Par ailleurs, un Européen sur cinq pense aussi que les Juifs ont trop d’influence sur les médias et le monde politique.

Les supporters d’All Boys ont également agressé les forces de l’ordre, détruit des installations dans le stade et attaqué des voitures de police à l’extérieur.

Aujourd’hui le mariage et ses préparatifs sont bien plus rapides que du temps où nos grands-parents et même nos parents ont vécu. Aujourd’hui un jeune homme et une jeune fille se rencontrent généralement seuls, conversent un certain temps puis décident de donner une suite à cette entrevue ou pas.

Pierre DESGRAUPES présente ce second volet consacré à l'identité juive et illustré par des reportages et entretiens sur le plateau avec les invités : André SCEMAMA, Claude LANZMANN, et Maxime RODINSON

Dans son documentaire "Jews Got Money", Sasha Andreas déconstruit le préjugé selon lequel il n'existe pas de juif sans argent. Tourné à New York, nous découvrons le parcours de migrants juifs d'hier et d'aujourd'hui.

Sous la fatalité qui me saisit, juif; quand à nouveau une brute ensanglante une synagogue, je ressens une fierté tenace. La brute dont le nom m’indiffère, qui chabbat dernier est allé tuer au temple Etz Haïm de Pittsburgh, nous haïssait, juifs, pour nous-même, «des enfants de Satan» disait-il, et pour ce qu’il croyait savoir de nos actes

L’horreur de Pittsburgh est un nouveau rugissement de la « bête immonde » de Brecht, aujourd’hui bien réveillée. C’est en cela que cette tuerie par un extrémiste de droite était malheureusement prévisible dans le contexte américain actuel de peurs et de crispations identitaires.

Pour célébrer le vingtième anniversaire de sa création, Aki Estamos – l’Association des Amis de la Lettre Sépharade vous propose, en partenariat avec La Fédération des associations sépharades de France, une grande fête de Djoha avec un grand buffet de spécialités judéo-espagnoles, et deux représentations de Bustan Sepharadi (Le jardin séfarade).

Cet article : " Le mouvement antijuif en Algérie/Le feu n'est pas éteint - La population juive a peur "  paru dans le journal Tribune juive du 1er mars 1935 moins d'un an après le pogrom de Constantine, rend bien compte de l'antisémitisme qui régnait en Algérie pendant les années 30 et du climat d'insécurité pour les juifs.

"Israël et le monde juif dans sa globalité "ont besoin de parler et de s'écouter", évoquant les divisions croissantes autour de l'emprise orthodoxe sur les institutions du pays.