Le Kif ou le F(r)ik? Par Jose Boublil
Les tunisiens ont érigé ce mot en valeur suprême de la vie. Certains , en France, ont vite compris que nous étions les pionniers d'une aventure où tout le monde allait "kiffer sa race"...
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Les tunisiens ont érigé ce mot en valeur suprême de la vie. Certains , en France, ont vite compris que nous étions les pionniers d'une aventure où tout le monde allait "kiffer sa race"...
Un vieil Arabe vit depuis plus de 40 ans à Chicago. Il aimerait bien planter des pommes de terre dans son jardin mais il est tout seul, vieux et trop faible. Il envoie alors un E-mail à son fils qui étudie à Paris pour lui faire part de son problème.
C'est David qui descend très lentement les Champs Élysées dans sa Bentley décapotable ! Il possède dix magasins à droite et dix à gauche et il surveille le nombre de clients dans ses magasins !
Et ne faisant pas attention il percute une vieille Twingo devant lui !
Le tune a toujours quelque chose à raconter : "viens je te raconte"
Selon lui c est toujours sensationnel : "j ai un scoop"
Il n aime rien garder pour lui :"ne le dis a personne"
Et si le plus beau quand on aime, c’était toutes ces folies que l’on commet pour séduire l’autre ? Réussites ou pitoyables, Michel Boujenah n’a sûrement pas peur de tenter l’improbable par amour.
Demain sort le dernier film de Gad Elmaleh, «Reste un peu», l'histoire de sa conversion au catholicisme. Un véritable camouflet pour le juif que je suis.
Djeha dit un jour à son fils, alors qu'il atteignait sa douzième année :
- "Demain, tu viendras avec moi au marché."
il apprend le yiddish
il se met à aimer le geffilte fish
il danse avec des mouchoirs
Quand tu éternues, c’est toujours : 1ère fois : Tayych / 2e : Tfouj / 3e : Tekber / 4e : Teflah / 5e : « ça y est combien ???! »
On ne mange pas le poisson sans tastira, oeufs au plat, poivrons grillés… bref, le complet poisson
J'ai à peu près tout raté dans ma vie. Mon bac obtenu à grand-peine après un premier échec cuisant. Mon permis de conduire arraché au bout de la troisième tentative. Mes études universitaires d'une médiocrité infâme. Mes conquêtes féminines aussi rares que mes cheveux sur le crâne. Mes romans couronnés d'aucun prix. Mes chroniques appréciées par une minorité de lecteurs tous à la solde du lobby juif et rémunérés par mes parents pour me lire. Un naufrage complet.