Se pourrait-il que la présence de Gérard, heureux patron des lieux, et de son sourire généreux y rajoute de la saveur ? C’est probable. Ce qui est certain, c’est que dans ce minuscule restaurant de Marsa Ville, on ne badine ni avec les produits ni avec les grandes valeurs de la cuisine juive tunisienne.

Plat emblématique du repas de shabbat, le couscous est par ailleurs l’un des plats préférés des français. A chacun sa recette, à chacun ses secrets et surtout chacun son équipe (équipe raisins secs, équipe couscous au beurre, équipe couscous poisson…) ! Eternel sujet de querelle entre les gourmands d’Afrique du nord qui se disputent le titre de « meilleur couscous »

Son nouveau projet ? La sortie d’un livre de recettes cétogènes : Zéro sucre*. Le régime cétogène consiste à ne plus consommer de sucre (ou en tout cas beaucoup moins), et de conserver le gras. Ainsi, le corps entre en état de cétose, et le cerveau se met à fabriquer les glucides dont il a besoin à partir du gras ingéré.

Le légendaire "Bob de Tunis" reconnu meilleur boui-boui Tune de Paris par les critiques gastronomiques !!!
Joël Robuchon en personne vient y taquiner les fricassées une fois par semaine...

Cette nouvelle inscription reconnaît la valeur du couscous et des savoirs, pratiques et savoir-faire qui l’entourent.

Pas de confirmation absolue encore, mais en tous cas on peut dire que la cuisine Tunisienne necessite souvent une friture quelconque.

Star des pays du Maghreb, le couscous décline les ingrédients en fonction de la géographie… et des traditions familiales. Viandes, poissons et fruits de mer, fruits frais ou fruits secs, herbes et épices à volonté, salé, sucré ou sucré-salé… Le Maghreb offre à vos papilles émerveillées autant de variétés de couscous que d’endroits visités ! 

Les dattes sont souvent sous-estimées ou uniquement vues comme des sucreries. Or, nombreuses sont les raisons qui doivent vous pousser à en manger plus souvent.

Sabich, un sandwich moins connu d’Israël, mais non moins délicieux, est un mélange de pommes de terre, d’aubergines et d’œufs durs. Préparé en pita avec de la tehina, du persil, de l’amba (facultatif, sauce épicée pour shwarma à la mangue ) et une salade israélienne,

Impossible de parler de cuisine juive sans parler de la harissa. Condiment rouge, parfois doux et parfois très piquant, il est utilisé pour relever plats et salades. Surnommé la « moutarde tunisienne » par certains, il est parfois utilisé comme confiture salée.