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Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu

Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant, selon une croyance qui s’est développée en Europe orientale à partir du XVIIIe siècle. Le dibbouk fait partie des créatures surnaturelles qui ont dépassé le domaine de la superstition, pour devenir un thème inspirant les artistes d'hier et d'aujourd'hui.

La guerre d'Israël contre le Hezbollah en question

Voilà maintenant un an qu'Israël réagit à l'atrocité du 7 octobre. Non seulement le gouvernement n'était pas prêt ce jour-là mais en plus, il n'avait pas de plans d'attaque du Hamas, il disposait de renseignements relativement maigres sur les actifs ou les dirigeants de l'organisation, et faisait face à un puissant lobby au niveau national et international qui insistait pour que le retour des otages soit la première priorité.

Souccot, l’une des trois fêtes de pèlerinage prescrites par la Torah.

Les trois fêtes de pèlerinage , en hébreu Shalosh Regalim (שלוש רגלים), sont trois fêtes majeures du judaïsme — Pessa'h ( Pâque ), Chavouot ( semaines ou Pentecôte ) et Souccot ( tabernacles , tentes ou cabanes ) — quand tous les anciens Israélites qui pouvaient ferait un pèlerinage au Temple de Jérusalem , comme l'ordonnait la Torah.

Le mystérieux minhag des Kapparot soulève beaucoup d'interrogations.

Cette coutume consiste à prendre, la veille de Yom Kippour, un poulet vivant (un mâle pour les hommes, une femelle pour les femmes) et à le faire tourner au dessus de la tête en disant un formule qui charge la bête de nos péchés, en souhaitant que sa mort se substitue à la notre au cas où on la mériterait.

NBA – « Je suis riche de fou, je suis juif et pourtant, personne ne m’a jamais…

Dans une société américaine où la fortune et la religion peuvent paraitre moins tabous, une figure de la NBA n’a pas cherché à cacher sa richesse, ni sa confession juive. Or, ces deux caractéristiques ne lui auraient pas permis d’obtenir un drôle de privilège.

Le pardon - Me'hila

*En hébreu, le pardon se dit mé’hila, mot dont la racine est celle de me’hol, qui signifie « un cercle ». La vie a pour dessein d’être un cercle rassemblant toutes nos expériences et nos relations en un tout harmonieux. Lorsque quelqu’un nous blesse, le cercle est brisé. Le pardon est le moyen par lequel nous réparons cette fracture.