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********SALLE RACHEL '...UN AMOUR D HANDICAPE...! KHANA ET OTTO ...LE CARNET DE BAL...ADELE FROMENT' DESTINS BRISES..*******

Envoyé par Mon_Germain 
ADELE FROMENT
FIN DU RECIT.



CHAPITRE 17°

Adèle a réussi dans son entreprise.
Quelques jours plus tard, une cérémonie d’enterrement en présence d’HENRIETTE, a lieu.

Adèle et Justin Gainville, enfin mariés quelques mois plus tard, se sont portés premiers acquéreurs des terres ancestrales. Personne dans la région n’a voulu se porter acheteurs des biens d’une famille très estimée autrefois mais spoliée d’une façon tragique.

Le couple GAINVILLE prit la décision de s’installer après leur mariage sur les terres des aïeux.
Il fondit une grande famille de cinq enfants dont l’aîné porte le prénom Amédée –Ricard , et les autres enfants Hélène Georgette –Ricard , Filoméne- Ricard , Andréa Ricard et Philippe-Ricard. Tous GAINVILLE.
Le grand cadre des aïeux trône sur le mur de la salle à manger.
Justice leur a été rendue.

‘...Merci Justin, le hasard parfois se fait miracle ... !’ Lui avait t’elle dit un jour.

-Cochin quelques jours plus tard, après ses révélations, fut déchiqueté par une meute de chiens errants sur son site.
On le retrouva au petit jour méconnaissable.


Re: ********SALLE RACHEL '...UN AMOUR D HANDICAPE...! KHANA ET OTTO ...LE CARNET DE BAL...ADELE FROMENT'*******
16 février 2012, 10:42




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Vl’à le vieux
En Marcel
Cher à Elsa,
Assis sur son canapé.
Tu peux en rire.
Elle qui le parodie
Mon tricot de peau
Avant de m’faire la peau.
Mais il te dit qd même
Bravo
Puisqu’il attire ton attention
Et du reste tu t’en fout.
Fou fou fou…
Il faut être fou
Pour poser en marcel
Avec ce beau trio,
Aux yeux du ringard
Ce petit gars.




ANNIVERSAIRE DU PTB AN...NEUF DE PAQUE.





Paris le 2/04/2012.

Tous les événements cités dans cette narration sont imaginaires et ne se rapportent à aucuns faits réels.


DESTINS BRISES.

EDWIGE…….La jeune fille. L’appât.
Jamel………..Son ami, sans emploi fixe
Arnold………Son second ami. Cadre commerciale.
Slimane…..Le boss de Arnold.

Elle était là, assise les jambes croisées, enfoncée dans un fauteuil en tissu velours de couleur bleue nuit qui se confond avec les tourbillons de lumière des spots de ce cabaret branché et prisé à Paris.

A 20 ans, Edwige jeune parisienne, normande de naissance, vit à Paris du coté de STALINGRAD avec son ami Jamel, dans deux pièces dans un immeuble sans ascenseur, au quatrième étage d’une HLM .
Ce soir là, l’ambiance est à l’euphorie dans ce fameux cabaret situé sur la rive droite. Beaucoup de monde, beaucoup de boissons alcoolisées coulent dans les gosiers effervescents, beaucoup de verres remplis passent de mains en mains tandis que des femmes esseulées dansent sur la piste sous des airs techno, véritables anguilles aux corps moulés. Les reins bien cambrés.
Le royaume du sexe danse et s’enivre.

Tatouage, anneaux, piercings, pendentifs boucles d’oreilles, l’attirail du ‘regarde moi’ ‘provoc moi’, sur certaines parties du corps sans oublier les coiffures courtes teintées en divers coloris donnent à ces jolies femmes des airs de perruches, de coucous ou d’aras ébouriffés.

Du bleu, du rouge, du jaune, du violet en mèches marquent ces coiffures à la garçon … Des profils très aguichants. Des visages à damner le diable en personne.
Nombrils percées, ou tout simplement relevés d’une fausse pierre précieuse, rainures de fesses apparentes, regards surlignés, lèvres brillantes, bien mises en évidence, des jeunes femmes aux regards pétillants et provocateurs, surlignés par du noir khol passent en revue l’élu d’un soir, l’élue d’un jour. Caresses discrètes, frôlements de seins entre filles, attouchements discrets d’hommes à hommes, de femmes à hommes font partie de ce rituel où l’amour n’a d’autre choix que de conclure.

Sodome ressuscité dans le paradis du plaisir et de la jouissance. Ce joli monde n’est pas loin de la luxure.

Dans ce genre de cabaret rares sont les couples mariés qui viennent s’amuser, les hommes préfèrent s’encanailler seuls, prendre du bon temps, oublier la famille, s’éclater lorsque l’épouse est absente. Ils redeviennent célibataires, et surtout dragueurs, à la recherche du bon coup d’un soir. D’une virée en solitaire qui les ramène à leur jeunesse.

A Suivre …


DESTINS BRISES.





CHAPITRE 2°.

La présence d’Edwige, ce soir là n’est pas le fruit du hasard. C’est son ami et flirt Jamel, son ainé de trois ans qui l’a forcée à l’accompagner dans cette boite à grande musique folle. Elle qui n’aime pas la promiscuité, elle dut se résoudre à suivre son ‘époux’.
Edwige ronge son ennui entre un verre de soda et ces airs de malade. Où la musique psychédélique donne aux habitués cette sensation de voyager dans une autre planète.

Au comptoir, un homme bien costumé tient un verre à la main. Il remarque cette jeune fille esseulée. Il la regarde depuis un bon moment, tout en sirotant son breuvage.

Edwige, en jeune fille bien sage a remarque du coin de l’œil le manège de ce bel homme aux temps cendrés, au profil bien fait qui ne cesse de la toiser.

Enfin, après qqs minutes d’hésitations, il pose pied à terre, se lève et se dirige vers la jeune fille.
Edwige s’en aperçoit et fait mine de voir ailleurs.
Arrivé à sa hauteur, Arnold, c’est son prénom, se présente.

‘…Bonsoir Mademoiselle, je m’appelle Arnold… !’ Dit en toute simplicité…’ Puis-je m’asseoir prés de vous… ?’
La jeune fille hésite un moment puis…
‘…Faites donc…. !’
Le monsieur prend place face à elle.
‘…Je vous offre à boire… ?’
Elle accepte.
‘…Jus de raisins, je ne supporte pas l’alcool… !’
‘…Vous êtes bien raisonnable Mademoiselle… !’
‘…Edwige… !’
De son comptoir sur lequel il était accoudé, Arnold ne pouvait distinguer les traits de cette jeune fille Kabyle. Là, il est prit sous le charme de la beauté de cette jeune fille qui à première vue ne semble pas trop partager les délires de cette foule hystérique.
Jamel son ami est sur la piste, il aperçoit la scène entre sa meuf et cet inconnu mais ne commet pas l’erreur de sortir de son kif.
‘…Vous n’aimez pas danser… ? Je vous toisais depuis qqs minutes et je ne vous ai pas vue vous lever… ?’ Arnold.
‘…Je préfère voir cela de loin, je n’aime pas trop ces contacts à fleur de peau… !’
‘..Vous me semblez bien sage… !’
‘…Je le suis malgré les apparences… !’
‘…Je ne comprends pas… !’
‘…Oui, une jeune fille seule dans un endroit pareil peut paraitre pas très sage aux yeux d’un inconnu… !’
‘…La sagesse peut surprendre dans n’importe quel lieu du moment qu’on la vit bien… ! Je suis de cela, je gère mon ennui comme je peux… ! Surtout lorsqu’on est seul… ! Vous êtes seule ici, pas accompagné… ?’

A Suivre….

DESTINS BRISES.





CHAPITRE 3°

‘…Non, je me suis aventurée avec un ami qui est parti, une urgence, sa maman ne va pas bien… !’
‘…Et vous ne l’avez pas suivi… ?’
‘…Non, il m’a promit de revenir pour me chercher, mais apparemment, il a du retard… !’
Son téléphone portable sonne.
‘…Oui allo…. ?’
‘……………………………………….. !’
‘…Donc tu ne viendras pas me chercher… ?’
‘……………………………………….. !’
‘…Ben voilà, je suis fixée, il me laisse tomber…. !’ S’adressant à Arnold.
‘…Parlez-moi de vous… ? Edwige.
‘…C’est sans importance… ! Ma vie n’intéresse personne, je la vis au jour au jour tout simplement… !’
‘…Vous ne travaillez pas…. ?’
‘…Non, mais je cherche et d’ailleurs, j’ai des rendez vous un peu partout…. !’
‘…Dans quel domaine… ?’
‘…Tout ce qui me tombera sous la main… !’
‘…Je suis commerciale dans le grand business… ! Dans l’import export… ! Vendre des armes aux pays qui le demandent. Secret défense. Je signe de très gros contrats et je touche des commissions de la part de mon entreprise installée dans les Iles Caïmans… !’
‘…Un homme d’affaires… ?’
‘…Si l’on veut, je ne suis pas propriétaire de la boite, je ne suis qu’un cadre très actif… ! L’homme d’affaires c’est le grand boss qui flaire les bons marchés, je ne fais que démarcher ce qu’il me donne et lorsque l’affaire est conclue, je suis payé… ! Je voyage beaucoup…Par contre…. !’

La jeune fille écoute et se dit qu’il a bien de la chance de rouler sur le fric.
Arnold durant ses échanges n’avait d’ yeux que pour elle se disant en son for intérieur que tous ses aveugles prit dans le tourbillon du dérisoire et éphémère du plaisir sont marqués d’une grande cécité alors qu’une jeune fille était là assise bien sagement en buvant un soda innocent.
Un autre soda est commandé à la jeune fille alors qu’Arnold se montre aussi sage en commandant un soda.

‘…C’est moi qui vous ai converti au soda…. ?’ Elle.
‘…Non pas du tout, j’ai envie de vous regarder sans avoir les yeux avinés… ! Vous êtes très jolie Edwige… !’
‘…Merci, je pourrais en dire autant de vous… !’

Vers le minuit la jeune fille demande à prendre congé. Elle est fatiguée. Elle se lève se dirige vers les vestiaires lorsque la voix de Arnold se fait discrète.

A Suivre…


CHAPITRE 4°

DESTINS BRISES.


‘…Comment allez vous rentrer, votre ami n’est pas là… ?’
‘…Je prendrai le dernier métro… !’
‘…Me permettez-vous donc de vous raccompagner… ?’

Arnold décide donc d’accompagner la jeune fille à son domicile.

La voiture, une Mercédès dernier cri arrive au bas de l’immeuble.
‘…Edwige, peux-tu me donner ton numéro de portable… ?’

La jeune fille accepte.

‘…A condition que vous ne me harcelez pas… !’
‘…Ce n’est pas mon genre… ! Est-ce que demain je peux vous appeler… ?’
‘…Oui pas avant 11 heures … !’
‘…Affaire conclue… !’

Arnold durant tout le long du parcours qui le mène chez lui est perturbe. Il est sous le charme de cette jeune fille de 20 ans. Il la trouve très à propos, bien que l’endroit où il l’a levée prête à équivoque. Une ambiance surexcitée, de la drogue à n’en plus finir, des attouchements discrets,



Des regards furtifs échangés entre hommes à hommes entre jeunes femmes , entre hommes et femmes de tout bords et malgré les apparences, il refuse de penser que jeune cette fille est une habituée de ce genre de lieux, lui, qui a presque écumé toutes les boites de nuit et les cabarets, par ennui comme un salarié venant pointer à l’usine, le voilà argumenter l’analyse qu’il vient de faire concernant cette merveille. Il pense avoir trouvé la baraka en cette perle rare. Car les perles nacrées sont rares à Paris, il faut les chercher dans les belles huitres natives de Normandie. Ironie du sort Edwige est née normande. De là à penser qu’elle est une perle rare, l’avenir le dira.

Elle lui plait. Elle lui plait grave. Il sent le coup de foudre avant l’hécatombe qui arrivera plus tard.
Il rentre chez lui, dans son appartement de quatre pièces, meublé avec gout. Il se déshabille et le voilà sur le balcon en tricot et caleçon humant l’air de Paris.

Malgré le froid qui y règne, Arnold ne sent rien. Il est encore baigné dans cette atmosphère chaude envahie par le tintamarre de ce cabaret et il pense surtout à sa nouvelle conquête. Tant il est persuadé d’en avoir fait une. Une très belle conquête.
Chez elle Edwige ne s’embarrasse pas de ce genre d’idées, elle se déshabille, se démaquille et rentre sous ses draps. Son studio est petit. 40 m2. Avec vue sur le métro aérien de la station STALINGRAD.
Son compagnon Jamel est là, déjà endormi à poings fermés.
Elle s’endort profondément tout en enlaçant son ‘fiancée’ et rien ne vient perturber ses idées.

Pour elle, cette rencontre n’est qu’éphémère et elle n’attend rien pour le moment.

A Suivre….

DESTINS BRISES.



CHAPITRE 5°

A 11 onze piles en ce dimanche matin, le portable d’Edwige sonne, elle devine son compagnon de la nuit. Elle en était avertie depuis la veille.

‘…Bonjour Edwige… !’
‘…Bonjour réveil matin… !’
‘…Je te dérange… ?’
‘…Non, pas du tout, je suis debout depuis 8 heures… !’
Un petit premier mensonge qui l’a fait passer pour une lève tôt.
Dans son lit, Jamel son ami fume une clope tout en écoutant la conversation. Il ne rate rien de ces échanges.
‘…Edwige, j’ai pensé t’inviter à déjeuner ce midi c'est-à-dire dans une heure et demi… !’
‘…Où cela… ?’
‘…A qqs kms de Paris, une demi heure de route, en pleine campagne, dans un hôtel étoilé… !’

Son ami Jamel hoche la tête, en signe d’approbation.

‘…Ok, je serai prête, dés que tu arrives en bas, tu me téléphones… !’
‘…Bien à toute à l’heure… !’
‘…Je vais dans notre appartement, et tu me retrouveras là bas dés que tu auras fini avec lui… !’ Jamel.
Le jeune couple habite aussi un autre appartement plus vaste, plus spacieux.
‘…Va rendre visite à ta maman… !’Edwige.
‘…Fais donc attention et n’oublies pas de m’appeler si tu as un problème… !’ Jamel.
‘…Qu’est ce qui peut m’arriver hein… ?’

Midi trente, Arnold est en bas. Elle est en bas debout devant le seuil de l’immeuble à la façade grise ce qui évite à Arnold le coup de fil.

‘…Tu es encore plus belle qu’hier soir, je te vois dans la lumière… !’
‘…Merci… !’
‘…Tu habites là…Edwige… ?’
‘…Oui, avec ce que me donnent les aides sociales… ! L’appartement m’est prêté par un ami en attendant de trouver un boulot convenable… ! Et déménager. Je ne manque pas de courage, d’ailleurs demain j’ai un rendez vous avec un employeur. La Mairie de Paris m’offre des heures de ménage chez un couple… ! Juste pour entretenir ma forme en attendant beaucoup mieux… !’

A Suivre…
CHAPITRE 6°

DESTINS BRISES.


Arnold écoute et ne propose rien, après tout, pourquoi proposer et donner de faux espoirs à une jeune fille rencontrée la veille dont il ne connait rien d’elle. Sauf qu’elle est très belle. Et qu’il ressent des sentiments pour elle. Lui qui n’en a jamais connus d’aussi intenses.

La voiture roule et sort de Paris. Elle rentre dans la bretelle qui mène vers VERSAILLES.
Enfin, l’hôtel en question apparait à leurs yeux. Dressé en pleine campagne. Un château reconverti en grand palace. Avec Casino dans une aile. Une pure merveille.
Le parking est encombré par toutes sortes de voitures de luxe. Des voitures de riches.
‘…Tu me combles Arnold, en qqs heures tu me fais passer d’un brouillard intense à la clarté… ! A quoi dois-je cette faveur… ?’
‘…A ta sagesse… ! Je devine en toi, une jeune femme mystérieuse qui ne me dévoile pas tout… !’
‘..Si tu savais… ! Je n’ai rien d’exceptionnel, j’habite là où tu m’as déposé, je ne travaille pas, je suis seule, mes parents sont au pays. Ils attendent de l’aide de ma part, moi qui leur promet de leur envoyer de l’argent toutes les fins de mois, repoussant à chaque fois l’échéance et eux qui pensent que je leur ment et que je gagne bcp d’argent… ! Je ne sais plus quoi leur dire au téléphone et lorsque je vois leur numéro affiché, je ne réponds pas parce que je sais par avance ce qu’ils vont me dire… ! Donc ma sagesse tient surtout à ma patience… !’ Elle.
Arnold s’abstient de choquer sa compagne en lui proposant de l’aide. La jeune fille semble fière et lui parler de fric peut avoir l’effet d’une grande prétention.
Soudain le portable d’ Arnold sonne.
‘…Bonjour Sliman, ne t’inquiètes pas, je pense à toi, je suis l’affaire… !’
‘…Ecoute Arnold ca fait trois semaines que cela dure, il faut conclure, alors prend toi en mains et rapidement, je n’aime pas ces longs retards, mes amis me pressent… ! Le contrat est juteux et les américains marquent des points… ! La défense s’impatiente… !’
‘…Dis leur qu’ils n’en ont pas à s’en faire… ! Est ce que l’on peut se voir demain… ?’
‘…Ok disons 14 heures là où tu sais… ! Salut… !’

‘… C’est mon boss, un ami d’enfance, un gros contrat à négocier sur le marché saoudien… !’

A Suivre…



CHAPITRE 7°

DESTINS BRISES.


Le couple franchit enfin la grande porte vitrée et pivotante du grand palace.
Un maitre d’hôtel les invite à le suivre dans la grande salle du restaurant. Un décor de rêve. La salle est pleine. Le maitre de salle les dirige vers leur table décorée avec gout et un grand bouquet de roses trône au milieu des couverts d’argent et de la porcelaine noble.
‘…Elles sont pour toi… !’
‘…Symbole d’amour… !’
‘…Un joli signe, tu ne trouves pas… !’
‘…Oui parait t’il mais ce signe d’amour n’est t’il pas précoce… ?’
‘…Lorsque la foudre tombe dans un cœur, tout va très vite… !’
‘…Que dois-je comprendre… ?’ Elle.
‘.. .Il y a des signes qui ne s’expliquent pas mais qui se vivent… !’ Lui.
Le maitre de salle déplace la chaise et Edwige comprend qu’elle doit y prendre place.
Idem pour son ami.
Le couple parle discute tout en mangeant ces petits mets délicieux servis par un garçon très prévenant.

‘…Je suis époustouflé par ce que je vois et ressent… !’ La jeune est fille vêtue d’une jolie robe vaporeuse de couleur bleu ciel. Un très joli manteau en fourrure rehausse sa stature.
‘… Ta tenue est sublime…. ! Ais-je bien fait de t’amener ici… ?’ Lui.
‘…Oui, je côtoie un autre univers caché et secret… !’
‘…Sans doute pas le plus beau… ! Ici tout est discret et lorsque la discrétion s’en mêle sache qu’il y a anguille sous roche. Tous fortunés certes mais trompeurs de leur épouses et vice versa… !’
‘…C’est moche parfois le monde des riches… !’ Elle.
‘…Le monde de la finance y trouve souvent ses commodités… !’


A Suivre….
DESTINS BRISES.


CHAPITRE 8°.

Le dessert est servi. Et l’addition arrive discrètement.
Edwige a passé un très agréable moment en compagnie du généreux Arnold. Elle est aux anges et elle le remercie en baissant les yeux.

‘…Demain, tu fais quoi Edwige… ?’
‘…Demain matin j’ai rendez vous comme je te l’ai dis mais pas grand-chose l’après midi… !’
‘…Je viens de chercher si tu veux, pour prendre un café… !’
‘…Non, je préfère m’isoler dans ma chambre. Prendre un peu de recul parce que tout ce qui m’arrive en 24 heures me donne le tournis… ! ‘

Edwige est une jeune fille bien rusée. Chez elle rien n’est le fait du hasard, elle calcule, elle planifie. Son expérience de femme lui permet de jouer qqs peu avec les sentiments des autres.
Des sentiments qui arrivent trop vite chez Arnold. Des sentiments qui fouettent son cœur alors que la veille, avant la rencontre, il n’en avait pas. Et pour personne.
Le refus de la jeune fille est perçu chez lui comme une déception mais il se garde bien de la montrer.
Il a oublié qu’il avait rendez vous avec son fameux Slimane.

‘…Mais as-tu oublié ton rendez-vous avec ton ami… ?’ Et de le lui rappeler.
‘…Ô bien sur où ais-je la tête… !’

Edwige sans le vouloir à atténuer sa tristesse. Il s’en sort très bien, honorablement grâce à ce rendez-vous un instant oublié.
La journée du lundi se passe bien. Edwige n’est pas sortie du matin, non plus le soir. Elle est chez son compagnon Jamel. Dans l’autre appartement beaucoup mieux meublée.

Son ami plus âgé qu’elle de trois ans. JAMEL dit FILOU le dealer doit son renom à la petite délinquance vécue dans son ancienne banlieue. Il a su investir dans l’immobilier l’argent de la drogue, des vols de voiture, des trafics en tout genre en évitant tous les pièges tendus par la police. Cela lui a permis de se doter d’un bel appartement du coté de la place Clichy. Pour ses vieux jours. Il a le temps de les voir venir.

Il perçoit aussi des revenus grâce à deux fonds de commerce dont les murs lui appartiennent.

Edwige est tombée amoureuse de Jamel qui par sa gentillesse et sa générosité a su convaincre la jeune fille, sans attache, errante, fugueuse de foyer pour adolescentes à l’âge de 16 ans. Ses parents, un père français normand et une mère kabyle sont morts dans un accident de la route. Alors qu’elle n’avait que 13 ans.

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