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SOUVENIRS

Exprimer votre histoire : 6 conseils pour la partager avec le monde

Vous avez une histoire à raconter et à exprimer mais vous ne savez pas comment bien la partager ? Que vous aimiez écrire ou non, votre histoire ou celle de vos proches, si vous estimez qu’elle le mérite, doit être racontée et publiée. Elle peut aussi être traitée via de l’image ou du son, le format écrit n’est pas le seul moyen pour s’exprimer.

Anciens et Amis du Lycée Carnot de Tunis

En 1894, le Conseil des ministres lui donne le nom de Sadi Carnot pour honorer le président de la République française assassiné. En raison d'effectifs scolaires de plus en plus nombreux, les bâtiments sont agrandis en 1894, 1913, 1925 et 19391. Durant la Seconde Guerre mondiale, le lycée est réquisitionné d'abord par la Kommandantur de l'armée allemande puis, en 1943, par les forces alliées1. Durant cette période, les élèves sont disséminés dans les autres établissements de Tunis.

Israël : les Orientaux, les Ashkénazes, ma mère et moi

Une romancière israélienne livre l’histoire de sa mère, juive marocaine qui a émigré en Israël, où elle a épousé un Ashkénaze. Un récit autobiographique, publié dans Ha’Aretz, qui met en avant le clivage tenace entre Juifs orientaux et occidentaux dans ce pays et les injustices subies par les Mizrahim et autres Juifs considérés comme “d’Orient”.

LA SORTIE DU LYCEE CARNOT DE TUNIS ET L’ENIGME DU FRANC EN 1960

La sortie du lycée était un grand moment et ce à tous les âges. La grosse affluence mettait beaucoup de temps à se disperser, surtout le samedi midi car les discussions allaient bon train. Si peu de sujets étaient relatifs à la classe, plus nombreux étaient ceux préparant des réunions de loisirs du WE sous le beau soleil de Tunis.

LA VIEILLE SYNAGOGUE DE LA HARA

Pour continuer à évoquer des souvenirs qui s’estompent et disparaissent au fil des années, je me souviens de cette vieille synagogue de la Hara, l’ancien quartier juif de Tunis, rue Errakah. Pour y arriver, il fallait de préférence, passer par le quartier réservé de la ville, ou de pauvres femmes se tenaient devant chaque porte. Nous passions très vite, sans parler, en serrant nos livres de prière sous le bras,