Pessah 1913 en Palestine sous l'empire Ottoman
Plusieurs estimations donnent alors le chiffre de 60 000 Juifs vivant en Israël. La majorité d’entre eux vivaient encore à Jérusalem et quelques villes.
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Plusieurs estimations donnent alors le chiffre de 60 000 Juifs vivant en Israël. La majorité d’entre eux vivaient encore à Jérusalem et quelques villes.
En 1948-1949, l’aliyah (émigration des juifs vers Israël) à partir de la Tunisie est organisée par le Mossad le-‘Aliyah Bet, qui n’avait pas obtenu de statut légal en Tunisie, mais les autorités coloniales françaises ont toujours fermé les yeux sur ses activités tant que ses agents faisaient montre de discrétion. Ainsi, près de 6 200 émigrants juifs tunisiens ont pu rejoindre Israël via Alger et Marseille durant ces deux années.
Le quartier est divisé en sept îlots et la parcelle la plus importante (immatriculée sous le titre 8706 propriété Cagou) est la propriété de Eliaou Ben Cheloumou Scemama. L’étude de ce titre foncier révèle que ce propriétaire terrien, une personnalité caïdale, qui est à l’origine de la création du quartier.
De son vrai nom Georges Kalkias Stavelakis, capturé avec son frère Yannis en 1821, il est conduit à Izmir puis Constantinople où il est vendu comme esclave à un envoyé du bey de Tunis.
La campagne de Tunisie, ou bataille de Tunisie, a eu lieu entre le 17 novembre 1942 et le 13 mai 1943. Elle a opposé les troupes alliées (Américains, Anglais et quelques Français) aux Allemands et aux Italiens. La campagne de Tunisie a été l'un des affrontements les plus longs et les plus sanglants ayant opposé les deux armées en Afrique du Nord. Cet affrontement s'est signé par une éclatante victoire alliée.
Il couvre, de 1870 à 1950, 80 ans de l’histoire de cette terre qui avait perdu son nom de Judée depuis que l’Empereur Hadrien avait imposé le nom de Palestine après la révolte de Bar Kochba, cette terre que certains appelaient sainte et qui était devenue , entre aridité du sol et maladies infectieuses, une des plus déshéritées de l'Empire turc, une terre que de savants géographes avaient déclarée inapte à toute colonisation, mais qui n’était pas cependant, comme l’avait dit un Chrétien ami des Juifs, une terre sans peuple pour un peuple sans terre.
Le massacre des juifs de Strasbourg, connu sous le nom de "massacre de la Saint-Valentin", apparaît comme le type de ces flambées de haine dont les manifestations ont ensanglanté le calvaire d'Israël au long des siècles passés.
Dans ces quatre épisodes de « Juive-Arabe, comment je me suis réconciliée avec mes identités », la documentariste Cléo Cohen s’interroge sur cette identité et rencontre des descendants de la diaspora juive nord-africaine, qui partagent sa quête d’une réconciliation avec la part maghrébine de leur héritage, et ceux qui sont restés au pays. Elle revisite l’histoire du colonialisme, du sionisme et des nationalismes arabes, de Paris à Tunis.
Le silence s'est fait dans la grande salle centrale de la synagogue Bichi de Tripoli en ce 22 avril 1928, le moment est solennel, le grand rabbin Yitshaq 'Haï Bokobza va prononcer en hébreu un texte du rituel et donner ainsi sa bénédiction au souverain d'Italie Vittorio Emanuele III (1869-1947), accompagné de la reine Elena di Montenegro (1873-1952), son épouse.
André Barouch avait remplacé Albert Bessis le 9 avril 1956 à son poste de ministre de l'habitat et de l'urbanisme.