Plus de 600 personnes au spectacle de Michel Boujenah a Carthage (Vidéos)
Malgré les protestations ayant précédé le début du spectacle devant le musée, plusieurs Tunisiens et étrangers sont arrivés pour assister à "Ma vie rêvée".
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Malgré les protestations ayant précédé le début du spectacle devant le musée, plusieurs Tunisiens et étrangers sont arrivés pour assister à "Ma vie rêvée".
En marge du sommet du G20 à Hambourg, le 7 juillet dernier, les présidents russe et américain se sont entendus de manière surprenante pour imposer un cessez-le-feu dans le sud-ouest de la Syrie, aux confins des frontières séparant ce pays de la Jordanie et d’Israël.
La justice tunisienne a décidé de censurer le long-métrage américain réalisé par Patty Jenkins. Le motif invoqué ? Des déclarations politiques de l'actrice principale, l'israélienne Gal Gadot, auraient fortement irrité les autorités.
Malgré la colère et la polémique suscitée par son arrivée au musée de Carthage, le comédien français Michel Boujenah a réuni, dans la soirée du 19 juillet 2017, plus de 600 personnes venues assister à son spectacle, dans le cadre de la 53ème édition du festival international de Carthage.
Beaucoup déclarent qu’Einstein croyait en Dieu. A l’aide de quelques citations, je fais d’abord voir qu’Einstein ne croyait pas en Dieu, rejetait le spiritualisme, le mysticisme, la providence, les livres sacrés, les institutions religieuses et condamnait les tentatives de fonder la morale sur la croyance. Dans un deuxième temps, je fais voir en quoi consiste ce qu’il appelait sa « religiosité cosmique ».
Porto (Portugal) - Chaque vendredi au début du shabbat, l'imposante synagogue de Porto s'anime de discussions en anglais, français, espagnol ou portugais: la petite communauté israélite du nord du Portugal, disparue au XVe siècle, renaît en s'ouvrant aux Juifs qui se sentent menacés en Europe et ailleurs.
Plusieurs situations vécues ces dix dernières années m’ont conduit à vouloir coucher sur le papier mes réflexions sur la question troublante des relations étranges et troublées entre les communautés sépharade et ashkénaze en France.
L’année qui nous tourne le dos a été pleine de surprises, de hauts et de bas… mais n’est-ce pas là la nature de notre existence même ? C’est parfois une montée vertigineuse vers des extases inoubliables mais aussi des chutes abyssales lors de nos échecs… la vie continue. Les saisons suivent leur carrousel de joies et de peines alors que nous nous accrochons de toutes nos forces à ces petites brides invisibles de la vie, du bonheur, des couleurs, de la lumière…
Fortement concurrencée à l’international par l’harissa du Maroc, l’harissa tunisienne reprend l’initiative et repart à la conquête de sa place sur les marchés étrangers.
Nous sommes à Carthage, à l’aplomb de la colline la plus célèbre de l’antiquité: celle d’où l’on vit arriver dans les ports puniques la flotte d’Elyssa, la princesse fugitive. Celle que cette rusée bâtisseuse de civilisations entreprit de cerner d’une peau de vache. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, blancheur étincelante et luxuriance maitrisée.
La libération du peuple algérien s'est faite dans le sang et le déshonneur ; déshonneur pour le gouvernement français, lequel, sur ordre de Charles de Gaulle, abandonna la population oranaise, tant européenne qu’algérienne, la livrant sans défense à la furie vengeresse des vainqueurs ; ceux-ci profitèrent de l'occasion qui leur était offerte pour organiser un massacre de masse.
La culture de la marijuana est-elle en passe de devenir une filière porteuse de… l’agriculture tunisienne ? La question mérite d’être posée sérieusement.