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HISTOIRE

Témoignage du Pr Albert Moatti: Sousse sous l’occupation nazie

Dès que les premiers bateaux allemands ont accosté au port, les raids alliés ont commencé. Le dimanche 22 novembre, vers 11 heures du matin, un terrible bombardement détruisait la petite rue du Caire, faisant de nombreuses victimes. Alors a commencé peu à peu l’évacuation de la ville ; et l’on peut considérer qu’à partir de Noël 1942 il ne restait presque plus personne à Sousse.

Le Prix Paul Sebag décerné demain lors du Colloque SHJT

Enseignant-chercheur, l’un des fondateurs de l’Université de Tunis et de son département de sociologie, où il a enseigné pendant plusieurs décennies, on lui doit un ouvrage important sur l’histoire des Juifs de Tunisie, sur la ville de Tunis et des témoignages sur son carrière de militant communiste.

Moshe ben Maïmon, le juif qui a été imam pour la prière de Tarawih

Après que les Almohades ont gagné des batailles contre les Almoravides et étendu leur influence sur Al-Andalus, les juifs ont eu le choix entre la conversion à l’islam ou l’exil. L’un des plus grands chefs religieux juifs, Moshe ben Maïmon, a revendiqué s’être converti.

L’émigration des juifs tunisiens vers Israël (1948-1967)

En 1948-1949, l’aliyah (émigration des juifs vers Israël) à partir de la Tunisie est organisée par le Mossad le-‘Aliyah Bet, qui n’avait pas obtenu de statut légal en Tunisie, mais les autorités coloniales françaises ont toujours fermé les yeux sur ses activités tant que ses agents faisaient montre de discrétion. Ainsi, près de 6 200 émigrants juifs tunisiens ont pu rejoindre Israël via Alger et Marseille durant ces deux années.

Les origines du conflit israélo-arabe (1870-1950)

Il couvre, de 1870 à 1950, 80 ans de l’histoire de cette terre qui avait perdu son nom de Judée depuis que l’Empereur Hadrien avait imposé le nom de Palestine après la révolte de Bar Kochba, cette terre que certains appelaient sainte et qui était devenue , entre aridité du sol et maladies infectieuses, une des plus déshéritées de l'Empire turc, une terre que de savants géographes avaient déclarée inapte à toute colonisation, mais qui n’était pas cependant, comme l’avait dit un Chrétien ami des Juifs, une terre sans peuple pour un peuple sans terre.