Chers amis, l’émission de cette semaine est consacrée à 2 auteurs d’origine juifs tunisiens, J-P Allali pour « Les 12 pierres de Quba » et Yves Taieb avec « L’enfant à la boutargue ».

Les autorités turques savent que les îles sont grecques tant au plan légal qu'historique ; mais elles veulent les occuper et les turquifier, sans doute pour parachever le génocide des Grecs qui a eu lieu en Anatolie de 1914 à 1923 et qui s'est poursuivi encore après.

L'association B'nai B'rith de Lyon a fait don mardi, de 2 tonnes de mandarines en provenance d'Israël, aux Restos du Coeur de la région. Cet acte noble n'a pas été apprécié par les militants du BDS local.

Ce tailleur qui habille le nouveau Président de la République depuis deux ans a vu ses ventes s’envoler : plus 25 % de croissance en à peine plus de deux mois. Un tournant incroyable pour cette petite entreprise familiale installée au premier étage d’un immeuble discret de la rue d’Aboukir, en plein cœur du Sentier (IIe).

La France intellectuelle contemporaine a connu plusieurs époques dans son rapport au signe juif. J’entends par là une façon de se représenter les Juifs, réduits à un signe inscrit dans un système de pensée. De Zola à Sartre et de Sartre à Lyotard, Julia Kristeva ou René Girard, s’est développé tout un discours sur les Juifs.

Le gouvernement israélien a officiellement approuvé dimanche la dépénalisation de la consommation de cannabis, faisant de l'Etat hébreu, déjà à la pointe de la recherche concernant l'utilisation médicale de la marijuana, le premier pays au Moyen-Orient ou en Afrique à dépénaliser cette substance.

On est le 8 mars, c'est la Journée Internationale pour le Droit des Femmes. Mais ça, je ne leur ai pas encore dit, je voulais juste commencer par les entendre, recueillir ce qui leur passait par la tête.

Les Eglises catholique, grecque orthodoxe et arménienne apostolique, qui se partagent la custodie du Saint-Sépulcre à Jérusalem, ont, voici peu, fermé les portes de celui-ci pendant deux jours consécutifs

Un enregistrement de morceaux d'antologie du cinéma se rapportant au monde juif et la shoah.

La ministre israélienne de la Culture Miri Regev avait alors accusé le film de prêter le flanc à une accusation de "meurtre rituel" à l'encontre de soldats israéliens.

Amel (Hafsia Herzi), jeune photographe tunisienne, vient de perdre son mari dans un accident. Terrassée par le deuil, elle est accueillie par la famille du défunt et épaulée par son beau-père, qui l’encourage dans sa pratique artistique.

sabah singing " Ya abou Ali" music Dr samy Farag at byblos restaurant