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SOUVENIRS

« TATA RENÉE » ET LES NAINS MAGIQUES, par Thérèse Zrihen-Dvir

Espiègle et turbulente, je ne réussissais pas toujours à faire mes devoirs, lesquels j’entamais à peine avant d’être gagnée par la fatigue, et de m’assoupir sur mes cahiers. Souvent, le soir venu, ma tante Renée, au retour de son travail, me découvrait endormie, la plume encore entre les doigts tachés d’encre et mes devoirs à moitié accomplis. Elle me prenait alors dans ses bras, m’allongeait sur mon lit, avant de s’asseoir sur ma chaise et compléter le manque de ma besogne scolaire.

Hommage a Victor Hayat, par Claude Sitbon

Ne a Tunis ou il fit de brillantes etudes en dentisterie. avec un rare talent...qui lui fit avoir les plus grandes vedettes--grace a son affabilite, et son professionnalisme. Bourguiba, par exemple, le faisait venir partout...il tenait a son HAYAT. En quittant Tunis, c'est a Paris que les plus grands écrivains furent ses amis pas ses clients Jean Paul Sartre par exemple.

Le Personnel Enseignant de l'Ecole de l'Alliance Israelite Universelle de la rue Malta Sghira

L’Ecole de la rue Malta-Srira a ete amenagee en lieu et place d’une ancienne ecurie qui appartenait, je pense, a la garde beylicale. Situe plutot dans la ville europenne mais pas trop loin de la Medina, ce batiment d’un etage pouvait contenir un maximum d’une vingtaine de classes ou pouvaient « s’entasser » plus de 700 eleves.

Le lycee Carnot en 1960, par Paul Zarka

Je garde de cet été là (1960) le souvenir d’un moment de bonheur contrarié, mais un beau souvenir tout de même, en raison des promesses dont il était rempli pour mes espérances amoureuses, et pour l’assurance qu’il m’avait donné. Si une jolie fille comme Solange s’était autant intéressée à moi, c’est que je devais bien valoir quelque chose !