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CINEMA

Le jardin des Finzi-Contini, la tragédie d’une famille juive dans l’Italie fasciste

C’est la fin d’un monde que Vittorio De Sica, adaptant le roman de Giorgio Bassani (qui, s’estimant trahi par le cinéaste, désavouera publiquement le film), dépeint avec une empathie non feinte dans Le jardin des Finzi-Contini. Et avec lui, l’image d’une Italie fasciste, qui en 1962, au moment de la publication du livre, n’avait pas encore osé regarder dans les yeux son passé sombre.

« Mauvais Shabbat » : quel est le pire qui puisse arriver ?

Dans les années 1960 et 1970, une publicité télévisée mémorable a été diffusée avec le slogan : « Pas besoin d'être juif pour aimer le vrai pain de seigle juif de Levy ». La publicité mettait en scène des personnes d'origines ethniques et culturelles diverses dégustant le pain de seigle de Levy. Ce slogan est également pertinent pour le nouveau film très amusant de David Robbins, « Bad Shabbos », projeté à partir du 5 juillet.

Des ghettos à l’écran : comment les films réhabilitent les oubliés de l’histoire ?

Les représentations cinématographiques des ghettos — qu’ils soient urbains, ethniques ou historiques — ont longtemps été marquées par une vision réductrice. Limitées à des clichés de violence ou de pauvreté, ces zones étaient souvent cantonnées à un rôle de décor dramatique, négligeant la richesse humaine qu’elles abritent.

« La Chambre de Mariana » ou la poignante histoire d’un enfant juif caché par une prostituée pendant la Seconde guerre mondiale

Dans l’Ukraine soviétique de 1943 envahie par les nazis, une mère juive décide, pour sauver son fils de la déportation, de le confier à une amie d’enfance. Or, la belle Mariana, interprétée par Mélanie Thierry, vit et travaille dans une maison close. Tel est le point de départ du film d’Emmanuel Finkiel, en salles mercredi 23 avril.

Rites, rires et révoltes : l’enfance judéo-maghrébine au cinéma

Dans l’ombre des palmiers, au coin des ruelles blanches de Tunis, d’Alger ou de Casablanca, l’enfance des Juifs du Maghreb a laissé une empreinte lumineuse dans la mémoire collective. Le cinéma, souvent nostalgique, parfois caustique, s’est emparé de ces récits mêlés de rituels, d’espiègleries et de tensions. À travers le prisme de l’enfance, il a su capturer la richesse d’une culture en équilibre entre tradition et modernité.

“Baba Salé, le dernier des Justes”: portrait d’une icône mystique

Le documentaire Baba Salé, le dernier des Justes de Raphaël Balulu, projeté au Festival du Cinéma Israélien à Paris, dresse le portrait de Rabbi Israël Abehassera, figure emblématique des Juifs marocains. Après la projection, une rencontre avec le réalisateur et l’historien Georges Bensoussan a éclairé son impact mystique et politique.