reste à chiner dans la capitale. Tourisme oblige.

Qu’à cela ne tienne mais je leur rappelais un fait, un ancien fait celui du temps où Tunis l’heureuse avait ses juifs en grand nombre.

Je me réfère encore aux dires de mon papa Deidou z’al qui me racontait.
Lors de cette ‘montée’, le cimetière était pris d’assaut dès les premières heures de la matinée. Parfois tard dans la soirée.

La plupart des gens ‘riches’ venaient soit dans leur calèche, soit en calèche louée. Les modestes arrivaient en groupe, en tramway, des familles entières tenant en mains des couffins de victuailles prenaient possession des allées qui menaient vers le tombeau du Saint. Les plus démunis quittaient leur quartier à pieds avec leurs couffins de nourriture parfois poussant leurs malades handicapés.

Que pouvait bien contenir ces couffins… ? De la Boukha bien sûr, de la fekia en nombre des bonbons et des dragées.

Pour arriver au tombeau, il fallait montrer beaucoup de patience car tous voulaient embrasser la tombe. Du saint guérisseur et faiseur de miracles.
Il était indispensable, pour tout un chacun, de mettre genoux à terre pour biser le tombeau et faire ses vœux.

Certains hommes religieux se transformaient bénévolement en rabbin, pour l’occasion, et s’obligeaient à chanter pour celui, celle ceux ou celles qui lui tendaient la bouteille.

Aux dires de papa, ces verres d’alcool bus à la va vite, l’instant d’une prière dite à la chaîne, ont vite fait de donner le vertige aux récitants à tel point qu’ils bafouillaient par moment, l’alcool ayant fait son effet mais dans l’allégresse générale personne ne s’en rendait compte. Le cocasse de mêlait don au burlesque.

C’est ce que nous juifs tunes savons faire le mieux. Tant que la Boukha coule, on pardonne aux dérives. La coupable c’est elle et personne d’autres.

Des litres et des litres de Boukha étaient donc versés sur la tombe du grand et vénéré Saint à tel point qu’une rigole se formait.

La fekia était lancée à vue et elle volait par-dessus les têtes avant d’atterrir sur les bas côtés du monument. On a vu une noisette s’incrustait dans un œil d’où que la victime porta un surnom fort éloquent depuis ce jour, il fut nommé par l’assistance CHOUCHOU BOU FREOUA…Joseph LA NOISETTE. Autant pour lui que cela ne fut pas une amande. Sinon CHOUCHOU EL CHINOIS.

L’effervescence était à son comble tandis que l’alcool béni passait de lèvres en lèvres.
Il y avait un tel amoncellement de fekia que la tombe disparaissait sous ces ingrédients.

Les bougies en surnombre, d’où que la tombe était parfois noircie par la suie, grésillaient durant des minutes et des minutes, la tombe aurait pu aussi fondre, si ce n’est qu’un bedeau communautaire les retirait et les camouflait dans un grand couffin. L’odeur âcre des bougies emplissait l’air tandis que celle des fèves au cumin jouait son rôle de catalyseur..

Vers le midi, des familles entières s’asseyaient sous les grands arbres pour déjeuner ce traditionnel couscous bel mahchi .

C’était la grande dinette sous les youyous, les danses orientales, sous les jurons et les blasphèmes des bouches avinées, sous des airs connus et parfois improvisés.

La darbouka était l’instrument choisi du moment, et les Titine et Taita s’en donnaient à cœur joie.

Quant aux hommes, c’était là l’occasion pour eux de célébrer à leur manière, aussi bien le grand Rabbin, connu pour son amour à la Boukha , que d’honorer la liqueur de figue devenue sacrée.

Flirter avec l’ivresse en ce jour précis était considéré comme le meilleur des souhaits.

Vers la fin des festivités, les plus démunis s’offraient, tels des glaneurs, tout ce qui était encore comestibles. Les bougies n’étaient pas en reste, elles allaient dans les couffins des nécessiteux.

Cette seouda, connue par des générations de juifs tunisiens, considérée comme très importante, autant que celle de JERBA, de Nabeul, de Testour ou du Kef, ne draine aujourd’hui que qqs familles attachées à la tradition.

Ce qui pour autant, ne nous dispense pas de l’oublier puisque nous allumons encore des veilleuses dans nos foyers, là où nous vivons.

Le témoin-relais est toujours d’actualité.

La flamme du souvenir du grand saint ne s’éteindra jamais tant que nous, juifs tunisiens et descendants, perpétueront encore la tradition.

Le Tombeau du grand Rabbin fut par la suite dans les années 1960, transféré au Borgel, avec trois autres grands saints.

Situé à qqs cent mètres, dans l’allée centrale, de la rentrée avenue Hedi Chaker, coté des granas, le monument reçoit encore qqs nostalgiques du passé.
Sous la coupole, battit juste à côté, sont gravés les noms des membres des familles juives déportées et mortes durant l’occupation allemande, z’al.

Les bougies en surnombre ne sont plus qu’un souvenir et elles ne fleuriront plus, comme avant, ce que nous portons dans nos cœurs.

‘…BAR YOHAI…§§§§§§§….’

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
26 novembre 2013, 11:44
Allah bonheur…

Allah est grand !!!

Accusée d'avoir expédié les funérailles de Ben Laden sans aucun
respect pour le culte Musulman, l'armée Américaine a assuré que le corps
avait été jeté à la mer, en direction de la Mecque.

Une courte prière à Allah a même été prononcée par les Marines (tout
à fait, j'étais là), ils ont dit texto :



- Allah une....
- Allah deux...
- Allah trois....
et plouf!!!..... Allah mer !!!



Et en tombant, Ben Laden a dit:



"Oussama fait mal"



Et les requins sont arrivés et ont dit : Allah soupe !!!!!

ALLAH LUMIERE DE CES EVENEMENTS,

NOUS POUVONS AFFIRMER QUE TOUT A ETE FAIT ALLAH VA VITE;

de B.S.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 décembre 2013, 11:44
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 décembre 2013, 11:45
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 décembre 2013, 14:04
Il est d’un commun…

Qui n’a pas déjà entendu cette expression….’…Il est d’un commun… !’ Le contraire ‘…Il est hors du commun… ! ‘ D’un commun, cela sous entend comme tout le monde, celui qui est hors du commun, est un peu spécial. Il déteint sur tous les communs. Pour déteindre sur tous les communs, il faut donc être hors du commun, spécial.

Le hors du commun est une espèce presque rare, qui appartient à qqs membre qui osent.

Là le complexe disparait et le membre ainsi désigné attire par ses bouffonneries tout ce qui est ,disons le, en marge du commun.
Celui qui ose à ne pas être comme tout le monde est celui qui sort du quotidien morose dans lequel il vit ou vécu, pour se vêtir, en certaines circonstances d’un costume d’apparat.

L’hors du commun joue, jour pour épater ses amis, pour distraire ses amis avec respect.

Il devient ainsi le centre d’attraction, le milieu du terrain, celui qu’on recherche, celui qui anime, qu’on aime parfois, celui qui donne la mesure, celui qui relance afin que l’ambiance ne retombe pas.
Quand arrive donc cet état de HORS DU COMMUN… ?

Avec l’âge surement. Quoique des hors du commun le sont déjà depuis le plus jeune âge, mais il n’est pas sur qu’ils le restent, plusieurs paramètres rentrent en jeu. L’adolescence murit l’enfance, l’âge adulte réconforte le sérieux et voilà le profil rentrer dans les rangs afin de paraitre comme il faut vis-à-vis de ces collègues de travail.

Notre société ne peut pas se permettre d’embaucher des gens HORS DU COMMUN sauf s’il a une intelligence HORS COMMUNE et qu’il en use sans se débattre dans des situations incongrues.

J’ai beaucoup ri durant ma scolarité sur des instituteurs HORS DU COMMUN tant leur façon d’instruire me paraissait cocasse. Je prends comme exemple, Mr Gassion, maitre d’ANGLAIS de mes cours secondaires qui pour joindre l’utile à l’agréable s’habillait british, et prenait un malin plaisir de nous appeler par MAITRE…Donc MAITRE REMY…DONC MAITRE ALBERT..ETC…Bien plus est, il distribuait des bons points en troisiéme surtout lorsqu’on ne disait rien en classe. Celui n’a pas attendu la vieillesse pour ETRE RIDICULEMENT HORS NORMES.

Le statu de certaine fonction ne le permet pas. Il faut avoir des comportements en société comme tous les communs des mortels. Chez soi, il peut l’être, parmi des amis aussi mais pas plus ailleurs sinon il perd toute crédibilité.

Mais une fois délivré de toutes les contraintes, à l’approche de la retraite, voilà que, l’expérience aidant, la famille i s’agrandissant, certains, certaines, je dirais même beaucoup de communs deviennent HORS DU COMMUN. Sans être hors la loi bien sur.

Ils ne se font plus sérieux mais attrayants, faut t’il y voir là l’apport des petits enfants parce ceux là rendent les papys HORS DU COMMUN.

Voir ses petits enfants écarquiller les yeux devant une de mes clowneries me rend Hors du commun.

Je pense que nous le ressentons tous. Mes petits enfants lorsqu’ils arrivent chez nous, adorent voir leur papy faire le pitre. Rien que de leur donner cet instant de bonheur, prouve à quel point nous devenons avec l’âge des vieux HORS DU COMMUN.

Et cela c’est du bonheur à l’état pur.
Par contre comme vendeur en cosmétologie, encenseurs, ‘aphrodisieurs’ donc dans ma fonction libérale, j’ai dépassé le stade DU COMMUN pour être HORS DE LUI.

La preuve se trouve au magasin.
La preuve par l’image.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 décembre 2013, 12:03


Je n’ai pas porté d’ chapeaux.
D’chapeaux dans mon hameau.
Ni bérets kippas ou calots.

J’avais ma tète nue sous le ciel bleu.
Mes idées n’étaient pas très pieuses
Elles ne le sont pas encore aujourd’hui.

Loin des synas, et des lieux de culte
J’ai échappé à tous les sermons
Sauf à ceux de maman durant des saisons.

J’ai bricolé à ma façon avec raison
Une manière d’être sans cloison.
Je respecte D ieu, certains chapitres de ma religion
Je passe sous toutes les oraisons, je récite à ma façon
Mes chapitres comme un vieux pitre.
Je n’lèves pas de fanions sans prétention
A la gloire de tous les tontons.

J’évite les révolutions,
Lavage de cerveau à l’occasion,
Qui mettent en danger la religion.

Prier comme vous le sentez
Aimer qui vous voulez
Avec foi et D ieu présent
Il vous absoudra de toutes les façons.

Nous lirons dans vos cœurs,
Toutes les affections qui n'ont point
D'ordonnances.


_________________________________________________


Je porte la religion dans mon cœur
Celui là ne me trompe pas.

Sans doute beaucoup moins dans mon esprit
Car l’esprit ruse quant l’intérêt prime.
Avec conviction je l’exprime.

Je ne condamne personne
Ni papa ni les saints ni les madones
Je suis et je reste sein serein dans mon esprit
Tant que je n’attente personne.

Je n’attends rien des rasées des poilus et des barbus
Juste de bons comportements.

S’ils pensent nous compartimenteEEr.
Mieux vaut fuir et retrouver sa liberté.

Qui veut contraindre autrui à sa religion
A ses bons sentiments, c’est masquer
Son hypocrisie envers D ieu et ses ascendants.

A quoi servent les pieux boniments
Lorsque de beaucoup de mensonges
Ils sont faits en détournant les yeux vers l’horizon.

Au moment venu, je demanderai pardon
Seulement à D ieu vivant.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 décembre 2013, 11:17
INTERMEDE.

Je vais chanter…

‘…§§§§§…Galipettes, cabriolettes, roulades dormez vous…. !
Heu…Zut alors, j’ai perdu le reste de ma chanson…Mon idée s’est envolée, un trou dans ma mémoire, quelle disgrâce, un acteur de pacotille qui oublie les paroles de sa chanson ou de son sketch sur scène c’est grave… ! Imaginez un acteur de renom qui s’arrête brusquement, devant mille personnes et qui oubli son texte.. ? Avant il y avait des souffleurs sur scène mais ils ont disparu .

On ne souffle plus, seule la mémoire est comme une pelote de ficelle, dés qu’on tire le bon bout, la bobine s’interdit d’être couper.
Voilà que le mienne s’est interrompue devant mes fans…Est-ce grave docteur à mon âge… ?’
Quelle horreur, est ce le début de qq chose… ? Où est ce seulement juste une petite perte de mémoire qui n’a rien de grave… ? Un trou… ? Le trou qui donne le trac à beaucoup de comédiens, d’acteurs et qui les laisse à se poser des questions… !

En ce moment, je fais des efforts considérables pour retrouver mes paroles…

§§§§…GALIPETTES…BISOUNETTES…CABRIOLETTES…§§§§…

Mais non, je me perds là, ce ne sont pas là mes paroles, j’ai tout INVERSER, qui peut m’aider zut… ! Dois je reconnaitre que j’ai …Ah non je m’insurge, je ne veux pas croire à cela, si maintenant j’ai des trous qu’est ce qui va se passer dans 30 ans… ? Ma cervelle va-t-elle ressembler à un gruyère… ! Les souris vont elles s’en donner à cœur joie… ?

‘Tuneliser’ mieux encore ma cervelle… !

Je suis révolté contre cela, mes amis, je perds la mémoire, je bafouille, j’ai oublié les paroles de ma chanson alors que je ne fais que la répéter depuis deux mois.Et là, je suis devant vous, debout muet comme une carpe… ! Ah, je crois que cela me revient …§§§
‘…GALIPETTES…FACTURETTES…..GIROUETTES…REVEILLEZ VOUS…§§§
‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’…Je n’insiste pas, j’ai oublié mon répertoire à 92 ans…Quel drame… !’ Je m’en excuse… !’ J’ai perdu ma BOULE…. !!!

Il faudra bien que cela m'arrive un jour, un soir, un matin..


Mais je suis certain d'une chose, je vous reconnaitrais tous lorsque le moment sera venu....Promis...C'est mon cœur qui le dit...!!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 décembre 2013, 11:20


Pourquoi les histoires à la con me tombent t’elles sur ma callebasse le samedi matin juste à l’heure du café et où je pose mes pieds sur le rebord de la vitrine.
Une dame rentre, elle parle toute seule, elle marche de long en large et là, elle s’arrete me toise et me dit…

‘…Monsieur, j’ai un génie en moi… ?’

Aâl sbah el fetah.

‘…Pardon… ? Je suis entrain de kiffer mon café et vous me parler de génie en vous… ?’
‘…Oui, il est en moi… !’
‘…GUE..DABA…. ! ( Menteuse)
‘…OUI…UN GUE..DE….( Mauvais génie en Haïti)

quiproquo.

‘…Voyons voir d’où est t’il entré… ?’
‘…Par en dessous… !’
‘…Tu veux dire par… !’
‘…Oui par là bas… ! Et depuis trois mois, je ne suis pas bien régléee… !’
‘…Vous sous-entendez que peut être vous êtes enceinte d’un génie… ?’
‘…Je le sens remuer en moi… !’
‘…Mais si vous en êtes sur pourquoi ne pas pratiquer un avortement GENIAL… ?’
‘…Je suis adventiste du premier jour… !’
‘…Et PAS LE SECOND JOUR… ??’
‘…Non, vous n’y connaissez rien, que dois-je faire… ?’
‘…Faites une CESAR…. !’
‘…Mon mari s’appelle déjà César, donc si je dois le nommer après sa naissance ce sera CESARIENNE… !’

‘…CESAAAAAR…Ouvres toi… ! Mais pas ici ye MABOULE… !!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 décembre 2013, 11:22
SUITE DU SKETCH...CESARIENNE...

Donc en ce jour du mardi matin, je vois une poussette prendre d’assaut ma porte en verre.

Fissa fissa, je sors avant qu’elle l’emporte avec elle…

‘…Alors Mr vous me reconnaissez… ?’
‘…C'est-à-dire que j’ai oublié, je n’ai pas la mémoire des profils surtout lorsqu’ils sont beaux… !’
A la place des bulbes volcaniques, une face pleine de trous, genre cirrhose du foi. Le warinna fel bhar.

Tfou…TFOU…TFOU…Trois fois autant pour moi que je ne suis pas femme enceinte. Sinon net ouhem aaliye.

‘…Je vous présente mon fils…LE GENIE…CESARION…. !’
‘…Ah bien sur, le GENIE qui était en vous, alors c’est venu enfin, laissez moi donc voir ce GENIE… !'
‘…Vous pouvez le prendre dans vos bras vous savez, l’embrassez même, c’est grâce à vous que j’ai pu l’avoir… !’
Je prends le petit dans mes bras.

Mon frère…

‘…Mené khlika mchoumé… ! Quelle sale gueule… !’
‘…Comme il est mignon CESARION…. !!

Mon frère..

‘…Lei warina… ! Que D ieu préserve… !
‘…Je l’ai eu sans CESARIENNE…Il est sorti comme un grand… !’

Max..

‘…Il n’y a que la BEAUTE QUI GLISSE FACILEMENT… !’

Elle…

‘…Ni forceps, ni assistance… !’

Max Fitoussi‘…Ca se voit Madame, il est sans DANGER… !’

Elle.

‘… Ah celui là je lui réserve un AVENIR BRILLANT…Pour plus tard… !’

Max…

‘…CESARION BRILLANT…Comme DANY… !’DLAM HOUCHEKH…Une obscurité totale.
‘…Est-ce que vous avez qq chose pour le protéger des envieux… !’

Max..

‘…Avec une telle tête, il ne risque pas d’être envie, croyez en mon expérience… !’

Elle..

‘…Donnez moi qd même la LOTION GENIE SOIR… !’

Moi..

‘…Avec GENIE MALIN…. ! Il faut mettre tous les atouts en sa faveur… !’

Elle…

‘…Et aussi une poudre BELLE FORTUNE…De couleur jaune… ! Pour son bain… !’
‘…Le HENE Madame, c’est une poudre de CHANCE… !’
On lui donne ce qu’elle demande..

Quatre jours plus tard , CESARION revient avec MAMAN.

‘…Ah missié quelle chance .. ???? CESARION A CHANGE DE COULEU…Il est devenu ACAJOU… !

‘… BREITOUUUUU…AâtitOU HENNE ACAJOU EL CESARION….… ??? Max…

LOL.
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