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LITTERATURE

HAMAS ET HEZBOLLAH DE FRANCE, PAR ALBERT NACCACHE

C’est véritablement un travail monumental que vient de réaliser Albert Naccache. Un travail qui a visiblement nécessité des centaines  d’heures de lecture, notamment des médias communistes, d’extrême gauche et arabo-musulmans, une investigation poussée de toutes sortes de sites et de médias parfois confidentiels.

LE ROYAUME JUIF DE ROUEN RESSUSCITÉ PAR JACQUES-SYLVAIN KLEIN

En 1976, des travaux de pavage dans la cour d’entrée du Palais de Justice de Rouen ont mis à jour, très fortuitement, les vestiges d’un monument incontestablement juif et datant du Moyen Âge, la « Maison Sublime ». Après des querelles de chercheurs, certains y voyant une synagogue, d’autres la demeure d’un riche bourgeois, c’est la thèse de l’Américain Norman Golb qui l’a emporté : il s’agit d’une école rabbinique, une yeshiva.

UNE SAGA SÉFARADE, PAR ALEXANDRE MOSTREL

C’est l’histoire d’une vie. Pour ses enfants, pour ses petits-enfants, pour témoigner, Alexandre Mostrel a décidé de coucher par écrit son long et beau parcours. « Aujourd’hui, j’arrive au soir ma vie, au bout du chemin. J’ai fait mon temps et atteint un âge canonique. Je suis vieux et usé ; la vie se retire de moi, petit à petit, irrémédiablement. J’ai heureusement gardé toute ma lucidité »

Vienne à la Belle Epoque: quand les Juifs inventent la modernité

C'est à Paris, où il suivait l'affaire Dreyfus pour le quotidien viennois «Neue Freie Presse», que Theodor Herzl a inventé le sionisme. Si la patrie des droits de l'homme, pensait-il, se laisse gagner à son tour par les fureurs de l'antisémitisme, c'est la preuve que les juifs ne verront pas la fin de leurs tourments tant qu'ils n'auront pas une terre à eux sur laquelle ils ne seront plus minoritaires.

ZAKHOR, SOUVIENS-TOI, PAR MANUEL CORDOUAN​​​​​​​

« Zakhor. Souviens-toi », la pièce de théâtre qu’il nous propose à présent, se veut un hommage à la mémoire de la cousine germaine de sa mère, Fernande Lévy et à celle de son mari, Charles Benyamine, tous deux arrêtés par la police française, aux heures sombres de la Shoah, transférés à Drancy et gazés à Dachau.