George Adda, l'homme qui s'était excommunié, par Avraham Bar-Shai

George Adda, l'homme qui s'était excommunié

 

Je ne voulais pas que cet article serve à aider G. Adda à figurer sur une liste des "héros culturels" d'origine juive tunisienne. Sa place serait plutôt sur celle des ennemis qui avaient fait tant de mal à ses frères, celle des renégats qui s'étaient auto-excommuniés et qui répandaient, depuis des générations, une haine contre le peuple Juif. Son acharnement à servir ses nouvelles idoles (Staline et la Nation arabe) n'a d'égal que son entêtement à détruire tout lien qui pourrait rattacher ses parents aux esclaves que Titus, fils de Vespasien), remporta avec lui à Rome, en l'an 70. Il n'était pas le premier à "dénoncer le Mythe du peuple juif". Il "révèle le secret" du mensonge des descendants des idolâtres (du Caucase et des montagnes de l'Atlas) qui se déclarent Juifs exilés, de la Terre de Canaan, depuis des millénaires et sont attachés à la terre de Canaan. Ils se donnent alors le droit de dépouiller de ses terres, le "peuple légitime". Par conséquent, il appelle: à combattre les intrus en "exposant le mensonge Sioniste", et rendre la terre à ses propriétaires.

 

Le phénomène de G Adda n'est pas nouveau et beaucoup de Juifs, au fil des générations, avant lui et certains post sionistes de nos jours s'étaient fait un nom chez les anti juifs et les anti sionistes.

 

Berl Katsenelson (1887-1944), un des chefs du Sionisme socialiste a dit aux Juifs du parti communiste en Palestine, en mai 1936, qui avaient soutenu "La révolte Arabe":

"Y-a-t-il parmi les peuples, un dont les enfants sont arrivés à une distorsion d'esprit et d'intelligence, que tout ce que fait leur peuple, toute ses créations, toutes ses souffrances sont détestées et méprisées, tandis que tout ce que fait l'ennemi de leur peuple, tous ses crimes et ses viols, remplit leur cœur d'admiration et d'addiction"

 

Qu'aurait-il dit d'un autre Juif, un israélien de notre temps, le Dr Shlomo Sand, qui enseigne l’histoire à l’université de Tel Aviv. Je l'ai vu plusieurs fois à télévision française. Il était parmi les stars des talk-shows les plus connus là-bas.

 

Il expliquait à ceux qui n’ont pas été difficiles à convaincre, comment le peuple Juif d'aujourd'hui a été inventé, donc sans aucun passé, lié à Erets-Israël. Il a choisi de s’adresser à eux dans leur langue avec son fort accent (de juif de l'Europe de l'Est) rappelant, surement sans le vouloir, les Juifs qui habitaient la rue des rosiers et leur Shoa.

 

N'oublions pas qu'un ministre Juif du gouvernement britannique, Edwin Montagu (cousin de Lord Herbert Samuel) lutta vigoureusement contre la déclaration du Lord Balfour.

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Les paroles prononcées par les Juifs vivant et éduqués en Israël plaisaient toujours aux oreilles de ceux qui les attendaient.

 

Parmi toutes les listes de "faux érudits" juifs, depuis le 19ème siècle à ce jour, je n'en ai trouvé aucune dans laquelle le nom de Adda fut mentionné. Si c'est ainsi, je crois que notre faux prophète juif de Tunis, a surement mérité le mépris de la gauche européenne.

 

Tout au long de sa vie, il a consacré d’énormes efforts à crier, aux yeux de ses proches palestiniens, son inlassable lutte contre le sionisme, son détachement du peuple juif, "dont le mensonge est fondamental et qu’il usurpe son objectif"".

J'espère que cette présentation sera lue comme un chapitre (non positif) de notre histoire montrant les taches noires de la communauté tunisienne. Quand j’ai appris que cet homme était mort, et que seulement en Afrique, on en avaient entendu parler, ainsi que de son sosie marocain : A: Serfati

Adda

 

M. G Adda mentionne son origine berbère à chaque occasion et qu'il est le fils d'une tribu Berbère Judaïsée. Il refuse de faire partie de sa religion et de sa culture. Le stalinisme devint sa nouvelle religion et sa lutte est celle des tribus de la nation arabe.

Haggada

Dans sa "vision monochromatique", il refuse de critiquer les berbères qui ne s'étaient pas battus contre le conquérant arabe, s'étaient convertis à l'islam et ont été assimilés à la nation arabe. Aux XIIe et XIIIe siècles, ces berbères- arabisés fondèrent la dynastie Muahidoun, une dynastie décrétant que les non-musulmans (dont ses ancêtres qui étaient des "berbères Judaïsés", a-t-il dit), avaient le choix entre la mort, la religion islamique ou l'exile.

Qui compterait les souffrances de la famille du jeune Maïmonide qui avait décidé de fuir Cordoba après l'invasion des Moahidoun et ses errances pendant environ 10 ans, jusqu'à son installation dans la ville de Fès au Maroc, et c'est seulement à l'âge de 30 ans, qu'il s'était installé au Caire.

Rappelons à G Adda, que le courage de ses ancêtres et leur ténacité, les aida, comme les Maimonide, à survivre les oppressions des berbères-Mouahidun, ils ne leur cédèrent pas et gardèrent leurs valeurs et leur culture jusqu’à sa génération.

Pourquoi ne condamne-t-il pas la reddition des autres berbères, aux conquérants arabes, et ne leur demanderait-il pas qu'ils retrouvent leurs origines ancestrales

G Adda aurait été plus crédible, s’il avait proclamé que ses frères, du peuple "berbère" (la plupart des Tunisiens d’origine berbère), auraient dû combattre les envahisseurs arabes qui avaient forcé leurs ancêtres, à oublier leur religion, leur langue et leur culture.

Il a oublié qu'ils avaient occupé le pays de ses "ancêtres", les berbères. Ils les ont convertis de force à l'islam et les ont forcés à effacer leur culture et leur langue.

Il connaît, mais veut ignorer, l'honneur que méritaient ses ancêtres berbères (comme il dit) qui ont résisté courageusement aux conversions forcées durant des générations et maintenu leur culture et leur religion, du moins jusqu'à "l'arrivée" de George A.

Sa génération sera probablement le dernier maillon de la chaîne, chaine sans pareil chez les autres peuples qui ont émergé et disparu, un à un. Il a coupé ses enfants et ses petits-enfants de leurs racines : sa fille Leyla et ses petits-enfants : Karim, Elias, Murad et Mariém..

Howard C, Yakuson (lauréat du Man Booker Award) a écrit dans son livre: "Les Juifs se détestent"

  • Yakuson

Est-il possible que pendant 92 ans de vie controversée, Adda (mort le 28 septembre 2008) n'ait jamais rencontré parmi ses "amis" celui qui lui aurait rappelé son origine juive, en lui attribuant tous les préjugés qu'il avait cru être ceux des Autres Juifs.

Avant lui, Trotski, le communiste d'origine juive, qui rappelle les paroles de Jérémie Ch. 13, v 23 "Le nègre peut-il changer sa peau, la panthère ses rayures? …." avait écrit, quand ses amis lui avaient rappelé son origine, que "la personne n'est pas un serpent et qu'elle ne peut pas changer sa peau. Chaque fois qu'il pense s'en être débarrassé, les autres la ramassent et la collent de nouveau sur le dos.,

J'avais écrit, le 1er octobre 2008, sur le Forum du site Harissa.com

"Je n'irai pas à Borgel (le cimetière juif de Tunis, où il a été enterré, ironie du sort) pour cracher sur la tombe de G Adda, parce que mon père, ce magnanime, qui y avait été enterré, 50 ans auparavant, ne me l'aurait pas permis.,

Mais je veux décrire le malaise que je ressens lorsque je lis des articles dans lesquels il exprime son point de vue sur les juifs et le Sionisme.

Ensemble avec les autres qui souhaitent ardemment appartenir à "une élite intellectuelle et libre", au prix de la destruction de tout leur patrimoine..

J'apporterai ici quelques citations d'un texte publié par Adda, texte qu'il a envoyé à la "Conférence de solidarité arabo-internationale pour le retour des réfugiés palestiniens et le droit du peuple palestinien à l'autodétermination". Beyrouth, mai 2006. Conférence reportée.

Je n'ai pas honte de dire que je n'avais même pas entendu parler de l'homme avant le bruit et les disputes qui ont fait surface dans le média, après sa mort.

Tout au long de mes recherches, j'ai été confronté à la question poignante du paradoxe. Comment tous les extrémistes, idéologues où opportunistes, tous les courants et toutes les philosophies peuvent-ils trouver tant de mercenaires pour brandir le drapeau de "la haine du peuple d'Israël et du sionisme". Cette haine est une langue commune entre plusieurs courants antagonistes : chrétiens, musulmans et islamisés, progressistes, conservateurs néo-nazis et communistes, Suédois et Africains, juifs "intellectuels" et juifs ultra-orthodoxes Prix ​​Nobel et illettrés .

tetes

Connaissez-vous ces tètes

Ils ne sont pas nombreux, mais le bruit qu'ils font dans les médias offrent à leur propagande une diffusion importante qui peuvent créer certains dommages.

Voici 8 photos, dont une seule montre le danger de leur propagande

 

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Juifs anti Juif

 

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Encore des Juifs anti Juifs

 

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Et où celà mène

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Et qui tire les ficelles

Je voudrais citer quelques lignes de la haine de Adda contre le peuple juif et le sionisme, dans le texte tel qu'il s'était porté volontaire d'envoyer aux ennemis d'Israël à la "Commission de Solidarité Arabo-Internationale…." Citée là-haut. .

Ces citations sont extraites d'un article publié sur le site Web ETTAJDID.ORG avec la notice nécrologique de notre ami le professeur Habib Kazdaghli, historien à l'Université de Manouba à Tunis et président de la Société pour la préservation de l'histoire des juifs tunisiens.

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Sur le site ci-dessus du parti de la "Gauche progressive", le nouveau nom du Parti communiste (de G. Adda), un parti qui a changé plusieurs fois son nom, sans succès, au fil des années et ses échecs aux élections (environ 1,5%) et s'est dissout plusieurs fois

Mais les anti Juifs ont attaqué le professeur Kazdaghli pour ses "vues trop avancées" qui furent très mal accueillies.

Il a récemment organisé une conférence, sur "l'Holocauste", à Tunis. Des éléments Islamistes ont amené les organisateurs à mettre fin à cette conférence déjà ouverte. Les mêmes extremistes ont également demandé l'annulation de son adhésion à la LICRA - la "Ligue pour la guerre contre le racisme et l'antisémitisme", en raison de son "engagement" dans la défense du sionisme et d'Israël, disent-ils.

Voici encore un long article de Adda. Il est intitulé "Le mensonge du peuple d'Israël" dont voici le lien,-

http://ettajdid.org/spip.php?article329

Déjà dans le titre du texte, on voit son désir de séparer le peuple juif de son propre passé et de ses ancêtres. La conclusion immédiate est qu’il n’y a aucun lien entre ceux qui se font appeler aujourd’hui, "les Juifs" avec la Terre d’Israël, et que le Sionisme n'a aucun droit d'exister et ni le retour des Juifs à Sion, ni l’État d’Israël.

Ceux qui se disent Juifs ne sont qu'une multitude de peuples païens de Caucase, et de tribus de l'Atlas berbère qui s'étaient convertis à la religion Juive. Ils n'ont rien à voir avec les descendants des tribus bibliques.

Voici quelques citations de l'article de Adda:

".... "Ce que je fais aujourd'hui pour réaffirmer que la paix, la sécurité, la liberté, l'égalité et la justice ne prendront pas leur place naturelle et légitime dans ce douloureux Moyen-Orient, dominé et occupé par des étrangers, tant que la Palestine, de la frontière libano-palestinienne à Eilat, Et la mer Rouge, de Haïfa à Jérusalem, de Tel Aviv à Jérusalem et de Naplouse à Gaza, ne sera pleinement libérée, et que tous les Palestiniens et les réfugiés de nombreux pays du monde ne reviennent et rempliront tous leurs foyers, leurs cimetières, leurs terres, leurs biens et leur ancienne administration

Et aujourd’hui, je viens ici pour apporter, sans aucune condition préalable, mon soutien total au peuple palestinien héroïque, courageux et saint.

..... En réalité, la Palestine et tous les Palestiniens ont été victimes, je les appelle victimes de la "communauté internationale"

.... Pour les étrangers de nombreux pays du nord, de l'ouest et de l'est, la solution consistera à compenser la destruction du Temple antique, et la dispersion des soi-disant enfants de Canaan, les pogroms quotidiens de la Russie et de la Pologne, ainsi que le génocide effrayant et indiscutable du vingtième siècle, dont il fut victime..

.... …Nous devons expliquer ce qui s'est passé en 1947, les véritables motivations des dirigeants occidentaux et leurs objectifs scandaleux, ainsi que dénoncer la violation et la non-application de dizaines de résolutions du Conseil de sécurité par l'État sioniste

.... Je ne peux m'empêcher de mettre fin à ces quelques lignes en déclarant à nouveau ma conviction que, dans un, dix ou cinquante ans, la Palestine sera complètement libérée de ceux qui lui ont causé tant de tort

C'est ainsi que Léon Poliakov, directeur honoraire du CNRS français, a écrit dans son ouvrage principal "Histoire de l'antisémitisme (Paris, Calmann-Levy, 1961)", des pages qui peuvent avoir d'importantes implications

.... Les accusations de Leon Polyakov unissent toutes les théories et hypothèses contre les théories sur lesquelles s'appuient les sionistes sur la prétendue "diaspora" et sur le retour sur leur terre ancestrale des anciens Cananéens.

..... La lutte contre le sionisme doit être développée dans chaque nation et chaque pays.

..... Il faut dire aux étrangers qui sont venus, il y a un peu plus d'un demi-siècle, conquérir la Palestine, que cette terre ne leur appartient pas,

.... Le peuple palestinien actuel a raison de dire qu'il ne voulait pas accepter les termes et conditions de la libération, qu'il voulait être complet, total et définitif.

En Palestine, la paix véritable ne sera possible qu'après l'établissement du peuple palestinien, pour tous les droits et le retour de tous les réfugiés.

. (an 2006) 58 ans de domination des étrangers, 58 ans de mort, prison, faim, privations c'est dur, c'est très dur. Mais un fait certain : les Palestiniens, tous les Palestiniens ne sont pas pessimistes et n’ont pas perdu espoir.

..... L'occupation de la Palestine par des étrangers est l'injustice de l'injustice.

Lorsque nous traitons de l'occupation sioniste de la Palestine, nous sommes naturellement obligés de parler des origines des berbères juifs ou des résidents :

La plupart des Européens pratiquant la religion juive venaient du royaume caucasien de Khazar.

Enfin, je tiens à rassurer à nouveau mes frères palestiniens, avec tout mon soutien.

.... Nous, non-Palestiniens, devons leur apporter exclusivement et sans hésiter nos encouragements, notre aide, notre soutien et notre solidarité.

(...) Nous, non-Palestiniens, devons résister de toutes nos forces à toute normalisation de nos relations avec l'État sioniste et empêcher que ce drapeau de l'État occupé ne soit vu dans nos capitales".

Fin de citation

La fierté de Adda, "descendant du peuple berbère" (qui avait, aux débuts, résisté aux invasions arabes), disparaît quand il essaie de plaire aux princes du pétrole et aux dictateurs arabes, dont les prisons sont pleines de civils qui ne veulent qu'un peu de liberté. Ce désir va à l'encontre de toutes ses déclarations sur sa lutte pour libérer les peuples des régimes oppressifs, notamment de la "prise de contrôle" de ceux qui se disent juifs, sur des terres palestiniennes.

Mais il oublie que le "Sharf" arabe (honneur) n'apprécie pas le "BAYOU" (le Vendu) et ne le respecte point. L'homme ne peut qu'espérer, par fausse conviction, de les servir en tant que "Juif de service"; qui leur signe des certificats de Cashrout pour tout ce qu'ils ont fait, font et feront.

Seuls ses amis non Juifs et les Juifs aux valeurs confuses, comme lui, partageront ses idées et ses espérances.

Oh! Combien de poison et de mal l'homme a répandu au cours de sa longue vie

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Le leader de cette révolution n'a pas pu accepter les racines de son peuple. Il a préféré de dénigrer les valeurs de ses ancêtres et de lutter contre la naissance de la grande révolution du peuple juif, le Sionisme.

Il s'entête sans succès à propager toutes les thèses qui combattent les valeurs de ses parents

En citant des intellectuels, "Des Juifs sans racines, comme lui", il rejette ces valeurs. Il essaie tout d'abord d'effacer l'authenticité du peuple juif en lui créant des nouvelles et fausses origines, origines que les scientifiques leur accordent peu de crédits, ou plutôt si minimes.

Tout en appelant le peuple palestinien "peuple authentique et historique" et le peuple Juif "ne serait, d'après lui, qu'un groupe d'anciens peuples qui étaient en crise de divinité et qui sont tombés dans le filet de certains juifs dispersés dans le monde entier".

Il n'a probablement jamais lu les récits de voyageurs d'avant le vingtième siècle qui n'ont trouvé en Palestine que des zones désertiques, des marécages, des tribus de bédouins qui ne laissaient derrière eux qu'une faible partie de la végétation qui s'y trouvait, sans trop s'inquiéter de l'avenir

La majorité des Arabes qui composent le peuple palestinien aujourd'hui sont venus (ou ont été transférés par le gouvernement ottoman), ainsi que de pays arabes voisins et même du Caucase et de la Circassie.

Et avec un peu d'humour, le conflit du Moyen-Orient pourrait être décrit comme une guerre civile entre des frères Caucasiens ; ceux convertis à l'islam (établis en Palestine par les Ottomans), et ceux descendants des Kouzars Judaïsés et attirés par le Sionisme.

G Adda écrit dans sa démagogie caractéristique : "Il ne faut pas oublier que nous n'avons jamais vu un Palestinien ou un Arabe pousser une personne religieuse (juive) ou une origine religieuse dans la crémation.

Et les bus remplis d'enfants qui ont explosé depuis les années 1950, jusqu'à ce jour, les hôtels où des familles entières ont explosé, à la veille du Seder. Ses amis ont tiré des missiles et des bombes sur des écoles maternelles et des quartiers d'habitations du Sud, etc., etc. L’héroïsme et les valeurs humaines » des nouveaux frères de Adda.

Non ! Ces criminels n'étaient pas nazis, car aujourd'hui, les soldats de l'armée sioniste se seraient même rendue en Tunisie, pour punir les meurtriers que Adda avait choisi de servir. Sinon, ces Shahids potentiels auraient surpassé les soldats de Hitler.

Enfin, en 1997, Adda a écrit un papier sur lequel sont signés par toutes sortes de "penseurs" connus depuis longtemps, comme étant très proches de ses idées. Voici quelques lignes du texte : "Les non-sionistes d'aujourd'hui parlent.

"Des femmes et des hommes de nationalités, de religions et d'opinions différentes, nous célébrons le centenaire du Congrès sioniste de Bâle dans une déclaration solennelle selon laquelle" il n'y a pas de peuple juif, pas de nation ou de race juive".

il n'y a pas de" Juifs " mais des citoyens français, polonais, russes, marocains, yéménites, éthiopiens, américains d'origine japonaise ou autre. Les Marocains ou les Tunisiens sont les descendants de nombreux Berbères Juifs ou les Yéménites sont les descendants des Arabes juifs

J'avais écrit , le 2 octobre 2008 (sur le Forum du site Harissa)

Nous n'oublierons pas la Tunisie, où nous sommes nés et avons grandi, mais nous nous souviendrons très bien de la façon dont ils nous ont poussés de quitter nos maisons, et errer vers d'autres pays. Chose que nous n'avons pas faite depuis les glorieux temps de Carthage. Ceux qui reviennent visiter ce pays après des décennies, avaient vu comment notre passé a été effacé systématiquement par les maitres du pays. Nous voyons certains jeunes tunisiens d'aujourd'hui se poser des questions quant aux leçons d'histoire apprises à l'école, sur les peuples et les cultures des siècles d'avant l'invasion arabe.

Non, nous ne critiquons pas seulement la personne G Adda, mais ses théories racistes contre le peuple juif et son retour à Sion.

À mon avis, il est de la plus haute importance que les archives des sites qui préservent le passé et le Patrimoine de notre communauté, racontent aussi les méfaits de certains de nos frères qui, par détresse intellectuelle, avaient perdu leurs repères pour se réfugier dans le Stalinisme.

Que diraient G Adda et ses amis palestiniens si M. TARIK RAMADAN, petit-fils du fondateur de FRERES MUSLILMANS, envoyait une lettre au prochain Congrès Mondial Sioniste condamnant tous les crimes commis par les Arabes contre les Juifs et d'autres peuples pendant plus de 13 siècles dans le monde et de nos jours en Israël.

"Que le peuple palestinien n'est qu'un peuple d'opportunistes qui a changé sa religion en adoptant celle de chaque peuple qui envahissait la région, chrétiens et musulmans, l'un après l'autre. À ces islamisés des siècles derniers, l'empire Ottoman avait ajouté des immigrants de tous les pays des environs.

Que les réfugiés vivant dans des camps, entretenus par les Nations Unies sont étouffés par leurs frères corrompus".

Mais Tariq Ramadan n'écrirait jamais cette lettre, même s'il le pensait. Cependant, l'esprit de la lettre envoyée par G Adda à la "Conférence de solidarité entre les pays arabes et la communauté internationale entre les pays arabes et arabes" en 2006, aurait pu servir à Tarik)

Abraham Bar-Shay (Ben-Attia)

absf@netvision.net.il.

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