Il a également déclaré que l’Autorité palestinienne n’accepterait pas le workshop économique de Bahreïn ou ses conclusions car, selon lui, le problème palestinien est politique et doit être résolu de façon politique.

Une journée après sa riposte à des tirs de roquettes dans la région du mont Hermon, Israël a lourdement frappé juste après minuit l’aéroport T4 qui sert de quartier général au contingent iranien en Syrie depuis son retrait de la zone de Damas.

En effet, les Kabyles sont des Amazighs (Berbères). Ils ont une langue et une culture propres et le plus souvent du temps, ils ont une préférence marquée pour la laïcité. Les Kabyles sont ostracisés par le gouvernement d’autant plus que beaucoup expriment leur volonté d’autonomie ou même d’indépendance.

Un homme d’affaires de Hebron, affirme que toute l’économie palestinienne est tenue par quatre monopoles, tous dirigés par des proches de Mahmoud Abbas.

Ceux qui avaient des doutes quant à l’efficacité des sanctions américaines contre l’Iran, appuyées par le déploiement de moyens militaires importants à proximité du territoire gouverné par la théocratie de Téhéran devraient venir faire un tour au Liban. Ils se persuaderaient ainsi de leur productivité. C’est la milice chiite du Hezbollah, supplétive des ayatollahs, qui subit ici de plein fouet la diminution des moyens financiers de leur mentor perse.

L’un des fils de Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, détenait près d’un million de dollars d’actions dans une société des îles Vierges britanniques.

Tous les détails  ainsi que l’analyse complète et originale de Stéphane Juffa au micro de Jim Mosko sur Radio Judaïca.

Repris jusque dans les cours d'école de Téhéran, le tube d'un chanteur de pop en exil est un véritable phénomène de société en Iran.

L’Iran, pays de 82 millions d’âmes couvrant une superficie trois fois plus grande que la France, possède 10% des réserves mondiales de pétrole et 15 % des réserves mondiales de gaz. C’est le septième plus grand exportateur de pétrole au monde.

En vertu de la doctrine du président américain qui avait dit préferer se baser sur les réalités du terrain plutôt que sur des slogans creux et irréalistes, le plan prévoirait que toutes les localités juives de Judée-Samarie seraient sous juridiction israélienne. Si cela est confirmé, l’Administration américaine ne s’opposerait donc pas à une décision stratégique de la part d’Israël d’étendre la loi israélienne à toutes ces localités.