C’est l’un des aspects les plus déconcertants de la crise israélienne actuelle : les protestataires misent sur l’étranger – non seulement l’opinion publique occidentale ou les communautés juives de la Diaspora, mais aussi et surtout l’administration Biden ou les gouvernements européens - pour bloquer la réforme judiciaire ou faire tomber le gouvernement Netanyahu.

Alors que le débat entamé voilà six mois autour du projet de Réforme judiciaire est en train de s'enflammer et que davantage de réservistes de l'aviation en Tsahal ont annoncé leur refus de servir si la 1ère tranche de cette réforme était adoptée par la Knesset, la grande confusion qui règne dans le pays n'est-elle pas sciemment organisée pour faire chuter le gouvernement Netanyahou pourtant démocratiquement issu des urnes du 1er novembre dernier ?

Depuis plusieurs mois, à l’appel d’organisations de gauche et d’opposants à Benyamin Netanyahu, des milliers de personnes manifestent en Israël aux cris de « Demokratia, demokratia ! ». Le Premier ministre, malgré certains succès politiques, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, est voué aux gémonies. On murmure qu’Israël, jusqu’ici montré en exemple comme pays de libertés, est en passe de devenir une dictature.

Depuis quelques mois dans le pays, se déroule un processus «indescriptible» et donc «effrayant» selon l’écrivain israélien.

L'Israélien “traditionaliste” est pluraliste, s'oppose à "toute forme de coercition" et "soutient les libertés religieuses et personnelles"

Pour ce faire, le journaliste Yossi Levi a revêtu la bure franciscaine et a accompagné un véritable franciscain dans les rues de Jérusalem. Il marchait depuis seulement cinq minutes lorsqu’il s’est fait cracher dessus pour la première fois.

Partout dans le Monde, les Islamistes et le BDS exhortent le à boycott d'Israel et de tout ce qui provient des Juifs. En réponse Monsieur Meyer Treinkman, un pharmacien renommé en Israël, a offert de les aider dans leur boycott d'Israël, comme suit

Le premier seul en scène écrit et joué par Bernard Bitan . Autour des thèmes qui lui sont chers, comme le #sionisme, l’amour du peuple juif et #Israël d’aujourd’hui. Il nous embarque dans son univers multicolore. Avec émotion et humour il revisite son histoire et la nôtre. Au micro de Cathy Bensoussan il vous invite à découvrir son spectacle produit par Elie Attal Production : “Je n’ai pas dit mes derniers maux“ !

« Je dansais de joie quand je suis arrivé. C'était l'un des plus beaux jours de ma vie. » Voilà ce qu'a déclaré Ismaïl Abdul-Rasul, un père de quatre enfants venu du Darfour au Soudan, pour décrire son accueil en Israël en 2007 après cinq années de misère passées en Égypte et un périple infernal effectué à travers la péninsule du Sinaï.

Des milliers d’Israéliens ont protesté mardi soir contre l'attribution de financements aux juifs ultra-orthodoxes prévue dans le budget de l'Etat d'Israël, accusant la coalition au pouvoir de "piller" le pays.