Souvenir de Tunis : Le Colisee
Mon père , Roger Boublil , était directeur du Cinéma Le Colisée jusque dans les années 60. On disait de lui qu’il connaissait la moitié de Tunis et que l’autre moitié le connaissait…
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Mon père , Roger Boublil , était directeur du Cinéma Le Colisée jusque dans les années 60. On disait de lui qu’il connaissait la moitié de Tunis et que l’autre moitié le connaissait…
Les plus beaux moments de 1950_1963, une ballade dans les merveilles de tunis des parfums de jasmin et des epices et des plages
Jeanne! Ya Jeanne! Petite sœur !
Je me sens douloureusement écartelé entre la souffrance de te parler désormais au passé- toi, si vive, si présente!- et le besoin de te dire Adieu, un dernier adieu, moi qui espérais te dire bientôt " Bienvenue chez toi!", après les nouvelles rassurantes que tu m'as données il y a peu sur la guérison de la blessure que tu t'étais faite à la jambe ici, à Khereddine !
Raf Raf , la Baraka , les Bambalounis , le Lycée Carnot , Korbous , le Cercle Italien , les sables d’or de Raoued , les Bikinis , l’Amphitrite , la Falaise , la Baie des Singes , Bourguiba , les manèges du zoo et de la rue de Marseille
Il existait à Tunis et dans d'autres villes comme par exemple Ben Guerdane, de nombreuses imprimeries hébraïques. Ce patrimoine aujourd'hui disparu, témoigne de la vitalité des éditions en hébreu et en judéo-arabe.
De Tunis jusqu'à Djerba, le reportage dévoile les visages de la Tunisie. L'arrivée du touriste s'est fait via l'aéroport de l'Aouina. Sa première escale était donc Tunis. Le reportage filme les Tunisois vêtus de Jebba et des femmes couvertes d'un safsari.
Pourquoi cette dénomination ? Parce que La Goulette a été depuis des décennies le creuset d’une communauté juive très brillante qui, avec les soubresauts de l’histoire s’est disséminée aux quatre coins du monde.
Delectez vous de ces expressions uniques aux Juifs de Tunisie
J’ai du mal à croire qu’il est parti. Je le croyais éternel ! Il a été pour moi, comme un frère, un père aussi. Il avait des idées sur tout. Érudit, brillant, percutant. C’était une plume et une voix. Richard, pour moi, c’est toute une histoire. Une histoire qui a commencé alors que j’étais très jeune. 20 ans, ou moins. Tout jeune étudiant en pharmacie, à Tunis, je cherchais un job pour l'été.
Au mois de mars 1945, une organisation norvégienne, la « Europa Hilfen », en collaboration avec la Croix-Rouge norvégienne, proposa à Monsieur Perets Léchem, directeur de l’Alyah des jeunes, l’ « Alyat Hanoar » de faire guérir des enfants sur lesquels pesait la menace de la tuberculose. On mit à leur disposition un camp dans l’une des plus belles régions de la Norvège. On offrait une couverture totale des frais de vol et de séjour des enfants. Cette proposition ouvrit dès lors, l’Afrique du Nord à l’Alyah des enfants.