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Souvenirs

Dans mes articles je décris la petite histoire  d'un jeune tunisien telle qu'elle fut vécue dans l'Histoire de  l'ORT, durant une époque de sept années.  Je voudrais croire que j'ai un peu contribué à éclairer quelques chapitres de cette grande Histoire. 

Je comprends ce que l’homme dit quand il parle de l’amour. Si je me permets, j’ajouterais quelques mots à ce sujet. Tout d’abord l’amour que nous connaissons tous entre homme et femme est un résidu du vrai amour.

A Tunis, le 5 juin 1967, une foule dechainee declencha un pogrom contre les Juifs, brulant la grande synagogue, les commerces tenus par les Juifs et provoquant une panique et un depart precipite des Juifs de Tunisie.

Lorsque nous étions enfants, nous nous promenions en voiture sans ceinture de sécurité ou d'airbags pour nous protéger.

Ma Tunisie est cette sève qui coule en moi depuis près de 2500 ans avant ma naissance. Mais à ma Tunisie, je ne lui dois aucune gratitude. Sinon, ce serait accepter l'idée que je fus un invité. Non, bien au contraire, c'était MON pays , et j'aurai dû y avoir tous les droits.

Je ne vous le cache pas, j’aurais aimé être grand, six pieds et des poussières, marcher d’un pas nonchalant et tranquille, l’œil allègre, la main légère, le sourire en coin, un petit cigare aux lèvres, la chemise blanche ouverte sur un corps bronzé (retour d’un voyage aux îles) athlétique, sûr de moi: beau et grand, quoi

Un vrai goulettois est né de d’une maman, cela va sans dire, qui n’est pas à coup sur une goulettoise, autant pour le papa. Mes parents sont nés à Tunis puis sont ‘montés’ à la Goulette, un an après leur mariage.

Les amateurs de vidéos historiques rares vont être comblés par deux nouvelles chaines Youtube lancées fin juillet par l'agence de presse Associated Press (AP) en collaboration avec la British Movietone, une base d’archives couvrant près d’un siècle d’actualité.

La Tunisie s'apprête à renouer avec le pèlerinage annuel de la Ghriba Vidéo exceptionnelle de Djerba et du pèlerinage de la Ghriba en 1952.

Je me souviens des beaux pèlerinages de Testour, auxquels j’ai participé avec mes parents et mes cousins et cousines. Tous les ans on allait au pèlerinage de Rebbi Fraji Chaouat de Béja. L’aperçu historique se base sur la chanson de geste, chantée par les femmes et les hommes des communautés qui participaient aux pèlerinages

Il etait une fois dans la jolie ville de Radès, non loin de Tunis, une masseuse celebre. Toutes les femmes du village l'adoraient et il ne se passait pas une semaine sans qu'une d'entre elles ne rate la visite au hammam. 

Una storia, due narrazioni, sulla memoria dei siciliani emigrati in Tunisia a ridosso dell'Unità d'Italia. Lo sguardo storico-politico di Fausto Giudice e l'approccio onirico e illustrativo di Marinette Pendola

Ô ma mère, De combien de mots d’amour, de combien de tendresse, de combien d’affection suis-je, sommes-nous tous, tes fils et moi, en retard ?

C'est en écoutant comme une mélodie féérique et magique d'un joueur de oud (instrument de musique à cordes pincées), qui avec talent sait si bien mélanger la musique arabe traditionnelle avec du jazz et d'autres sonorités, que me vint l'idée de cet article. 

En ce temps-là tout le monde circulait à pied dans Tunis, rares étaient ceux qui avaient des voitures. Certains qui avaient des courses importantes à faire ou devaient se rendre à des places éloignées circulait en tram ou en carrosse. J'avais des cousins à Bab El Khadra, d'autres dans l'avenue de Madrid.

Un spectacle monte par l’equipe d’Amit.
Proverbes et chansons – Juifs de Tunisie les acteurs, les organisateurs et le Public

Pour les personnes sensibles et douces, c’est l’école enfantine et la maîtresse qui chouchoute les enfants qui viennent pour la première fois au jardin d’enfants. Puis pour nos pères et grand-père ou grands-mères c’est faire une partie de Chkouba ou de belotte autour d’une table au café Bijaoui de Beja, ou à Tunis au café El Bahri et autres ou la promenade lente en groupe de dix, vers Sidi Frej ou Sidi Alaoui.

OY (cri de guerre des tunes) La pizza Memmi, la chantilly de Paparone, les kakis du Belvédère, le casse-croûte de chez Azar ou rien n'était laissé au hasard, les grillades de chez Fneyen ...

Ces tavernes et cabarets de l’époque, devenus nombreux au dix-septième siècle, étaient surtout tenus par des captifs chrétiens, retenus dans des bagnes à Tunis et qui étaient autorisés à s’adonner à ce type de commerce.

Un vieux mendiant aveugle était assis tous les jours à la même place, pas loin du chemin qui menait au palais du roi. Ainsi il espérait être vu par les riches qui se rendaient souvent au palais. 

Il y a deux marches dont je garde un souvenir impérissable, les deux marches du TAKKET’S. Une courte et une autre plus grande, la première en montant aux extrémités arrondies. Elles n’avaient rien de spéciales ces deux marches mais à force de s’asseoir dessus, nos pantalons et shorts ont fini par les user à tel point que les nez prenaient la forme de lames de rasoir. 

Les amis parisiens d'Henri Tibi avait récupéré un précieux trésor : 4000 photos prises par Henri Tibi lors de sa jeunesse dorée dans le quartier de la Goulette à Tunis dans les années 60 et 70. Henri Tibi a saisi toute l'âme de cette Tunisie rayonnante. 

Lorsqu’un de ses fils ou sa fille l‘appelait autrefois, elle laissait tout tomber pour écouter la voix de l’enfant chéri, pour avoir des nouvelles de chacun de nous, pour se sentir soutenue, protégée par notre force, notre amour, pour nous rassurer, nous bénir, nous complimenter, nous rabrouer aussi au besoin !

Né à Tunis le 16 Novembre 1909 dans une famille d’origine Livournaise, Maurizio Valenzi débute son activité de peintre en fréquentant pendant quelques années l’Académie des beaux-arts de Tunis dirigée, alors, par le professeur Vergeaud.

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